Jean-Claude Plessis
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athorIdem. S'ils étaient vraiment malhonnêtes, ils auraient tout fait pour que tout soit normal en façade. -
Fontenla est un âne, Hilali un mégalo, mais Plessis n'est pas né de la dernière pluie, il est juste venu profiter de l'argent des deux benêts.
Un président salarié qui vit à plus de 1000 bornes, c'est du jamais vu, il a très vite compris que c'était pas la peine de déménager... -
qui nous dit qu'ils ne sont pas nuls et malhonnêtes?
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Un profiteur assurément, un menteur certainement, un escroc je ne pense pas.
Mais quoi qu'il en soit, c'est problement celui qui a le mieux tiré son épingle du jeu de cette débâcle générale. (+) -
Il a servi de faire valoir et l'a monneyé cher... Il a quand même reussit à mener pas mal de monde en bateau. En avait-il quelque chose à cirer du devenir du racing???? Certainement moins que le devenir de son portefeuille..
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Ceux qui encensaient Plessis doivent aujourd'hui déchanter. "Plessis est un bon président" - "Plessis est un homme compétent" etc... Dès son arrivée j'avais dit que Plessis brasse beaucoup de vent, qu'il est fort en g.....quant à ses compétences elles restent à prouver. D'autres intervenants ont su juger le personnage dès le départ notamment -strohteam le 27/03/09 et -changui le 29/03.
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zero-zero a écrit, le 2010-09-01 17:13:06 : Depuis que "l'affaire Courbis" a été confirmée, ce mec n'a plus rien à faire au club pour moi.
Comment un président un tant soit peu compétent, honnête et grande gueule (comme il aime à nous le faire croire) peut-il cautionner qu'un homme extérieur au club compose l'équipe à la place de l'entraîneur sur demande des actionnaires ?!
Raus !
Rien à ajouter, cette opinion, je pense exactement la même chose. -
Plessis n'est ni un génie, ni un voyou. C'est juste un président sans pouvoir, sans projet et sans argent qui a sans doute cru qu'avec quelques signes positifs (départs de Bah et Othon) il réussirait grâce à son entregent à obtenir un peu de clémence de la DNCG.
Il s'est trompé, et je suis convaincu qu'à cette heure nos chers actionnaires et le président Plessis n'ont pas de plan B. Le Racing est géré heure par heure par des incompétents qui visiblement sont des adeptes de la méthode Coué. -
Je ne sais pas trop quoi penser de Plessis. J'étais pour son arrivée. Quand je lis son interview où il dit que la plupart de son temps est consacré à essayer d'éviter que l'actionnaire principal fasse des connerie, je me dis qu'il n'y peut pas grand chose dans ce qui arrive au Racing, qu'il n'a pas grand chose à dire puisque Cornélie rôde dans les parages et qu'il ne peut pas faire grands choses si Hilali et Fontenla sont cons. Mais d'un autre côté, je me dis aussi qu'il ne pouvait pas, ne pas être au courant de ce qui se tramait avec la DNCG. Autant, j'ai une opinion assez tranchée sur les autres acteurs de ce fiasco, autant lui, je me pose des questions.
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bofbof2004 a écrit, le 2010-09-01 22:08:43 : strohteam a écrit, le 2010-09-01 17:07:57 : Démission.
Tout est dit. (+) -
Démission.
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(+) Démission
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Je vous rejoint, Plessis démission !
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démission
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Je le sentais bien que c'était une trompette ce mec...
Pfff il n' aaucun pouvoir et a continué de croire q'avec sans grande gueule il peut engager 8 joueurs, faire zéro licensiement et passer en force à la DNCG. Pas de bol Jean Paul, mais là c'est le Racing qui trinque. Putain je suis dégouté. Je me demande comment il était aprécié chez Peugeot tiens... Le genre de patron à dire que tout va bien à tout le mionde pour cacher la misère. -
Ben ouais, c'est pile le genre de patron parfait pour une boite de moutons comme peugeot...
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Jean-Clause soit raisonnable, rend les clés (que tu n'as jamais vraiment eu) et casse-toi, à moins que cette situation ne te convienne, tu as Plessis tout ce bordel?!
*ce jeu de mot est volontaire de la part de l'auteur...désolé..
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La porte !
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Moral en berne
Depuis son arrivée à Strasbourg fin mars, Jean-Claude Plessis s'est agité en tous sens pour essayer de remettre de l'ordre au Racing. Mais dans l'opinion publique alsacienne, il apparaît désormais comme l'homme des déclarations sans lendemain et des promesses non tenues. Dès sa première conférence de presse, il annonçait péremptoire : « Aucun de nos quatre jeunes ne partira cet été. » Résultat : Magaye Gueye et Mamadou Bah ont été vendus à Everton et Stuttgart ; Jean-Alain Fanchone et Quentin Othon, prêtés à Arles-Avignon et Châteauroux.
Mi-mai, malgré la relégation en National, il assurait tout aussi catégorique : « Il n'y aura pas de licenciement. » Sept salariés ont pourtant été reçus lundi et mardi en entretien préalable à un licenciement économique. Les deux derniers le seront ce mardi.
Enfin, il répétait ce week-end encore que les joueurs en attente d'homologation de leurs contrats seraient tous qualifiés. Conscient que sa crédibilité est écornée à Strasbourg, il avouait hier en soirée « n'avoir pas le moral. » Sept Bleus (les cinq évoqués ci-contre, plus Eric Nyatchou Ndema, stagiaire toujours pas qualifié, et Bill Tchato, qui n'a pas signé) ne l'ont pas non plus.
Jean-Claude Plessis, dans quel état d'esprit êtes-vous ?
Je ne m'attendais pas à cette issue. Je suis déçu. La DNCG n'a fait preuve d'aucune tolérance. Le pire, c'est que nous n'avons pas toujours reçu de courrier officiel.
Avez-vous prévenu les joueurs ?
Nous les réunirons ce jeudi matin pour leur expliquer la situation.
Officiellement, ils sont sans club, non ?
Oui, ils sont libres. Ils vont être déclarés chômeurs. Mais avec notre appel devant le CNOSF, j'espère que certains contrats seront réexaminés.
Avec 13 pros valides, l'objectif de l'accession est-il toujours raisonnable ?
Il va falloir qu'on se démerde. De toute façon, nous avons décidé de miser sur la formation. C'est un choix. Nous allons puiser chez les jeunes et tout faire pour être dans les cinq premiers à la trêve.
Vous étiez catégorique sur la qualification des joueurs. Pourtant, aucun contrat n'a été validé...
Je m'en veux. Je vais porter le chapeau, c'est sûr. La presse va m'assassiner. Les joueurs vont m'en vouloir. Mais je suis le président et je l'accepte.
L'Alsace -
C'est bien de savoir qu'il va porter le chapeau de tous ses fiascos, c'est bien de savoir que la presse ne va pas lui faire de cadeau, ce serait encore mieux d'en assurer vraiment toute la responsabilité et de se barrer !!! Monsieur Plessis n'a plus AUCUNE CREDIBILITE.
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heureusement qu'il va porter le chapeau, toutefois pas un moment il ne parle de démissioner, la place doit etre bonne , et je pense qu'il ne doit pas s'appliquer le salaire minimum. Il est quand meme dingue qu'en National on ai un président délégué que l'on rémunère.............meme Aulas ne prend pas un rond,pas plus que Triaud et une grosse majorité de la L1............à Strasbourg oui...chercher l'erreur.
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Faut qu'il parte car il raconte n'importe quoi pour paraitre le gentil garçon . Il est venu à Strasbourg juste pour re être dans le foot, le reste , comme le club, il s'en tape .
Il n'est pas le seul responsable . Situation désastreuse du club , les actionnaires qui ne veulent pas trop payer , un autre président , je pense , n'aurait pas fait beaucoup mieux, faut pas rêver .
Faut pas penser qu'avec Fournier , the other , cela aurait été mieux .
Je le redis , le club est en faillite , les dirigeants , anciens et actuels, sont incompétents .Il aurait fallu injecter au minimum 5 millions , de plus , mais comme ils n'ont pas d'argent à perdre . -
Quand un dirigeant d'entreprise échoue d'une manière aussi flagrante, il n'a qu'une issue, la démission.
Pris entre actionnaire et pouvoir sportif, il n'a été qu'un fétu de paille dans la tempête, sans aucune influence sur le cours des choses. Il n'a effectivement plus aucune crédibilité. Il était sans doute sincère, tout n'est sans doute pas de sa faute, mais son incapacité à peser sur les événements en fait une marionnette inutile. -
10 000 € par mois, c'est vraiment le clown triste le plus cher du monde.
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