L'arnaque "Sportfive" ?
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riri6768Qui a signé : le grand Jean-Luc HERTZOG d'ailleurs il n'a fait que de la M.... -
Ce n'est pas pire que celui qui négocie actuellement ...
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Le contrat était très favorable à l'ancien actionnaire. Certes il hypothéquait les rentrées futures, mais il obtenait immédiatement un chèque de 3 M€ qui permettait d'amoindrir les déficits à combler lors de la revente du club.
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J'ai bien l'impression que Sportfive et sa bande d'avocats ne vont pas lâcher l' affaire aussi facilement, le club sera, à nouveau, perdant dans cette affaire
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Sacré Ginestet tu nous a grandement foutu dans la M...e ! :D
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Tiens : http://www.oboulo.com/service-commercial-sportfive-sein-racing-club-strasbourg-93566.html
6€ pour savoir comment ça marche :)) -
guigues a écrit, le 2010-08-12 09:35:45 : Ce n'est pas pire que celui qui négocie actuellement ...
Mais pas mieux !
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WTF???
("pour faire chier Sportfive", dixit l'Alsace... c'est pour la même raison que tout le club est plombé ?) -
Je vois pas trop concrètement comment ça peut faire chier Sportfive à part faire un coup de bluff...
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Assez exceptionnel ce qui est en train de se passer au RCS. Bientôt Stéphane Fritz le jardinier promu entraineur adjoint et Richard Dorf le concierge est pressenti pour prendre en charge le secteur financier ...
Management par le chaos. Le ridicule qui va bien finir par devenir assassin. -
Je n'ai pas envie de critiquer cette dame qui est du reste sympathique, mais elle va cristallier à nouveau l'attention sur la gestion du club par Carousel et son changement de poste mériterait en effet quelques explications rapides.
J'aime bien l'image du jardinier nommé entraîneur :) -
Mais c'était pas Janin le jardinier ?
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guigues a écrit, le 2010-10-03 19:42:56 : Assez exceptionnel ce qui est en train de se passer au RCS. Bientôt Stéphane Fritz le jardinier promu entraineur adjoint et Richard Dorf le concierge est pressenti pour prendre en charge le secteur financier ...
Management par le chaos. Le ridicule qui va bien finir par devenir assassin.
Avec Jaffar comme président -entraîneur -
Sportfive contre-attaque
L'agence du groupe Lagardère, qui gère le marketing du RCS, a adressé en début de semaine passée une mise en demeure aux dirigeants du club, les sommant de respecter la dizaine de contrats qu'ils avaient dénoncés, notamment celui de l'Alsacienne de restauration. Jafar Hilali a obtempéré hier.
Entre Sportfive et le Racing, la lune de miel, « consommée » sous l'ère Philippe Ginestet, est terminée depuis longtemps. Le nouvel actionnaire majoritaire du RCS, Jafar Hilali, s'est mis en tête de rompre le contrat qui lie les deux parties jusqu'en 2030 (« L'Alsace » du 11 août). Un bail en « béton », évidemment, pour lequel l'agence de marketing, qui gère la régie commerciale et publicitaire depuis 2005, a versé au club, lors du renouvellement de juillet 2008, la coquette somme de 3 millions d'euros (hors taxe).
Mais depuis l'arrivée des Londoniens, les relations de ceux qu'il convient désormais d'appeler les deux antagonistes se sont détériorées. Ces dernières semaines, Hilali et consorts ont dénoncé une dizaine de contrats de partenaires démarchés par Sportfive, dont le principal est celui de l'Alsacienne de restauration qui gérait jusqu'à début août la restauration et les buvettes à l'intérieur de la Meinau (1). L'engagement de cette dernière court encore sur plusieurs années.
Faute d'avoir jusque-là fait entendre raison aux nouveaux propriétaires, la société du groupe Lagardère a quelque peu durci le ton en début de semaine passée. Si les débats n'ont pas encore été portés sur le terrain judiciaire la prochaine étape peut-être si d'aventure, la situation devait à nouveau dégénérer , elle leur a adressé une lettre de mise en demeure. Objet de la missive : « le respect des accords en cours dans le respect des partenaires », selon son directeur général, Christophe Bouchet, ex-président de l'Olympique de Marseille et actuel vice-président de Tours. « Le contrat de Sportfive est une chose. Mais le plus important est de ne pas remettre en cause les deals existant avec les entreprises partenaires. Ce qui se passe est invraisemblable. On ne peut pas tout fouler aux pieds comme le font les dirigeants du Racing. »
Hilali craint-il les coûts ?
Pour revenir sur ces engagements, le RCS se réfugiait derrière le non-renouvellement de la convention avec la Ville, notamment sur la location du stade (Ndlr : la discussion est toujours en cours). Un argument rejeté par Sportfive et Christophe Bouchet, interrogé avant le revirement de Jafar Hilali hier. « Je ne sais pas si avec le club, nous avons atteint un point de non-retour. Il serait facile d'avoir un avis tranché dans un schéma classique. Mais même dans nos prévisions les plus singulières, nous n'aurions jamais imaginé en arriver là. Cette situation ne nous rend pas fébriles, car dans notre job, nous en avons l'habitude. Mais je dois admettre que la façon dont les dirigeants se comportent est inédite. »
Sans recourir à la menace, C. Bouchet ne se départit donc pas d'une certaine fermeté : « Sportfive est là pour aider et accompagner le Racing. Nous avons le savoir-faire, le recul et la sérénité nécessaires. Nous ne sommes pas liés au résultat match par match et c'est pour ça que nous sommes un partenaire en béton. Strasbourg mérite un club de L1. C'est dans cet esprit que nous avons resigné en 2008 (2). Nous ne désespérons pas de faire un boulot en profondeur avec les actionnaires, présents ou à venir. Le désaccord actuel est tellement irrationnel que je pense qu'on ne peut aller que vers plus de rationalité. Il faut s'accrocher. On connaît les problèmes financiers auxquels est confronté le RCS. Aujourd'hui, nous aurions la possibilité juridique de dénoncer le contrat et dire aux dirigeants : « Vous nous devez trois millions. » Mais nous ne sommes pas là pour asphyxier le club et contrairement à d'autres, nous ne nous comportons pas en irresponsables. »
« Quand il va s'apercevoir de ce que ça risque de lui coûter, Jafar Hilali va reculer, comme avec les salariés qu'il a réintégrés après avoir pris conscience du montant de leurs indemnités de licenciements », pronostiquait il y a quelques jours un observateur avisé de la vie du RCS. Depuis, sa prédiction s'est révélée exacte : hier, Hilali a, sans en référer directement à Sportfive, signifié à l'Alsacienne de restauration qu'elle reprendrait possession des buvettes dès samedi contre Alfortville. Dans l'après-midi, le président Jean-Claude Plessis a annoncé à Jean-Noël Roth, directeur commercial de l'agence à Strasbourg, qu'il signerait aujourd'hui tous les contrats en souffrance. Une énième volte face qui n'étonnera personne. Celui qui monte sur un ring doit le faire avec le courage et la force d'encaisser coups et coûts. Grand adepte du combat frontal, Jafar Hilali finit souvent par devenir maître de l'esquive quand l'adversaire est de taille et lui rend coups pour coûts.
Stéphane Godin
(1) Par souci d'économie, la direction du club a aussi mis un terme aux engagements de deux sociétés prestataires de services, Dalkia (qui gérait toute la maintenance électrique et de chauffage de la Meinau) et ISS (la société de nettoyage du stade). Ces ruptures pourraient évidemment avoir une incidence sur leurs contrats de partenariat, puisque ces deux entreprises étaient également sponsors du club. Le club a même encaissé voici quelques semaines une partie des sommes correspondant à leur sponsoring.
(2) Sportfive versera de nouveau 3 millions hors taxe au RCS s'il remonte en Ligue
L'Alsace -
katzo68 a écrit, le 2010-10-19 05:24:29 : « Quand il va s'apercevoir de ce que ça risque de lui coûter, Jafar Hilali va reculer, comme avec les salariés qu'il a réintégrés après avoir pris conscience du montant de leurs indemnités de licenciements », pronostiquait il y a quelques jours un observateur avisé de la vie du RCS. Depuis, sa prédiction s'est révélée exacte : hier, Hilali a, sans en référer directement à Sportfive, signifié à l'Alsacienne de restauration qu'elle reprendrait possession des buvettes dès samedi contre Alfortville. Dans l'après-midi, le président Jean-Claude Plessis a annoncé à Jean-Noël Roth, directeur commercial de l'agence à Strasbourg, qu'il signerait aujourd'hui tous les contrats en souffrance. Une énième volte face qui n'étonnera personne.
Tellement vrai et tristement révélateur de la gestion actuelle ! -
Godin 2 - Hilali - 0
Je ne relève pas les multiples invraisemblances de la gestion de cette faire; juste le coup des partenaires dont on prend l'argent et que l'on vire après. La grande classe (+) -
Les contrats de partenaires sont signés.
Après la mise en demeure adressée en début de semaine dernière (« L'Alsace » du 19 octobre) par l'agence Sportfive, qui gère le marketing du Racing, aux propriétaires londoniens, le calme est au moins provisoirement revenu entre les deux parties. Hier, le président Jean-Claude Plessis, qui s'effacera à la fin du mois, a signé les contrats en souffrance d'une grosse dizaine de sponsors et prestataires. « L'Alsacienne de restauration », dont le contrat en cours avait été dénoncé par Hilali, reprendra dès demain la gestion de la restauration et des buvettes de la Meinau.
L'Alsace -
Après les licenciés réembauchés, la tribune fermée rouverte, et les contrats dénoncés signés, Jafar Hilali rebooste vraiment le club (+)
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Avec le dépôt de bilan, le contrat avec Sportfive est annulé ? Si oui, c'est une bonne nouvelle, puisque celui-ci était une belle aberration qui liait le club à Sportfive pour 20 ou 30 ans...
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deadwing a écrit, le 2011-08-01 04:05:48 : Avec le dépôt de bilan, le contrat avec Sportfive est annulé ? Si oui, c'est une bonne nouvelle, puisque celui-ci était une belle aberration qui liait le club à Sportfive pour 20 ou 30 ans...
On taira le nom du président du racing qui a apposé sa signature en bas de ce (juteux) contrat :D -
Pourquoi le taire ?
Si il y a bien une chose que l'on peut reprocher à Ginestet, c'est d'avoir signé ce contrat "arnaque" pour pouvoir récupérer immédiatement du cash et lui éviter de remettre la main à la poche. Même si au final c'est Sportfive qui s'est fait rouler par Ginestet dans l'affaire.
Espérons qu'il soit caduque, car c'est un boulet de plus que traine le Racing. Même Hilali l'avait vu. -
Si reprise simple il y a, ce fichu contrat, tout comme les litiges, les comptes-courants et autres cadavres figurera dans le lot. Mais est-il seulement valable en CFA???
Si le redressement aboutit à une liquidation avec plan de cession, aucune dette n'est reprise. Je ne vois pas par quel artifice on ferait figurer ce contrat pourri ou ginestien (c'est synonyme) à l'actif. Et quand bien même, le repreneur a la possibilité de choisir les actifs qu'il reprend.
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