Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Centre de formation

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Flux RSS 1647 messages · 350.865 lectures · Premier message par steel · Dernier message par chrisneudorf

  • Budget annuel moyen d'un centre de formation : 2M€.
    Sources FFF et L'Équipe Magazine — Dossier "La formation sens dessus dessous" 13/09

    Rennes (CF numéro 1 depuis qq années) serait à 10 % du budget soit environ 4.2 m.

    Le budget du centre du RCS c'est environ combien ?
  • Je vous invite à regarder les classements des différents clubs au niveau de leur centre de formation. Des clubs comme Le Havre, Sochaux et Montpellier ont un centre de formation très réputé et pourtant ils n'ont pas une "stature" plus élevée que la nôtre.
  • guigues a écrit, le 2010-05-18 15:06:38 :
    katzo68 a écrit, le 2010-05-18 05:14:48 :


    Depuis quatre ans, jamais les différentes composantes du club n'ont récité leurs gammes en harmonie. La relégation en National est la fausse note finale.




    Je pense que tout est dit (au lieu de 4 je mettrais ... 30 ans).


    Non. Le centre de formation fonctionnait très bien avant cela et on aura beau le répéter, malgré la relégation, Ginestet a hérité d'un véritable bijou pour 3 fois rien.
  • cet article de l'Alsace est trés intéressant et prouve une nouvelle fois que Ginestet s'enfoutait de l'avis des techniciens, ceux qui sont sur le terrain, pour suivre celui de son recruteur préféré, son frère (qui a été d'une grande compétence ....!!!), et d'un de ses "potes" Camadini..., bref c'était le système du copinage qui l'emportait.
    Avec LARGUET on avait réussi à attirer l'un des meilleurs formateurs de France auquel Ginestet n'a pas donné les moyens, et qui a préféré partir plutôt que de cautionner une politique sportive qui a mené le club en National.... C'était déjà le début de la fin...!
  • Un ping-pong à balles réelles

    http://www.lalsace.fr/fr/images/get.aspx?iMedia=18518259

    Thierry Wendling (ici à gauche, en compagnie de l'autre actionnaire minoritaire alsacien Dominique Pignatelli) monte à son tour au créneau pour défendre le centre de formation. Archives J-M Loos
    Après la sortie musclée de l'entraîneur de la réserve François Keller et du directeur du centre de formation Jean-Marc Kuentz dans notre édition d'hier, les règlements de compte continuent entre le centre et l'ancienne direction du RCS. Les langues se dénouent après quatre années de non-dits.

    Actionnaire minoritaire alsacien très proche du centre de formation, Thierry Wendling met à son tour les pieds dans le plat et règle ses comptes avec l'ancien président délégué Jean-Luc Herzog, bras droit de Philippe Ginestet pendant trois ans et demi. « J'ai appris au dernier conseil d'administration que non seulement il avait obtenu une indemnité de 200 000 euros pour son départ en décembre, alors qu'il n'a travaillé que trois ans et demi sans réussir à manager le club – j'en veux pour preuve les dissensions entre les divers services évoqués dans « L'Alsace » de ce mardi – mais en plus, il réclame aujourd'hui 7 000 euros de congés payés qu'il n'aurait pas perçus. Au club, tout le monde est archi scandalisé par ça, alors que de nombreux salariés sont menacés de perdre leur emploi. Non seulement le montant de son indemnité de départ est disproportionné par rapport à la durée de sa mission au Racing, mais en plus, exiger 7 000 euros quand une partie des salariés risque d'être licenciée et indemnisée nettement en-deçà des 200 000 euros qu'il a touchés, pose, selon moi, un problème éthique. »

    Refusant de commenter le chiffre évoqué par Thierry Wendling, Jean-Luc Herzog réplique en dénonçant un « procédé mesquin. Ça n'a aucun sens de vouloir opposer des salariés à d'autres. Ma demande sur ces congés payés a été formulée trois semaines avant que le Racing ne soit condamné à la descente en National. Les nouveaux propriétaires n'ont pas respecté un engagement contractuel. Je fais valoir mes droits, c'est tout. Pourquoi opposer des salariés, sachant que ceux qui pourraient être licenciés ces prochains temps seront indemnisés comme ils doivent l'être ? »

    Estimant « le plan social inévitable, parce qu'on ne peut pas maintenir en National le personnel présent à l'époque en Ligue 1 » (Ndlr : avec un budget quatre fois inférieur environ, 8 millions contre 32), l'ancien président délégué corrige certaines informations données dans notre édition d'hier par le directeur du centre de formation Jean-Marc Kuentz. « Le budget du centre a été réduit la première année (2006-2007), de 4 millions à 3,5 environ, à cause de la relégation en Ligue 2. Mais il est totalement inexact de dire qu'il a été dévalué depuis. Ces trois dernières années, il a oscillé entre 3 et 3,5 millions. Il n'a pas bougé d'un iota, avec environ 900 000 euros pour le personnel, 600 000 pour les contrats des jeunes joueurs et le reste pour les frais de fonctionnement. Dire que le nombre de recruteurs a été divisé par deux est faux. »

    Quand Wendling paie de sa poche

    « Je ne veux pas rentrer dans un match de ping-pong et n'entretiendrai pas la polémique indéfiniment », rétorque Jean-Marc Kuentz, « mais les faits sont là. Les kinés travaillaient précédemment 30 heures par semaine chez nous. Jean-Luc Herzog a donné la consigne de réduire leur présence à 20 heures. J'ai aussi dû me séparer de deux recruteurs, Yves Albert et Patrick Martinez. C'était ça ou remercier certains de mes éducateurs. Le budget pour les jeunes joueurs est passé de 750 000 à 540 000 euros. Herzog m'a expressément demandé de réduire les coûts pour arriver à ce montant. Ça aussi, c'est un fait. Et lors de la finale de la Coupe Gambardella 2006 que le Racing a remportée, il a refusé à mon prédécesseur Nasser Larguet de financer le voyage au Stade de France des jeunes et des dirigeants bénévoles du centre. Thierry Wendling l'a payé de sa poche. »

    Cet épisode aurait d'ailleurs achevé de convaincre Nasser Larguet que son avenir n'était plus au RCS, même s'il n'est parti qu'un an plus tard. Et que peut-être, le club n'avait plus d'avenir. Trois après son départ, le Racing est en National.

    L'Alsace
  • katzo68 a écrit, le 2010-05-19 05:08:21 :
    Et lors de la finale de la Coupe Gambardella 2006 que le Racing a remportée, il a refusé à mon prédécesseur Nasser Larguet de financer le voyage au Stade de France des jeunes et des dirigeants bénévoles du centre. Thierry Wendling l'a payé de sa poche. »


    L'esprit Racing, l'esprit club. En gros, on peut aujourd'hui dire que les supporters/spectateurs ont bel et bien été soudoyés en bénéficiant de certains privilèges alors que d'un autre côté on a serré la ceinture sur ce qui était de plus fondamental. C'est simplement aberrant d'en être arrivé à ce niveau de fracture au sein d'une entreprise et que personne n'ait vraiment bronché pendant toutes ces années ! b-(

    Je rejoins aujourd'hui Pignatelli et pense aussi que ce n'est pas du simple cash qui fera qu'on s'en sortira. Il nous faut des personnes compétentes et passionnées par ce club.
  • T'as été soudoyé jamal :-/
    T'as bronché pendant toute ces années :-/
    Tu y connais quelque chose au fonctionnement du centre :-/
  • Rien du tout mais les gens compétents ce sont exprimés sur ce sujet, que ce soit par la démission de Larguet, le coup de gueule de Dugué, de Keller et d'autres techniciens ou bien ?

    Le logo, le stade, les promesses d'écran géant, l'ouverture du capital aux supporters et tout le blabla quotidien était il plus important que de faire des économies sur les réelles compétences du club ?
  • Non je pense également que réduire le budget du centre était une erreur.

    Par contre je n'accuserais pas les supporteurs du Racing d'avoir été soudoyé et je m'inquièterais plus du fait que l'équipe 1 ne soit pas en D1.
    Avant tout le centre paie les pots cassés des résultats sportifs de leurs "grands frères".
  • « Jean-Luc Herzog a refusé des contrats de joueurs que François Keller souhaitait garder pour encadrer l'équipe de CFA, comme Jean-Philippe Djé et Mickaël Bergueira. Un Dje n?aurait pourtant coûté que 700 euros par mois. Et aujourd?hui, on s?étonne que la réserve soit reléguée en CFA 2 ? » De Thierry Wendling, actionnaire minoritaire du RCS

    Ceci n'est qu'un exemple de gestion parmi tant d'autres (remember Farez Brahmia). Le contraste entre cet évènement et le prix du retour au logo ne te choque pas ? Que représente pour toi quoi ce logo au juste ? Que représente t-il pour ton père spirituel au juste, à savoir Ginestet ?
    Quand on lit que les bénévoles et les jeunes du centre se sont vus refusés un voyage sur Paname pour la finale gambardella, n'est il pas légitime de supposer avec insistance que tout le reste n'était qu'une simple mascarade ? C'est ça que représente ton logo, la satisfaction des supporters et uniquement eux ?
  • guigues a écrit, le 2010-05-19 09:25:17 :
    Non je pense également que réduire le budget du centre était une erreur.


    ;)
  • Ma réponse incluait toutes tes questions en fait. Pour schématiser, retour du logo = mascarade politique se faire mousser.
    Bref...
  • Si tu veux parler du logo.
    Retour au logo = obligatoire pour des raisons historiques, esthétiques et d'éthique. Nous avons joué pendant trop longtemps avec un infâme Pacman parce que Proisy voulait faire une marque "RCS" et avait entrepris de détruire tout ce qui avait construit au club depuis 90 ans.

    Le retour au logo historique n'a pas empêché JPP de remonter ni les jeunes de sortir du centre de formation.
    Il stigmatise peut être le coté "politique" de Ginestet mais cette décision était la seule qui vaille.
  • Ton exemple avec JPP est vraiment un raccourci facile et tu le sais. On parle de politique à long terme, des vivres qu'on a coupé aux compétences du Racing.
    Le logo représente effectivement ce que tu viens de décrire mais cette définition est elle réellement en adéquation avec la politique d'entreprise menée par l'ancien président ?
    Je m'étonne vraiment que ce contraste ne te soit pas flagrant tout comme un paquet d'autres.
  • sedna a écrit, le 2008-05-09 22:28:13 :
    En effet cette année, alors que pourtant le Racing retrouvait la ligue 1 et ses revenus de droits TV, on a déjà fait des coupes sombres dans le budget alloué au centre. Il est à craindre qu'avec la descente, cela s'aggrave encore et durablement, même en cas de remontée immédiate. Ce qui sera grave pour notre club qui a besoin, vu ses moyens limités pour son recrutement, d'intégrer chaque année entre un à trois joueurs issus du centre. Sans compter les revenus qu'il peut tirer de la vente des contrats des espoirs ayant suffisamment confirmé pour obtenir des propositions de clubs plus fortunés.


    sedna a écrit, le 2009-06-05 07:55:21 :
    profitons des derniers jeunes de qualité pour nous aider à remonter avant qu'il ne faille les brader pour renflouer une dernière fois les caisses.
    C'est le centre qui nous a permis jusqu'à présent de rester à flot et de maintenir un certain rang. Le sacrifier, c'est à terme condamner le Racing à l'anonymat de la L2, voire pire...



    C'est vraiment dur d'avoir eu raison...
  • Herzog sort ses chiffres.

    Accusé par les techniciens du centre de formation d'avoir sévèrement taillé dans le budget de fonctionnement dudit centre, l'ancien président délégué Jean-Luc Herzog persiste et signe : « Le budget du centre de formation du Racing, d'environ 3 millions, est l'un des dix premiers de France. En Ligue 2, seul Nantes, qui était resté en configuration Ligue 1, avait un budget supérieur pour sa formation. Demandez à Jean-Claude Plessis, mais même Sochaux n'a pas davantage. Beaucoup de clubs en France rêveraient de disposer d'une telle somme. »

    L'Alsace
  • Le jeune préparateur physique du centre, Sébastien Chinelli, proche de Jacky Canosi, devrait être affecté au groupe pro, ce qui laisse planer un doute sur l'avenir de l'actuel titulaire du poste, Jean-Claude Thiry, sous la menace depuis six mois déjà.

    L'Alsace
  • d'après le site de la LAFA (actualité): Kirch, De Jong et Nantas quittent le RCS
  • Le problème c'est que, à cause de Ginestet, nos jeunes sont vendus pour remplir les caisses et payer des Kébé, Khiter, Romulo et autres...Ils sont gaspillés!!!Si aujourd'hui on est en national c'est aussi parce que la relève est vendu, où sont nos Carlier, Gameiro, Bellaid, Schneiderlin,....Sans parler de ceux qui n'ont pas eu leur chances : Tritz, Kirch, Nantas, Bergueira, Ekwé-Ebélé,...
    Merde le joueur que je regrette le plus c'est Gameiro...On serait dans les 7 premiers de ligue 1 si on avait su conservé nos superbes joueurs qu'on avait...
  • Dans les 7 premiers de L1 :)) (+)

    Je sais pas ce que tu prends, mais c'est de la bonne :D

    Mis à part Gameiro, aucun des joueurs formés au Racing ne joue les premiers rôles, ni en L1, ni dans les championnats étrangers de niveau équivalents. Il serait temps de revenir sur terre et de voir les autres plus beau qu'ils ne sont :-B
  • Karim Matmour
  • Quand je disais 7 premiers de L1...Je prenais aussi en compte les joueurs bons joueurs qui avait de l'ancienneté, tel que Boka :(( , Kanté :(( , Pagis :(( , Niang :(( , Haggui :(( , les Farnerud :(( , et bien d'autres....Triste racing...tombé bien bas
  • jean pierre laverny entraineur des 17nat va etre remercié .le budget du centre est revu a la baisse .La scolarité au centre sera supprimée pour les 1ere .il vaut mieux etre ami avec le directeur en ce moment .un de ses proches reconnu pour son incompetence sera a ces cotés l'an prochain.AH LALSACE!!!!!!!!!
  • jean francois marchal le plus grand faineant du centre et qui fait rire tout les educateurs mais qui est le fils de son pere monte en grade.ah monsieur kuentz quelle tristesse de vous voir agir ainsi
  • Mais qu'est-ce que tu racontes? #-o
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