Hausse du prix de l'essence, vos alternatives, vos pensées
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katzo68Merci paplo pour toutes ces infos (+) -
pensez à faire le plan avant le passage à la nouvelle année pour faire quelques économies!
à partir du 1er janvier, le prix du litre va prendre un bon coup dans la gueule avec 8,5 cents d'augmentation pour le SP et 10 cents pour le diesel !
merci la taxe carbone
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Les véhicules participent à 2 ou 3% sur les émissions donc..
Quand on sait que l'industrie métallurgique est responsable à plus de 30% on peut se poser certaines questions.. -
Citation: à partir du 1er janvier, le prix du litre va prendre un bon coup dans la gueule avec 8,5 cents d'augmentation pour le SP et 10 cents pour le diesel !
Je ne sais pas où tu as lu ces chiffres, j'ai toujours lu environ 4 à 5 centimes pour l'essence et 5 à 6 centimes pour le diesel...
Exemple ici -
les chiffres que tu donnes sont effectivement l'augmentation de la taxe carbone, mais il faut rajouter à celà une tipp fixée regionalement, d'ou mes chiffres. enfin c'est ce qu'on m'a expliqué, je peux me tromper
ceci dit, si t'es chiffres sont les bons, c'est quand meme mieux pour nos portefeuilles O:)
enfin bon, raz le cul qu'on taxe et surtaxe les gens qui veulent juste aller au boulot alors que ces memes personnes sont loin d'etre les principaux problèmes de la hausse des rejets de Co2 dans le monde... -
mubz a écrit, le 2009-12-29 11:11:51 : merci la taxe carbone
Le Conseil constitutionnel a annulé hier soir la taxe carbone.
Lecture par exemple ici -
Et bien, on va avoir un peu plus de temps pour aller faire le plein ! Au moins jusqu'au 20 janvier, donc.
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Alors , pénurie à prévoir cette semaine ? Ruée vers les pompes ?
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Faites le plein (moins cher) en Suisse!
Hélvétiquement vôtre, Paplo -
Sauf si l'on a 140 km à faire, aller-retour...
Economiquement tien :)) -
Sinon faut arrêter de rouler O:) Mais bon, je doute que cela convienne à tout le monde ! :)
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Boaf, je pense qu'avant la pénurie, il faut plus longtemps que ce que veulent bien faire croire les syndicats Total. La logistique pétrolière reste extrêmement diversifiée ; la moitié des raffineries françaises tourne encore, et les points d'importation tournent à plein...
S'il y a pénurie cette semaine, ce sera très localement dans les endroits où Total est en situation de quasi-monopole, et il n'y en a pas beaucoup... -
J'espère qu'il y a des pénuries dans toutes les stations comme ça les gens se rappelleront qu'ils ont des jambes!
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j'en ai lu des conneries sur le stub, mais celle-là je crois que je vais la garder pour mon top 10.
Pas de bras, pas de chocolat quoi. -
Garde la même dans top 3 en même temps je m'en fou de toi ainsi que Total, je suis pas perdu sans voiture. Je sais me servir de mes pieds!
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oh pis les ambulances, les voitures de flics, les camions de pompiers, les bus scolaires, les infirmières, on s'en fout aussi. l'important c'est que TOI tu sois pas perdu sans voiture.
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Dis pas n'importe quoi je parle des gens en général pas des pompiers, ni des ambulances, la voiture c'est comme le portable ou internet c'est utile mais sans on vit très bien!
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Peu probable chez nous d'après L'Alsace:
Pénurie : une menace peu probable en Alsace
Le conflit Total risque-t-il d'assécher les pompes à carburants alsaciennes ? A priori non.
Alimenté par le conflit Total, le spectre de la pénurie de carburants tient-il la route en Alsace ? Trois raisons, parmi d'autres, de penser que non :
1. S'il est bien présent sur le territoire régional, le pétrolier n'est pas seul distributeur. Ses six raffineries françaises n'assurent peu ou prou que 60 % de ses besoins, le reste étant importé. Cela permet de penser, peut-être naïvement, qu'il suffirait d'ouvrir plus grand ce robinet pour pallier en partie les effets d'un blocage des raffineries hexagonales.
2. La raffinerie de Reischstett n'appartient pas à Total mais au groupe suisse Petrobus ; elle assure de surcroît l'essentiel des livraisons de carburants automobiles en Alsace.
3. En cas de besoin, les automobilistes alsaciens pourront toujours jouer à saute-frontière...
« De toute façon, explique Patrick Fresch, président du Sirc Alsace, les stations-service indépendantes peuvent s'approvisionner où elles veulent. » Le prix reste le critère principal de choix, très fluctuant aujourd'hui, mais aussi, bien sûr, la disponibilité de la matière première raffinée. « Si Total ne livre plus, il y a Shell, BP, Esso et d'autres encore... » En tout état de cause, ce professionnel gérant deux stations dans le Haut-Rhin évalue à, au plus, 15 % la part de Total dans ses approvisionnements.
Anvers-Rotterdam...
L'Entrepôt pétrolier de Mulhouse illustre assez bien cette situation. Selon son responsable, une moitié des approvisionnements vient de Reichstett et l'autre moitié de la région Anvers-Rotterdam. « La proportion peut varier notamment en fonction du niveau du Rhin . Il faut un minimum constant pour acheminer des péniches. » 400 bateaux transitent bon an mal an par ce dépôt, soit de l'ordre de 700 000 m 3, quantité en léger retrait depuis deux ans sous l'effet de la conjoncture et d'une de ses conséquences, la baisse du kilométrage moyen des automobilistes français.
Le niveau des ventes de carburants automobiles est toutefois à nuancer : baisse de 4 % au global 2008, de 5,4 % dans le réseau pétrolier, de 12 % chez les indépendants, mais hausse de 1,6 % dans la grande distribution. Des chiffres recoupés au plan régional et qui confirment la mainmise grandissante des grandes surfaces sur le secteur de la distribution.
Cette situation contribue à faire chuter le nombre de points de vente (12 500 stations en France), mais écarte de fait le risque de pénurie. Du moins lorsqu'il est lié aux états d'âme de tel ou tel pétrolier, car si la rupture d'approvisionnement était provoquée en amont par les fournisseurs de brut, la France ne pourrait plus compter que sur... sa diplomatie et ses stocks stratégiques, représentant peu ou prou 90 jours de consommation normale. Contre sept jours pour le stock entreposé da ns les dépôts de Total... -
Comme je le disais, il y a l'approvisionnement par le Rhin, pour l'EPM mais aussi pour le Port au Pétrole de Strasbourg et un dépôt situé à Village-Neuf.
Le plus gros dépôt pétrolier du port de Strasbourg distribue les produits Total (faute de raffinerie Total dans la région), mais n'appartient pas à Total. A ma connaissance, il est encore parfaitement fonctionnel, approvisionné par le Rhin mais aussi par pipeline (lié aux ports de Dunkerque, Le Havre, Marseille, Rouen)...
Le principal opérateur de pipelines en france, c'est Trapil, qui est indépendant de Total.
Bref, c'est sûr qu'arrêter 6 raffineries sur 12 et une douzaine de gros dépôts sur la centaine que compte la France, ça complique la logistique, mais ca ne génère pas de pénurie en une semaine. C'est plus la panique des gens, qui peut avoir cet effet là... Encore ce matin, à 10 km de la frontière Belge, 150 km d'Anvers et de Feluy, 250 km de Rotterdam, j'ai vu des gens faire le plein de jerricans... c'est ridicule.
Reichstett, Lavera, Port-Jérome, Gravenchon, etc. fonctionnent toujours, et les raffineries belges, néerlandaises, anglaises, russes, etc. sont ravies d'approvisionner la France
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Par contre ces sagouins se sont pas gênés pour pousser le coût du litron de quelques centimes
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Alors que le prix du brut est relativement bas actuellement.
Quand à la pseudo-pénurie...
Si les moteurs fonctionnaient à la connerie, il y' en aurait jamais de pénurie :p. -
j'allais dire la même chose sur le prix du litre, assez surprenant cette hausse alors qu'absolument rien la motive...
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dolores a écrit, le 2010-02-24 21:39:17 : Quand à la pseudo-pénurie...
Si les moteurs fonctionnaient à la connerie, il y' en aurait jamais de pénurie :p.
Tu as raison. En plus, c'est une énergie renouvelable, et sans limites. -
Les prix à la pompe poursuivent leur ascension
Le prix de l'essence devrait continuer à augmenter pour les automobilistes. Le gazole a atteint 1,26 euro, contre 1,44 euro en 2008..
Les temps sont durs pour les automobilistes. Les prix à la pompe sont désormais durablement installés au sommet, de plus en plus près des records de l'été 2008, quand le baril tutoyait les 150 dollars. Selon les derniers relevés du ministère de l'Économie et des Finances, le super sans plomb 95 (SP95) se vend en moyenne à 1,44 euro le litre, avec le record de 1,49 euro, atteint en juillet 2008, en ligne de mire. Quant au gazole, il atteint actuellement 1,26 euro, contre 1,44 euro en 2008. Sur le réseau Total (Total plus Elf, y compris les stations sur autoroute), le SP 95 s'élève à 1,49 euro contre 1,445 à la mi-décembre. Le gazole pointe à 1,32 euro contre 1,264 un mois auparavant. Pour le moment, cette accélération ne s'est pas traduite par une baisse des achats de carburants.
«Même s'il est toujours délicat de faire des pronostics, les prix des produits pétroliers devraient continuer à grimper. La demande mondiale de brut, qui a atteint un niveau record en 2010, va continuer d'augmenter de l'ordre de 1,5% en 2011 pour atteindre près de 89 millions de barils par jour (Mbj)», commente Jean-Louis Schilansky, le président de l'Union française des industries pétrolières (Ufip). L'affaiblissement de l'euro face au dollar est aussi largement responsable de l'inflation dans les stations-service: «Si le prix actuel du baril en dollars est loin de celui de 2008 -92 dollars contre 145-, l'écart se resserre considérablement en euros: le baril coûte actuellement 72 euros, contre 90 il y a deux ans et demi», poursuit Jean-Louis Schilansky.
TIPP régionalisée
Le président de l'Ufip met également en exergue d'autres éléments qui pèsent à la pompe: «Depuis le 1er janvier 2011, la taxe intérieure sur les produits pétroliers (TIPP) régionalisée a augmenté dans 17 régions. Parallèlement, les prix des biocarburants se sont appréciés. Enfin, il y a l'impact des certificats d'économies d'énergie. Mis bout à bout, ces facteurs représentent en moyenne trois centimes d'euro supplémentaires par litre.» Dans le cas de ces certificats, les distributeurs de carburants, depuis le 1er janvier 2011, ont une obligation d'économies d'énergie qui se traduit par un surcoût.
Les pouvoirs publics, même s'ils n'ont pas encore incité publiquement les opérateurs à faire preuve de modération, suivent de très près la situation. Leur discours est bien rodé: il s'agit notamment d'inciter les distributeurs à répercuter moins vite l'augmentation des cours du pétrole que leur repli. D'une manière générale, il faut environ une dizaine de jours avant que les variations du baril ne trouvent une traduction à la pompe.
Réjouissons nous, ce n'est que le début ... (-) -
D'ailleurs j'ai halluciné hier en faisant le plein.
1,479€ le litre de SP95...
Il me semble qu'au Luxembourg, ça tourne autour de 1,23€. -
Na! Naa! Hèsch net geträimt! 's esch wohr!
Ici, enfin dans mon quartier, le super est à 1,519 €
Ah! Le prix du baril est encore loin de son record du 02.07.2008 à 144 $. Il y en a qui se font vraiment des couilles en or. Ils prétendent avoir terriblement souffert de la crise.
Mon oeil, oui, la demande de pétrole n'a jamais réellement baissé.
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