Jean-Claude Plessis
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racing67400Il était présent au match de l'équipe réserve cet après-midi. -
Pour un président salarié et qui plus est, seul a STRASBOURG, donc ça me semble normal mais c'est quand même important de le souligner et c'est une preuve qu'il est trés investi dans la vie du club, donc un bon point.
C'est surtout important pour tous les salaries du clubs, les joueurs et le staff, d'avoir un interlocuteur au quotidien...
Depuis le début de la saison, c'était devenu trés rare. -
Pour la réserve, la situation est plus que critique alors qu'en L2 le salut devrait venir de là pour un club comme le nôtre. Normal qu'il se préoccupe donc de son sort.
Mais sinon pour le moment, hormis quelques reculades imposées, pas grand'chose à redire sur Plessis. -
Jean-Claude Plessis, le Racing Club de Strasbourg est très instable (ndlr : cinq présidents se sont succédés) depuis le début de la saison. Pourquoi avez-vous accepté ce challenge qui s'annonce difficile ?
Parce que tout d'abord, j'étais en stand-by depuis quinze mois. J'ai décidé d'arrêter et puis le terrain me manquait. Je continuais à rencontrer des présidents et j'allais voir des matchs. Quand cette proposition est arrivée, j'ai bien discuté avec les nouveaux propriétaires et il n'y a pas eu trop d'hésitation de ma part. Si on a fait appel à moi, c'est qu'ils pensaient que j'étais capable de résoudre certains problèmes et qu'avec mon expérience, je pouvais être l'homme de la situation. Je suis heureux ici et je m'éclate. C'est reparti pour moi.
Quels ont été les arguments qui ont fait pencher la balance du bon côté ?
Le nom de Strasbourg. C'est une grande ville, une capitale européenne et le Racing est un ancien grand club. Le RCS doit remonter en Ligue 1 et ce challenge m'intéresse. Le football, les joueurs, les matchs et même les journalistes (rires) me manquaient. Je faisais un peu de radio en tant que consultant sur RTL mais j'avais envie de redevenir acteur. Strasbourg, c'était la bonne opportunité.
Strasbourg est actuellement quinzième à cinq points de Guingamp, le premier relégable. Ce classement vous fait-il peur ?
Non, pas du tout. Si le Racing avait été troisième de Ligue 1, on ne m'aurait pas appelé. Donc il faut faire le maximum pour donner toutes les chances au RCS de repartir vers l'avant. Tout n'est pas si morose ici. Strasbourg est un club qui vit. Il faut redonner confiance à tout le monde.
« L'an prochain, il faudra rebâtir une équipe pour remonter en L1 »
Depuis votre arrivée officielle il y a une semaine, quelles sont vos premières impressions sur l'ambiance qui règne dans le club ?
Elle est bonne. Le centre de formation marche bien. Alors effectivement, il faut rassurer les gens parce que c'est plus difficile après toutes les péripéties qu'il y a eues à la tête du Racing. Il est important de redonner confiance aux salariés, aux joueurs qui ont eu une préparation et un début de saison ratée, aux supporters, aux collectivités locales et à la DNCG (rires). Je pense que tout va rentrer dans l'ordre.
Vous évoquez la DNCG : le budget du Racing Club de Strasbourg sera-t-il limité la saison prochaine ?
Non. Il sera à peu près de 13 M€ et c'est un beau budget pour espérer monter en Ligue 1.
Avez-vous une recette pour maintenir le club en Ligue 2 cette saison ? Puis pour monter en Ligue 1 dans le futur ?
Je n'ai pas de recette spécifique. Le club a encore cinq points d'avance sur le premier relégable. Il faut prendre six points et je pense qu'on a les moyens de le faire lors des huit derniers matchs. Pour l'année prochaine, il faudra rebâtir une équipe et tout simplement faire le métier. On fera tout pour retrouver la L1. Après, cette mission n'est jamais garantie : regardez Le Havre et Metz cette saison.
« Je compte sur Pascal Janin pour reprendre l'équipe l'année prochaine »
Quelles sont vos relations avec les joueurs ?
Tout se passe très bien. Ça les rassure d'avoir quelqu'un à qui parler et qui connaît le métier. Je les vois très souvent. Je n'ai pas forcément besoin de relais dans le vestiaire car j'ai l'expérience pour savoir ce qui va et ce qui ne va pas.
Avez-vous confirmé Pascal Janin à son poste jusqu'à la fin de la saison ?
Non seulement je le confirme jusqu'à la fin de la saison mais je compte sur lui pour reprendre l'équipe l'année prochaine. Il a maintenu l'équipe dans les moments difficiles. Il a encore une année de contrat et je n'ai pas de raison le changer. Même si ce n'est pas les candidatures qui manquent.
Nicolas Fauvergue, prêté cette saison par le LOSC et auteur de onze buts, s'est illustré avec le Racing Club de Strasbourg. Souhaitez-vous le conserver la saison prochaine ?
Nous allons en discuter avec l'entraîneur dans les jours qui viennent. Après, qui ne voudrait pas garder Nicolas Fauvergue dans son groupe ? Je ferais le maximum pour le conserver. Mais il faut encore qu'il soit d'accord. Je compte sur lui pour marquer d'autres buts jusqu'à la fin de la saison pour sauver le club de la relégation.
Mercato 365 -
Rien de bien nouveau dans cette interview sinon qu'on se rend compte que ce genre de prises de paroles quotidiennes et banales de la part d'un président manquaient terriblement avant et donnent quand même quelques pistes sur la façon dont il entend gérer le club. Ca fait du bien et en plus ça ne coutait pas cher de s'exprimer ainsi.
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Ligue 2 : à Strasbourg, "ce n'est pas de l'argent louche", assure Plessis
STRASBOURG "Je me suis renseigné, ce n'est pas de l'argent louche", répond le nouveau président de Strasbourg Jean-Claude Plessis à ceux qui émettent des doutes sur les fonds des actionnaires du club alsacien, dans un entretien accordé à l'AFP.
Q: Que venez-vous faire dans la galère RC Strasbourg. Le football vous manquait-il tant ?
R: "Il me manquait un peu. J'en avais parlé à Frédéric Thiriez (président de la LFP) il y a un mois car il voulait me remettre dans le foot. J'avais dit qu'un poste de président-salarié pouvait m'intéresser. Je pensais à Nantes et à Strasbourg".
Q: Et quinze jours plus tard, vous débarquez à Strasbourg...
R: "C'est un hasard ! Il n'y a aucun lien entre Thiriez et les actionnaires strasbourgeois. J'ai appelé Thiriez et j'ai pu constater qu'il n'était pas enchanté. A tort. Je pense que les arguments donnés, à savoir que l'argent de mes patrons est louche, sont faux. Je me suis renseigné. Ce n'est pas de l'argent louche. Il a été gagné à Londres, dans le cadre de la bourse et des banques".
Q: Opposition de la LFP, de la mairie, de candidats repreneurs locaux: le climat n'est-il pas malsain ?
R: "La guerre s'arrêtera si la DNCG accepte notre budget. La mairie, c'est pareil. Elle attend pour voir. Mais on fera la paix. Les actionnaires ont été très maladroits avec le maire. Ce sont des jeunes impulsifs. Ils le reconnaissent eux-mêmes. Et ont changé".
Q: Et les candidats alsaciens ?
R "Ca fait 30 ans qu'il y a le +souk+ à Strasbourg, hormis la période Roland Weller. Le club était à vendre depuis six mois. Plein de gens se réveillent maintenant et disent: +Si on avait su...+. Mais si les actionnaires n'étaient pas venus, le Racing aurait pu être interdit de recrutement puis menacé d'exclusion du Championnat".
Q: Avec un budget de 13 à 15 millions d'euros, le RCS a-t-il les moyens de remonter ?
R: "Tu dois pouvoir monter avec 15 ME. C'est le budget de Brest ou de Metz. Strasbourg, c'est un vrai club de L1. C'est peut-être là le problème. Le club coûte cher en structures. La question est: comment réduire le budget. J'ai quelques idées. Comme faire venir un nouveau partenaire. Mais il n'y aura pas de plan social".
Q: Et donc pas de séparation avec l'entraîneur Pascal Janin ?
R: "Il y a un entraîneur que j'ai vu travailler. On est en phase. Je ne vois pas pourquoi je changerai".
Q: Avec 17 joueurs en fin de contrat sur 30, ne vous faudra-t-il pas tout bouleverser ?
R: "Si cette équipe-là n'avait pas raté ses sept premiers matches et gagné deux ou trois fois, elle jouerait la montée aujourd'hui. L'entraîneur de cette époque, que je ne veux pas citer (Gilbert Gress), c'était de l'assassinat ! J'ai de l'admiration pour lui, seulement sa méthode n'était plus la bonne. Il y a des jeunes qui arrivent. Ils ne forment pas une génération extraordinaire mais ils ont de la qualité. Et il nous faudra cinq ou six joueurs, des briscards, en renfort".
Q: Quel est l'objectif pour Strasbourg ?
R: "L'objectif est de remonter tout de suite mais il faut arrêter de se raconter des craques. Personne n'est certain de monter. Je préfère donc y aller prudemment avec des jeunes joueurs plutôt que de refaire toute l'équipe et charger la mule. Si nous montons, j'ai l'intention d'y rester. J'ai signé un CDI et j'ai donné un engagement moral de cinq ans. L'objectif des actionnaires, c'est dans ces cinq ans de positionner le club à la même place que la ville en terme économique, c'est à dire au septième rang".
(Source : AFP)
5 ans pour être 7ème de L1... remarque s'il y a 5 ans on avait dit à Montpellier qu'il seraient en course pour le titre...
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On verra où sera Montpellier l'année prochaine (ou même déja à la fin de la saison). Sur une saison beaucoup de choses sont possibles !
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Au fait cela n'avait frappé personne que Fontenla et Plessis sont tout les 2 Tourangeots de naissance :)
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Si, moi. O:)
deadwing a écrit, le 2010-03-24 21:58:37 : Par contre, personne n'a fait le lien, mais Plessis et Fontenla sont tout les 2 tourangeaux. Alors, quand est-ce qu'on apprendra que Plessis est le grand oncle de Fonfon ? :p -
Depuis que Fontenla a nommé Plessis, on ne le voit plus...
....Et si Fontenla et Plessis ne faisait que 1, si c'était la même personne :p
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Je n'ai qu'une semaine et demi de retard
Je pense que Plessis est en fait le père de Fontenla. Ce dernier a été abandonné à la naissance - pour des raisons évidentes - et après avoir fait fortune à la city grâce à son ami d'enfance Chris Cross Cornélie, il retrouve son père et rachète le Racing pour renouer les liens ... Le racing c'est une histoire de famille.
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:p (+)
Quel histoire magnifique...Mais comment t'explique que Dayan et Fournier était là avant? -
C'était pour détourner les attentions du but premier, tu n'as encore rien compris.
:D
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:)) :)) (+) Et la suite vous pouvez me la dire? :D
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mouloungoal a écrit, le 2010-04-06 17:27:00 : Q: Avec un budget de 13 à 15 millions d'euros, le RCS a-t-il les moyens de remonter ?
R: "Tu dois pouvoir monter avec 15 ME. C'est le budget de Brest ou de Metz. Strasbourg, c'est un vrai club de L1. C'est peut-être là le problème. Le club coûte cher en structures. La question est: comment réduire le budget. J'ai quelques idées. Comme faire venir un nouveau partenaire. Mais il n'y aura pas de plan social".
(Source : AFP)
Réduire le budget en faisant venir des investisseurs. Il a un petit problème à exprimer son idée le Plessis pour le coup :p -
Un partenaire qui peut "offrir" des éléments qui sont déjà inscrits au budget et qui auraient eu un coût, échange d'une visibilité. Une idée de quel secteur il peut s'agir ? Transport des joueurs ? Naming du stade ?
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cohade1 a écrit, le 2010-04-06 18:02:42 : :)) :)) (+) Et la suite vous pouvez me la dire? :D
Le Père par son aura attire les lumières sur lui. Le fils vexé et touché dans son égo et le tue (professionellement) ; le Racing est en crise ... bis répétita ... -
mouloungoal a écrit, le 2010-04-06 17:27:00 :
Q: Avec 17 joueurs en fin de contrat sur 30, ne vous faudra-t-il pas tout bouleverser ?
R: "Si cette équipe-là n'avait pas raté ses sept premiers matches et gagné deux ou trois fois, elle jouerait la montée aujourd'hui. L'entraîneur de cette époque, que je ne veux pas citer (Gilbert Gress), c'était de l'assassinat ! J'ai de l'admiration pour lui, seulement sa méthode n'était plus la bonne. Il y a des jeunes qui arrivent. Ils ne forment pas une génération extraordinaire mais ils ont de la qualité. Et il nous faudra cinq ou six joueurs, des briscards, en renfort".
Q: Quel est l'objectif pour Strasbourg ?
R: "L'objectif est de remonter tout de suite mais il faut arrêter de se raconter des craques. Personne n'est certain de monter. Je préfère donc y aller prudemment avec des jeunes joueurs plutôt que de refaire toute l'équipe et charger la mule. Si nous montons, j'ai l'intention d'y rester. J'ai signé un CDI et j'ai donné un engagement moral de cinq ans. L'objectif des actionnaires, c'est dans ces cinq ans de positionner le club à la même place que la ville en terme économique, c'est à dire au septième rang".
Ça ressemble presque à un projet sportif ça, non ? -
Non, ça ressemble surtout à une déclaration d'intentions. Certes un peu plus réaliste que les précédentes.
Je note que Plessis a promis qu'il réduirait les dépenses sans plan social. On va voir comment il s'y prend. J'ai comme un doute. -
Une façon très simple de réduire une partie des coûts seraient déjà de revenir à une situation avec la Mairie et la CUS normale vis-à-vis de ce qui se fait ailleurs : Loyer normal et reprise d'une partie de l'entretien par la Mairie / CUS pour revenir à la situation d'avant IMG. On doit pouvoir économiser 500k€ / 1M€ sans que cela soit scandaleux pour les non-footeux. Pour le reste il faudrait voir la liste des joueurs en fin de contrat notamment, pour voir lesquelles seront prolongés, et sur quelle base sera faite l'équipe de la saison prochaine.
A coté, ce sera à Plessis de se démerder. :p -
Et dire qu'il a fallu que ce soit GINESTET qui en parle de la réduction des charges municipales ! Il aurait peut être pu essayer avant, non ?
Possible aussi que PLESSIS va lui demander conseil pour larguer les boulets qu'il nous a laissé ? :D -
Citation: Q: Et les candidats alsaciens ?
R "Ca fait 30 ans qu'il y a le +souk+ à Strasbourg, hormis la période Roland Weller. Le club était à vendre depuis six mois. Plein de gens se réveillent maintenant et disent: +Si on avait su...+. Mais si les actionnaires n'étaient pas venus, le Racing aurait pu être interdit de recrutement puis menacé d'exclusion du Championnat".
Euh... C'est donc grâce à l'arrivée de Fontenla que le racing a échappé à l'expulsion du Championnat et au recrutement contrôlé ? J'ai l'impression que Plessis a très vite compris la méthode Fontenla de "l'hôpital qui se fout de la charité". Une chose m'a toujours surpris avec Plessis, c'est son ignorance partielle de ce qui s'est passé au racing avant son arrivée. J'ai l'impression qu'il n'a suivit ça qu'à partir du moment où il avait été contacté. A sa décharge, la Dépêche du Midi n'a certainement pas du faire ses gros titres sur le racing. -
Et Roland WELLER pas sûr qu'il revienne un jour.
Il a tellement la rage d'avoir été évincé par Mc CORMACK. Injustement, selon son livre Mes 4 vérités.
A moins que PLESSIS ne parvienne à le convaincre de devenir partenaire. Ce sera difficile, je pense, car il n'aime pas partager le pouvoir. -
polak a écrit, le 2010-04-06 23:00:42 : Citation: Q: Et les candidats alsaciens ?
R "Ca fait 30 ans qu'il y a le +souk+ à Strasbourg, hormis la période Roland Weller. Le club était à vendre depuis six mois. Plein de gens se réveillent maintenant et disent: +Si on avait su...+. Mais si les actionnaires n'étaient pas venus, le Racing aurait pu être interdit de recrutement puis menacé d'exclusion du Championnat".
Euh... C'est donc grâce à l'arrivée de Fontenla que le racing a échappé à l'expulsion du Championnat et au recrutement contrôlé ? J'ai l'impression que Plessis a très vite compris la méthode Fontenla de "l'hôpital qui se fout de la charité". Une chose m'a toujours surpris avec Plessis, c'est son ignorance partielle de ce qui s'est passé au racing avant son arrivée. J'ai l'impression qu'il n'a suivit ça qu'à partir du moment où il avait été contacté. A sa décharge, la Dépêche du Midi n'a certainement pas du faire ses gros titres sur le racing.
Ouais j'ai comme l'impression qu'il s'emmêle un peu les pinceaux le père Plessis... Ou alors il arrange la réalité à sa sauce pour arrondir les angles des conneries de la Fontenla team. Car c'est bien sous Fonfon que l'on a été placé sous recrutement contrôlé et qu'a plané la menace d'exclusion... alors certes, on peut toujours tomber plus bas mais de là à présenter les actionnaires actuels comme des sauveurs
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Plessis fait ce qui n'a pas été fait depuis depuis Décembre. Il fait de la com, quitte à en faire parfois trop. On dira que ça semble être son style :)
Pour le reste il bosse. C'est bien mais cela ne suffira sûrement pas. J'espère qu'il mesure l'ampleur de la tâche pour "sauver" le Racing.
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