Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

L'arnaque "Sportfive" ?

Chargement...

Flux RSS 73 messages · 10.033 lectures · Premier message par deb · Dernier message par il-vecchio

  • Est-ce que certains stubistes lisent "Tonic Magazine"? Si oui, dans leur dernier numéro, 2 pages sont consacrées au Racing, où les journalistes parlent des abonnés, des opérations spéciales pour faire venir du monde, ainsi que des gros soucis financiers auxquels est confronté le club.

    J'aimerais savoir ce que vous en pensez, vous qui lisez ce magazine?
  • C'est quoi comme magazine ? Un truc local ?

    Sinon, tu peux développer l'histoire de Sportfive ?
  • Désolée, c'est un peu long, mais je pense que ça peut en intéresser certains.

    A la fin du printemps, le Racing Club de Strasbourg a confié son secteur commercial à l'un des plus grands spécialistes mondiaux, la société Sportfive. Mais pas plus IMG, lors de la privatisation du club strasbourgeois, que l'ex-protégé de Jean-Claude Darmon n'a l'habitude de jouer les mécènes désintéressés. C'est le volet sportif qui, à terme, devrait en faire les frais.

    Voilà quelques saisons que le football professionnel a relégué l'argent des spectateurs au second plan de ses considé-rations ou, tout au moins, de la plupart d'entre eux. A la Meinau comme ailleurs, 80% à 90% des habitués du samedi soir sont considérés comme des GA, des gentils animateurs, d'une enceinte qui se caractérise néanmoins par une ambiance passablement lugubre.

    Les 5 000 abonnés que le Racing est parvenu à convaincre pour toute une saison restent plutôt bichonnés pour leur importance en matière de décor. Un stade de foot, sans supporters, s'apparente à un " Banana Split " sans chocolat : lourde à digérer en cas de qualité douteuse du fruit. Ainsi s'agit-il, par tous les moyens, d'attirer le gogo dans l'espoir d'assurer l'ambiance pour le bienfait de la minorité qui suscite effectivement l'attention des clubs pros : les partenaires et amateurs de prestations diverses et lucratives. Avec un peu plus de 16 500 spectateurs en moyenne par match pour la saison 2003-2004 (malgré une progression de plus de 1 500 unités), le Racing fait à peine mieux que son classement final au mois de mai (10ème moyenne pour une 13ème place). Dans la hiérarchie urbaine et le taux de rem-plissage de son stade, le bilan est plus médiocre. Et l'on rappelle que certaines opérations spéciales : " match spécial étudiants", " spécial femmes ", " spécial Ligue d'Alsace de Foot ", " spécial agriculteurs " (sic !), " spécial gauchers " (non, on rigole) ont permis de remplir à peu de frais, voire gratuitement, l'enceinte alsacienne. Par là même d'apporter un timide soutien aux hommes d'Antoine Kombouaré, et surtout d'amuser les galeries argentées.
    Avec 4,7 millions d'euros réalisés par son secteur commercial, les dirigeants du Racing ont conclu à l'échec d'une équipe commerciale nommée moins d'un an plus tôt, après le débarquement de Jean-Gilles Lombarde. Et, plutôt que de se mettre en quête de l'oiseau rare capable à lui tout seul d'effacer la déception, le président Gindorf et son équipe ont jeté leur dévolu sur une référence en la matière : la société Sportfive. Société qui était alors présidée par l'inénar-rable et charismatique Jean-Claude Darmon. Le 12 mai, au cours d'une conférence de presse permettant au " grand argentier du foot français " d'assurer un énième numéro de charme, le mariage est scellé pour trois ans.
    Comme dans n'importe quel couple, les plus grandes promesses sont avancées. " Les résultats du Racing, tout le monde s'en fout en France " a indiqué Darmon à cette occasion. " J'envisage un secteur commercial qui devrait rapporter 6 millions d'euros et une place plus importante pour ce club ". Le problème tient dans la position de celui qui avance ces propos. La revente à Advent International par Canal + de Sportfive pour plus de 250 millions d'euro, conduit, un peu plus d'un mois plus tard, Jean-Claude Darmon sur la touche.
    Autant dire que les perspectives envisagées au mois de mai s'apparentent à une belle baudruche complètement dégonflée avant même que l'exercice 2004-2005 ne commence.
    De plus, la nature du contrat ne manque pass de désavantages pour le Racing ", assure un proche du dossier ". Jusqu'à 4,7 millions d'euros, les revenus reviennent en intégralité au club. Entre 4,7 et 5,5 tout revient à Sportfive. Il n'y a qu'au-delà de 5,5 millions d'euros qu'il pourrait se révéler intéressant pour le Racing, puisque 80% des revenus reviendraient au club ". Les premiers bilans ne permettent hélas pas d'envisager une croissance exponentielle.
    Jugez plutôt : En confiant son sort en exclusivité à Sportfive, le Racing s'est en effet privé des partenaires appartenant à d'autres girons importants du marché hexagonal comme Octagon, IMG, Havas et quelques autres.
    Du côté de la Meinau, deux commerciaux sont en charge d'accroître le marketing du Racing. Mais, là encore, les désaffections se révèlent autrement plus nombreuses que les nouveaux partenaires. Milka, Quick, Atac, Buchin ou Tryba, parmi bien d'autres, ont quitté le navire.

    Qui sont les nouveaux ?

    Certes, le nouvel équipementier, Adidas, assure une manne d'argent un peu supérieure (150 000 euros cette saison, puis 200 000 par la suite). Mais surtout en cas de succès. Une victoire en Ligue des Champions (sic !) rapporterait 1,5 million d'euros, une présence en coupe de l'UEFA (également hautement improbable), 300 000 euros. Un triomphe en coupe de la Ligue ou de France 500 000 euros, trois fois moins pour une place de finaliste.
    Au niveau des loges et des salons, le taux de remplissage de 80 % se révèle correct, mais il faut tout de même noter que la logistique (hôtesses, sécurité, restauration) demeure au frais du Racing. Et le comble est sans doute atteint avec la présence d'Europe 2 sur le maillot, à l'extérieur : le partenaire radiophonique a consenti à s'afficher sur la tunique bleue en échange d'un échange marchandise sans risque. A charge pour Sportfive, voire le club, de commercialiser ces espaces, susceptibles de gonfler le chiffre d'affaires du marketing strasbourgeois, sans nécessairement lui assurer des espèces sonnantes et trébu-chantes qui se révèlent pourtant indispen-sables pour espérer le moindre progrès sportif dans l'impitoyable monde du ballon rond.
  • marc a écrit :
    C'est quoi comme magazine ? Un truc local ?


    C'est un magazine d'informations, d'humour et de satire en Alsace du Nord. Je ne pense pas qu'il soit en vente sur Strasbourg.
  • Mouais... c'est dur quand même de dire quoi que ce soit sur ce partenariat avec Sportfive. On a aucun bilan sous les yeux, rien pour en tirer des conclusions. On est pas les seuls à avoir fait appel à eux; De mémoire, des clubs comme Lyon, Monaco, Auxerre et Caen sont sous contrat avec eux...

    Sinon, j'ai cru comprendre que Europe 2 ne payait rien mais offrait simplement des passages radio pour les partenaires du RCS... c'est bien ça ?! Ou j'ai tout compris de travers... ?
  • C'est quoi encore cette histoire... X-( #-o C'est fou, tout ce qui était espoir hier devient inquiétant ou arnaque aujourd'hui! Ce magasine est'il au moins sérieux? :-/
  • Tonic c'est aussi un peu des rumeurs
    Ils font seulement ca pou vendre!!!!
  • tom67 a écrit :
    Tonic c'est aussi un peu des rumeurs
    Ils font seulement ca pou vendre!!!!


    Mon père y est abonné depuis 2 ans, et je ne compte pas le temps en étant simple acheteur, et jamais ils n'ont parlé du Racing, tout simplement parce que ça concerne plus Strasbourg...
    Donc si les auteurs l'ont fait dans ce magazine, je pense qu'il doit y avoir eu une sacré enquête de fond...

    Quant aux rumeurs, as-tu des preuves?
  • Nan
    Mais souvent ce qui il y a dedans
    C'est des gens qui veulent se venger qui le font :)-
  • tom67 a écrit :
    Nan
    Mais souvent ce qui il y a dedans
    C'est des gens qui veulent se venger qui le font :)-


    Maurad? :)) b-(
  • Liberté Egalité
    M.A.U.R.A.D
    :)) :))
  • deb a écrit :
    marc a écrit :
    C'est quoi comme magazine ? Un truc local ?


    C'est un magazine d'informations, d'humour et de satire en Alsace du Nord. Je ne pense pas qu'il soit en vente sur Strasbourg.


    Exact ce magazine du Nord de l'ALsace c'est un fouille merde, il cherche dans les poubelles pour trouver une histoire pour vendre leur torchon, mais ca marche assez bien, donc je pense qu'il y a des chances qu'un jour ca arrive jusqu'à strasbourg.
  • Mais ils ne sont pas con
    Il mettent tous les potins des villages pour faire vendreE
    Et la plupart du temps ceci n'est pas vrai car c'est des personnnes qui veulent se venger qui envoie les articles à ce magazine
    Et ils s'en foutent si c'est vrai ou csi ce n'est pas vrai
    Dans que les personnes curieuses acheteet
    Pour eux aucun problemes
    Mais pur les villages ca fais monter le tension :((
  • Le début de mandat de Jean-Pierre Escalettes à la tête de la Fédération française de football ne commence pas sous les meilleurs auspices. Plus les jours passent et plus l'héritage laissé par Claude Simonet, son prédécesseur, s'avère difficile à gérer.

    Après avoir découvert les comptes dans le rouge, vu débarquer la direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes, sans oublier un cambriolage au siège de de la Fédération, le nouveau président de la FFF doit régler d'urgence un autre dossier épineux : celui de la possible annulation par la justice du contrat signé avec Sportfive, la société de marketing qui gère les intérêts commerciaux de l'équipe de France et de la Coupe de France.

    La justice conteste le fait que le contrat signé en juin 2004 avec Sportfive, pour la période 2006-2010, n'ait fait l'objet d'aucun appel d'offres. Cette juteuse signature avait permis à la FFF d'encaisser 10 millions d'euros et de masquer du même coup un bilan financier désastreux (perte de 2,6 millions d'euros). Si cette affaire fait aujourd'hui tant de bruit, c'est en raison d'une société japonaise de jeux vidéo, en conflit ouvert avec Société Football Promotion, une filiale de Sportfive.

    Sur cette affaire, le jugement du tribunal de grande instance de Paris, rendu le 18 mai 2004, a tenu compte de ces arguments puisqu'il «dit que les contrats de mandat exclusif souscrits par la FFF au profit de la Société Football Promotion pour les périodes 1994-1998 et 1998-2002 sont nuls faute d'appel à la concurrence».

    Suivant ce verdict, la Cour d'appel, qui n'a pas encore fixé la date de son audience, risque donc d'annuler le contrat passé entre Sportfive et la FFF. Un coup dur pour la Fédération française qui devra non seulement rembourser les 10 millions d'euros mais aussi redémarrer à zéro les activités commerciales concernant l'équipe de France et la Coupe de France.

    Source : lequipe.fr
  • Lagardère achète Sportfive pour 865 millions d'euros.

    Le groupe français Lagardère (médias, hautes technologies) a annoncé hier l'aquisition de la société de marketing et de droits sportifs Sportfive, pour un montant de 865 millions d'euros. Cette opération s'inscrit «dans le cadre d'une stratégie de long terme de renforcement de la présence du groupe dans les contenus média à fort potentiel de croissance et à caractère exclusif», indique Lagardère. Sportfive avait été mis en vente cette année par ses propriétaires: Advent International et Goldman Sachs (65% à eux deux) et RTL Group (25%).

    source : l'Alsace
  • Amende de 6,9ME avec Sportfive !

    L'Autorité de la concurrence a indiqué jeudi avoir sanctionné la FFF et la société Sportfive à une amende solidaire de 6,9 millions d'euros «pour s'être entendues afin d'éliminer toute concurrence dans la commercialisation des droits marketing de la Fédération». Le conseil de la concurrence, qui a été remplacé en début d'année par cette Autorité, s'était lui-même auto-saisi à deux reprises dans ce dossier.

    L'autorité financière épingle «des accords exclusifs de très longue durée sans appel à la concurrence» et dit, dans son communiqué, avoir pris «des sanctions à la hauteur de la gravité des pratiques». Cela concerne la gestion des droits des Bleus et de la Coupe de France. «La combinaison de clauses d'exclusivité, de clauses de tacite reconduction et d'indemnité de fin de contrat ainsi que d'avenants de prolongation signés plusieurs années avant l'échéance théorique des contrats présente un caractère anticoncurrentiel dans la mesure où elle a soustrait pendant une très longue période - de 1985 à 2002 pour certains contrats - la commercialisation de ces droits au libre jeu de la concurrence» constate l'Autorité.

    Et quand la FFF a lancé un appel d'offres, en 2001, « l'Autorité a établi que les deux parties en cause se sont concertées, notamment en empêchant un concurrent (Havas Sports) d'obtenir les informations nécessaires au chiffrage de sa proposition, et en négociant, avant et après l'attribution du marché à Sportfive, des modifications substantielles du marché tel qu'initialement prévu.» L'institution créée en janvier 2009 par Bercy relève d'ailleurs que la FFF n'a «pas tenu compte des observations de la Cour des comptes qui avait critiqué l'absence de mise en concurrence». L'amende de la FFF s'élève à 900.000 euros et celle de Sportfive à 6 millions d'euros.

    lequipe.fr
  • Qui gère le marketing du RCS actuellement ? Sportfive, une autre société, le club en direct ?

    150 000 € de la part d'adidas mais c'est ridic :|s
  • Les détails d'un contrat

    Déjà liés depuis 2005, le RCS et Sportfive ont signé un nouveau contrat le 1 er juillet 2008. A l'époque, la société du groupe Lagardère a versé 3 millions d'euros hors taxe au club et en verserait 3 de plus en cas de remontée en L 1.

    Jean-Luc Herzog, alors directeur général du Racing, et Christophe Bouchet, vice-président exécutif de Sportfive, ont paraphé le 1 er juillet 2008 un document de 16 pages, plus trois en annexes. Le club et l'agence de marketing, liés depuis le 19 mai 2005, ont ainsi renouvelé un contrat qui avait déjà précédemment fait l'objet d'un avenant.

    Depuis, Sportfive exploite la marque, le logo et les sigles Racing (hors merchandising), les espaces publicitaires existants ou à créer, y compris sur les supports médias du club (internet, TV, imprimés), les espaces relations publiques dans le stade (loges et sièges business, prévus au nombre de 8 300 dans le défunt projet EuroStadium), le sponsoring maillot et les droits d'exploitation audiovisuelle. Cette liste de droits cédés par le RCS est non exhaustive.

    « Au plus tard jusqu'au 30 juin 2030 »

    En clair, l'entreprise dont Christophe Bouchet est le directeur général administre toute la stratégie marketing et commerciale du club phare du foot alsacien, en disposant, selon le libellé exact du contrat, « de l'indépendance de sa gestion, exclusive de tout lien de subordination ou de représentation sous quelque forme que ce soit vis-à-vis du club. »

    Le 31 juillet 2008, Sportfive a versé au Racing 3 millions d'euros hors taxe en échange de ce nouveau contrat — très — longue durée « valable pour une durée ferme et irrévocable [...] allant au plus tard jusqu'au 30 juin 2030 et au plus tôt jusqu'au terme d'une période de dix saisons entières de participation de l'équipe à la Ligue 1 dans le nouveau stade. »

    L'accord négocié voici bientôt deux ans intègre également un versement complémentaire de 3 millions (toujours hors taxe) dès la remontée en L 1. Un autre — de 4 millions — était prévu avec la réalisation de l'EuroStadium. Mais l'échec du projet piloté par Hammerson l'a rendu caduc.

    En sus de ces montants forfaitaires, Sportfive s'acquitte chaque année auprès du RCS d'une redevance correspondant à 80 % du chiffre d'affaires brut généré par la commercialisation des droits concédés, à l'exception du « naming » pour lequel l'agence reverserait 90 % du CA à concurrence d'un million hors taxe et 85 % au-delà.

    Ce contrat ne peut être dénoncé par l'une des parties qu'à la condition expresse que l'autre ne remplisse pas ses engagements. Sportfive possède aussi un droit de préemption pour sa reconduction s'il s'aligne sur l'offre qu'une autre agence de marketing pourrait faire au club.

    (Source: L'Alsace)

    Merci Ginestet b-(
  • Je n'ai absolument aucune connaissance en terme de contrats de ce type, mais ça ne me parait pas non plus tellement scandaleux ?

    Sportfive s'occupe du côté marketing/commercial, et en échange prélève une partie des recettes qui y sont liés : du coup le Racing fait des économies, et Sportfive a des coûts moins élevés pour la même chose (car c'est son métier, économies d'échelle, connaissance des interlocuteurs, des process, etc...). Bref, ça ressemble à une classique externalisation, dans l'absolu rien de scandaleux.

    En contrepartie, on reçoit 3M€ tout de suite, 3M€ à la montée : je ne suis pas trop capable de dire si ces montants sont cohérents ou non, mais vu la situation du Racing (même si potentiellement grand club français, blablabla) ça ne me parait pas totalement déconnant...
    Je trouve même sain d'avoir placé la seconde "prime" en cas de montée en D1, ça permet un coup de pouce budgétaire dans ce cas, et ça évite de le claquer en Gmandia en D2...

    Le problème bien sûr, c'est la durée du contrat. Et là on voit que le Ginestet devait y croire dur comme fer à son Eurostadium.
    * S'il était construit : 4M€ de bonus + une fin de contrat au bout d'une douzaine d'années (10 ans dans le stade)
    * Sans Eurostadium : pas d'extra-bonus, et un contrat de 20 ans.

    Bref, c'est vraiment ça qui plombe l'ensemble... Ginestet a été trop confiant sur l'Eurostadium (à sa décharge, il avait besoin de financement dans ce cas, donc c'est compréhensible qu'il ait mis en place des deals comme ça), d'où des aspects défavorables à ce contrat...
  • Sport Five c'est pas plus un truc de Keller voir Mac Cormack à la base ? Réponse en haut de page ...

    Je n'ai jamais été fan de ce contrat d'externalisation dont l'apport est pour le moins invisible. Le marketing au racing est toujours aussi nul mais géré depuis Paris avec encore moins de transparence.
    Les termes du contrat ne me semblent pas tellement désavantageux pour le racing mais la forme me laisse perplexe - 10 ans de d1 :O -

    En tout cas Fontenla s'est trouvé un hobby :o)
  • La durée du contrat me semble énorme et n'incite pas la prestataire à se défoncer.
  • Le diable se situe dans les détails, qu'il disait ? b-(
  • roquettesyntaxe a écrit, le 2010-04-13 11:42:37 :
    La durée du contrat me semble énorme et n'incite pas la prestataire à se défoncer.


    En fait, le prestataire a intérêt à se défoncer, puisque plus il fait gagner d'argent au Racing, plus il en gagne... En gros s'il ne fait rien il lâche 3 ou 6M€ dans le vent, s'il bosse bien il peut gagner de l'argent...
    La longue durée du contrat, ça peut lui permettre de gagner plus d'argent (en amortissant les 3 ou 6M€ avant la fin du contrat), mais ça m'étonnerait qu'ils en "gardent sous la semelle" pour autant, en tout cas pas uniquement parce que ils ont un contrat longue durée.

    C'est pas comme une entreprise d'entretien, qui a un contrat a long terme et peut se permettre de ne pas trop en faire, pour ne pas dépenser trop d'argent sachant que la rente est fixe. Là c'est ce qu'ils payent qui est fixe, tout l'argent qu'ils ramènent c'est bénéfique.

    Quant à la longue durée, il faut aussi voir qu'on parle d'une redevance de 3 ou 6M€, concernant le marketing du Racing, ça représente quand même une somme, à l'échelle de ce qu'on doit gagner de ce côté (j'imagine).
    D'autant qu'il faut le replacer dans le contexte de l'Eurostadium...

    Bref, encore une fois, c'est pas sûr que ça soit totalement à notre avantage, mais je suis loin d'être choqué par les conditions. Et puis si on monte en D1, on sera bien content d'avoir les 3M€ de Sportfive ;) (et Sportfive sera aussi bien content d'avoir un peu plus d'exposition pour "son produit" que des matchs contre Laval et Ajaccio)
  • Si j'ai bien compris, la billeterie sera gérée par Sportfive??? Donc l'argent reviendra à Sportfive?

    Est ce que le racing est gagnant dans cet accord? J'aimerais bien savoir ce que signifie "l'externalisation de la billeterie "... :|s :|s plus de billeterie dans les supers-marchés Alsaciens?, plus de billeterie à la Meinau? :|s :|s :|s
  • Non, les billets ne seront en vente qu'au siège de Sportfive, à Paris.
Il faut être inscrit et connecté pour ajouter un commentaire. Déjà inscrit ? Connectez-vous ! Sinon, inscrivez-vous.
Connectés

Voir toute la liste


Stammtisch

Mode fenêtre Archives