Dopage
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mouloungoalMutu contrôlé positif
L'attaquant international roumain de la Fiorentina, Adrian Mutu, a été contrôlé positif à la sibutramine (un stimulant) à l'issue du match de Championnat contre Bari le 10 janvier à Florence, a annoncé jeudi le Comité olympique italien. Il risque d'être suspendu entre 1 et 4 ans. Le joueur avait déjà été contrôlé positif à la cocaïne en 2004, ce qui lui avait valu sept mois de suspension.
lequipe.fr -
Je suis triste parce que j'aime beaucoup les qualités de ce joueur.
Sauf la volonté de se doper.. quand même chopé deux fois ça fait beaucoup. -
En meme temps il prend enormement de risque, le mec se fait choper et il continue... Il y a des fois j'ai du mal à suivre la mentalité de certains athletes...
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c'est un bon joueur c'est dommage qu'un joueur de son niveau est recour au dopage (surtout que la ca fait 2 fois
)
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Petit sondage :)) :
La FIFA ne croit pas au dopage dans le football. Pourquoi, selon vous?
- 1 Le gel capillaire ne contient pas d'anabolisants
- 2 Cristiano Ronaldo a juste besoin de ses 3.000 abdos par jour pour faire ses 60 matches par an
- 3 Fred Godard a confisqué tous les produits
- 4 Lors d'un test sur le Tour de France, Lassana Diarra n'a fini que sixième à l'arrivée de l'Alpe-d'Huez
- 5 L'argent fait courir les footballeurs bien plus vite que n'importe quelle substance
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mouloungoal a écrit, le 2010-01-28 15:42:31 : Mutu contrôlé positif
L'attaquant international roumain de la Fiorentina, Adrian Mutu, a été contrôlé positif à la sibutramine (un stimulant) à l'issue du match de Championnat contre Bari le 10 janvier à Florence, a annoncé jeudi le Comité olympique italien. Il risque d'être suspendu entre 1 et 4 ans. Le joueur avait déjà été contrôlé positif à la cocaïne en 2004, ce qui lui avait valu sept mois de suspension.
lequipe.fr
Mutu suspendu 9 mois
Le Comité Olympique National Italien a condamné ce lundi Adrian Mutu a neuf mois de suspension. L"attaquant roumain de la Fiorentina avait été contrôlé positif à la sibutramine, une mollécule qui provoque une diminution de l'appétit, proche des amphétamines. Ces contrôles avaient été effectués lors d'un match de championnat contre Bari le 10 janvier, puis contre la Lazio, le 20, en Coupe d'Italie.
France Football -
Walter Flores suspendu deux ans
Après avoir été contrôlé positif à la cocaïne lors de la Coupe Libertadores en avril, le milieu de terrain bolivien Walter Flores s'est vu recevoir une suspension de deux ans par la Confédération sud-américaine de Football (Conmebol). Le milieud e terrain ne pourra plus évoluer avec la sélection nationale de la Bolivie. «Le joueur (Flores) est suspendu pour les matches organisés par la Conmebol. Cela signifie qu'il est sanctionné seulement pour les rencontres internationales», a précisé le secrétaire général de la FBF, Pedro Zambrano. (Avec AFP)
L'Equipe.fr -
Et s'ils s'étaient dopés ? France Football 25/08/2010 07:58
Son livre va avoir l'effet d'une bombe dans le football français ! Jean-Pierre Paclet, ancien médecin de l'équipe de France, sort «L'Implosion» ce jeudi dans les kiosques. Un document qui révèle notamment des analyses de sang suspectes en 1998 (Photo Presse-Sports). «Des analyses de sang ont révélé des anomalies sur plusieurs Bleus juste avant la Coupe du Monde 1998. On peut avoir de forts soupçons quand on connaît les clubs où certains joueurs évoluaient, notamment ceux du championnat en Italie», extrait Le Parisien.
«Il n'y avait pas de preuves»
Mais pour l'ancien médecin de l'équipe de France, c'est une chose que «tout le monde sait. Je n'ai rien inventé, précise-t-il. Avoir un taux d'hématocrites élevé ne prouvait pas qu'ils avaient pris de l'EPO. Comme il n'y avait pas de preuves, on ne les a pas embêtés. Mon collègue de la Juventus Agricola a quand même été condamné par la justice italienne avant d'être acquitté. C'est de notoriété publique qu'il y avait des pratiques pour le moins limites à la Juventus à l'époque». Autrement dit, les premiers visés seraient Didier Deschamps et Zinedine Zidane.
Le jour où Domenech perd le contrôle...
On y apprend que ce dernier aurait été insulté à de nombreuses reprise par Materazzi, tout comme l'ancien médecin des Bleus, pendant qu'il se faisait soigner lors de la finale contre l'Italie en 2006 : «Tu ne sers à rien, docteur de merde. Il est mort, le vieux. Tu comprends, il est mort», aurait lancé le défenseur italien. Paclet révèle également que Vieira souhaitait prendre des produits suspects pour jouer absolument l'Euro 2008 alors qu'il était victime d'une lésion sur cinq centimètres avec saignement à la cuisse gauche. Il dévoile aussi que Thuram aurait refusé de jouer un autre match après le 13 juin 2008 et la défaite (4-1) contre les Pays-Bas. Enfin, Paclet revient sur le jour où Raymond Domenech, lors d'un entraînement à la veille de Roumanie-France le 4 septembre 2009, a perdu le contrôle des Bleus. On y apprend que Thierry Henry, lassé des reproches de son ancien sélectionneur, lui aurait ainsi lancé, au nom de l'équipe de France : «Nous aussi, on a quelque chose à vous dire. On reste sur notre faim. On s'emmerde pendant vos entraînements...» -
Ouch. C'est énorme... Si le dopage s'invite à la fête, on n'en a pas fini des polémiques à rebondissement et j'imagine qu'il y a évidemment beaucoup de matière puisque les contrôles anti-dopage ne permettent pas de déceler les produits "de fonds" qui peuvent être pris loin des échéances sportives pour améliorer la condition physique.
Personnellement, avec le recul (et la confirmation de médecins et d'amis qui ont pu discuter avec un membre du staf), je trouve très suspect l'abandon de Lassana Diarra pour cause de Drépanocytose "imprévisible" qui se serait révélée avec l'altitude lors du stage de préparation... -
Cereceda contrôlé positif
Roberto Cereceda, défenseur international chilien du club de Colo Colo, a été contrôlé positif à la cocaïne. Il risque deux ans de suspension.
La contre-expertise a confirmé la première analyse effectuée le 17 août dernier lors d'un match de la Copa Sudamericana sur le joueur chilien, actuellement en tournée avec la sélection aux Emirats arabes unis
Eurosport -
"Dopage dans le football", de Jean-Pierre de Mondenard : ballon rond et culture de la piqûre
Pour ceux qui pensent encore que le dopage est un fléau qui frappe uniquement les cyclistes, de préférence espagnols, le livre de Jean-Pierre de Mondenard constituera une utile piqûre de rappel. Pas de révélations fracassantes, mais une savante et édifiante compilation d'informations qui montre que football et dopage font bon ménage, contrairement à ce que prétendent et répètent les autorités du ballon rond.
Auteur en 2004 d'un précieux Dictionnaire du dopage (Masson), le docteur Jean-Pierre de Mondenard, ancien médecin du Tour de France, consigne soigneusement, depuis plus de trente ans, les articles mentionnant des faits de dopage dans le sport roi. Il a ainsi exhumé une interview que la légende du football allemand, Franz Beckenbauer, avait accordée au magazine Stern en 1977. Extrait : "En ce qui me concerne personnellement, j'ai une méthode particulière pour demeurer au top niveau : l'injection de mon propre sang. Ainsi, plusieurs fois par mois, mon ami Manfred Koehnlechner me fait une prise de sang à un bras pour injecter ce même sang dans une fesse."
C'est qu'en matière de dopage les footballeurs n'ont jamais été en retard sur les autres sportifs. Une récente étude universitaire allemande a ainsi révélé que les "héros de Berne", à savoir les joueurs de la Nationalmannschaft, victorieux du Mondial 1954 en Suisse aux dépens des grands favoris hongrois, avaient reçu des injections de Pervitin, une métamphétamine. Depuis, les techniques de dopage, comme les méthodes d'entraînement, se sont professionnalisées.
User et abuser d'EPO
L'enquête du juge italien Rafaele Guariniello sur les pratiques médicales en vigueur à la Juventus Turin entre 1994 et 1998 a mis en évidence que, pendant cette période faste (trois championnats d'Italie et une Ligue des champions, notamment), le médecin de l'équipe avait développé un usage "intensif et systématique" de l'érythropoïétine (EPO) et des transfusions sanguines pour améliorer les performances des joueurs.
Mais la culture de la piqûre ne s'est pas arrêtée à la porte des clubs français. Dans son autobiographie, publiée en 2005, "l'ange vert" Dominique Rocheteau confesse : "A Saint-Etienne, les médecins du club nous prescrivaient de temps en temps des piqûres de vitamines pour nous donner un coup de fouet avant une rencontre importante." Deux ans plus tôt, c'est l'Irlandais Tony Cascarino, avant-centre de l'OM de 1994 à 1997, qui passe aux confidences dans le Times de Londres : "Après ces injections, je me sentais plus affûté, plus énergique, prêt à mordre le ballon. Si on avait découvert un produit illégal, j'aurais accepté la sanction. C'était un risque que j'étais prêt à prendre."
Sauf que les footballeurs, contrairement à d'autres sportifs comme les cyclistes ou les athlètes, ont très peu de chances de se faire rattraper par la patrouille. Depuis le Mondial 1966 en Angleterre, date du premier contrôle antidopage lors d'une Coupe du monde, seuls trois cas ont été déclarés positifs, soit 0,11 % des 2 854 tests réalisés.
Avant le Mondial 2010 en Afrique du Sud, le médecin-chef de la Fédération internationale de football (FIFA), Jiri Dvorak, promettait "une fête du football sans blessure ni dopage". Mais pour Jean-Pierre de Mondenard, la faiblesse du dispositif antidopage de la FIFA aurait permis aux joueurs d'user et d'abuser d'EPO en microdoses ou d'autotransfusions sanguines sans risque de se faire contrôler positif.
Source:le monde.fr
Le kaiser Frantz qui se comporte comme un vulgaire Lance Armstrong. :( -
J'attends avec impatience les réactions de tous ceux qui viennent cracher sur le cyclisme sur les topics idoines, sur lors du Tour de France
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Pas franchement étonné (depuis les années, "c'est la combine à nanard" ), mais j'attends de voir si ça va réellement faire bouger les choses.
Oh oui, oh les méchants footballeurs, bouh les méchants
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Je ne dis pas que les footballeurs sont plus "méchants" que les cyclistes, mais je voulais juste souligner par mon post, que chaque année lors du Tour de France, certains stubistes viennent poster sur le topic dudit Tour, pour dire " de toute façon, tous dopés" etc, comme s'il n'y avait pas de dopages dans d'autres sports et en particulier dans le foot. Il ne faut pas se voiler la face, le dopage existe dans la grosse majorité des sports, cyclisme ou football ou autre, quand on voit que même des chevaux, lors des JO à Athènes, avaient été contrôlés positifs lors des épreuves d'équitation .
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C'était pseudo ironique. Le dopage c'est mal et dangereux, les enfants ne faitent pas ça chez vous. Je tournais plus ma phrase dans la dérision du fait que les footballeurs se dédouaneront comme certains l'ont déjà fait "je voulais pas le faire, mais c'est le patron qui l'ordonnait, j'avais pas le choix".
Evidemment je suis du même avis, que ceux qui crachent sur les épreuves cyclistes, notamment le Tour de France peuvent se remettre en question à la lecture des révélations qui se font déjà depuis quelques temps.
Ca me rappelle les athlètes russes dans les anciens JO
, des Schwarzy en puissance !
Comment veux tu encore que les jeunes y croyent et se donnent à fond dans leur sport et leur passion à chaques révélations ? -
Ok alors effectivement j'avais mal compris
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Ahh la fougue de la jeunesse :)
Je reste convaincu que cette histoire de dopage équin est beaucoup plus ancienne notamment en France (paris sportifs, la magouille, tout ça).
Mais bon, vive le Sport, comme dirait l'autre... -
Fort possible d'autant plus que les courses de chevaux drainent énormément d'argent. Je me souviens notamment de cette histoire aux JO car la France avait, si je ne me trompe pas, récupéré une médaille d'or, car ayant fini 2e, le premier avait été disqualifié pour cause de dopage, je crois d'ailleurs qu'il s'agissait d'un cheval allemand.
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nicky a écrit, le 2010-12-12 22:58:27 : J'attends avec impatience les réactions de tous ceux qui viennent cracher sur le cyclisme sur les topics idoines, sur lors du Tour de France
Si c'est moi que tu vises, saches que je ne fustige pas que le dopage dans le cyclisme.
Depuis toujours je suis persuadé que le dopage est présent dans TOUS les sports de haut niveau (foot, golf, basket, F1...) et même dans certains niveaux amateurs (pour l'instant je n'en ai eu écho que dans le cyclisme, mais ça doit exister dans d'autres sports aussi).
Ce qui me dérange, ce n'est pas que les athlètes se dopent.
A la limite ils font ce qu'ils veulent de leur vie.
Non, ce qui me dérange c'est que les instances dirigeantes nous prennent pour des jambons en nous affirmant haut et fort que leur soprt et propre. -
Serions nous clairement prêts à affirmer le contraire, si nous étions à leur place?
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Oui
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samh a écrit, le 2010-12-14 06:53:32 : nicky a écrit, le 2010-12-12 22:58:27 : J'attends avec impatience les réactions de tous ceux qui viennent cracher sur le cyclisme sur les topics idoines, sur lors du Tour de France
Si c'est moi que tu vises, saches que je ne fustige pas que le dopage dans le cyclisme.
Depuis toujours je suis persuadé que le dopage est présent dans TOUS les sports de haut niveau (foot, golf, basket, F1...) et même dans certains niveaux amateurs (pour l'instant je n'en ai eu écho que dans le cyclisme, mais ça doit exister dans d'autres sports aussi).
Ce qui me dérange, ce n'est pas que les athlètes se dopent.
A la limite ils font ce qu'ils veulent de leur vie.
Non, ce qui me dérange c'est que les instances dirigeantes nous prennent pour des jambons en nous affirmant haut et fort que leur soprt et propre.
Franchement, non c'était pas toi que je visais
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D'ailleurs en parlant de dopage :
L'Espagne doit-elle avoir peur de Fuentes?
Quand Fuentes menace...
"Si je dis tout ce que je sais, adieu la Coupe du monde et l'Euro." Selon le journal El Mundo, le Dr Fuentes aurait prononcé ces mots en forme de menace. Déjà mis en cause dans des scandales de dopage dans les milieux du cyclisme et de l'athlétisme, peut-il faire trembler le football ibérique?
Le cyclisme, l'athlétisme, et bientôt le football? Il y a quatre ans et demi, le grand public espagnol découvrait le Docteur Eufemiano Fuentes. Personnage au coeur de l'affaire Puerto, qui a fait tomber bon nombre de coureurs cyclistes pour dopage, dont Jan Ullrich et Ivan Basso, Fuentes, surnommé Docteur Doping de l'autre côté des Pyrénées, est revenu au coeur de l'actualité la semaine dernière, lorsqu'il a été interpellé avec 12 autres personnes dans l'opération Galgo, destinée à démanteler un réseau de trafic de produits dopants, dans le milieu de l'athlétisme, cette fois.
Alors, pourquoi le football? Parce que Fuentes aurait lâché une petite phrase dans laquelle il menacerait de faire des révélations concernant le football espagnol. Le quotidien El Mundo a publié hier des propos attribués au médecin, que celui-ci aurait tenus à un codétenu, ce week-end, dans la prison madrilène où il est incarcéré. "Si je dis tout ce que je sais, nous pouvons dire adieu à la Coupe du monde et à l'Euro", aurait dit Fuentes. Une petite bombe, même si personne, en Espagne, ne semble pour l'instant accorder un réel crédit aux dires du médecin.
Xavi: "Il n'y a aucun type de dopage dans notre sport"
Ce n'est pas la première fois que le Dr Fuentes laisse entendre que des footballeurs comptaient parmi ses clients. En décembre 2006, dans un entretien accordé au journal Le Monde, il avait expliqué que ses états de service ne concernaient pas uniquement des cyclistes. "Evidemment, j'ai eu d'autres sportifs comme clients: athlètes, joueurs de tennis, footballeurs, joueurs de handball, boxeurs...". Mais, avait-il ajouté, devant les "menaces de mort", dont il faisait l'objet, il avait renoncé à donner des noms. Le Monde était allé plus loin, en publiant des documents portant le soupçon sur le FC Barcelone et le Real Madrid. Les deux clubs avaient attaqué le quotidien français pour diffamation et, en première instance, ils ont obtenu gain de cause devant les tribunaux.
A l'époque, le ministre des Sports espagnol, Jaime Lissavetsky, avait balayé ces propos d'un revers de main, affirmant que l'affaire Puerto se limitait au seul cyclisme et que rien ne permettait d'établir que le Dr Fuentes travaillait avec d'autres sportifs. On se souvient également que Jesus Manzano, coureur pris par la patrouille en 2004, avait dès cette époque dévoilé les pratiques de Fuentes, tout en expliquant qu'il n'avait pas croisé dans son cabinet que des cyclistes, mais aussi "des joueurs de football de première division". Mais là encore, aucun nom n'avait été donné par Manzano, et personne n'a vraiment accordé d'intérêt à ses déclarations.
Aujourd'hui, quel impact peut avoir la petite phrase de Fuentes? Il reste d'abord à vérifier l'authenticité de ses paroles. Mais la famille du football espagnol n'a pas attendu plus longtemps pour réagir et apporter un démenti clair et net à ces allégations. "Depuis 43 ans que je suis dans le football, a confié le sélectionneur des champions du monde, Vicente Del Bosque, je n'ai jamais rien vu de suspect, ni vu personne tricher de cette façon." Dans le quotidien Sport, Xavi, le milieu de terrain du Barça et de la sélection espagnole, s'est voulu serein. "C'est triste toutes ces histoires qui touchent le sport espagnol. Mais nous pouvons affirmer qu'il n'y a aucun type de dopage dans notre sport, que nous avons remporté le mondial avec la certitude qu'il n'y a eu aucun joueur dopé, a-t-il assuré. Nous sommes tranquilles, il n'y a aucun problème. Je rappelle que les joueurs sont contrôlés constamment." Le démenti est ferme, mais le dernier argument n'est pas forcément le plus convaincant.
Eurosport.
Moi aujourd'hui, plus rien ne m'étonne. -
Kolo Touré suspendu
Contrôlé positif à une substance «spécifique», le défenseur de Manchester City, Kolo Touré, a été suspendu par son club pour une durée indéterminée.
Manchester City a annoncé jeudi avoir suspendu son défenseur Kolo Touré, contrôlé positif à une substance «spécifique» après l'analyse de l'échantillon A. L'international ivoirien, âgé de 29 ans, ne disputera donc plus de match avec l'équipe première pour la durée de la procédure légale. Le club refuse pour l'instant de livrer tout commentaire sur le dossier, comme le stipule un bref communiqué sur son site officiel. Ancien capitaine des Citizens, Kolo Touré était arrivé en provenance d'Arsenal en juillet 2009.
Selon les textes de l'Agence mondiale antidopage, le terme de «substance spécifique» concerne une substance «susceptible d'avoir une explication non-liée au dopage». Les sanctions de l'AMA après un contrôle positif vont du simple avertissement à la suspension pour une durée de deux ans. (Rédaction)
L'Equipe.fr -
LE MONDE
L'équipe d'Algérie des années 80 a-t-elle été dopée à son insu ?
L'affaire pourrait faire grand bruit. Plusieurs footballeurs algériens ayant participé aux Coupes du monde de 1982 et de 1986 évoquent publiquement le lien entre les médicaments consommés lors des stages et les handicaps de leurs enfants.
"Nous avons décidé d'évoquer publiquement cette affaire lorsque nous avons découvert qu'il y avait pas moins de huit ex-internationaux qui ont engendré des handicapés", a ainsi déclaré, mercredi 16 novembre, l'ancien défenseur Mohamed Chaïb, père de trois filles handicapées. "Nous avons des doutes sérieux sur les effets des médicaments que nous consommions lors des stages de préparation. Nous voulons juste la vérité", poursuit Mohamed Chaïb.
Djamel Menad, un des "Fennecs" qui avaient participé au Mondial 1986 au Mexique, a quant à lui donné naissance à une fille souffrant d'une agnésie du corps calleux, qui entraîne essentiellement une faiblesse musculaire et des crises d'épilepsie. "Depuis que j'ai découvert que je n'étais pas le seul, j'ai commencé à me poser des questions", affirme-t-il. Pour l'ancien buteur de l'équipe algérienne, le fait que plusieurs joueurs de la même génération ont eu des enfants handicapés n'est pas "une coïncidence".
"LE DOUTE PERSISTERA TANT QU'UNE ENQUÊTE N'AURA PAS ÉTÉ OUVERTE"
L'ancien milieu de terrain Mohamed Kaci Saïd, père d'une fille handicapée de 26 ans, demande quant à lui l'ouverture d'une enquête. "Je ne dis pas que nous étions des souris de laboratoire de médecins russes (...) et que nous prenions des dopants à notre insu. Mais le doute persistera tant qu'une enquête n'aura pas été ouverte pour que la vérité soit faite", explique l'ex-international.
L'hypothèse défendue par ces anciens joueurs est toutefois réfutée par l'ancien capitaine de la sélection algérienne à la Coupe du monde de 1982 en Espagne, Ali Fergani. Pour lui, "le nombre de joueurs parents d'enfants handicapés est minime comparé au nombre total de joueurs sélectionnés" entre 1980 et 1990. Ali Fergani dément également la présence de Russes dans l'équipe médicale de la sélection. "Tous les médecins étaient algériens et nous ne prenions pas de médicaments, à part de la vitamine C".
L'entraîneur de l'Algérie au mondial mexicain, Rabah Saâdane, abonde dans le même sens. "Quand je dirigeais la sélection, de 1984 à 1986, il n'y avait pas de médecin européen avec nous", explique-t-il à la presse algérienne. L'ancien sélectionneur précise toutefois qu'entre 1981 et 1988, il y a eu un entraîneur, Evegueni Rogov, et un kinésithérapeute russes. Un entraîneur d'ex-Yougoslavie, Zdravgo Rajkov, a également dirigé l'équipe en 1980. Les autorités algériennes n'ont pour l'instant pas commenté ces accusations
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