Jean-Claude Plessis
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guiguesCitation: appel surréaliste du Tire-Bouchon, qui nous a obligé à choisir à contrecoeur un président sympathique mais complètement « has been » (ndlr : Jean-Claude Plessis) qui a fait le choix de garder Pascal Janin et qui a composé l'essentiel de l'équipe de la première partie de saison.
Le maitre de la décision.
Plessis je lui en veux tout de même. Si il avait été moins orgueilleux et moins à l'affût d'un poste surpayé, Hilali n'aurait pu bénéficier de la caution Plessis et continuer son travail de sape. Cela plus sa préparation limite de la saison de nationale + Janin, cela fait beaucoup et beaucoup trop cher. -
« Je trouve ça indigne »
Lors de son départ à l'amiable fin octobre, l'ancien président Jean-Claude Plessis avait conclu un pacte de non-agression avec Jafar Hilali. Mais en quelques jours, ce dernier l'a traité de « has been », puis « d'erreur ».
Jean-Claude Plessis n'a longtemps rien dit, mais il n'en pense pas moins. Spectateur attentif et privilégié avant-hier d'Arles-Avignon - Sochaux, l'éphémère président du Racing (de fin mars à fin octobre 2010) a pris connaissance avec une certaine stupéfaction des déclarations de son successeur Jafar Hilali à son encontre. Il y a quelques semaines, l'homme d'affaires londonien avait traité l'ex-patron du FC Sochaux de « has been. » Avant-hier, il en a remis une couche sur « France Bleu Alsace » en le qualifiant « d'erreur. » Hilali a ainsi transgressé le pacte de non-agression que les deux hommes avaient signé lors du départ négocié de Plessis à l'automne et dont ce dernier ne s'est jamais écarté.
De fait, l'ancien cadre de Peugeot a choisi de sortir de sa réserve, même s'il s'efforce de rester mesuré : « Je n'ai pas envie de me mettre à son niveau, ni d'entrer dans la polémique, mais il me semble qu'en sept mois de présence à Strasbourg, j'ai vu suffisamment de choses pour pouvoir montrer qui il est si le besoin s'en fait sentir. Durant toute la période où j'ai été avec lui, j'ai été honnête et fidèle. Sa charge contre moi ne me traumatise pas. Elle m'emmerde. Parce qu'indépendamment de ce qu'il dit à mon sujet, son interview est délirante. Il se retrouve seul. Comment peut-il encore exercer ses fonctions dans ces conditions ? »
« Il se prend pour de Gaulle. Le courage en moins »
De Toulouse où il est retourné en retraite, mais aussi de Paris où il intervient régulièrement à la radio et la télévision, J.-C. Plessis suit attristé la chronique de la mort annoncée du Racing. « Quand je vois ce qui se passe, je dis - alors que j'étais pourtant contre lorsque j'étais à la Ligue - qu'il faut renforcer la licence de l'association pour éviter qu'un marchand de meubles ne vende le mobilier. Il va falloir des années pour que les gens reprennent confiance en ce club. Ce qui se passe me désespère. Qui va bien pouvoir investir pour réparer l'immensité des dégâts ? Je ne vois pas d'autre issue que le dépôt de bilan. Quand j'entends Hilali s'en prendre à Laurent Fournier, qui s'en est admirablement tiré, ou attaquer l'UNFP (Union Nationale des Footballeurs Professionnels), je trouve ça indigne. Il est terré à Londres. Il se prend pour de Gaulle. Le courage en moins. »
L'Alsace -
« Il se prend pour de Gaulle. Le courage en moins »
C'est bien JC, t'as enfin compris (+) -
Perso j'aurais dit : le courage, l'intelligence, la prestence, le charisme et la fidélité en moins.
Là déjà la description est un peu plus proche de la réalité... :-B -
La taille, la claivoyance, l'honneté ?
Bref -
Il est exact que J-C Plessis avait conclu un pact de non agression avec Hilali. Lors d'une conversation que j'ai eu avec lui il m'avait expliqué que c'est pour cette raison il n'a pas répondu quand le londonien l'a traité de "has been".
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Tiens, c'est marrant que Plessis le compare à De Gaulle, car en révisant pour le Bac, une phrase des mémoires du Général de Gaulle m'a immédiatement fait pensé à Hilali, De Gaulle, en parlant d'Hitler ( je n'associe pas Hitler à Hilali que ce soit clair, c'est juste la citation qui colle bien avec le contexte du club) : « Mais, sans doute, le Führer voulait-il que son oeuvre, puisqu'elle était condamnée, s'écroulât dans une apocalypse » ... Ca se passe de commentaire tant c'est explicite.
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