Le Racing et la DNCG
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lenain2jard1Les joueurs concernés peuvent ils se retourner contre le Racing ? -
Difficile à dire. Est-ce que la non validation du contrat par la dncg annule d'office le lien entre le RCS et le joueur ? A voir.
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Je mettrai la conférence en audio demain dans la journée pour votre info
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Ce que je ne comprend pas avec la DNCG, c'est que si le Racing avait gardé OTHON et BAH, la masse salariale autorisée aurait été dépassée mais il n'y aurait pas eu de sanctions....
Donc pourquoi cette décision ?
Je n'en démord pas, pour 2 départs, il devait y avoir a minima 2 arrivées....
Je ne suis pas pour HILALI et FONTENLA mais la ça ressemble vraiment a un réglement de compte de la part de la DNCG et c'est le Racing, son personnel et les joueurs qui en patissent mais maintenant si je comprend bien, et au vu de la décision de la DNCG, rien n'oblige maintenant le club a licencier les 9 salariés... -
Oui je suis certain que l'identité des propriétaires du club a joué un grand rôle dans la sévérité de la position de la DNCG.
On peut encore une fois remercier Ginestet d'avoir vendu le club à des inconnus :on voit le résultat. Ce mec aura été incompétent jusqu'au bout. -
dudu a écrit, le 2010-09-02 16:02:08 : Ce que je ne comprend pas avec la DNCG, c'est que si le Racing avait gardé OTHON et BAH, la masse salariale autorisée aurait été dépassée mais il n'y aurait pas eu de sanctions....
En es-tu sûr ?
Si ça se trouve, sans ces départs, le Racing aurait été relégué à titre conservatoire par la DNCG dès cet hiver (meilleur des cas), voire exclus de la compétition dès cet hiver (pire des cas). -
On en aurait entendu parlé quand même !
La DNCG a refusé d'accepter des contrats, mais n'a jamais menacé le club (tout du moins durant le mois d'aout) de telles sanctions si la masse salariale n'était pas baissée... Surtout que bon, relégué un club pour 100k€ à payer en avril / mai suivant, pas sûr que ça aurait été justifiable devant le CNOSF ou autre instance... -
On aurait entendu parler de quoi ?
La leçon de cet été, où on a déjà été relégué par la DNCG n'est pas suffisante, pour comprendre que si on ne respecte pas scrupuleusement ses décisions, on s'en prend plein la gueule ? -
lenain2jard1 a écrit, le 2010-09-02 14:56:24 : Les joueurs concernés peuvent ils se retourner contre le Racing ?
Je pense seulement en cas de promesse d'embauche rédigée et contresignée en bonnet difforme. -
Après le refus de la DNCG d'appel (1) de la Fédération de qualifier quatre de ses joueurs, le Racing s'est retourné hier vers la Ligue de Football Professionnel pour tenter de faire homologuer certains contrats. Celui du Brésilien Marcio doit être examiné dès aujourd'hui.
Jean-Claude Plessis est apparu hier à 11 h 30 à la Meinau les traits tirés. Les pépins de santé auxquels il est confronté depuis bientôt un mois y sont sans doute pour quelque chose. Mais pas seulement. Depuis son arrivée fin mars, le président du Racing estime « avoir pris des coups, beaucoup ». Le dernier, la DNCG d'appel de la Fédération Française de Football le lui a administré dans l'arrière-train mercredi en refusant de valider les quatre contrats pros qu'il lui avait soumis pour homologation (Yohan Betsch, Jérémy Abadie, Marcio et Jocelin Ahoueya).
Depuis, Plessis et le RCS cherchent à comprendre. Un brin fâché d'être considéré comme « benêt et naïf », l'ancien président sochalien avoue malgré tout s'être trompé. « J'ai été surpris par la décision de la DNCG. Je la juge inique. En sortant de l'audition mardi, j'ai dit à ses membres : j'ai l'impression d'avoir plaidé la grâce d'un condamné à mort, mais j'ai aussi celle que vous ne m'avez pas écouté. »
« La plus grosse claque de ma carrière »
Abattu mercredi après-midi après le verdict défavorable, il est toutefois déjà reparti au combat et a renoué le contact avec la Ligue de Football Professionnel. Il défend aussi avec fermeté son travail de l'été et celui de son directeur sportif Jean-Luc Witzel. « Je le félicite. Il a réussi à placer, alors que ce n'était pas évident compte tenu de leurs salaires, Rodrigo à Sion, Marcos à Troyes, Dja Djedje et Fanchone à Arles, sans parler du transfert de Magaye Gueye à Everton. Il a aussi discuté le départ de Bah à Stuttgart. Notre masse salariale joueurs est ainsi passée de 5,169 millions à 1,703 million. Et même à 1,530 pour les joueurs homologués. Nous avions présenté un budget avec une masse salariale de 1,650 million. Le dépassement n'est pas très important, mais l'effort, lui, est considérable. Le paradoxe, c'est qu'avec le refus de qualification de nos joueurs et le départ de Mamadou Bah et Quentin Othon (dont le prêt à Châteauroux n'était pas officiel lors de l'audition et n'a pas été pris en compte) , nous nous retrouvons en-dessous de notre budget et du plafond autorisé. »
En réalité, le dépassement s'élève à 150 000 euros. Il intègre les salaires - confortables - que le club a versés aux joueurs partis en juillet et août (92 000 euros). « Nous payons surtout pour le retard avec lequel nous nous sommes séparés de certains », admet Plessis. « Car pour le reste, le salaire moyen de nos seize pros est de 4094 euros, alors que quatre, aux émoluments largement supérieurs, représentent à eux seuls 50 % de la masse salariale. »
Dès hier midi en conférence de presse, le président annonçait cependant son espoir « d'homologuer un ou deux joueurs sous 48 heures », avant d'ajouter avec une prudence de chat échaudé : « Je ne promets rien, parce que j'en ai marre de promettre. J'ai l'habitude de regarder les joueurs dans les yeux sans sourciller. Mais là, je passe devant eux tête basse. Je n'en dors pas. C'est la plus grosse claque jamais reçue dans ma carrière. »
Avant d'aller devant le CNOSF (2) qu'il solliciterait pour une mission de conciliation ( « j'irai sans doute par principe pour montrer aux joueurs que nous faisons le maximum »), le président Plessis espère que ses démarches auprès de la LFP ne resteront pas vaines. Hier, le bruit a couru qu'un ou deux Racingmen pourraient être très vite qualifiés. Les noms de Marcio et Jérémy Abadie ont même circulé. « Nous attendons une réponse pour ce vendredi », ne nie pas J.-C. Plessis, « mais je n'en dirai pas plus pour ne pas donner de faux espoirs aux joueurs. »
Selon nos informations, seul le cas de Marcio sera examiné aujourd'hui. Ceux d'Abadie, Marcio et Betsch pourraient être traités ultérieurement. Après leurs désillusions de ces dernières heures, les joueurs se garderont de toute façon de nourrir les faux espoirs que veut leur épargner leur président.
Stéphane Godin -
le 03/09/2010 04:09
National / DNCG : Jean-Claude Plessis contre-attaque
Leçon d'optimisme
Jean-Claude Plessis a tenu hier à clarifier la situation après la décision défavorable rendue par la DNCG mercredi. Le président du Racing a indiqué qu'il y avait encore un dernier espoir de voir Marcio, Betsch, Abadie et Ahéyou intégrer l'effectif sous 48 h. Explications.
Chiffres à l'appui, Jean-Claude Plessis - ici aux côtés de Jean-Luc Witzel, le directeur sportif - espère obtenir gain de cause sous 48 h auprès de la LFP, pour qualifier les joueurs encore en attente. (Photo DNA - Laurent Réa)
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Chiffres à l'appui, Jean-Claude Plessis - ici aux côtés de Jean-Luc Witzel, le directeur sportif - espère obtenir gain de cause sous 48 h auprès de la LFP, pour qualifier les joueurs encore en attente. (Photo DNA - Laurent Réa)
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Quand il n'y a plus d'espoir, reste... un dernier espoir. Tel est, in fine, le message délivré hier matin par Jean-Claude Plessis, après « la claque » prise mercredi.
En appel, la DNCG avait en effet décidé de ne qualifier aucun des joueurs strasbourgeois en attente d'homologation (*), malgré les départs de Mamadou Bah et Quentin Othon le dernier jour de mercato d'été
« La DNCG était complètement rigide »
« C'était une mauvaise surprise, expose le président, je pensais vraiment qu'on allait passer. Mais mardi, la DNCG était complètement rigide. On s'est battu comme des fous pour faire partir Bah et Othon et à la place, je n'ai aucun joueur qualifié. On s'est fait avoir, c'est injuste », a répété à plusieurs reprises un Jean-Claude Plessis « en colère ».
Et le président de se lancer dans une explication chiffrée pour étayer sa bonne foi. « La masse salariale est passée de 5,169 millions à 1,703 millions, ce qui prouve que nous avons fait de gros efforts financiers. Les salaires de Bah et Othon représentaient une somme de 260 000 € pour une saison. Ceux de Abadie, Marcio et Betsch, ce serait 130 000 € en tout », ajoute encore le président.
Du coup, ce dernier ne comprend pas pourquoi la DNCG a persisté dans son refus d'homologuer des joueurs dont les salaires « sont d'environ 3 000 € par mois ».
Pour lui, le gendarme financier de la Ligue de football n'a pas pris en compte, dans ses calculs, les départs intervenus lors du dernier jour du mercato. « Pourtant, Jean-Luc Witzel (le directeur sportif, ndlr) a fait un travail incroyable » pour trouver des portes de sortie aux gros salaires, a aussi tenu à rappeler Jean-Claude Plessis.
Ceci une fois posé, les dirigeants du Racing ont indiqué quelles démarches étaient désormais envisagées pour faire avancer cette situation ubuesque.
« Je me donne encore 48 h pour convaincre la LFP de qualifier mes joueurs. J'espère avoir une réponse positive pour un ou deux d'entre-eux. Une bonne surprise nous attend peut-être, car le départ d'Othon est l'élément nouveau qui peut les faire changer d'avis », souligne encore le président.
Si Anicet Eyenga est laissé libre - il n'a pas réellement convaincu Laurent Fournier -, tout comme Bill Tchato - qui n'avait pas encore signé -, Jean-Claude Plessis espère encore régulariser la situation de Jérémie Abadie, Jocelyn Ahéyou, Marcio et Yohan Betsch. Et si ce n'est pas le cas, « on ira au CNOSF, au moins pour le principe », ajoute le président.
Jean-Claude Plessis a aussi tenu à rappeler que, joueurs qualifiés ou non, « les objectifs du club restent les mêmes ».
«Arrêter d'être pessimiste»
« On veut être dans les cinq premiers à la trêve et on va y arriver, même si c'est avec des jeunes joueurs du centre », a martelé le président.
« Jouer la carte de la formation » et faire preuve de « solidarité », telles sont donc les deux solutions de secours, au cas où le dernier recours lancé par le Racing se transformerait en nouvelle déconvenue. « Il faut arrêter d'être pessimiste et de faire du catastrophisme, argue même Jean-Claude Plessis, le Racing ne s'en sort pas si mal ».
On aimerait le croire. Mais sur ce dernier point, le seul juge de paix sera le terrain. Et sur le pré, la bonne volonté affichée dans les bureaux risque de ne pas servir à grand-chose pour transformer un Racing diminué en une équipe apte à jouer la montée. -
C'était une mauvaise surprise, expose le président, je pensais vraiment qu'on allait passer. Mais oui bien sûr Monsieur Plessis, comme pour le budget !!!!
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Ayez confiance .
Sinon pour le centre de formation, y a t'il quelqu'un de bon pour le National vu qu'on les vend de suite . -
"Ecoutez laissez la direction faire son travail dès que nous aurons de plus amples informations croyez bien que vous en seraient les premiers informés"
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meganenicolas a écrit, le 2010-09-02 14:19:42 : Quand pensez-vous ???
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Ben moi j'suis plutôt du matin. :-B
Sinon ben y a pas de secret, la DNCG ne nous fera plus de fleur.
Je pense qu'on paie l'arrogance d'il y a qqs mois.
Mais d'un autre côté si la DNCG fait de l'abus de pouvoir (apparememnt on pourrait vlaider certains contrats suite aux ventes de Bah et Othon), l'appel risque de nous être profitable. -
Il faut arrêter de penser qu'un appel peut encore nous être profitable à mon humble avis.
Malgré la vente de Bah et le prêt d'Othon, si la DNCG a confirmé la décision, c'est que d'autres garanties n'ont certainement pas été respectées.
Que la DNCG nous fasse payer l'arrogance d'il y a quelques mois, c'est fort possible mais de là à confirmer la décision qui nous pénalise pour le plaisir de nous enfoncer, j'y crois pas, donc c'est qu'il y a eu un engagement non tenu par ailleurs... -
samh a écrit, le 2010-09-03 09:22:46 : Sinon ben y a pas de secret, la DNCG ne nous fera plus de fleur.
Je pense qu'on paie l'arrogance d'il y a qqs mois.
Mais d'un autre côté si la DNCG fait de l'abus de pouvoir (apparememnt on pourrait vlaider certains contrats suite aux ventes de Bah et Othon), l'appel risque de nous être profitable.
En somme, "wait & see".
Ca va, ça fait que six mois...... -
Je pense qu'il faut arrêter de se plaindre de la dncg à un moment aussi.
Des vertes et des pas mûres ils ont du en voir et en entendre depuis belle lurette, donc là le dossier Racing, avec les antécédents qu'il comportait, il ne fallait pas compter sur une fleur de leur part.
Les comptes sont vérifiés à heure H, si à ce moment là, tu n'est pas prêt, il ne te reste plus qu'à assumer la sentence.
Ca fait deux mois qu'on sait que les caisses sont vides, plus d'un an qu'on sait que le club vit au dessus de ses moyens. A un moment il faut dire stop, aussi brutal que ce soit.
C'est pas parce que c'est le Racing ou carroussel, fontenali ou le Pape, c'est parce que c'est la règle. La même à laquelle tous les clubs sont soumis.
Maintenant, la formidable cellule de recrutement ne peut s'y prendre qu'à elle même, si elle met 2 voir 3 mois pour se séparer des gros salaires.
En attendant, le premier mec qu'on a bazardé c'est aussi celui qui représentait certainement le plus grand espoir du club et l'un des rares mec qui n'a jamais changé de discours. Lui voulait rester, il s'appelle Gueye.
Je doute que son transfère ai une une grosse importance pour l'équilibre de la masse salariale (ou alors on fait vraiment n'importe quoi au Racing).
Les deniers perçus de sa vente n'ont pas étés profitables au Racing non plus visiblement, vu qu'il se raconte que caroussel rembourse sa mise injectée dans le Racing sur les transferts.
Au final, on est perdant à tous les étages aujourd'hui.
Merci pour tout.
Qu'on liquide ça une bonne fois pour toute et qu'on réécrive l'Histoire avec d'autres gens, ce ne sera que plus passionnant. -
Ce message est une brève publiée par flow.
Les contrats de Jérémy Abadie et Jocelyn Ahouéya seront réexaminés par la DNCG la semaine prochaine.
Source: Site officiel -
Les 250 000 € touchés pour la sélection de Gameiro seront très certainement ajoutés dans le budget de Décembre, mais peuvent ils l'être, à titre exceptionnel, dès maintenant pour pouvoir qualifier les joueurs sur le carreaux ?
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Si je me souviens bien ce n'est qu'au mois de juillet qui suit la 1ere titularisation que Lorient est obligé de payer cette somme...
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Oui mais ce n'est pas grave ça, on avait bien inclus la prime de Sportfive en cas de montée l'an passé alors qu'on ne l'aurait touché que pendant l'été.
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deadwing a écrit, le 2010-09-04 10:51:25 : Les 250 000 € touchés pour la sélection de Gameiro seront très certainement ajoutés dans le budget de Décembre, mais peuvent ils l'être, à titre exceptionnel, dès maintenant pour pouvoir qualifier les joueurs sur le carreaux ?
Rêve pas, cette somme sera juste à déduire de ce que les actionnaires ont placé en compte bloqué, vu qu'on a toujours pas atteint le montant de 2M€ avec les transferts ... -
deadwing a écrit, le 2010-09-04 10:51:25 : Les 250 000 € touchés pour la sélection de Gameiro seront très certainement ajoutés dans le budget de Décembre, mais peuvent ils l'être, à titre exceptionnel, dès maintenant pour pouvoir qualifier les joueurs sur le carreaux ?
Peut être que réglementairement ce n'est pas possible mais c'est quand même une rentrée d'argent assurée et qui peut compter dans la décision concernant les contrats en attente. -
deadwing a écrit, le 2010-09-04 10:51:25 : Les 250 000 € touchés pour la sélection de Gameiro seront très certainement ajoutés dans le budget de Décembre, mais peuvent ils l'être, à titre exceptionnel, dès maintenant pour pouvoir qualifier les joueurs sur le carreaux ?
Non. Ca a été expliqué notamment par Fournier : masse salariale et budget sont désormais deux choses nettement distinctes. Pour pouvoir rester en National en juillet, le Racing s'est imposé un niveau de masse salariale bas qui tenait compte des ses ressources alors très limitées - puisque les ventes prévisionnelles de joueurs n'étaient pas prise en compte et que l'actionnaire n'a mis que le minimum. Il doit respecter ce niveau de masse salariale, ce qu'il n'a pas fait jusqu'au 31 août dans la soirée.
Ce serait trop facile de débarquer maintenant en faisant un troisième ou quatrième budget avec une masse salariale réévaluée parce que Gameiro, Niang etc. Les autres clubs de National s'étrangleraient, et ils auraient bien raison.
Bien sûr, les choses auraient pu être différentes si Plessis n'avait pas fumé du crack en préparant son premier budget ou si l'actionnaire ne s'était pas fait tirer les oreilles jusqu'au dernier moment pour remettre au pot mais on ne refait pas l'histoire. La DNCG nous maintient dans les clous que nous nous sommes nous-même fixés. Au mieux, il y aura une trésorerie positive qui permettra peut-être à Carousel de se rembourser, ou pas.
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