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- Après-match
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- Par klaus
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Le Racing se rassure après une série de six rencontres sans succès en l'emportant largement 4-2 face à Bastia.
Malgré les performances de qualité, le doute s'est installé progressivement au sein de la formation strasbourgeoise qui n'a plus connu le succès depuis près de deux mois.
La réception de Bastia était donc un match capital qui devait, en cas de succès, replacer le Racing à une position plus conforme à la qualité de ses prestations depuis le début de saison.
Les premières minutes du match donnent lieu à une grève de la part des Ultras qui, pour protester contre les dérives du football moderne et pour montrer que les supporters font partie intégrante du spectacle, décident d'observer le silence pendant les vingt premières minutes du match.
Pendant la durée de cette grève, le Racing rentre bien dans le match et dès la 15e minute trouve l'ouverture par Ljuboja, qui reprend en se jettant seul devant le but un bon service de Le Pen.
Ce même Le Pen profite à la 38e minute d'une bévue du défenseur corse Chimbonda pour doubler la mise en battant Penneteau de près.
Malheureusement le Racing retombe rapidement dans ses travers et encaisse dès la minute suivante un but par l'intermédiaire de Youssouf Hadji, qui réduit le score et replonge le club strasbourgeois dans le doute.
Néanmoins, le Racing ne se laisse pas abattre et repart immédiatement porter le danger devant le but corse, d'abord par l'intermédiaire de Ljuboja qui trouve le poteau puis par Niang qui, bénéficiant d'une excellente ouverture de Lacour, se retrouve seul face à Penneteau, l'élimine et pousse le ballon au fond des filets!
Le Racing rentre aux vestiaires avec un avantage de deux buts.
Dès la reprise, les strasbourgeois repartent en direction de la cage bastiaise, et suite à un corner, dévié par le joueur corse Diara, Ehret place le ballon sous la barre transversale du but gardé par Penneteau.
La fin du match est plus à l'avantage de Bastia qui, à vingt minutes de la fin, réduit l'écart, toujours par l'intermédiaire de Hadji, en trouvant la lucarne de Fernandez.
En conclusion, le Racing s'est rassuré en venant à bout d'une équipe de Bastia, qui a été très légère en défense. Les Strasbourgeois pèchent encore par manque de réalisme devant le but et par un manque de concentration en défense. Néanmoins l'essentiel ce soir était de prendre les trois points, à une semaine d'un déplacement périlleux à Monaco, face à l'équipe la plus impressionante du moment.
La réception de Bastia était donc un match capital qui devait, en cas de succès, replacer le Racing à une position plus conforme à la qualité de ses prestations depuis le début de saison.
Les premières minutes du match donnent lieu à une grève de la part des Ultras qui, pour protester contre les dérives du football moderne et pour montrer que les supporters font partie intégrante du spectacle, décident d'observer le silence pendant les vingt premières minutes du match.
Pendant la durée de cette grève, le Racing rentre bien dans le match et dès la 15e minute trouve l'ouverture par Ljuboja, qui reprend en se jettant seul devant le but un bon service de Le Pen.
Ce même Le Pen profite à la 38e minute d'une bévue du défenseur corse Chimbonda pour doubler la mise en battant Penneteau de près.
Malheureusement le Racing retombe rapidement dans ses travers et encaisse dès la minute suivante un but par l'intermédiaire de Youssouf Hadji, qui réduit le score et replonge le club strasbourgeois dans le doute.
Néanmoins, le Racing ne se laisse pas abattre et repart immédiatement porter le danger devant le but corse, d'abord par l'intermédiaire de Ljuboja qui trouve le poteau puis par Niang qui, bénéficiant d'une excellente ouverture de Lacour, se retrouve seul face à Penneteau, l'élimine et pousse le ballon au fond des filets!
Le Racing rentre aux vestiaires avec un avantage de deux buts.
Dès la reprise, les strasbourgeois repartent en direction de la cage bastiaise, et suite à un corner, dévié par le joueur corse Diara, Ehret place le ballon sous la barre transversale du but gardé par Penneteau.
La fin du match est plus à l'avantage de Bastia qui, à vingt minutes de la fin, réduit l'écart, toujours par l'intermédiaire de Hadji, en trouvant la lucarne de Fernandez.
En conclusion, le Racing s'est rassuré en venant à bout d'une équipe de Bastia, qui a été très légère en défense. Les Strasbourgeois pèchent encore par manque de réalisme devant le but et par un manque de concentration en défense. Néanmoins l'essentiel ce soir était de prendre les trois points, à une semaine d'un déplacement périlleux à Monaco, face à l'équipe la plus impressionante du moment.
