Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Les actionnaires du Racing

Chargement...

Flux RSS 7500 messages · 584.930 lectures · Premier message par superdou · Dernier message par guigues

  • si...et si..., mais si....
    Ok, on peut continuer ainsi, spéculons, admettons qu'ils n'aient pas l'argent, qu'ils font semblant, qu'ils sont cons, enfoirés, qu'ils s'en foutent du club, qu'ils sont là pour se faire du pognon..
    Ou alors, qu'ils ont le fric, qu'ils aiment ce club, qu'ils ont réellement envie de le sauver,même sur le long terme.
    Et on est avancés ? On en sait plus sur ce qu'ils vont faire, ne pas faire, jugeons, allons-y, avant même de savoir, sans savoir. Mais dans quel but ? Juste pour le plaisir d'échafauder des hypothèses façon café du commerce ? On peut, c'est sur, mais c'est quand même plus intéressant de discuter de faits, de confronter des opinions qui reposent sur quelque chose de tangible, de réel non ?
  • De la même maniére on peut s'intérroger sur le retrait définitif de Sitterle...
    Graeff et Sitterle étaient en contact il me semble et rien ne dit finalement qu'il n'y a pas une stratégie commune sachant que Hilali ne voulait pas vendre a Sitterle.
    Bref c'est moi qui fait maintenant de la fiction et je sens qu'on en saura plus dans quelques temps...
    Donc attendons et surtout espérons que le Racing en sorte gagnant mais encore une fois, la priorité est de faire partir Hilali.
  • volte face ok, certes, mais quand il fait sa volte face le gars Graeff pense peut être, sans doute (et voilà, encore des hypothèses..) que Hilali va accepter l'offre de Sitterle.
    Et finalement non, alors il faut y retourner au charbon, mettre les mains dans le cambouis, quitte, malheureusement, à renflouer Jafarschloch plus que de raison, car sinon c'est le gouffre, le vide.
    Peut être que c'est ça, peut être pas..
  • speedy a écrit, le 2011-07-03 21:07:53 :
    Attendons que la reprise soit actée, ca sera déjà mieux que de voir Hilali partir et le club couler, et attendons que les premières paroles soient transformées en acte avant de juger.
    Pour le reste wait and see.


    Wait and see, the return. (+)
  • Il est vrai également, que je suis d'un naturel sceptique et que je vois plus souvent le verre à moitié vide qu'à moitié plein.
    Demain Graeff sera à Strasbourg, et j'espère qu'il nous présentera sont projet et qu'il dissipera mes doutes. (et celle de tout ceux qui comme moi s'interroge)
    Je suis comme tout le monde. J'aimerai voir un RCS en L1, capable de bousculer les gros et de se mêler à la lutte pour les places européennes. Mais nous en sommes bien loin malheureusement. La priorité reste de sauver le racing du gouffre vers lequel il se dirige.
    J'espere honnêtement que Graeff sera l'homme qui saura redonner sa fierté au RCS.
    Mais pour le moment, et au vu de ce qu'il à annoncer (pas grand chose certes) je reste méfiant. Se n'est sans doute pas la position la plus noble, mais c'est, échaudé par les dernières années et de mon point de vue la plus logique.
  • et voilà, c'est ce que je disais, tu parles déjà de ligue 1, alors que pour le moment on est en CFA..Trop d'impatience..
  • Relis mon post "j'aimerai revoir le RCS en L1".
    Comme tout les gens sur le fofo ou comme tout les supporters du RCS.
    Je n'ai jamais dis que cela se fera en 2 ans. Je ne vois pas ou est l'impatience. C'est un souhait, un rêve.
    Je suis conscient et bien conscient qu'il faudra des années pour revoir le RCS en L1, et je suis patient.
    Cela mettra le temps que cela mettra.
  • En même temps le wait and see s'impose puisqi'on a rien a nojs mettre sous la dent.
  • Citation:
    J'espere honnêtement que Graeff sera l'homme qui saura redonner sa fierté au RCS.


    aurais tu un sfeux fur la langue ? :p
  • RACING
    SEANCE DE RATTRAPAGE


    Alors que la vente n'est toujours pas actée, le RCS est sportivement paralysé depuis la fin de saison passée. Il se prépare à attaquer en tongs une saison 2011-2012 où il lui faudra mettre la semelle pour monter en Ligue 2 et ne pas perdre le statut pro que lui a - provisoirement - retiré la DNCG (1).
    Nous sommes le 4 juillet et ce matin, le Racing est toujours en CFA. Depuis la victoire de Guingamp à Rouen le 27 mai (3-1) qui lui fermait la porte de l'accession en Ligue 2, il a tout perdu. Du temps bien sûr, mais aussi son entraîneur, ses joueurs clefs, ses meilleurs jeunes (Tristan Do à Lorient et Marco Rosenfelder à Lens) et, pour l'instant, sa place en National et son statut professionnel. Rien que ça ! Pas un match amical ne figure encore au programme d'avant-saison tant le flou règne.

    Alors que les négociations se poursuivent pour son rachat par la famille Graeff, sa situation sportive est au moins aussi précaire que son pendant financier. Avec les départs de son gardien Régis Gurtner, son capitaine et tour de défense Milovan Sikimic, son stratège Stéphane Noro et son buteur Ali Mathlouthi (16 buts officiels, dont 13 en National), le club bas-rhinois se retrouve dépourvu d'épine dorsale. Sans parler d'un David Ledy qui a tout de même inscrit la bagatelle de onze buts en championnat.

    Certes, ni Sikimic (qui a tout de même donné son accord verbal à Fréjus/Saint-Raphaël qui lui propose deux ans, plus un en option en cas de montée en L2), ni Noro, ni Ledy n'a encore trouvé preneur. L'entraîneur intérimaire Jacky Canosi plaide pour qu'on les rattrape au vol tant qu'il est encore temps. « Si l'on me pose la question, j'insisterai pour que l'on fasse vite en termes de recrutement. Pour moi, la priorité, c'est de proposer quelque chose à ceux qu'on a laissés libres : Sikimic, Noro, Ledy, mais aussi Stéphane Pichot (le latéral droit). Pourquoi pas aussi Bill Tchato qui a repris avec nous et dont l'expérience nous a été précieuse l'an passé ? »

    Sous masse salariale encadrée ?
    Pour le Corse, ce recours aux « anciens » permettrait de rattraper en partie le retard accumulé depuis un mois et demi. Le probable futur propriétaire Bernard Graeff partage ce sentiment, lui qui s'est longuement entretenu mardi avec l'ancien entraîneur du RCS, aujourd'hui à Auxerre. « Laurent Fournier est très optimiste sur la qualité de l'effectif. Nous avons échangé un long moment. Il m'a détaillé chaque poste. Pour lui, il faudrait deux ou trois joueurs en plus. »

    A supposer qu'un Sikimic, un Noro ou un Ledy regagne le bercail meinovien, le recrutement d'un gardien et d'un buteur sont une priorité, même si le groupe sportif fait entière confiance au jeune portier Vauvenargues Kéhi. Encore faudra-t-il franchir sans encombre l'obstacle de la DNCG. Or, l'organe financier, échaudé par la gestion erratique de Jafar Hilali, n'entend pas se contenter d'une simple lettre d'intention. « Nous allons demander au nouveau propriétaire de garantir la saison prochaine », indique-t-on de source proche de la DNCG. « En clair, il va devoir faire un chèque, comme Alain Fontenla et Jafar Hilali avaient dû sortir 3 millions tout de suite à leur arrivée. C'est une exigence que la DNCG formule avec tout nouvel arrivant. C'est d'une logique absolue de prendre des garanties. Un an et demi après, Jafar Hilali ne l'a toujours pas compris. Et à moins que le nouvel actionnaire majoritaire du Racing ne mette d'emblée 10 millions sur la table, le club a toutes les chances de se retrouver avec une masse salariale encadrée, pour éviter les dérives constatées cette saison. » En d'autres termes, avec l'obligation de dégraisser avant de recruter. Exactement comme l'an passé.

    « Le temps perdu ne se rattrape plus », chantait le groupe de rock « Trust » dans les années 80. « Trust » a beau signifier confiance en anglais, il ne sera pas aisé de rattraper le temps perdu. Pourtant, le Racing n'a pas d'autre choix que de remonter en L2 fin 2011-2012 s'il ne veut pas perdre - sans recours cette fois - le statut pro.

    (1) Direction nationale du contrôle de gestion de la Ligue de Football Professionnel.

    L'Alsace le 04/07/2011 à 00:00 par Stéphane Godin
  • Racing
    Quand Sébastien Graeff parle d'avancée


    Sous le titre « Un accord en passe d'être trouvé avec les actionnaires minoritaires du Racing-Club de Strasbourg », le candidat au rachat du club bas-rhinois, Sébastien Graeff, s'est adressé hier soir aux médias indiquant que « deux jours de travail » lui permettaient « d'espérer finaliser un accord en milieu de semaine » avec lesdits minoritaires.
    Dans les faits, même si cette perspective n'est pas irréaliste, sa concrétisation nécessite encore certaines mises au point qui pourraient intervenir ce mardi lors des rendez-vous entre S. Graeff d'une part, Léonard Specht et Dominique Pignatelli de l'autre. Ce dernier décrit dans notre édition de ce lundi une version assez différente des échanges du week-end écoulé. Sans s'opposer à la recherche d'une solution satisfaisante pour tout le monde, il entend poser certaines conditions pour préserver ses intérêts autant que ceux du RCS.
    Voici ci-dessous le communiqué transmis par Sébastien Graeff à la presse hier à 22h13, à confronter évidemment aux déclarations de D. Pignatelli par ailleurs.
    « Nous avons travaillé avec les actionnaires minoritaires à rapprocher nos points de vue. La volonté de l'ensemble des partenaires est avant tout de rendre au Racing la place qui est la sienne. Nos échanges ont été caractérisés par un désir d'aboutir rapidement, dans le respect de chacun. J'ai pu conforter tout au long de ce week-end ma conviction que nous partagions la même ambition pour le club et que nous sommes tous déterminés à réussir (...). Cette nouvelle avancée positive est le signe qu'une dynamique constructive est en marche. Je veux croire que cet esprit de coopération au service de l'intérêt du club me permettra de fédérer toutes les énergies pour atteindre au but. »

    L'Alsace le 04/07/2011 à 00:00
  • Enfin un peu d'ordre ?

    http://www.lalsace.fr/fr/images/6CCFEAD8-8423-4794-A3F0-4D5325825...

    Pendant que l'avenir du club se joue en coulisses, les Strasbourgeois ont accueilli hier un partenaire un peu inhabituel : Matthieu Tota, alias M. Pokora (au centre). Le chanteur a choisi de vivre durant deux jours dans la peau d'un pro pour les besoins d'une nouvelle émission de France 2. Photo Jean-Marc Loos

    Même si Sébastien n'arrivera qu'aujourd'hui sur Strasbourg, la famille Graeff a commencé à auditer le RCS hier. Un accord avec les actionnaires minoritaires sur l'abandon de leur compte courant devrait être formalisé dans la journée. Sur le plan sportif, la nomination d'un entraîneur ne devrait plus tarder et Milovan Sikimic a été relancé. Mais tout reste lié à la vente du club.

    Rien n'est officiel et de ce fait, dans le camp de Sébastien et Bernard Graeff, on se garde bien de toute déclaration hâtive. Le fils a fait savoir qu'il ne souhaitait pas s'exprimer tant que l'acte de vente n'était pas signé. Le père invite désormais tout le monde à la discrétion la plus absolue.

    Il n'empêche. Peu à peu, les choses semblent prendre tournure. Si S. Graeff n'a finalement pas montré le bout du nez hier à la Meinau, son conseiller Jacky Kientz, qui a indiqué qu'il ne prendrait « pas de fonction opérationnelle dans le Racing » si la vente était réalisée, était à pied d'oeuvre tôt le matin, flanqué d'un auditeur mandaté par les candidats au rachat. Mais les « grandes manoeuvres » devraient véritablement commencer aujourd'hui, avec, entre autres, les rendez-vous avec les actionnaires minoritaires qui ont déjà accepté de ne pas faire jouer leur droit de préemption.

    Leur abandon de compte courant sera au coeur de leurs discussions de ce mardi avec Sébastien Graeff, attendu cette fois du côté du Krimmeri où il devrait s'adresser au personnel – au plus tard demain – pour le rassurer. Un accord est déjà intervenu avec Egon Gindorf, l'ancien président (2003-2005), qui a accepté de renoncer au sien (340000 euros), avec toutefois une clause de retour à meilleure fortune.

    Dimanche, Léonard Specht a, en son nom personnel et en celui de l'industriel Robert Lohr (1), lui aussi accompli un geste en ce sens. « Nous avons indiqué à Sébastien dès vendredi que nous renoncions à notre droit de préemption et dimanche que nous étions prêts à abandonner notre compte courant (300000 euros). Ce mardi, je ne pourrai pas être là, mais je serai représenté. Je suis convaincu que les échanges seront constructifs. Je n'ai aucun doute là-dessus. Nous voulons sortir Jafar Hilali du jeu et nous n'allons pas emm... le nouvel actionnaire. Je crois que de son côté, celui-ci a compris qu'il devait respecter les minoritaires. »

    « Aux mêmes conditions que Jafar »

    Pour autant, Léonard Specht et Robert Lohr n'ont, pas plus que Dominique Pignatelli, l'intention de renoncer à leur compte courant sans clause de retour. « Pendant un an et demi, j'ai voté contre toutes les décisions de Hilali et aujourd'hui, on me demande de payer pour lui », sourit jaune le champion de France 1979. « En fait, j'ai indiqué à Sébastien et Bernard Graeff que j'étais disposé à abandonner ce compte courant aux mêmes conditions que Jafar Hilali (2). Je suis persuadé que ça va se faire sans problème, qu'ainsi, la vente sera conclue, qu'un nouvel entraîneur sera nommé et qu'une équipe pourra être bâtie selon ses souhaits. »

    L'Alsace
  • Rendez-vous entre Sébastien Graeff et les actionnaires minoritaires ce mardi

    Le candidat à la reprise du Racing, Sébastien Graeff, rencontrera aujourd'hui les actionnaires minoritaires du club, Dominique Pignatelli et Léonard Specht, ce dernier représentant les intérêts de Robert Lohr.

    Avec l'objectif de trouver un accord financier sur un éventuel abandon des comptes courants et avec l'objectif aussi de rapprocher leurs points de vue sur la conduite future du club (voir DNA de lundi).

    Il s'agit également pour Sébastien Graeff de préparer la prochaine audition, sans doute à la fin de cette semaine, devant la DNCG, le gendarme financier du football, qui examinera l'appel interjeté par le club après sa rétrogradation en CFA.

    Le futur propriétaire devrait s'exprimer jeudi sur son projet et ses intentions.

    Sur le plan sportif, les joueurs du Racing ont côtoyé hier le chanteur strasbourgeois M. Pokora, qui a participé aux deux séances d'entraînement. La veille, il avait été l'initiateur d'un match de bienfaisance à Seltz, avec son association « Chanter le Foot ». Il sera encore sur la pelouse strasbourgeoise ce matin.

    DNA
  • Le prix du Racing vient d'augmenter mécaniquement de quasi 1 million d'euros, payable en plusieurs fois. On n'emmerde pas un nouvel ami, par contre on ne lui fait pas de cadeau.
  • À l'autre bout du fil, Bernard Graeff monte dans les tours. Il est 22 h hier et le candidat au rachat du Racing annonce la publication d'un communiqué de presse une heure plus tard. « Deux actionnaires minoritaires (RLS 79, la société de Robert Lohr et Léonard Specht, et Dominique Pignatelli) ne veulent pas abandonner leur compte courant. Je respecte leur choix. Mais je n'ai pas à l'accepter », lâche-t-il sur un ton qui ne laisse guère la place à la relance.

    Depuis le début de la journée, les négociations menées par son fils Sébastien, leur avocat luxembourgeois Arnaud Schmitt et leur conseiller en gestion, le Suisse Lukas Furrer, avec minoritaires n'ont débouché que sur une impasse. Dans la droite ligne de ce qu'ils avaient annoncé, Léonard Specht et Dominique Pignatelli ont été disposés à abandonner leur compte courant (300 000 euros pour RLS 79 et 1,144 million pour le patron d'Intergraphic), mais pas sans clause de retour en cas de montée en L2, puis L1. « La position de RLS 79 est la même que dimanche », rappelle Henri Ancel, représentant des minoritaires qui a négocié avec L. Furrer et A. Schmitt au nom de L. Specht, absent hier de Strasbourg. « En aucun cas, RLS ne sera bloquant sur une solution. Mais d'un autre côté, nous comprenons que Dominique Pignatelli ne veuille pas s'asseoir sur un million. Il faut de la bonne volonté de chaque côté pour arriver à une solution dans l'intérêt du club. »

    De la bonne volonté, D. Pignatelli estime en avoir fait preuve. « Je suis prêt à abandonner l'intégralité de mon compte courant d'1,14 millions avec une clause de retour à meilleure fortune liée à la remontée du club en L2 (pour une première partie) et en L1 (pour la seconde partie) », a-t-il écrit en fin de journée à S. Graeff, « Ce qui veut bien dire que vous n'avez pas un seul euro à me payer avant la remontée en L2. Ainsi, vous répondez grâce à mon abandon plus que largement à la demande de la DNCG qui exigeait 1 million pour équilibrer 2010-2011. »

    En comparaison – poursuit-il - des droits télé en L2 (5,5 millions environ) et en L1 (12,5 millions minimum), il estime que sa demande n'est pas « indécente ou démesurée » et se déclare prêt « à renoncer aux intérêts liés à ces créances à compter de ce jour. »

    Son mail est une réponse à l'offre qu'a formulée Sébastien Graeff peu avant 18 h. « Il me propose, pour solde de tout compte, de me verser 160 000 euros, plus 150 000 lors du retour en L2 et 150000 lors du retour en L1. 460 000 euros donc », détaille D. Pignatelli. « Exactement le quart de mon investissement (1,669 million, achat d'actions compris). Je devrais m'asseoir sur 75 %. Les gens comprendront que pour moi, c'est inacceptable. En fait, j'ai eu le sentiment que les gens assis autour de la table des négociations n'avaient aucun pouvoir de décision. J'aurais voulu voir Alain Fontanel, Bernard Graeff et même Jacky Kientz qui connaît très bien le dossier, parce qu'eux me semblent avoir ce pouvoir. Ni RLS 79, ni moi ne demandons la lune. En fin de journée, j'ai même eu l'impression que les repreneurs cherchent un prétexte pour se rétracter et un bouc émissaire. Je me refuse à être celui-là. »

    DNCG : vendredi à 14 h 30. Les candidats au rachat du Racing souhaitaient différer leur audition devant la DNCG fédérale à mardi. Cette dernière a refusé et a maintenu le rendez-vous vendredi à 14 h 30, au lendemain de l'AG du club.
    source L'ALSACE
  • Graeff charge Pignatelli

    Alors que les négociations avec les actionnaires minoritaires Dominique Pignatelli et RLS 79 ont débouché hier sur une impasse, Sébastien Graeff accuse le premier de vouloir faire capoter le rachat du club et lui laisse jusqu'à midi pour revoir sa position. Le patron d'Intergraphic rejette l'accusation en bloc.

    À en croire le communiqué publié hier peu après 23 heures par Sébastien Graeff, Dominique Pignatelli serait donc l'ultime obstacle au rachat du Racing par la famille Graeff. Ce qui, soit dit en passant, est en opposition avec les déclarations de Bernard Graeff une heure plus tôt. Là où le communiqué annonce qu'un accord de principe a été trouvé avec RLS 79, la société de Robert Lohr et Léonard Specht, Graeff père regrette, lui, que « deux actionnaires minoritaires (RLS 79 et Pignatelli) ne veulent pas abandonner leur compte courant. Je respecte leur choix. Mais je n'ai pas à l'accepter. »

    En clair, Sébastien Graeff reproche à Pignatelli d'être « le seul à exiger de récupérer la totalité de sa mise. » Et il enfonce le clou : « L'actionnaire minoritaire sacrifie par cet entêtement la chance que représentait cette dernière opportunité. » Il assure aussi que « deux propositions généreuses lui ont été offertes : la première avec le rachat de ses actions pour un montant immédiat de 250 000 euros. La seconde avec le rachat de ces mêmes actions pour 160 000 euros, avec un bonus de150000 euros lors de la remontée en L2 plus 150 000 lors de la remontée en L1. Soit près de la moitié de son engagement. »

    Il déclare quitter Strasbourg la mort dans l'âme, mais demande à son équipe « de rester présente et à l'écoute de toutes évolutions positives, jusqu'à mercredi midi dernier délai. » Une manière d'accroître la pression sur un Pignatelli qui réfute en bloc l'accusation, chiffres à l'appui : « La meilleure offre de Sébastien Graeff représente le quart de mon investissement (1,669 million, achat d'actions compris). Je devrais m'asseoir sur 75 %. Les gens comprendront que pour ma société, c'est inacceptable. » Plus tôt dans la journée, il répondait aux offres de Graeff par le mail suivant. « Je suis prêt à abandonner l'intégralité de mon compte courant d'1,14 million avec une clause de retour à meilleure fortune liée à la remontée du club en L2 (pour une première partie) et en L1 (pour la seconde partie). Vous n'avez pas un seul euro à me payer avant la remontée en L2. Ainsi, vous répondez grâce à mon abandon plus que largement à la demande de la DNCG qui exigeait 1 million pour équilibrer 2010-2011. »

    L'actionnaire minoritaire, qui indique « avoir eu l'impression en fin de journée que les repreneurs cherchent à se rétracter », se refuse à être « un bouc émissaire. » D'autant que Henri Ancel, représentant des minoritaires qui a négocié hier au nom de Léonard Specht, absent de Strasbourg, confirme que RLS 79 n'a pas trouvé d'accord avec S. et B. Graeff. « La position de RLS 79 est la même que dimanche : un abandon de compte courant avec retour en cas de montée en L2, puis L1 (Ndlr : exactement comme Pignatelli). En aucun cas, RLS ne sera bloquant sur une solution. Mais d'un autre côté, nous comprenons que Dominique Pignatelli ne veuille pas s'asseoir sur un million. Il faut de la bonne volonté de chaque côté pour arriver à une solution. »

    Ça n'en prend pas le chemin.

    VOIR L'intégralité du communiqué de Sébastien Graeff et le commentaire de Dominique Pignatelli sur www.lalsace.fr

    DNCG : vendredi à 14 h 30. Les candidats au rachat du Racing souhaitaient différer leur audition devant la DNCG fédérale à mardi. Cette dernière a refusé et a maintenu le rendez-vous vendredi à 14 h 30, au lendemain de l'AG du club.

    L'Alsace
  • En fin de compte, même sans Hilali, le cirque tourne toujours super bien :)
  • hey ben on est pas sorti de l auberge !! :-&
    on se croirait en maternelle c fou !!! X-(
  • Pour ma part, je trouve les conditions des minoritaires totalement acceptables. Il y en a un, qui a fait relégué à 2 reprises le Rcs à 2 reprises en Cfa, et qui récupère les 3 quarts de son investissement en cas de remontée en L2 puis L1, alors qu'il est entièrement fautif.
    Et à contrario, ceux qui n'y sont pour rien devrait tout abandonner, définitivement...

    Hilali nous a déjà tous bien assez entubé, pas besoin que Graeff en rajoute une couche.
  • juste pour comprendre, si le club coule, est ce que l'argent descomptes courrant seraient perdus?
  • italia67 a écrit, le 2011-07-06 00:26:14 :
    juste pour comprendre, si le club coule, est ce que l'argent descomptes courrant seraient perdus?

    ben oui normalement ;)
  • deadwing a écrit, le 2011-07-06 00:25:46 :
    Pour ma part, je trouve les conditions des minoritaires totalement acceptables. Il y en a un, qui a fait relégué à 2 reprises le Rcs à 2 reprises en Cfa, et qui récupère les 3 quarts de son investissement en cas de remontée en L2 puis L1, alors qu'il est entièrement fautif.
    Et à contrario, ceux qui n'y sont pour rien devrait tout abandonner, définitivement...

    Hilali nous a déjà tous bien assez entubé, pas besoin que Graeff en rajoute une couche.

    pas trop d'accord avec toi!
    si Graeff peut aider a sauver le club , il faut que tout le monde y mette du si1!
    y compris les minos! ils veulent être actionnaires mais ne veulent prendre aucun risque!
    RAUS!!!!
  • Moi ce que je me demande, c'est qu'on nous a dit en premier lieu (Gindorf notamment) que les Graeff ont une surface financière très importante... Or là, ça fait vachement "fond de tiroirs" avec leur bras de fer avec les minoritaires pour...1 vieux million d'euros... Comme le dirait Pigna que je ne défend pas plus que ça, ça sentirait la rétractation que ça ne me surprendrait pas...
  • coco67210 a écrit, le 2011-07-06 00:27:27 :
    italia67 a écrit, le 2011-07-06 00:26:14 :
    juste pour comprendre, si le club coule, est ce que l'argent descomptes courrant seraient perdus?

    ben oui normalement ;)

    ben alors qu'ont ils à gagner en s'opposant aux conditions de Graeff??????
  • En même temps n'est pas Qatari qui veut..
    Que les minoritaires jouent le jeix et s'unissent!
Il faut être inscrit et connecté pour ajouter un commentaire. Déjà inscrit ? Connectez-vous ! Sinon, inscrivez-vous.
Connectés

Voir toute la liste


Stammtisch

Mode fenêtre Archives