Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Des Socios au Racing ?

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Flux RSS 533 messages · 27.122 lectures · Premier message par boobasiro · Dernier message par schilles1979

  • kibitz a écrit, le 2008-07-28 22:55:25 :

    Pour revenir au topic, le problème après c'est aussi de savoir combien de gens seraient réellement prêts à mettre combien sans vrai retour.


    Wanss esch kib ? Moi g pas compri fai un petit effor sur la sein taxe commême !
  • En premier proposer un sondage sur le stub ? Ensuite créer une association si le sondage est significatif , puis lancer une souscription avec " promesse de don " :'> ( Je rêve ) :)
  • guigues a écrit, le 2008-07-28 22:57:53 :
    Effectivement si ce pool réunissait 500 000 euros ça serait déjà énorme, et en même temps une goutte d'eau dans le budget du club.

    Si Ginestet n'a pas repris le Racing pour trop cher, il faut savoir qu'il a mis au bout quand le club passait devant la DNCG et qu'il est la caution financière du RCS :|s


    Yeap, d'autant plus qu'on peut lui reprocher plein de trucs à Ginette, mais ce n'est pas un milliardaire, alors quand il met au bout, ça lui coûte vraiment!!!
  • l'objectif reste de racheter des parts , pas l'intégralité du club :)

    extrait L'alsace

    Herzog : « Dans les clous »

    C'est ce midi que le président du Racing Philippe Ginestet, le directeur général Jean-Luc Herzog et l'un des deux commissaires aux comptes seront reçus à la DNCG. Le club, qui accusait un déficit de 6 millions il y a encore quelque temps, a déjà vendu pour 4 millions de joueurs : Gameiro (3 millions) à Lorient, Emil Gargorov (350 000 euros) au CSKA Sofia et Dimitar Rangelov (700 000 euros) à Cottbus. « Nous avons jusqu'au 30 juin pour équilibrer nos comptes, date à laquelle sont arrêtés les bilans », rappelle le DG. « Il y a deux manières de le faire : par la vente d'un joueur ou l'apport financier des actionnaires. Il nous reste 11 jours. Nous sommes dans les clous et dans les temps. Avec deux tiers de la somme manquante déjà trouvés, nous sommes raisonnablement optimistes. Mais nous ne sommes pas vendeurs à n'importe quel prix, sauf belle offre. Nous ne voulons pas brader nos joueurs, mais les céder à leur juste valeur. »

    Source : l'Alsace
  • Eh bien 5000 personnes donnant chacune 100€, ça fait 500 000€...
    Moi je serais prêt à mettre ces 100€/an (et même bien plus) si le projet est sérieux et bien ficelé.
  • Moi aussi, mais j'exige alors que le stade s'appelle "Nain-arena" pour une durée de 90 ans [-(
  • :) Moi egalement 100 €/an ,
  • lenain2jard1 a écrit, le 2008-07-28 23:22:10 :
    Moi aussi, mais j'exige alors que le stade s'appelle "Nain-arena" pour une durée de 90 ans [-(


    Moi je saurais me contenter d'une tribune à mon nom : La Roy Rodgers Bank, B-) ça ça claquerait.
    OK on rigole, mais pour les 100€/an je suis sérieux, ça me parait jouable.
  • extrait article Dna 2004 "Ginestet repond présent"

    Un apport de 3 M€
    C'est qu'après « avoir fait sereinement avec Marc Keller une analyse approfondie du club durant la dernière quinzaine », Philippe Ginestet se dit absolument « convaincu que les forces sont nettement supérieures aux faiblesses du moment. Mon engagement sera officialisé dans les tout prochains jours dès que l'ensemble des accords pris par l'ensemble des actionnaires aura été régularisé ».
    Ce qui signifie concrètement que Philippe Ginestet va le mois prochain devenir l'actionnaire majoritaire du club, y investir sans doute 3 M€ supplémentaires, pour faire passer son budget à 27 M€, et que les statuts de Sportinvest vont être modifiés. Dans des proportions encore inconnues.

    Jpense que pour être crédible il faudrait réunir 3m€ #-o
  • iuliu68 a écrit, le 2008-07-28 20:31:08 :
    En gros faudrait surtout des pepettes à mettre!!!!!



    la minorité de blocage fixée à 25 % par les statuts de "Sportinvest " donc avec moins de 25% ( un actionnaire n'a pas le pouvoir d'opposer son véto a un projet )

    Exemple de situation de blocage :

    Exemple de blocage de transfert par sportinvest !
    j'ai repris ce message posté par superdou le 20/09/04 sur un autre sujet .


    COULISSES Le jeu est aussi bloqué

    Un différend oppose six actionnaires de « Sportinvest », propriétaire du Racing, au septième, Bernard Graeff, qui dispose d'une minorité de blocage.

    La rumeur court depuis le début mai et est en train de faire le tour de Strasbourg. Sauf que cette rumeur-là n'a rien d'une vue de l'esprit. Elle s'appuie sur des faits, incontournables et indiscutables, que les différents acteurs refusent de commenter. Ou alors avec des pincettes, pour ne pas froisser les sensibilités. Début mai donc, le RCS envisage de recruter l'attaquant serbe du Partizan Belgrade, Ivica Iliev (25 ans). Le joueur vient en Alsace visiter les installations et rencontrer le directeur général Marc Keller. Quelques heures plus tard, il annonce à l'agence de presse Beta qu'il signera un contrat de trois ans à Strasbourg la semaine suivante. L'affaire ne sera jamais conclue. « Ce n'est pas fait », indiquait d'ailleurs le président Egon Gindorf, prudent, dans "L'Alsace" du 2 mai. « Certains, chez nous, éprouvent encore quelques doutes sur ses capacités de buteur. » Certains ? Bernard Graeff en l'occurrence qui, via son fils Sébastien, possède 31 % des actions de "Sportinvest", la SAS (société action simplifiée) créée par Gindorf et ses partenaires pour prendre le contrôle du RCS en mai 2003. Lors d'une réunion, Graeff, dont le nom ne peut apparaître dans le capital de la société (conséquence d'une condamnation en 1999 par le tribunal de Grasse dans une affaire d'escroquerie regroupant 800 plaignants), remet en cause le travail de la cellule recrutement et de Marc Keller, dont il ne réclame pas la tête, mais qu'il s'offrirait sûrement s'il en avait les moyens.

    « Trouver avec lui la solution la plus satisfaisante »

    Devant ce qu'ils estiment être une ingérence déplacée dans le secteur technique, les autres actionnaires, Gindorf en tête, font corps derrière leur directeur général. Graeff, qui, comme Gindorf, réside sur la Côte d'Azur et possède à Eschau un étang voisin de celui du président strasbourgeois, claque alors la porte et annonce qu'il va se retirer du club en cédant ses actions (un pactole de 1,2 million d'euros). Cinq mois plus tard, l'ancien pro de Mutzig, de l'AS Strasbourg et Ajaccio n'a pas mis sa menace à exécution et n'en a plus l'intention. Avec 31 % des parts, il dispose d'un rôle qui n'est pas seulement consultatif. Les statuts de "Sportinvest" stipulent en effet que les décisions ne peuvent être entérinées qu'à la majorité des trois-quarts (75 %). Les 31 % de Graeff constituent donc une minorité de blocage susceptible de paralyser le quotidien du club. « Bernard Graeff a en main une des clefs importantes du Racing, doit bien admettre Egon Gindorf (actionnaire principal à 45 %). Il ne peut s'opposer à un appel de fonds, mais peut très bien refuser l'augmentation de capital que nous envisageons et pour laquelle nous n'avons pour l'instant pas avancé (Ndlr : le pool d'actionnaires a opposé une fin de non-recevoir à l'ancien président Jacky Kientz, candidat malheureux à la reprise en 2003 et qui souhaitait entrer dans le capital). Je lui ai proposé de racheter une partie de ses parts. Il a refusé. Philippe Ginestet (patron d'Eurinvest, actionnaire à 5,5 %) l'a aussi approché. Sans plus de succès. » Bernard Graeff tient-il à rester dans le tour de table avec l'ambition, à terme, d'en prendre le contrôle ? « Je ne peux pas répondre à cette question, lâche simplement Gindorf. Pourquoi reste-t-il alors qu'il a annoncé qu'il voulait s'en aller ? Je l'ignore. Sans doute parce qu'en tant qu'ancien pro, il aime le football, tout simplement. Mais s'il aime vraiment le club, il doit se décider, car la situation, en l'état, est difficilement gérable, avec cette épée de Damoclès qui gêne la moindre décision. Nous devons trouver avec lui la solution la plus satisfaisante pour tout le monde. Pour le moment, il y a beaucoup d'excitation autour de la position sportive et le contexte se prête peu à des discussions sereines. A mes yeux, quand la vie du club est en jeu, les intérêts personnels deviennent secondaires. C'est un dossier qu'il va bien falloir régler ces prochaines semaines, pour le bien du Racing. »

    (Source: L'Alsace)
  • EXtrait article l'alsace l'actionnariat évolue :

    Pignatelli a injecté 1,075 million
    Six mois plus tard – en fait un peu avant Noël - D. Pignatelli a acheté 7 % supplémentaires, moyennant 575000 euros cette fois. Au total, il a injecté 1,075 million, dont la moitié en compte courant d'actionnaire (récupérable en cas de bénéfices). « Depuis plusieurs mois, Dominique insistait pour investir un peu plus», rappelle Philippe Ginestet, « Je lui avais opposé un refus poli parce que je n'étais pas vendeur. Mais j'ai appris, au fil du temps, à connaître l'authentique passionné et le chef d'entreprise performant qu'il est, quelqu'un d'attachant prêt à contribuer à l'essor de son club de coeur. J'ai fini par accéder à sa requête, tout en conservant 70 % des parts. Un coup de main comme celui-là ne se refuse pas. Mais cette vente n'est pas appelée à devenir une tendance. Sauf si une entreprise de très grande envergure, du style Pathé à Lyon il y a quelques années, voulait aider le club à franchir un palier. »
    « L'investissement financier n'est pas négligeable, même si on est loin des montants déboursés pour le rachat de l'OM, mais il vient au second plan », lui fait écho Dominique Pignatelli. «Mon implication est prévue sur du moyen, voire du long terme. A mon petit niveau, je veux aider le Racing à retrouver le lustre qui en a fait l'un des clubs les plus prestigieux de France, à se bâtir dans la stabilité, avec un homme fort à sa tête : Philippe Ginestet. Si j'investis, c'est parce qu'il en est et en reste l'unique patron. »
    Le capital du RCS se répartit désormais comme suit : Philippe Ginestet (70 %), Dominique Pignatelli (12 %), Eurodirect Marketing (la société de Geispolsheim, fondée par l'ex-président Egon Gindorf, 16,31 %), Thierry Wendling (patron de TW formation, 1,06 %) et Pierre Schmidt (le charcutier alsacien, 0,31 %).

    Extrait article l'alsace :

    La main à la poche

    C'était dans l'air depuis quelque temps. Hier matin lors d'une séance du conseil d'administration, le président du Racing Philippe Ginestet a demandé aux actionnaires minoritaires d'EuroRacing, la holding qu'il contrôle à 70 % et qui possède 78 % de la SASP RCS (Société anonyme sportive professionnelle), de procéder à une avance en compte courant récupérable le 31 octobre.
    Le montant de cette avance consentie au club bas-rhinois par ses propriétaires ? 3 millions d'euros. Les actionnaires d'EuroRacing en ont injecté 2,4 au prorata de leur participation au capital. L'industriel Robert Lohr, qui a acheté l'été passé 20 % de la SASP pour 2 millions, a accepté de remettre la main à la poche et de verser le complément de 600 000 euros.
    Pour les actionnaires d'EuroRacing, les montants investis sont les suivants (entre parenthèses, leur pourcentage d'actions de la holding) :
    1,68 million pour Philippe Ginestet (70 %) ;
    391 440 pour l'ancien président Egon Gindorf (16,31 % via sa société Eurodirect) ;
    288 000 euros pour Dominique Pignatelli (12 %) ;
    25 440 euros pour Thierry Wendling (1,06 %).
    « Le seul à qui je n'ai rien demandé, c'est Pierre Schmidt (patron de l'enseigne éponyme de charcuterie alsacienne, actionnaire à seulement 0,31 % et dont la participation se serait limitée à 7440 euros) », précise le président Ginestet.
  • Pour en revenir a notre sujet , D. Pignatelli a acheté 7 % des parts moyennant 575000 euros , cela est une idée de prix non ?
  • Ouais, ou 20% de la SASP à 2 millions, c'est une autre idée...
  • royrodgers a écrit, le 2008-07-28 23:18:04 :
    Eh bien 5000 personnes donnant chacune 100€, ça fait 500 000€...
    Moi je serais prêt à mettre ces 100€/an (et même bien plus) si le projet est sérieux et bien ficelé.


    cela pourrait être réalisable , mais je pense faudrait se constituer en association de suppoters et recolter des promesses de dons ,

    En lançant un sondage sur le stub , cela nous perméttrais de prendre la température :)
  • J'imagine les scènes de guerres civiles auxquelles donneraient lieu une AG de Saucissocios de Strasbourg. =P~

    Moi ça me plait pas du tout comme idée, après c'est la foire d'empoigne entre candidats-présidents à celui qui sera le plus populiste. Puis je ne suis pas sur du tout que tu trouverais 40000 personnes prètes à investir 100 euros chaque année dans un titre, quand on a déjà du mal a vendre 7000 abos moins chers.
  • Avec un système de socios à Strasbourg, Furlan aurait quand même été nommé (voir les réactions sur le stub pour une ecrasante majorité s'en félicitant malgré une descente avec son club la saison précédent).
    Et si on instauré ce système, dès maintenant Duguépéroux serait entraineur à vie même s'il mettait le club en CFA.
  • Pas faux du tout ce que tu dis. On pourrait même voir Gress, le Derrick du football, avec ce genre de système.

    Mais sans tomber dans la démagogie ou le populisme, on pourrait pas penser à un système d'intégration des supporteurs?
  • On pourrait sélectionner les joueurs de l'équipe directement au sein des abonnés, terminés les problèmes de liquidités =;
  • takl a écrit, le 2008-07-29 14:06:03 :
    J'imagine les scènes de guerres civiles auxquelles donneraient lieu une AG de Saucissocios de Strasbourg. =P~

    Moi ça me plait pas du tout comme idée, après c'est la foire d'empoigne entre candidats-présidents à celui qui sera le plus populiste. Puis je ne suis pas sur du tout que tu trouverais 40000 personnes prètes à investir 100 euros chaque année dans un titre, quand on a déjà du mal a vendre 7000 abos moins chers.


    Ce fonctionnement de gouvernance aurait l'avantage de faire participer activement les supporters à la vie de leur club leur proposant un regard en interne sur les coulisses de leur équipe ainsi qu'un bulletin de vote , leur permettant d'exprimer leur opinions ce qui pourrait leur permettre de s'identifier à un projet , mise en place d'un staff technique , stabilité d'un entraîneur , campagne de recrutement de joueurs , rénovation des infrastructures . Un président élu democratiquement c'est quand même mieux , qu'une arrivée a la Proisy , si il y'a une baisse de spectateurs il doit y avoir une raison non ?
  • murphy a écrit, le 2008-07-29 14:20:11 :
    Avec un système de socios à Strasbourg, Furlan aurait quand même été nommé (voir les réactions sur le stub pour une ecrasante majorité s'en félicitant malgré une descente avec son club la saison précédent).
    Et si on instauré ce système, dès maintenant Duguépéroux serait entraineur à vie même s'il mettait le club en CFA.


    Furlan aurait peut être été reconduit , la politique de recrutement qui est en place je ne pense pas , je parle pas de l'arrivée de grand nom , juste d'un recrutement digne d'une équipe de Ligue 2 pas d'une équipe de Cfa .
  • Pour moi ce n'est pas aux supporters de déterminer la politique sportive du club =;
    De quel droit serais-je compétent pour recruter un mec plutôt qu'un autre ? De mettre en place un schéma tactique ?
    Il y a des limites a fixer...
    Après pour le choix d'un président, pourquoi pas, mais ca fait très campagne électorale avec toutes les promesses et le bling bling je suis pas fan ...

    Pour ce qui concerne l'apport financier, je vois les choses différemment. Faire entrer les supporters dans le capital du club cela me parait utopique mais juridiquement faisable, mais implique de créer une entité jurirque à part entière, avec des dirigeants du coup. Et on repart avec la campagne et le bling bling ...
  • fremen-bleu a écrit, le 2008-07-29 14:30:07 :
    On pourrait sélectionner les joueurs de l'équipe directement au sein des abonnés, terminés les problèmes de liquidités =;


    Je suis contre le principe de Cmonclub ou les supporters vote pour la composition de leur équipe , par contre des supporters votant pour un projet jtrouve ça pas mal .

    jvous propose cette article que je trouve intéréssant ,

    Démocratiser la gouvernance des clubs professionnels.
    http://www.docteur-es-sport.fr/2007/04/24/democratiser-la-gouvernance-des-clubs-professionnels/
  • kiki85 a écrit, le 2008-07-29 15:40:30 :
    Pour moi ce n'est pas aux supporters de déterminer la politique sportive du club =;
    De quel droit serais-je compétent pour recruter un mec plutôt qu'un autre ? De mettre en place un schéma tactique ?
    Il y a des limites a fixer...
    Après pour le choix d'un président, pourquoi pas, mais ca fait très campagne électorale avec toutes les promesses et le bling bling je suis pas fan ...

    Pour ce qui concerne l'apport financier, je vois les choses différemment. Faire entrer les supporters dans le capital du club cela me parait utopique mais juridiquement faisable, mais implique de créer une entité jurirque à part entière, avec des dirigeants du coup. Et on repart avec la campagne et le bling bling ...



    Je suis d'accord que ce n'est pas aux supporters de prendre les decisions seul sur les politiques du club recrutement ou autre mes de donner un avis cela me semble pas utopique , il ne s'agit pas de bling bling mais de démocratiser la gouvernance d'un club , apres même a barcelone le président Laporta devait faire face a une motion de censure , il reussi a se maintenir mais il prévenu du mécontentement des socios .
  • Démocratiser la gouvernance d'un club, pour moi se limite au choix du président (cf le modèle de la 5ème république par exemple).
    Après quand on valide un président, on valide son projet (s'il a pas menti le bougre :D ), et la je te rejoins sur le fait de donner un avis.

    Après, le systême des socios permet d'élire un président, certes, mais je le considère plus comme un "don" qu'autre chose
    (et en aucun cas une entrée en apports financiers dans le capital du club)
  • Je te rejoint également Kiki85 tes reflections sont pertinante , je reprend l'idée : en france le système socios espagnol n'est pas adaptable , donc il faut trouver une autre manière d'introduire des supporters dans la vie d'un club , pour qu'il puisse exprimé une opinion de manière différente que ce qui éxiste a l'heure actuel , créer un fond d'investissement serait l'idéal par le biais d'une association , maintenant biensur quil y'a des critères a déterminer pour ne pas faire n'importe quoi , l'idée de base restant quand même d'aider le raçing , un don simple peu être une solution , mais je pense vraiment que d'entrer dans le capital d'un club serait un garde fous par rapport aux dérives du football moderne .
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