Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

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Sébastien Graeff © denisub90

En principe vendu à Sébastien Graeff, le Racing va désormais devoir attendre le verdict de la DNCG pour savoir de quoi son avenir pourra être fait. De quoi susciter un timide espoir, au milieu de beaucoup d'incertitudes.

MAJ 17h42 : Une relevé de décision publié sur le site de la Fédération annonce une confirmation en appel de la décision de rétrogradation en CFA. Le verdict a donc été rendu très rapidement, contrairement à ce que laissaient entendre les derniers échos évoquant une décision en deux temps. Reste à savoir si il est définitif ou s'il s'agit d'une étape supplémentaire dans le marathon procédural : les dirigeants du Racing pourraient envisager un recours, non suspensif, devant le CNOSF.

En milieu de semaine dernière, le Racing, relégué en CFA par la DNCG, se trouvait un peu comme le troufion de la chanson du grand Jacques : tout nu dans sa serviette et le rouge au front. Tous les candidats au rachat avaient annoncé se désengager et la balle avait fini par atterrir solidement du côté du quai Finkmatt, où un juge-commissaire achevait de jeter un regard sourcilleux sur les comptes exsangues d'un club qui n'a jamais vraiment digéré le bal tragique de Montpellier. Les joueurs encore sous contrat avaient repris l'entraînement sans trop d'espoir, attendant surtout d'être officiellement libérés de leurs obligation pour s'en aller voir ailleurs si l'herbe est plus verte. En coulisse, association et mairie s'activaient pour préserver un plan B s'appuyant sur la relance du club sur base associative, en CFA ou CFA2. Beaucoup s'y étaient résignés.

L'annonce le 30 juin d'un accord de principe entre Jafar Hilali et Sébastien Graeff a relancé la frénésie sur les bords du Krimmeri, et avec elle l'espoir de voir le Racing évoluer tout de même en National en 2011/2012. Il faut dire qu'à première vue l'aubaine est incroyable : voilà un homme visiblement fortuné qui accepte de venir renflouer un coûteux chef-d'oeuvre en péril, sans réelle garantie en retour. Évidemment, les choses sont moins simples que cela, et les huit jours de cahots qui se sont écoulés l'ont amplement démontré.

Les mauvais comptes ravivent les inimitiés


Le premier point d'achoppement du dossier de reprise porte sur les conditions très favorables accordées à Jafar Hilali pour son désengagement. L'auto-proclamé « Mozart de la finance » n'a certes pas obtenu les 10 millions initialement réclamés mais il a tout de même réussi à imposer un prix grossièrement surévalué pour des parts qui ne représentent au fond que 54,6% du club. Sébastien Graeff a en effet fini par accepter les conditions que Frédéric Sitterlé avait refusées, à savoir 1,6M€ fermes suivis éventuellement de deux bonus de 1,5M€ en cas de montée en Ligue 2 puis Ligue 1, et ce sans limitation dans le temps.

Le président de Carousel finance devrait donc obtenir une somme identique à celle déboursée à l'époque pour racheter à Philippe Ginestet un club de L2 avec un capital joueur dégradé, mais encore réel. Il obtient en sus une créance potentielle de 3M€ qui pourra s'activer si le club retrouve l'élite du championnat, soit une somme qui couvrirait presque les 3,4M€ investis par sa société. La perte reste tout de même conséquente - puisque Hilali et Alain Fontenla ont injecté au total 4,9M€ et que le Racing n'est pas près de se frotter à nouveau à l'OM ou au PSG – mais elle est amortie, ce qui n'est pas sans contraster avec la politique consistant à envoyer délibérément le club par le fond. Au final, le chantage a réussi. En installant solidement l'idée qu'il était totalement incontrôlable, et prêt à tout perdre, Jafar Hilali a réussi à dicter ses conditions à des interlocuteurs plus prudents que lui. Cette stratégie du fou, comme inspirée d'un manuel de théorie des jeux, finit par payer à court terme mais va durablement impacter l'avenir d'un Racing meurtri comme jamais par le règne ubuesque de « Jafar Ier ». Ce dernier a campé avec jouissance un personnage de geek grossier, brutal et manifestement illettré, mais on ne jurerait pas qu'il n'a pas lu le classique de Thomas Schelling, Stratégie du Conflit.

L'issue favorable à Jafar Hilali ne peut que susciter la frustration chez tous ceux qui ont subi ses frasques et humiliations, ce qui alimente immanquablement le ressentiment. Sébastien Graeff s'en est déjà expliqué, mettant en avant l'intérêt supérieur du Racing. On a même parlé d'assurer la « survie » du club, ce qui constitue une déformation, puisque l'entité en elle même aurait persisté même en cas de liquidation de la Société Anonyme sportive professionnelle (SASP). Le RCS serait redevenu l'association qu'il a cessé d'être en 1990 et serait retourné dans le monde amateur qu'il a quitté en 1933. Une perspective manifestement difficile à intégrer pour une bonne partie du public, qui n'envisage pas son Racing sous une autre forme que celle qu'il a connu jusqu'ici. On devine en creux que dans l'Hexagone le terreau n'est pas (encore?) fertile pour une vraie mobilisation populaire portant un club dès la base, à l'image de ce qui peut exister en Allemagne ou au Royaume-Uni.

Repoussant cette perspective de nouveau départ dans les divisions inférieures, le Racing semble s'être offert in extremis une dernière boule de flipper pour tenter, enfin, de sauver sa partie. On ne jurerait pas que ça va marcher, ni même que cela a davantage de chance de succès que le plan B. Mais la question pourra tout aussi bien se reposer dans un an. En attendant, Sébastien Graeff a pris le siège du pilote, position parmi les plus médiatiques et passionnelles en Alsace. Il n'a pas tardé à être déniaisé.

Les conditions qui froissent


L'accord de principe trouvé avec Jafar Hilali a vite été accompagné la semaine dernière d'un communiqué aux allures de pronunciamiento qui posait quatre conditions pour la conclusion de la reprise.

  • Sébastien Graeff souhaitait d'abord qu'un nouvel audit du club soit rapidement réalisé. Ce qui a été fait par Lukas Furrer et Jacky Kientz, apparemment sans trop de problème.
  • Il désirait également un soutien financier accru de la part des pouvoirs publics. La mairie a répondu à cet appel en laissant entendre que la contribution annuelle au fonctionnement du centre de formation pourrait passer de 600.000 à 800.000€. Un effort pourrait également être fait en ce qui concerne le loyer de la Meinau qui sert au Racing de stade, de siège social et de centre d'entraînement.
  • Il était aussi demandé aux trois actionnaires minoritaires disposant d'un compte courant d'actionnaire d'y renoncer afin d'équilibrer le bilan 2010/2011. Ce point a été le plus difficile, nous allons y venir.
  • Enfin, l'apport nécessaire au sauvetage de la SASP est conditionné à une réintégration en National par la DNCG. Sébastien Graeff n'a aucune intention d'investir dans un club de CFA, et le verdict en appel de l'instance de contrôle s'annonce à ce titre décisif.

L'abandon par les actionnaires minoritaires de leurs comptes courants a suscité l'essentiel des controverses ces derniers jours. En théorie, la question pourrait presque être anecdotique, puisque cet argent n'existe pas concrètement : il a depuis longtemps été dévoré par le déficit d'exploitation galopant du Racing. Mais les sommes continuent de peser sur le plan comptable, puisqu'elles sont légalement des créances des actionnaires envers le club, apparaissant de ce fait au passif de ce dernier. Pour équilibrer le bilan 2010/2011 il faut qu'un abandon de créance d'1M€ soit consenti, ce qui signifie que les actionnaires renoncent au moins dans un premier temps à récupérer l'argent prêté au Racing. Ce qu'Egon Gindorf a vite accepté à hauteur de 300.000€, suivi finalement par Robert Lohr et Léonad Specht dans des proportions similaires.

Le troisième homme est Dominique Pignatelli, qui a injecté 1.14M€ dans le club et devait en récupérer une partie cet été. Le président des SR Hoenheim a, à plusieurs, reprises signalé que son argent n'avait pas vocation à venir couvrir les conséquences désastreuses de décisions auxquelles il n'a pas été associé. La position se comprend, mais elle n'arrange pas les affaires du dossier de reprise. La négociations s'est donc nouée autour des contreparties futures qui pouvaient être accordées en échange d'un renoncement dans l'immédiat. Après tout, Jafar Hilali lui-même a obtenu de telles conditions pour entériner l'abandon de son compte courant et l'on peut supposer que l'attitude de Pignatelli a au moins été partiellement aiguillonnée par ce précédent.

Après des rebondissements dont le Racing a le secret, un accord a finalement été trouvé aujourd'hui, et entériné. Dominique Pignatelli va s'asseoir sur les 344.000€ permettant d'atteindre la somme fatidique d'1M€ d'abandon de créance et pourrait, comme Jafar Hilali, récupérer le reliquat (800.000€;) en cas de succès sportif. La solution permet à Pignatelli de sauver la face tout en aidant le Racing, et à Sébastien Graeff de ne pas débourser un centime supplémentaire dans l'immédiat. Aussi raisonnable soit-elle, elle a été difficile à accoucher et les épisodes rocambolesques ont forcément laissé des traces. Souvent acide, et très critique, Dominique Pignatelli n'en a pas moins été soumis à une pression qui n'a pas toujours été très loyale. L'entrée en matière de Sébastien Graeff et ses acolytes ne s'est donc pas faite dans la douceur, et a suscité de l'amertume dès avant l'intronisation officielle.

Reste le gros morceau : la DNCG. Le « gendarme financier », selon l'expression consacrée, ne se laisse pas attendrir par des yeux de biche et une promesse de ne plus recommencer. Il exige du concret, à commencer par des documents actés officialisant la passation de pouvoir et les abandons de créances. La présentation complète et régulière de ces pièces est essentielle pour que le Racing puisse définitivement tourner la page Jafar Hilali. En si peu de temps, l'affaire relève de la gageure, et l'on espère qu'il n'y a pas eu de contretemps lorsqu'il s'est agi tout à l'heure de finaliser avant de rencontrer la DNCG à 14h30. Sinon, il faudrait déjà compter sur une clémence bien émoussée par plus d'un an et et demi d'atermoiements.

Le deuxième round devrait se jouer mardi. Cette fois-ci il ne s'agira plus de boucler dans les formes 2010/2011, mais bien de mettre sur la table l'argent pour assurer 2011/2012. Au terme de la saison écoulée, le Racing a accusé un déficit d'exploitation de 5M€, peut-être même un peu plus au vu de ses difficultés de trésorerie au printemps. C'est une somme comparable que les nouveaux actionnaires vont devoir injecter rapidement. Elle sera peut-être inférieure puisque la masse salariale joueurs a baissé depuis 2010, mais il ne faut pas oublier aussi que les recettes ne se portent pas très bien de leur côté. En tout état de cause, il n'y a plus rien à vendre puisque même la clause sur Kévin Gameiro a déjà été cédée au rabais et qu'aucun joueur de l'effectif actuel ne fera l'objet d'un transfert rondelet. Si la perfusion par l'actionnariat est jugée suffisante, la DNCG réintègrera le club en National, mais il sera sans doute difficile d'échapper dans le même temps à une mesure de recrutement contrôlé qui freinera l'engagement de renforts. Ce serait pourtant un bien moindre mal.

L'entourage qui inquiète


En cas de succès en appel, Sébastien Graeff pourra définitivement prendre les clés du club et mettre en place son équipe. Sur ce point aussi, l'espoir se mêle à l'appréhension.

Il y a d'un côté les premiers indices d'une politique sportive raisonnée consistant à renouveler la confiance à l'effectif de la deuxième partie de saison 2010/2011, qui serait confié au très méritant François Keller, couvert par l'icône Jacky Duguépéroux. Pas de joueurs inconnus ou d'entraîneur fantasque, on partirait sur du solide, de l'éprouvé. A ce titre, le fait que Milovan Sikimic ait été convaincu d'attendre la reprise du club est un signe positif.

Mais dès que l'oeil se détache du sportif stricto-sensu, le tableau devient plus flou. La première question porte sur l'identité du réel donneur d'ordres. Déjà actionnaire entre 2003 et 2004, Sébastien Graeff n'était alors de notoriété publique qu'un prête-nom pour son père Bernard Graeff, condamné en 1999 dans une retentissante affaire d'escroquerie et interdit à ce titre de gestion pour cinq ans. Aujourd'hui, le fils prétend agir pour son propre compte, mais ses proclamations peinent à faire taire les échos qui attribuent au père une influence décisive. Ce qui n'est pas en soi infamant, mais les supporters du Racing ont appris à être méfiants face à ce genre de dissimulation, eux qui ont subi pendant des mois les pantins agités par un Jafar Hilali longtemps resté dans l'ombre, pour le plus grand mal du club.

Les affaires de la famille Graeff et de leurs acolytes immédiats ne semblent également pas au-dessus de tout soupçon. Il ne faut certes pas verser dans le procès d'intention à partir de casseroles éparses, mais voilà une petite troupe à qui même Pie XII aurait du mal à donner le Bon Dieu sans confession. Bernard Graeff a longtemps oeuvré dans une forme perverse de vente par correspondance (VPC) consistant à cibler des gens affaiblis que l'on détrousse insidieusement en leur faisant miroiter des gains à des loteries plus ou moins fantômes. Avec ce genre de pratique, la ligne est toujours fine entre l'astuce commerciale, l'entourloupe et l'escroquerie. Or, les tribunaux ont considéré à plusieurs reprises qu'on était bien dans le domaine délictuel, et ont tranché en ce sens à la fin des années 1990. Chose étrange, Bernard Graeff était alors en faillite avant de réapparaître quelques années plus tard suffisamment à l'aise financièrement pour pouvoir participer au rachat du club à IMG. Ce qui dénote a minima une certaine capacité à rebondir.

Si les déboires de Graeff père en matière de VPC sont déjà lointains, ce n'est pas le cas avec Lukas Furrer, conseil proche de la famille et pressenti au directoire, qui était jusqu'à récemment dirigeant de sociétés – Promondo notamment – épinglées par des associations de consommateurs pour des pratiques de vente très similaires, qui mêlent pseudo produits miracles et martingale. Ce genre de choses n'ont certes jamais empêché de diriger efficacement un club de football, mais elles n'inspirent pas non plus une confiance pleine et entière. Sans doute conscient du poids de tels pedigrees, les Graeff ont choisi de pousser une figure plus lisse et présentable pour la présidence effective du club : Louis Bacchialoni, actionnaire minoritaire (5 et bientôt 2,5%) de l'OGC Nice et actif dans le domaine de la restauration collective.

Surtout, l'oeil du supporter critique se désole vite de voir encore dans la coulisse des personnages ayant largement cautionné l'oeuvre de destruction du club de Jafar Hilali. Si la reprise par la famille Graeff se présente a priori comme une opportunité de nouveau départ, force est de constater que le ménage n'a pas totalement été fait. C'est ainsi que l'ancien président Jacky Kientz a joué un rôle important, et parfois trouble, dans les négociations aussi bien avec Jafar Hilali qu'avec Dominique Pignatelli. Personnage récurent des bouffonneries autour du Racing depuis 20 ans, Kientz garde des partisans chez les supporters qui n'ont pas oublié les belles années 1991-1992. Mais il a également servi de caution locale et d'idiot utile à Jafar Hilali, entérinant en tant que vice-président du conseil de surveillance les pratiques douteuses de la direction londonienne – particulièrement la tentative délirante d'aspiration des liquidités de l'association support au printemps. Dans un registre plus anecdotique, on a également vu l'ancien directeur sportif Jean-Luc Witzel continuer à grenouiller autour des bureaux et salons, lui qui a été l'un des plus fidèles subordonnés d'Hilali et qui figure parmi les principaux responsables du désastre qu'a été l'inter-saison 2010.

Et après ?


Avec du travail et beaucoup de réussite, ces interrogations initiales pourraient être assez vite dissipées. Les bons résultats rendent soudainement plus vertueux les dirigeants, et si le Racing retrouve effectivement la L2 puis la L1, plus grand monde n'ira chercher des noises aux Graeff à propos d'une petite vieille qui a vidé son livret de Caisse d'épargne pour se retrouver avec un cuit-vapeur défectueux. Mais, même avec ce soupçon de cynisme, la tâche est d'ampleur.

Le succès sur le terrain ne suffira pas puisqu'une SASP RC Strasbourg revivifiée se retrouverait au terme de chaque saison avec des échéances sonnantes et trébuchantes à régler : argent à rembourser à des actionnaires actuels ou anciens, procès en tous genres et un déficit d'exploitation qui ne disparaîtra pas de sitôt. Monter un projet sportif durable et ambitieux dans ces conditions sera tout sauf aisé puisqu'en l'absence d'apport renouvelé des actionnaires il faudra recourir en masse à la solution de la vente de joueurs, qui n'a guère réussi au Racing dans le passé récent.

L'espoir est donc préservé, et ce n'est pas une mince affaire vu le contexte, mais l'essentiel des zones d'incertitude demeure. Les bilans d'étape du Racing version Graeff seront scrutés avec attention. Le premier tombera d'ici quelques jours, avec le verdict de la DNCG.





Article réalisé notamment en synthétisant les informations parues dans la presse, particulièrement dans l'Alsace sous la plume de Stéphane Godin, mais aussi dans les Dernières Nouvelles d'Alsace, 20 Minutes, et sur France 3 Alsace.

strohteam

Commentaires (4)

Flux RSS 4 messages · Premier message par mitchtornado · Dernier message par captainflirt

  • Bien du courage strohteam pour décortiquer toutes les infos et sortir l'info de l'intox. Très très bon article. Si je pouvais je te mettrai 2 pouces (+)
  • Bravo et merci !
  • Ces clair, c'est net, c'est ciselé, c'est précis et facile à comprendre. Du strohteam quoi!
    Associer pronunciamento et quatre conditions, c'est savoureux. Mais qui ira donc déclarer prendre dès maintenant la présidence du Racing avec les pleins pouvoirs?

    Notre ami strohteam, en plus de rédiger de véritables travaux d'universitaire, sait aussi faire preuve de mordant avec ses adversaires sans les insulter.
    Pour preuve, cette mention dans la même phrase de Kientz et de bouffoneries est une véritable association qui marque le stubiste qui dorénavant pensera immédiatement "bouffon" en entendant ou en lisant "Kientz".
    Finement joué!
  • Merci de me permettre de suivre un peu l'actu du RCS grâce à de tels articles.
    Pas dégueu côté plume en plus. Chapeau bas !

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