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C'est à la fois un vieux club et un jeune club qui vient rendre visite au Racing ce samedi. Le Maccabi Paris et l'UJA Alfortville ne font plus qu'un.
L'UJA Alfortville a été créée dans les années 20 par la communauté arménienne, avant de s'ouvrir sur la région parisienne. Après plusieurs dizaines d'années dans un anonymat le plus total, c'est la prise en main du club par Gilles Baudu, patron du journal d'annonces gratuites Paris Paname, qui va lui permettre de décoller. Les valeurs émises par le club ne sont pourtant pas oubliées, le volet social est présent à travers nombre d'actions dans les quartiers, la gratuité d'accès aux équipements et aux terrains.
L'UJA est avant tout un club de CFA depuis (seulement) 2008, malgré une excursion en National en même temps que le RC Strasbourg et le SR Colmar, dont les destins étaient liés en 2010-2011. En effet, Colmar était monté sportivement, le Racing avait été rélégué par la DNCG avant d'être repêché, ce qui a permis à Alfortville de gagner le droit de monter en tant que meilleur deuxième des groupes de CFA. Ce passage en National a été aussi furtif qu'un drone de l'armée américaine, et le club francilien est reparti se reconstruire en CFA. On se souvient du 4-0 infligé par le Racing à la Meinau il y a deux saisons et le retour également victorieux au mythique stade de Colombes.
La thématique du second club parisien a concerné de près l'UJA (voir les cahiers du football) essentiellement le temps de voir Michel Moulin (un autre patron de journaux d'annonces) se planter à la tête du club, tel un Sitterlé chauve. Finalement, après de grandes promesses jamais suivies de faits, le club choisit de fusionner avec le Maccabi Paris pour devenir l'Union de la Jeunesse Arménienne Maccabi Paris Métropole.
Le début de saison a été assez nébuleux pour ce club dont on ne sait pas grand-chose cette saison. On retiendra que l'effectif constitué par l'UJA MPM provient essentiellement de la région parisienne, de l'ancienne UJA et des joueurs venant du Paris FC. On se souviendra également au coup d'envoi que ce club tient pour être la meilleure défense de notre groupe de CFA.
Le club francilien a déjà quatre scores nuls et vierges à son compteur. Cependant lors des deux derniers matchs, ils ont encaissé à chaque fois un but, montrant que leur défense n'est pas invincible. Aucun but encaissé ne l'a été en deuxième mi-temps. En attaque, ce n'est guère reluisant avec quatre petits buts marqués, par quatre joueurs différents. Signe que l'effectif n'est guère stable : l'entraîneur a dû se servir de 24 joueurs différents lors des huit premières rencontres. Seul le défenseur Julien Chevalier a joué l'intégralité du début de saison.
L'UJA est avant tout un club de CFA depuis (seulement) 2008, malgré une excursion en National en même temps que le RC Strasbourg et le SR Colmar, dont les destins étaient liés en 2010-2011. En effet, Colmar était monté sportivement, le Racing avait été rélégué par la DNCG avant d'être repêché, ce qui a permis à Alfortville de gagner le droit de monter en tant que meilleur deuxième des groupes de CFA. Ce passage en National a été aussi furtif qu'un drone de l'armée américaine, et le club francilien est reparti se reconstruire en CFA. On se souvient du 4-0 infligé par le Racing à la Meinau il y a deux saisons et le retour également victorieux au mythique stade de Colombes.
La thématique du second club parisien a concerné de près l'UJA (voir les cahiers du football) essentiellement le temps de voir Michel Moulin (un autre patron de journaux d'annonces) se planter à la tête du club, tel un Sitterlé chauve. Finalement, après de grandes promesses jamais suivies de faits, le club choisit de fusionner avec le Maccabi Paris pour devenir l'Union de la Jeunesse Arménienne Maccabi Paris Métropole.
Le début de saison a été assez nébuleux pour ce club dont on ne sait pas grand-chose cette saison. On retiendra que l'effectif constitué par l'UJA MPM provient essentiellement de la région parisienne, de l'ancienne UJA et des joueurs venant du Paris FC. On se souviendra également au coup d'envoi que ce club tient pour être la meilleure défense de notre groupe de CFA.
Le club francilien a déjà quatre scores nuls et vierges à son compteur. Cependant lors des deux derniers matchs, ils ont encaissé à chaque fois un but, montrant que leur défense n'est pas invincible. Aucun but encaissé ne l'a été en deuxième mi-temps. En attaque, ce n'est guère reluisant avec quatre petits buts marqués, par quatre joueurs différents. Signe que l'effectif n'est guère stable : l'entraîneur a dû se servir de 24 joueurs différents lors des huit premières rencontres. Seul le défenseur Julien Chevalier a joué l'intégralité du début de saison.
