[UEFA 97-98] RCS 2-0 Inter Milan
Flux RSS 86 messages · 6.557 lectures · Premier message par erictheking · Dernier message par lepatron
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denpasarmarc a écrit : Sans déconner, l'arbitre de Inter - RCS, si lui il avait pas été acheté alors je ne m'y connais pas en corruption ! Et dieu sait que je suis un sacré bon corrupteur ! :)
Je confirme
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Ce qui a marqué ma mémoire concernant ce match, au delà de la qualité incroyable du spectacle proposé par le Racing cette fois là, c'est l'impression, après le 2-0 et le poteau, que tout un stade rêvait... Je me souviens de m'être souvent retourné pour observer les visages des spectateurs, et tous les yeux brillaient, à la fois de joie et d'incrédulité, genre c'est pas possible, Marcel Bélivaux va apparaître avec un micro pour nous annoncer que c'était une bonne blague. Ah... L' humour québécois!
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Citation: Raffraichissez-moi la mémoire svp. Djorkaeff avait-il fait une passe décisive ou marqué sur le but refusé au match aller ?
Sinon, si quelqu'un a les 2 buts du Racing en vidéo, je suis preneur. Merci !!!!!
Il me semble que c'est Diego Simeone ou Francesco Moriero qui avait marqué au match aller. -
18813 spectateurs contre liverpool "source l'equipe"
25101 contre l'inter "source dna"
contre glasgow je ne trouve pas le chiffre :-B
moi je me rapelle au retour à l'inter les projectiles que nous envoyés les interistes sur la tete
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Si mais souvenirs sont exacte?
Le virage nord/ouest était bien plein a craqué, avec une (très) belle ambiance, dans le virage, avec quelque POGO, (MAGNIFIQUE).
Et la on pouvais faire des pogos dans le virage, pas comme a leur actuel, avec ses putain de siège.
PS: Désolé pour mon language.
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thierry-henry a écrit : Raffraichissez-moi la mémoire svp. Djorkaeff avait-il fait une passe décisive ou marqué sur le but refusé au match aller ?
Sinon, si quelqu'un a les 2 buts du Racing en vidéo, je suis preneur. Merci !!!!!
Je suis quasiment sûr que c'était l'argentin Diego Simeone qui avait marqué un but à l'aller, but qui avait été finalement refusé par l'arbitre. -
dans le sud-ouest aussi,meme des gars de st-pauli etaient là contre liverpool.....
c'etait le quart de virage des bluejes kempfer au temps ou ils etaient en activité
a ne pas oublier les mythiques delimitations du racing à cause de la capacité(des planches de bois par terre,1 planche egale à une place) merci l'uefa -
c'est bien simeone sur une passe de djorkaeff ,klaus
c'est okpara qui couvrait le tout.... -
Merci pour la confirmation, meinauboys. (+)
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ah lala lors de ce match j'avais à peine 9 ans !
On a vu le match sur canal avec mon pere et des amis, et je ne me souvient plus de rien (assez normal), mais juste d'une image : un ballon, ou plutot un missille, qui file dans les buts milanais !
Apres, mon père m'a sauté dessus de joie, et c'est le noir complet .. :)) -
J'ai revu le match l'autre nuit ! Sacré match du Racing qui a totalement bouffé les Italiens en première mi-temps avant de résister héroïquement en seconde. Okpara a tenu en laisse le meilleur joueur du monde et Ismael a été énorme
Grosse ambiance à la Meinau même derrière l'écran de télé ! J'ai rarement vu ça par la suite. Je me souviens encore de l'ambiance à l'internat, un pion avait ramené son décodeur Canal+ et tout le monde avait été convié à voir le match. J'avais 11 ans...
Pour mettre tout le monde d'accord, un but a été refusé à Maurizio Ganz avant la mi-temps : il n'y avait pas hors-jeu, mais la défense et Vencel se sont arrêtés de jouer et Ganz a marqué bien après le coup de sifflet de l'arbitre. Par contre, Simeone marque dans les dernières minutes sur un centre-tir de Djorkaeff un but tout à fait valable...
Je m'étonne que personne n'ait encore posté les buts :
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(Le posteur du but d'Ismael est un illustre inconnu du stub on dirait... :p ) -
zero-zero a écrit, le 2009-06-30 10:40:47 : Okpara a tenu en laisse le meilleur joueur du monde et Ismael a été énorme
De mémoire Ronaldo était sorti sur blessure après un coup d'Okpara.
J'ai une image gravée à vie : le coup franc d'Ismael vu depuis la tribune Ouest, le ballon qui transperce le gardien, et qui fait vibrer le filet
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Tout à fait... mais il n'avait vraiment pas été transcendant pendant ses 68 minutes sur le terrain, en grande partie grâce à Okpara.
Ce qu'on ne voit pas sur le vidéo ci-dessus, mais clairement sur les ralentis, c'est qu'un défenseur italien (Sartor, le numéro 24) se baisse sur la frappe d'Ismael. Dans le cas contraire, il aurait empêché le but, mais comme l'a dit Bietry, il "aurait entendu sonner pendant longtemps les cloches de la cathédrale de Strasbourg" :D
C'est ce même Sartor qui ouvre une brèche dans le mur au moment du coup-franc de Dacourt sur le poteau.
J'ai oublié de préciser : le match est téléchargeable ici grâce à l'ami foot-france67
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Un de mes plus grand regrets de supporter c'est de n'avoir pas été présent ce soir la...
J'étais contre Liverpool mais pas contre l'inter...
Quel pied cette époque purée...
Une saison de fou...On met une pétée a Liverpool et l'inter et on se prend 2-0 a Chateauroux et Bastia (pis le 0-1 contre le Havre a la fin ou ca commencait a sentir rudement mauvais)...
La ca valait le coup de supporter un club "Punk", parceque maintenant meme notre punkitude est médiocre...
Pfff... quand je pense a ca, j'ai envie de taper Paisley, je sais pas pourquoi.... -
zero-zero a écrit, le 2009-06-30 10:40:47 : Okpara a tenu en laisse le meilleur joueur du monde et Ismael a été énorme
La réaction de Sold sur le coup franc d'Ismaël est mon plus grand souvenir de supporter. -
"Le coup franc de sa vie, le coup franc de sa carrière, pour Valérien Ismaël"
Idem, elle résonne encore dans ma tête
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ahhhh!!!! la bonne epoque.. la on a battu l'inter 2-0 a la meinau.. jaimerai pas savoir le score si les 2 equipes venait de nouveau a s'affrontez..
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Ah ce tir sur le poteau..
A 3-0 on ne saura jamais ce qu'il aurait pu se passer..
La capacité de la Meinau était limitée pour des raisons de sécurité mais il y avait une ambiance incroyable lorsque le Racing menait au score..
Quelques semaines après l'Inter de Ronaldo était champion d'Europe..
Mais à cet instant qui se souvenait qu'un jour cette même équipe avait plié en 20 minutes face à une ville et un club du nom de Strasbourg.. -
Punaise, ce soir-là on tapait les Ronaldo, Djorkaeff, Ganz, Bergomi, Simeone... Et on trouvait encore à se plaindre parce qu'on était "que" dans le ventre mou en L1.
Mais surtout côté Racing : Collet, Zitelli, Vencel, Ismael, Baticle, je suis à 2 doigts de chialer
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Un article sympa sur un site sympa que j'ai découvert récemment: La pause cigare.
Strasbourg-Inter 97: si près de l'exploit
A l'automne 1997, le RC Strasbourg de Jacky Duguépéroux enchaîne les performances de choix en Coupe UEFA, pour laquelle il s'est qualifié grâce à son succès en Coupe de la Ligue. En 32èmes de finale, les Alsaciens éliminent les Glasgow Rangers grâce à deux victoires sur le score de deux buts à un (buts de Baticle et Zitelli à Ibrox Park et doublé de Baticle à la Meinau). Au tour suivant, après s'être inclinés deux buts à rien à Anfield à l'aller, ils réussissent zitelli l'exploit de renverser la vapeur à domicile et s'imposent 3-0 dans un stade en fusion contre le Liverpool de Fowler et McManaman, grâce notamment à un doublé de David Zitelli. En huitièmes de finale aller, Strasbourg affronte ni plus ni moins que l'Inter Milan, finaliste malheureux de l'édition précédente face à Schalke 04 et qui se présente à la Meinau en leader de la Serie A. Les Italiens, qui comptent bien aller au bout cette fois, ont souffert pour venir à bout de l'Olympique Lyonnais au tour précédent et semblent à l'abri d'un excès de confiance au moment de se frotter à une autre équipe française, dont l'ambition se limite à préserver ses chances en vue du match retour à Giuseppe Meazza.
Duguépéroux opère quelques modifications par rapport au onze qui avait sorti les Reds quelques semaines plus tôt: les absents Raschke et Dogon retrouvent leur place en défense et le Belge Miceli se voit préféré à Arpinon au milieu. Le technicien s'appuie sur l'énorme abattage de Dacourt et Collet dans l'entrejeu et sur son duo d'attaque Baticle-Zitelli, très efficace et complémentaire depuis le début de la compétition. En face, Simoni possède l'arme fatale en la personne de Ronaldo, recruté l'été précédent et aligné aux côtés de Djorkaeff (qui retrouve son ancien club) et Ganz en attaque, Recoba prenant place sur le banc. Deux autres intéristes, Benoît Cauet, associé au Brésilien Zé Elias et au Néerlandais Aaron Winter au milieu, et Taribo West, aux ordres du capitaine Bergomi en défense, ont déjà foulé la pelouse alsacienne en championnat de France. L'Internazionale, qui n'a jamais aussi bien porté son nom, profite à fond des effets de l'arrêt Bosman et aligne six joueurs étrangers au coup d'envoi (Simeone et Recoba entreront en cours de jeu), ses Italiens évoluant presque tous dans l'arrière-garde (Pagliuca, Sartor, Bergomi, Galante).
Dès la onzième minute, l'inévitable Gérald Baticle profite d'une grossière erreur de Pagliuca sur un corner de Zitelli pour ouvrir la marque de près et de façon très oppportuniste. Huit minutes plus tard, Valérien Ismaël trompe à nouveau le portier italien d'un missile des trente mètres sur coup franc. Nantis d'un avantage de deux buts après vingt minutes, les Strasbourgeois doivent continuer à malmener leurs adversaires tout en restant vigilants et ne pas encaisser un but qui changerait totalement la donne sur l'ensemble des deux matches. En deuxième mi-temps, V cauet encel, une nouvelle fois excellent, est sauvé par son poteau sur une frappe détournée par Zé Elias, puis Simeone se voit refuser un but parfaitement valable pour une position de hors-jeu imaginaire. Malgré une domination de tous les instants des visiteurs après le repos, le RC Strasbourg parvient à conserver jusqu'au bout et non sans une certaine réussite ce résultat inespéré. On se dit que la chance est du côté des Alsaciens, en position de signer un authentique exploit en Italie.
Malheureusement, deux semaines plus tard, les Strasbourgeois sont à leur tour victimes du mauvais tour qu'ils avaient joué à Liverpool et s'inclinent trois buts à zéro, l'Inter trouvant l'ouverture par Ronaldo, Zanetti et Simeone. Le coup est passé tout près, et à un quart d'heure du terme du match retour, les Alsaciens contraignaient encore leurs adversaires à disputer les prolongations. Les partenaires de Djorkaeff remporteront l'épreuve après avoir pris leur revanche sur Schalke 04, puis le meilleur sur le Spartak Moscou, avant d'étriller la Lazio en finale au Parc des Princes. Le beau parcours des hommes de Duguépéroux a révélé des talents comme Ismaël ou Dacourt, futur joueur de l'Inter, et permis à quelques bons joueurs français tels que Philippe Raschke, un des meilleurs latéraux de sa génération, ou David Zitelli, auteur de près de 80 buts en Division 1 au total, de connaître leur moment de gloire sur la grande scène européenne. A noter que le club alsacien avait atteint le stade des quarts de finale de la Coupe d'Europe des Clubs Champions en 1980, où il avait subi la loi de l'Ajax Amsterdam.
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Il est peut etre sympa l'article mais y a une grosse grosse erreur : Les matchs contre Liverpool ont été inversés dans leur chronologie :)
Et donc la phrase " Malheureusement, deux semaines plus tard, les Strasbourgeois sont à leur tour victimes du mauvais tour qu'ils avaient joué à Liverpool " n'a pas lieu d'être
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On peut ajouter que (malheureusement) la Meinau n'était pas en fusion contre les Reds comme écrit dans l'article, nous étions moins de 15 000
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Je n'ai toujours pas compris, pourquoi il y avait si peu de monde contre les Reds.. une explication ?
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A l'époque, le Racing (déjà) était en crise après un très mauvais début de saison. Le prix des places était supérieur aux tarifs pratiqués en championnat. Le match était diffusé à la télé et en semaine, évidemment. Voilà quelques éléments qui peuvent expliquer que l'affluence était décevante.
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Et sans vouloir minimiser l'exploit du Racing, ce Liverpool-là était dans un creux et était moins attirant que ses équivalents mythiques des années 85 ou 2005.
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