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Votre statue en foie gras de Ledy est finie, et vous ne savez plus qui aduler ? Trouvez la nouvelle star ici.
Nous allons passer ici en revue les joueurs ayant rejoint les rangs strasbourgeois pendant l'été pour atteindre l'objectif de fin de saison, à savoir la remontée immédiate.
Ludovic Golliard :
Capitaine régulier de l'équipe fanion, il est aussi un des plus âgés du groupe du haut de ses 28 ans. Bisontin de naissance, il a fait dans le club local la majeure partie de sa carrière et fut deux fois titré avec celui-ci (Champion de National et de CFA, respectivement en 2003 et 2009). Recruté après un bon passage en région parisienne à Créteil, il ne cesse depuis de rassurer les supporters dans une défense malheureusement pas tout le temps aussi hermétique qu'on le souhaiterait. Buteur régulier quelque soit le championnat, il fut également l'auteur d'un des plus beaux buts du semestre.
Billy Modeste :
Le longiligne parisien complète la charnière titulaire en défense centrale. Loin d'être le défenseur le plus rassurant, il aura le mérite de faire régulièrement parler sa puissance physique sur coup de pied arrêté, mais également de « faire le job » à son poste. Il cédera certainement sa place lors du retour du grognard serbe, Milovan Sikimic.
Vincent Guignery :
Le doyen de l'effectif combine pugnacité et engagement, ne comptant pas ses efforts. Le titulaire du poste d'arrière gauche est également fort d'un palmarès français acceptable, jouant souvent et spécialisé dans la Coupe de France. Devenu un véritable maillon fort dans le dispositif de François Keller, il est pénalisé en fin de première partie de saison par une lourde suspension après son expulsion à Vesoul. Un des hommes forts de la défense, devenu un joueur respecté pour son engagement.
Abdoulaye Coulibaly :
Le Malien joue peu en équipe première, du fait de la forte concurrence qui s'exerce à son poste de milieu. Cependant, lorsqu'il le fait ou participe aux matchs de Coupe sa puissance physique rappelle certains anciens racingmen, Harlington Shereni en tête. Jeune encore, à seulement 20 ans l'ancien Bordelais a une forte marge de progression qui fait de lui un remplaçant idéal, et plus si affinités.
Thomas Martin :
L'homme fort du milieu de terrain a rendu le jeu alsacien tributaire de sa présence en peu de temps. La révélation de cette dépendance survint lors de la blessure du beau gosse d'Honfleur, où personne n'a su en profiter pour le remplacer, ni même pour faire douter les observateurs. Déjà très aimé de l'ensemble du public, il ne tient désormais qu'à lui de faire fructifier ce capital et d'aider le club à remonter dans les divisions supérieures.
Aymeric Ounissi :
Cet habitué de la CFA avec Aurillac joue les intermittents sur les pelouses que foule l'équipe première. Encore peu en vue, il apparaît souvent à son avantage, surtout quand on constate que lui aussi est encore très jeune et peu mettre à profit la seconde partie de saison pour se rendre nécessaire au club.
Anthony Sichi :
Le champion 2009 de National a également rejoint les bords de la Krimmeri durant la trêve estivale. Rapidement titulaire, même si un peu timide dans l'expression de son talent au début, il semble prendre en confiance au fil des matchs et est un des rouages majeurs du onze titulaire chaque samedi.
Gauthier Pinaud :
Le joueur dont le parcours avec le Racing est d'ores et déjà paradoxal. Après avoir délivré le centre décisif qui envoie le Racing en National face à Châteauroux, il vient à l'été dans le camp adverse de ce triste match pour réparer les dégâts qu'il a causé, car oui, ceci n'est que de sa faute. Trêve de plaisanteries, et louons l'ailier généreux dans l'effort et dont la rapidité a fait tourner bien des têtes déjà. Assurément une excellente recrue sur cette première partie de saison.
Saidou Sow :
Le Guinéen souffre d'un parcours tumultueux où il n'a pu suffisamment jouer. Désormais remplaçant, les bribes de matchs qu'il dispute lui permettent de montrer sa technique avantageuse et son envie d'aller vers l'avant. Lentement mais sûrement, il commence à jouer de plus en plus et à apporter quelques points précieux, notamment face à Auxerre.
Le destin du Racing est entre les pieds de ces hommes. A vous, Messieurs, de continuer à nous faire rêver.
Ludovic Golliard :
Capitaine régulier de l'équipe fanion, il est aussi un des plus âgés du groupe du haut de ses 28 ans. Bisontin de naissance, il a fait dans le club local la majeure partie de sa carrière et fut deux fois titré avec celui-ci (Champion de National et de CFA, respectivement en 2003 et 2009). Recruté après un bon passage en région parisienne à Créteil, il ne cesse depuis de rassurer les supporters dans une défense malheureusement pas tout le temps aussi hermétique qu'on le souhaiterait. Buteur régulier quelque soit le championnat, il fut également l'auteur d'un des plus beaux buts du semestre.
Billy Modeste :
Le longiligne parisien complète la charnière titulaire en défense centrale. Loin d'être le défenseur le plus rassurant, il aura le mérite de faire régulièrement parler sa puissance physique sur coup de pied arrêté, mais également de « faire le job » à son poste. Il cédera certainement sa place lors du retour du grognard serbe, Milovan Sikimic.
Vincent Guignery :
Le doyen de l'effectif combine pugnacité et engagement, ne comptant pas ses efforts. Le titulaire du poste d'arrière gauche est également fort d'un palmarès français acceptable, jouant souvent et spécialisé dans la Coupe de France. Devenu un véritable maillon fort dans le dispositif de François Keller, il est pénalisé en fin de première partie de saison par une lourde suspension après son expulsion à Vesoul. Un des hommes forts de la défense, devenu un joueur respecté pour son engagement.
Abdoulaye Coulibaly :
Le Malien joue peu en équipe première, du fait de la forte concurrence qui s'exerce à son poste de milieu. Cependant, lorsqu'il le fait ou participe aux matchs de Coupe sa puissance physique rappelle certains anciens racingmen, Harlington Shereni en tête. Jeune encore, à seulement 20 ans l'ancien Bordelais a une forte marge de progression qui fait de lui un remplaçant idéal, et plus si affinités.
Thomas Martin :
L'homme fort du milieu de terrain a rendu le jeu alsacien tributaire de sa présence en peu de temps. La révélation de cette dépendance survint lors de la blessure du beau gosse d'Honfleur, où personne n'a su en profiter pour le remplacer, ni même pour faire douter les observateurs. Déjà très aimé de l'ensemble du public, il ne tient désormais qu'à lui de faire fructifier ce capital et d'aider le club à remonter dans les divisions supérieures.
Aymeric Ounissi :
Cet habitué de la CFA avec Aurillac joue les intermittents sur les pelouses que foule l'équipe première. Encore peu en vue, il apparaît souvent à son avantage, surtout quand on constate que lui aussi est encore très jeune et peu mettre à profit la seconde partie de saison pour se rendre nécessaire au club.
Anthony Sichi :
Le champion 2009 de National a également rejoint les bords de la Krimmeri durant la trêve estivale. Rapidement titulaire, même si un peu timide dans l'expression de son talent au début, il semble prendre en confiance au fil des matchs et est un des rouages majeurs du onze titulaire chaque samedi.
Gauthier Pinaud :
Le joueur dont le parcours avec le Racing est d'ores et déjà paradoxal. Après avoir délivré le centre décisif qui envoie le Racing en National face à Châteauroux, il vient à l'été dans le camp adverse de ce triste match pour réparer les dégâts qu'il a causé, car oui, ceci n'est que de sa faute. Trêve de plaisanteries, et louons l'ailier généreux dans l'effort et dont la rapidité a fait tourner bien des têtes déjà. Assurément une excellente recrue sur cette première partie de saison.
Saidou Sow :
Le Guinéen souffre d'un parcours tumultueux où il n'a pu suffisamment jouer. Désormais remplaçant, les bribes de matchs qu'il dispute lui permettent de montrer sa technique avantageuse et son envie d'aller vers l'avant. Lentement mais sûrement, il commence à jouer de plus en plus et à apporter quelques points précieux, notamment face à Auxerre.
Le destin du Racing est entre les pieds de ces hommes. A vous, Messieurs, de continuer à nous faire rêver.
