Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Frédéric Sitterlé

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Flux RSS 7365 messages · 477.773 lectures · Premier message par samh · Dernier message par mediasoc

  • Bon clairement, ça doit être une émission du genre "strip tease", ils vont inviter un psychiatre et tout.
    (+)
    Merci pour la pub Frédéric =;
  • Une émission de France culture sur le Racing club de Strasbourg ! Mais c'est le pied total.J'attends avec impatience.
  • strohteam a écrit, le 2011-10-12 20:28:47 :
    Ca m'a surpris aussi. Mais l'émission en question a un spectre assez large, et l'un des réalisateurs du docu est MCF au CUEJ..


    heuuu where's Brian ???

    Bref tu peux nous traduire les abréviations ?
  • Maître de conf dans une connerie pour journalistes.
  • zottel a écrit, le 2011-10-12 23:05:36 :
    Maître de conf dans une connerie pour journalistes.


    Attention, ne crache pas sur eux, car c'est eux qui décideront demain si on parle du RCS ou pas [-X
    "vous savez qui on est ?" :))
  • C'est pas l'ITR (institut Thierry Roland) non plus =;
  • Frédéric Sitterlé, un prophète du foot et du Net

    http://www.lalsace.fr/fr/images/0EA52AAB-0C81-4FCC-9C7C-4657AC381...

    Dans les bureaux de MySkreen.com à Paris, Frédéric Sitterlé fait une démonstration de vidéo à la demande (sur l'écran, une image du film « Le Discours d'un roi »). Photo S. B.

    Le nouveau président du Racing Club de Strasbourg est un self-made-man qui a construit sa carrière (et sa fortune) sur le sport et internet.

    Barbe de trois jours soigneusement taillée. Veste de costard-jean-baskets, Converse. Mac Book Air sous le bras. Tutoiement immédiat. Frédéric Sitterlé a la dégaine de l'emploi : patron de start-up — MySkreen.com, une plateforme internet de vidéo à la demande. Quand il prend sa casquette de président du Racing Club de Strasbourg, l'ex-ailier de Blodelsheim, son village natal, met un couvre-chef aux couleurs du RCS. Frédéric Sitterlé veille à son apparence décontractée. Mais ce n'est pas un poseur. Plutôt posé, et pas du genre dispersé, bien qu'il soit de la génération connectée et multitâche — lorsque nous prenons rendez-vous au téléphone, il avoue écrire en même temps une bafouille sur Facebook. Ainsi, lors de notre entretien de deux heures dans ses bureaux parisiens, il n'a pas répondu aux innombrables messages arrivant sur son iPhone.

    Cordial et souriant, le chef d'entreprise est très sérieux quand il évoque ses activités. Il se lève de temps en temps pour éclairer ses propos d'un schéma dessiné au tableau, ou lister les étapes de sa carrière éclair. Pas aussi fulgurante que celle du créateur de Facebook, Mark Zuckerberg, mais tout de même : à tout juste 36 ans, Frédéric Sitterlé est considéré comme l'un des pionniers français d'internet. Il est devenu millionnaire en revendant Sport24.com, l'un des premiers sites d'informations sportives, au groupe Le Figaro, dont l'Alsacien est devenu directeur des nouveaux médias. Avec réussite, s'enorgueillit-il : « Quand je suis arrivé, trois personnes travaillaient sur internet et le directeur de la rédaction du Figaro, Nicolas Beytout, me demandait de fermer le site, suspecté de faire de la concurrence au papier. À mon départ, deux ans après, 600 personnes travaillaient pour les sites internet du groupe, qui représentaient la moitié de ses bénéfices. Et le slogan d'Étienne Mougeotte, l'actuel directeur de la rédaction, c'est ''web first'' (internet d'abord). »

    En 2008, Frédéric Sitterlé se cherche un nouveau défi. Pas pour l'argent : « Mon train de vie est simple. Je n'ai pas de voiture, je vis dans un appartement dans le XII e arrondissement. Mes seuls luxes, ce sont des bons restos et quelques bonnes bouteilles. Je préfère investir dans des sociétés que de voir mon argent dormir à la banque. » Il lance MySkreen.com, dont son fonds d'investissement personnel, Blodelsheim Media Venture, possède 55 % (le reste appartient à Dassault, propriétaire du Figaro).

    MySkreen recense et permet d'accéder à toute l'offre audiovisuelle légalement disponible sur les 55 plateformes existantes. L'Alsacien, grand admirateur de Steve Jobs, feu le patron d'Apple, rêve d'en faire l'iTunes français de l'audiovisuel : un grand magasin en ligne, incontournable pour revoir une émission ou acheter un film. Favoriser le décollage de l'offre légale, c'est selon lui la seule façon de lutter contre le piratage : « La sanction n'est pas une réponse adaptée. L'internaute n'est pas un pirate en puissance, mais s'il a envie de voir un film, c'est plus facile et moins cher de le regarder sur un site illégal. » D'ailleurs, Sitterlé a aussi piraté dans sa jeunesse : les principales infos lues de bon matin dans L'Équipe, et qu'il mettait en ligne sur sa page personnelle.

    Quelles sont les clés 3G de son succès ? Pour Bertrand Gié, directeur des nouveaux médias du Figaro, et qui partageait auparavant cette responsabilité avec Sitterlé, ce dernier « travaille vite et beaucoup. Il est capable d'être au bureau à 5 h du matin, puis de disparaître et d'y revenir à 23 h. » L'Alsacien est aussi persuasif : « C'est un roi du Powerpoint et il me fait penser à Kaa, le serpent du Livre de la Jungle : il vous hypnotise grâce à son aisance à l'oral », ironise Laurent Trupiano, cofondateur de Sport24.com avec le Haut-Rhinois. Celui-ci est-il froid comme un serpent ? « Je n'ai pas un relationnel facile, reconnaît-il. Je ne suis pas expansif et cela peut passer pour du désintérêt, alors que c'est plus une forme de réserve, voire de timidité. »

    Pourtant, Frédéric Sitterlé sait s'entourer. Attaché à ses racines, il cultive ses réseaux alsaciens à Paris — les professionnels des nouvelles technologies, l'Association générale des Alsaciens et Lorrains, dont il finance une des bourses étudiantes, après en avoir été un bénéficiaire dans sa jeunesse... Car le Haut-Rhinois vient d'un milieu modeste. « Mon père m'a appris les notions de travail et de persévérance », répond ce fils d'un chaudronnier et d'une secrétaire, tous deux employés de Rhodia, à Chalampé. « Je ne me voyais pas spécialement patron, mais j'ai toujours eu besoin de beaucoup d'autonomie et d'indépendance, et c'était un moyen d'yaccéder. »

    Le jeune Sitterlé hésite en fait entre le séminaire et les études d'ingénieur. Il fréquentait en effet aussi assidûment le choeur de l'église de Blodelsheim que l'équipe de foot et le club d'informatique du village, où il bidouillait des ordinateurs. « Dès qu'il y avait des défis à relever dans ces associations, je me mettais en première ligne, se souvient-il. À 15 ans, j'ai par exemple organisé un voyage à Rome de la chorale, pour voir le pape ! »

    Depuis, l'Alsacien a un peu perdu la foi et changé de chapelle. En 1993, la Ligue d'Alsace de football (Lafa) intègre le joueur de Blodelsheim à son nouveau Conseil des jeunes. « Malgré sa discrétion il s'est imposé naturellement comme un des leaders, raconte Erny Jacky, directeur de la Lafa récemment retraité, et qui rejoint le Racing. Frédéric avait de loin la maturité la plus précoce, un esprit de synthèse remarquable et un côté visionnaire : il a par exemple rédigé un vade-mecum sur les grands chantiers du foot qui est toujours d'actualité. Il y parle du foot féminin ou de la lutte contre la violence dans les stades... » Cette expérience permettra à Frédéric Sitterlé de travailler deux ans à la Fédération française de football, pour laquelle il réalisera le site internet de la Coupe du monde 1998. Et, plus récemment, la campagne de soutien à la candidature française pour l'Euro 2016.

    2016 est une date capitale à double titre pour Frédéric : « 100 % des télés vendues seront alors connectées à internet et le parc sera renouvelé lorsque les Français rachèteront un nouveau poste pour l'Euro defoot. Le projet de reconstruction du Racing s'inscrit d'ailleurs dans le même calendrier, entre trois et cinq ans. » L'Alsacien, qui a investi ses deniers personnels dans le club, déroule un discours bien rodé sur la « fusée à trois étages », son projet pour relancer le RCS : « D'abord le retour au statut professionnel ; puis le recours à de nouveaux investisseurs pour accéder en Ligue 1 ; enfin, l'entrée au capital d'un grand groupe des médias, capable de gérer sainement les droits télé et l'utilisation des images sur la chaîne du club, permettra de jouer la première partie de tableau. » Malgré la rétrogradation en CFA 2, Sitterlé est optimiste : il se réjouit du soutien populaire dont bénéficie Strasbourg. Et il prophétise une crise du foot business, où les clubs surendettés feront faillite, laissant le champ libre à ceux déjà repartis de zéro, comme le Racing.

    S'il a plusieurs fois tenté en vain de racheter le club, il n'en fait pas un marchepied : « Je considère que la Racing appartient à tous les Alsaciens, j'en suis devenu propriétaire par la force des choses. Ma première motivation est là : j'ai reçu en héritage la passion pour le Racing de mon grand père, avec qui j'allais à la Meinau ; je veux la transmettre ensuite à mon fils Hugo, 12 ans, qui s'entraîne avec le maillot du club. »

    L'Alsace
  • Voici ce que Sitterlé vient de publier sur son profil Facebook :

    « Je rêve ou c'est Robert Grossmann qui, dans une basse logique d'opposition politico-politicienne, est en train de flinguer le projet de reconstruction du Racing en plein Conseil Municipal au moment de voter le budget du Racing ? Dois je rappeler que la Ville ne participe qu'à hauteur de 9% au budget du Club (+ 9% pour la CUS) et que cet argent va avant tout au centre de formation et aux jeunes. Monsieur, si vous voulez contribuer à l'effort de reconstruction vous êtes le bienvenu. Dois je rappeler que pour le moment je finance à perte une ASSOCIATION SPORTIVE et pas une société privée. Dois je enfin vous rappeler, Monsieur Grossmann que vous êtes resté sourd a mes appels alors qu'il s'agissait de sauver le Club. Supporters du Racing, je vous laisse juger et débattre avec M. Grossmann. Si Facebook sert au débat public, alors débattons... Bel exemple de récupération. Bravo.
    Que voulons nous pour demain ? Reconstruire le Racing ou terminer de l'enterrer ?
    »
  • Grossmann à la retraite :-'
  • Tous avec le président, Grossmann réincarnation de Jaffar X-(
  • De tout temps y a jamais eu une veritable politique sportive a strasbourg. Et pas seulement pour le foot. Y a qu a voir les tergiversations pour la privatisation de la sig et les conditions d acceuil a hautepierre pour l equipe de rugby qui joue quand meme en 3e division nationalr
  • La mairie vote le budget du Racing?
  • La subvention.
  • Certes Strasbourg n'est pas une ville "sportive" au sens où on peut l'entendre ailleurs, à Montpellier par exemple. Cela tient sans doute au fait qu'une large part de la jeunesse de la Cus s'y trouve "installée" momentanément le temps de ses études alors que - pour reprendre l'exemple de Montpellier, cette dernière relève aussi d'un choix de vie fondée autant sur l'ambition d'un parcours professionnel que celle d'y installer durablement sa vie future.

    Ceci dit, la réaction de Grossmann interpelle. Elle situe la place du Racing dans l'esprit de la région Alsace. Ceux qui croyaient qu'avec la chute (relative) du club, les aigrefins, vautours, parasites et autre politicards de tous bords s'éloigneraient du Krimmeri se sont plantés. Sujet de passions contraires donc de débats et de polémiques, le club continue d'attiser les convoitises, non comme les regards appuyés que l'on porterait aux formes d'une charmante demoiselle, que comme une demoiselle momentanément réduite à survivre au Couvent des Oiseaux mais dont la dote en cours de restauration ira s'accroissant avec son carnet d'adresses de prétendants. Qu'un papy aussi largué que l'ancien maire bis pût encore oser prononcer le mot Racing en feignant de s'offusquer que la Cus aida financièrement un club (pseudo amateur) n'étonnera qu'à moitié. Dans sept petits mois une autre confrontation que la montée en Cfa fera s'étriper gauche, centre, droit et extrêmes du PAF alsacien.

    Une fois encore je tiens à remercier Monsieur Sitterlé d'avoir d'une part, repris les restes du club, et d'autre part de l'avoir installé dans une barque dont je ne doute nullement qu'elle le ramènera au port de la Ligue 1. N'en déplaise aux vieux ronchons politiques qui voit l'intégrité d'un jeune entreprenant réaliser ce que leurs magouilles ont si considérablement altérées ! Allez les bleus et merci Sitterlé. On est tous avec toi !
  • Et sinon, Frédéric Sitterlé sera l'invité de l'After Foot de RMC jeudi à 23h.
  • Quel beau geste de Monsieur SITTERLE avec sa famille en plein milieu des supporters a DIJON.CHAPEAU!!!
  • strohteam a écrit, le 2011-10-24 18:40:00 :
    Et sinon, Frédéric Sitterlé sera l'invité de l'After Foot de RMC jeudi à 23h.

    cool merci pour linfo ;)
  • La réponse de M. Grossmann sur le mur de Frédéric Sitterlé :

    "Bonsoir,
    Je sors du Conseil municipal et je découvre le texte de M.Sitterlé. Je ne le comprends pas et je ne comprends pas où il veut en venir. Je remplis mon rôle d'élu et j'ai questionné la municipalité sur le sens d'une subvention de 400000 euros dont 350000 pour le centre de formation. j'ai mis en cause le maire pour sa grande passivité face aux projet d'Eurostadium et de la revente du Racing par M.Ginestet à M.Hilali. Je souhaitais connaître le budget global du Racing et savoir quel est le statut juridique du Centre de formation. Que veux dire M.Sitterlé en lançant ses supporters contre moi alors même qu'ils ne connaissaient rien de mon intervention en Conseil municipal. Je pense qu'il n'est pas dans un processus de règlement de comptes avec moi, de quel comptes d'ailleurs?
    J'affirme que depuis toujours -toujours- je n'ai cessé d'être un supporter fervent du Racing et je souffre de ce qui lui est arrivé depuis 3 ans. Je n'ai en aucun cas voulu flinguer le Racing et même si je l'avais voulu ma position d'élu minoritaire me l'interdirait car la majorité assure quoi qu'il arrive le versement de ces subventions. Alors pourquoi cette mise en cause si facile en "montant" des supportes dont je connais un grand nombre. Je me demande qui fait de la politique politicienne dans cette affaire et j'affirme que je suis prêt à tout moment à rencontrer M.Sitterlé dans un esprit constructif. Que cessent les malentendus et les pressions sur un élu qui rempli sa mission. Merci"
  • Hop, Robbes Grossgosh, invite Sitterlé à casser la croûte dans une Winstub et discute le bous de gras avec lui autour d'un plat bien de chez nous et d'une Schoppa Wisser afin de dissiper les malentendus.
  • " Monsieur Sitterlé, je suis prêt à vous rencontrer comme convenu et j'attends votre appel demain. Toutefois compte tenu de la violence de certains commentaires déclenchés par votre post et dont certains sont à la limite de l'injure je vous propose de rectifier certaines de vos affirmations erronées ou excessives notamment "dans une basse logique d'opposition politico-politicienne, est en train de flinguer le projet de reconstruction du Racing" ou encore "Monsieur Grossmann que vous êtes resté sourd a mes appels alors qu'il s'agissait de sauver le Club." ce qui, vous l'avez constaté sur nos messages persos, est inexact.
    Enfin l'appel "Supporters du Racing, je vous laisse juger " devrait être tempéré puisqu'aucun supporter n'est en mesure de "juger" n'ayant rien entendu de mon intervention.
    Merci d'intervenir, je vous en serais reconnaissant
    "

    Suite de l'intervention de M.Grossmann
  • Robbes, verdammi, au lieu de taper du texte sur FB, rüf d'r Fred'l un lad 'ne z'm assà ii.
  • Sans facebook pas de prob b-( sitterlé n'a pas a degueuler ces sentiments sur facebook, c'est pas un collégien peut importe ce qu'il en pense. Il a une stature a respecter.
    Pour le divertissement y'a thomas frite ou complot sur internet, pitié pas un autre président geek :|s
  • Un peu d'accord avec ça. Sans juger le fond, sur la forme prendre de la hauteur serait plus estimable que d'amuser les fans qui like sur Facebook.
  • Cela dit Grossmann s'est toujours servi du Racing à des fins politiques. Suffit de regarder le programme des municipales 2001.
    Et puis quand il parle de grande passivité de la mairie lors de la revente à Hilali, il a un sacré culot.
  • spoutnik a écrit, le 2011-10-24 18:34:09 :
    Certes Strasbourg n'est pas une ville "sportive" au sens où on peut l'entendre ailleurs, à Montpellier par exemple. Cela tient sans doute au fait qu'une large part de la jeunesse de la Cus s'y trouve "installée" momentanément le temps de ses études alors que - pour reprendre l'exemple de Montpellier, cette dernière relève aussi d'un choix de vie fondée autant sur l'ambition d'un parcours professionnel que celle d'y installer durablement sa vie future.




    Pardon ! Mais qu'est-ce qu'il ne faut pas lire... (La dernière phrase me fait me fait même bien rigoler) Que Montpellier te fasse rêver, ça te regarde ; mais que tu en fasses des généralités, cela me semble totalement contrefactuel.

    J'ai toujours lu dans tous les journaux sportif que Montpellier n'était précisément pas une ville sportive, que les gens vont au stade uniquement si les résultats sont là, mais que le stade est vide dès que ça va moins bien. Et c'est effectivement ce que j'avais pu constater quand Montpellier végétait dans le ventre mou de la L1 à l'époque. Depuis trois ans, ils ont la chance que l'équipe tourne bien tant mieux pour eux. Mais je ne pense pas que Montpellier en CFA2 ferait 5000 à 6000 personnes au stade comme le fait le RC Strasbourg.

    Le football en Alsace et à Strasbourg ne date pas d'hier. Le public de la Meinau est essentiellement composé des habitants de la proche région de sorte que ce que tu dis est hors propos. Et le choix de vie de nombreux alsaciens est d'installer durablement leur vie en Alsace. Quant à l'ambition professionnelle (cela me fait bien sourire, car visiblement c'est une considération qui manifestement relève uniquement de ta propre expérience), ça dépend des métiers et des parcours individuels, mais Strasbourg n'offre pas moins d'opportunités, de manière globale, que Montpellier.
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