Les employés du Racing (les vrais)
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thomas68Dany Eberhardt ne devait pas continuer à proposer ses services bénévolement malgré la fin de son contrat ? -
athor a écrit, le 2010-08-26 18:06:02 : D'ailleurs, à propos de bénévoles, je suis étonné que (sauf erreur de ma part) il n'y en ait pas au Racing, alors que c'est le cas dans pas mal de clubs de L2 et évidemment de National.
Les bénévoles ça n'a aucun intérêt pour notre club, ça ne peut se finir au prud'homme. :p -
Même si j'attends avec impatience la solution miracle pour pouvoir se passer de kiné, ce sont quand même les 2 premiers potentiels licenciements qui humainement vont faire des dégats limités ... avec leur expérience, ça sera facile qu'ils se trouvent une clientèle dans le privé ... les licenciés côté administratifs par contre ...
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athor a écrit, le 2010-08-26 18:06:02 : D'ailleurs, à propos de bénévoles, je suis étonné que (sauf erreur de ma part) il n'y en ait pas au Racing, alors que c'est le cas dans pas mal de clubs de L2 et évidemment de National.
Pas étonnant si on part du principe que le Racing fonctionne encore comme un club de l'élite. Mais ça va surement changer. Par contre être bénévole pour des financiers londoniens, que personne n'a jamais vu et qui méprisent les amoureux du club ... ça va être dur à trouver. -
deadwing a écrit, le 2010-08-26 11:19:56 : Citation: C'est quoi l'embrouille avec la mère Bonjour ?
Ce n'est pas elle qui avait été accusé d'avoir parler à la presse à un moment sans autorisation de la direction ? Ou je confonds ?
Edit : A priori ce n'est pas ça. Par contre en juillet on parlait d'un licenciement pour raison économique. Donc effectivement la situation a semble-t'il évolué depuis...
Elle s'est juste mieux démerdé que les autres et a négocié son départ avec son employeur.
On vous licencie pour faute avec un motif bidon, vous recevez votre courrier et dans la foulée vous signez la transaction. Tout le monde est content. -
Il existe la rupture conventionnelle non
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oui mais là on parle de licenciement. Donc motif personnel, par opposition aux autres collaborateurs licenciés pour motif économique.
la transaction est normalement négociée a posteriori : l'employeur et le licencié se mettent d'accord sur le montant du chèque, et s'engagent à annuler toute poursuite ultérieure. Dans la pratique, ces transactions sont souvent signés en même temps que la notification du licenciement et font partie du package..
Dans le cas de la rupture conventionnelle c'est plus compliqué, il faut l'intervention de l'inspecteur du travail etc. Et il n'y a pas de motif (faute, économique), sinon la volonté des parties de rompre le contrat, éventuellement moyennant finance.
les juristes (klaus?) pourront confirmer ou me contredire. -
Plus compliqué je ne pense pas et je suis bien placé pour en parler car j'ai signé une rupture conventionnelle en début d'année.
Du moment où les 2 parties signent la rupture conventionnelle et si le montant de l'indemnités n'est pas farfelu, l'inspection du travail te valide sans soucis ta rupture.
Effectivement il n'y a pas de motif dans la rupture conventionnelle. -
Sauf qu'ici on parle de licenciement pour faute grave, ce qui signifie que l'employeur cherche à licencier sans aucune indemnité et que le litige risque de se régler au conseil de prud'homme.
Petite astuce sans doute pour que ce licenciement ne soit pas compris dans les 9 licenciements économiques individuels. -
oudin ce que tu avances est purement spéculatif ou alors tu as des sources que nous n'avons pas ! Il est possible qu'elle soit véritablement licenciée pour faute grave, laquelle ? Là est la question.
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aucune info particulière. Juste une pure spéculation correspondant à un heureux hasard dans une période où le racing cherche à dégraisser son personnel administratif.
Cela dit, les motifs de son licenciement n'aurait jamais dû être livrés en place publique. -
Elle n'a pas bien soigné Gargorov .
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Dans le sondage, il ne faut pas lire "presseur de citrons", mais "presseur de pamplemousses" :D
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Bien vu (+)
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guigues a écrit, le 2010-08-27 09:02:00 : athor a écrit, le 2010-08-26 18:06:02 : D'ailleurs, à propos de bénévoles, je suis étonné que (sauf erreur de ma part) il n'y en ait pas au Racing, alors que c'est le cas dans pas mal de clubs de L2 et évidemment de National.
Pas étonnant si on part du principe que le Racing fonctionne encore comme un club de l'élite. Mais ça va surement changer. Par contre être bénévole pour des financiers londoniens, que personne n'a jamais vu et qui méprisent les amoureux du club ... ça va être dur à trouver.
Ah mais si on par du principe que t'es bénévole pour le Racing since 1906 tout ça..., ça change tout et tu trouves vite 5 bonshommes pour gérer la baraque :). -
Arnaud, Serge, et les deux dames de la boutique sont toujours là.
Les kinés aussi -
Il y a sûrement un délai avant le licenciement , 1 ou 2mois .
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Autant les faire chier jusqu'au bout et leur demander d'exécuter leur préavis.
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Arnaud de la boutique vient d'annoncer son départ du club. Dégouté
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On en connait la raison ?
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Et finalement on en connaît la raison? :p
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Oula, mon message a bien bugé
Appelez ça comme vous voulez mais pour moi c'est un licenciement économique ...
Maintenant adieu la boutique voire la billetterie en semaine ... -
Les kinés - provisoirement - toujours là.
Tous deux licenciés économiquement, les deux kinés Nagib Remita et Eric Moerckel sont pour l'heure toujours en poste. Le premier restera jusqu'à la fin de son préavis de trois mois, fin novembre. Le deuxième, qui, en tant que représentant du personnel, bénéficie d'un statut protégé, ne sera fixé que lorsque l'inspection du travail aura statué sur son cas après une réunion du comité d'entreprise qui ne devrait se tenir que cette semaine. Les deux hommes ont récemment refusé l'offre de vacations (15 heures hebdomadaires) que leur avait formulée la direction du RCS. À noter que Nagib Remita s'est absenté en fin de semaine. Sa mère, décédée à Strasbourg dans la nuit de mardi à mercredi, a été inhumée hier dans son village natal en Algérie. La rédaction sportive de « L'Alsace » présente à Nagib et sa famille ses sincères condoléances en ces instants cruels.
L'Alsace -
Un accord a été trouvé avec les 2 salariées de la billetterie récemment licenciées, qui retrouveront ainsi leur place à la boutique.
Source KCB (Jafar ?) -
Encore une belle preuve d'incompétence de la part des londoniens, du bricolage à tous les niveaux, au passage, si un sbire de JH ou AF pouvait nous raconter l'épisode du licenciement pour refus de chocolat, je pense que ça ferait réagir plus d'un stubiste ....
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