Les employés du Racing (les vrais)
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mediasocL'activité est sûrement réduite à cause de la relégation, mais y a rien de neuf dans la boutique depuis 6 mois. On attend les nouveaux maillots. Le chiffre d'affaire s'écroule de lui-même.
Un club pro sans boutique, ça fait tache. -
guigues a écrit, le 2010-08-24 11:42:09 : Je trouve ça assez dommage autant pour Arnaud qui, rencontré à planète Racing ou à la boutique, était réellement investi dans son boulot (c'est lui qui gérait les écharpes, gadgets, etc ...) autant pour que pour le Racing.
Surtout que dans quelques temps on verra débarquer un pote à Hilali au marketing, qui gèrera ça depuis Londres et qui nous fournira des Peluches Alain Fontenla
Tout à fait Guigues, pourquoi enlever un mec qui faisait bien son travail et qui avait cette fibre Racing ???
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mediasoc a écrit, le 2010-08-24 13:53:14 : L'activité est sûrement réduite à cause de la relégation, mais y a rien de neuf dans la boutique depuis 6 mois. On attend les nouveaux maillots. Le chiffre d'affaire s'écroule de lui-même.
Un club pro sans boutique, ça fait tache.
Oui elle est réduite parce qu'Arnaud ne pouvait plus commander, je pense que plus haut ils savaient déjà ce qu'ils voulaient faire de la boutique très certainement
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mediasoc a écrit, le 2010-08-24 13:53:14 : L'activité est sûrement réduite à cause de la relégation, mais y a rien de neuf dans la boutique depuis 6 mois. On attend les nouveaux maillots. Le chiffre d'affaire s'écroule de lui-même.
Un club pro sans boutique, ça fait tache.
Une boutique sans club pro, tout autant
Citation: Tout à fait Guigues, pourquoi enlever un mec qui faisait bien son travail et qui avait cette fibre Racing ???
Il faut licencier 9 personnes, on peut supposer que dans les services commerciaux/marketing du Racing on n'a pas 9 personnes qui font mal leur travail et/ou qui n'aiment pas le Racing.
(enfin j'espère)
C'est un licenciement économique, pas pour faute. -
Tout bon avocat n'aura pas trop de difficultés à démontrer que le caractère économique du licenciement est totalement infondé
Les comptes 2009/2010 ont été validés par la DNCG. C'est donc qu'ils n'étaient pas, ou pas trop déficitaires -
Oui, je ne parlais pas de la nature juridique du licenciement, mais de sa cause. Si on n'a besoin de licencier, c'est qu'on n'a pas de pognon, et qu'on ne peut pas se permettre, à court/moyen terme (saisons à venir) de telles structures.
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En fait si l'actionnaire est obligé de mettre de l'argent au bout c'est que les comptes sont déficitaires.
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knekbull a écrit, le 2010-08-24 14:50:08 : Tout bon avocat n'aura pas trop de difficultés à démontrer que le caractère économique du licenciement est totalement infondé
Les comptes 2009/2010 ont été validés par la DNCG. C'est donc qu'ils n'étaient pas, ou pas trop déficitaires
Selon ton raisonnement, il faut forcément déposer le bilan pour effectuer un licenciement économique, ce qui est complètement faux.
Rien que la relégation en National avec la baisse des droits TV et de l'affluence est déjà une raison largement suffisante pour effectuer ces licenciements. -
pour la boutique on peut tjs mettre des bénévoles retraités , etc...à la place
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ça me rappelle quelque chose ça ...
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greg a écrit, le 2010-08-24 15:51:31 : knekbull a écrit, le 2010-08-24 14:50:08 : Tout bon avocat n'aura pas trop de difficultés à démontrer que le caractère économique du licenciement est totalement infondé
Les comptes 2009/2010 ont été validés par la DNCG. C'est donc qu'ils n'étaient pas, ou pas trop déficitaires
Selon ton raisonnement, il faut forcément déposer le bilan pour effectuer un licenciement économique, ce qui est complètement faux.
Rien que la relégation en National avec la baisse des droits TV et de l'affluence est déjà une raison largement suffisante pour effectuer ces licenciements.
non pas du tout
beaucoup de salariés ont gagné contre leur employeur aux prud'hommes suite à ce genre de licenciements économiques
ce n'est pas parce que tu perds 50, 75% de tes recettes que cela justifie un licenciement économique -
En même temps les Prud'hommes, n'est pas une source très fiable quant à la santé d'une entreprise. Ils jugent très souvent en faveur de l'employé ...
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De retour de vacances, je suis allé chercher hier mon abonnement à la billetterie du club.
Naïvement persuadé que les femmes qui y sont employées je pense que tout habitué du Racing vois qui elles sont n'étaient pas concernées, par la vague de licenciement en raison de leur ancienneté et de leur utilité, je dis à mon interlocutrice avoir appris que personnes allaient être congédiées et ajoute une phrase du genre « j'imagine que vous n'êtes bien sûr pas concernée ».
Sa réponse : « si j'ai reçu ma lettre de licenciement et ma collègue également ».
Je reste stupéfait et embarrassé... je lui indique que je suis désolé et lui souhaite bon courage.
J'ai pensé aux responsables de cette situation qui pour la plupart ne sont plus là. Ceux qui ont la géré le club (une personne ne particulier...) et aux joueurs qui n'ont dans certain match pas tout donné (je pense à personne en particulier...) ; si j'étais eux j'aurais du mal à croiser leur regards. -
a part licencier, remettre en cause des contrats et expliquer que la flotte de voitures louées par le club est trop importante sic, ils n'ont pas prouvé grand chose nos amis londonniens.
La vérité dans le foot n'étant que celle du terrain, on verra bien leur niveau de compétence en fin de saison
Je suis juste triste pour ces 9 salariés qui sont victimes de la nullité de l'équipe 2009/2010 et des dirigeants du club qui l'ont fait descendre en national
Beaucoup se sont servis grassement (Dayan et autres frais refacturés au club alors que pas prévu initialement), eux ont trinqué, c'est injuste ! -
Ouai les licenciements sont malheureusement logiques dans la situation du club et les groupes facebook et compagnie vont servir à rien, c'est la triste réalité de la vie qui touche pas mal de personnes et là pas de bol ca tombe sur eux.
Mais ce qui est effectivement dur à accepter, c'est de se dire que ce sont des joueurs et dirigeants surpayés qui ont échoué et qui ont provoqué le licenciement de ces personnes... sans oublier que ceux là n'ont aucun problème pour trouver un autre club ! -
je comprends tout a ft le desarroi vis a vis du sort de ces personnes.
neanmoins si le racing ne parvient pas a remonter immediatement, on ne parle pas de 9 licenciements, mais de beaucoup plus...
malheureusement on dira, il y a 3 clubs qui descendent chaque annee de ligue 1 et ligue 2, et traditionnellement la descente saccompagne souvent de ce genre dannonce. -
Il est vrai que les structures en National sont moins importantes que celles d'un club de L2 ou L1. Toutefois est-il nécessaire d'avoir un président salarié?. Je ne pense pas qu'il y a beaucoup de clubs en National qui peuvent se permettre ce luxe. A Colmar ce n'est ni le cas pour le président, ni le vice-président et ils ont autant de responsabilité que Plessis. Le salaire de Plessis équivaut quasiment à la totalité des rémunérations des personnes licenciées : 20 000 (si ce chiffre est exact) /9 = 2 220€. Cela m'étonnerait fort qu'elles gagnaient beaucoup plus.
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knekbull a écrit, le 2010-08-24 16:24:28 : greg a écrit, le 2010-08-24 15:51:31 : knekbull a écrit, le 2010-08-24 14:50:08 : Tout bon avocat n'aura pas trop de difficultés à démontrer que le caractère économique du licenciement est totalement infondé
Les comptes 2009/2010 ont été validés par la DNCG. C'est donc qu'ils n'étaient pas, ou pas trop déficitaires
Selon ton raisonnement, il faut forcément déposer le bilan pour effectuer un licenciement économique, ce qui est complètement faux.
Rien que la relégation en National avec la baisse des droits TV et de l'affluence est déjà une raison largement suffisante pour effectuer ces licenciements.
non pas du tout
beaucoup de salariés ont gagné contre leur employeur aux prud'hommes suite à ce genre de licenciements économiques
ce n'est pas parce que tu perds 50, 75% de tes recettes que cela justifie un licenciement économique
Mode blasée on
Parfois je sais pourquoi j'ai des périodes où je me connecte moins...
Mode blasée off.
Peux tu nous parler de ta jurisprudence de "tout bon avocat" ?
Il y a une différence entre une baisse significative du chiffre d'affaires et une réorganisation décidée pour sauvegarder la compétitivité de l'entreprise ou du secteur d'activité du groupe auquel elle appartient (art. L 1233-3 du c. du travail) ou plus largement que les difficultés économiques prévisibles dont se prévaut l'employeyr sont réelles et sérieuses (sans rebasculer dans le licenciement pour motif personnel).
Un juriste pourra sans doute confirmer. -
pur-et-dur68 a écrit, le 2010-08-24 17:02:54 : Il est vrai que les structures en National sont moins importantes que celles d'un club de L2 ou L1. Toutefois est-il nécessaire d'avoir un président salarié?. Je ne pense pas qu'il y a beaucoup de clubs en National qui peuvent se permettre ce luxe. A Colmar ce n'est ni le cas pour le président, ni le vice-président et ils ont autant de responsabilité que Plessis. Le salaire de Plessis équivaut quasiment à la totalité des rémunérations des personnes licenciées : 20 000 (si ce chiffre est exact) /9 = 2 220€. Cela m'étonnerait fort qu'elles gagnaient beaucoup plus.
je ne pense pas que plessis gagne 20.000€ par mois.
A mon avis, il doit avoir beaucoup moins -
Il se racontait il y a quelques semaines que Plessis avait accepté de baisser son salaire de 20000 à 10000€, après je ne sais pas ce que ca vaut!
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Moi je veut bien que Plessis boss gratos pour sauver des employés,mais toujours est il qu 'on continurait de payer des gars pour pas grand chose alors ok pour dire que les londoniens c'est des pourris étant donné que c'est vrai?Mais ce coup la on peut vraiment pas leurs reprochés étant donner que ca aurait du etre fait depuis bien longtemps.
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pur-et-dur68 a écrit, le 2010-08-24 17:02:54 : Il est vrai que les structures en National sont moins importantes que celles d'un club de L2 ou L1. Toutefois est-il nécessaire d'avoir un président salarié?. Je ne pense pas qu'il y a beaucoup de clubs en National qui peuvent se permettre ce luxe. A Colmar ce n'est ni le cas pour le président, ni le vice-président et ils ont autant de responsabilité que Plessis. Le salaire de Plessis équivaut quasiment à la totalité des rémunérations des personnes licenciées : 20 000 (si ce chiffre est exact) /9 = 2 220€. Cela m'étonnerait fort qu'elles gagnaient beaucoup plus.
Comparer le poste de Président à Colmar et au Racing ça n'a pas vraiment de sens. Leurs responsabilités et surtout leurs expositions médiatique (et la pression qui va avec) sont incomparable. -
Les kinés licenciés
La vague de suppressions d'emplois qui touche le Racing aura finalement des répercussions plus importantes que prévu sur le groupe sportif : les deux kinés, Eric Moerckel et Nagib Remita, ont reçu leur lettre de convocation à un entretien préalable à un licenciement.
Le sujet est éminemment sensible, puisqu'il touche à l'avenir des salariés du RCS. Neuf lettres de convocation à un entretien préalable à un licenciement économique ont - on le sait - été envoyées vendredi à autant d'employés (notre édition de lundi). Leurs destinataires appartenaient tous aux services administratifs, à une exception près : le kinésithérapeute Nagib Remita.
Mais depuis l'envoi des missives en fin de semaine passée, la réflexion des dirigeants strasbourgeois a évolué. Ces derniers ont revu leur copie. Deux salariés auraient ainsi sauvé leur tête. Mais un autre licenciement a en contrepartie été engagé : l'autre kiné du groupe pro, Eric Moerckel (20 années d'ancienneté au club) a à son tour reçu sa lettre de convocation à un entretien préalable programmé le 7 septembre, soit une semaine plus tard que les sept autres salariés concernés. Interrogés hier, N. Remita et E. Moerckel ont confirmé l'information, mais refusé de la commenter.
Cet été, la direction avait, en concertation avec eux, remanié leur mode de fonctionnement pour répondre aux besoins de ce club de National qu'est devenu le RCS. Au lieu d'officier tous deux en permanence auprès du groupe pro, Remita et Moerckel s'étaient réparti le travail. Un jour sur deux, l'un oeuvrait auprès des pros, l'autre au centre de formation. Et inversement. Les contrats des kinés vacataires du centre n'avaient de ce fait pas été reconduits par mesures d'économie.
« Les joueurs seront toujours soignés »
Ce matin, le Racing n'a donc virtuellement plus de kinés, même si les deux hommes resteront en poste jusqu'à leur éviction définitive. L'entraîneur Laurent Fournier assure n'avoir rien à dire sur le sujet, pour une raison bien simple : « Je n'ai pas été informé officiellement. » L'information a pourtant fait le tour des vestiaires hier. Les joueurs ont été mis au courant.
De son côté, le président Jean-Claude Plessis monte vite en température à l'évocation de ce dossier brûlant. « Je ne répondrai pas sur ce sujet trop sensible. Je suis surtout préoccupé par le cas des six joueurs dont je vais essayer de faire homologuer les contrats mardi devant la DNCG (1) d'appel de la Fédération. Pour l'instant, les kinés ne sont pas licenciés. Les joueurs sont soignés et j'ai reçu des engagements pour qu'ils le soient encore. Entre la lettre de convocation et le licenciement éventuel, il y a un délai. Les choses se régleront dans l'intervalle. Nous sommes en train de prévoir tout ce qu'il faut pour répondre aux besoins. C'est tout ce que je peux dire. »
Les intéressés, mais aussi leurs six compagnons d'infortune attendent sans doute de plus amples explications. L'attachée de direction, Valérie Bonjour, en demandera, elle, devant la juridiction des Prud'hommes : son licenciement pour faute grave, en cours depuis quelques semaines, est effectif depuis hier. Elle n'est officiellement plus salariée du RCS.
L'Alsace.fr -
J'ai loupé un épisode ? C'est quoi la faute grave de l'attachée de direction ?
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Ce message est une brève publiée par flow.
Une procédure de licenciement à l'encontre des kinés Eric Moerckel et Nagib Remita vient d'être engagée. L'attachée de direction Valérie Bonjour est désormais licenciée (faute grave).
Source: L'Alsace
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