Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Pierre Ducrocq

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Flux RSS 260 messages · 37.090 lectures · Premier message par le-rcs-en-force · Dernier message par donizzio

  • Oui, un bon joueur de complément au sens noble du terme. Une saison ça se réussit avec 20 ou 21 joueurs motivés et qui donnent tout quand on fait appel à eux. Un peu comme les "role players" à l'américaine qui sont indispensable pour gagner sur le long terme.
  • Ducrocq, le Parisien

    Pierre Ducrocq ne jouera sans doute pas samedi, contre le club de son coeur. Il est prêt à rentrer dans le rang et à accepter son rôle à nouveau anonyme dans l'effectif de Jean-Marc Furlan.

    S'il ne s'y résigne pas complètement, il est prêt à accepter le choix de son entraîneur strasbourgeois qui pourrait très bien relancer son arrière droit titulaire hongrois Zoltan Szelesi. Mais il est clair que jouer samedi aurait une saveur particulière pour lui. Pierre Ducroq est un enfant du PSG. « C'est sûr que par rapport à un match comme samedi, l'envie est là », explique le joueur arrivé du Havre à l'intersaison.
    On n'en doute pas. Parce que ses douze années dans le club phare de la capitale n'ont notamment pas connu un terme aussi délicieux que prévu. Les épreuves lui ont appris à relativiser. Il vit ses premiers émois sur la pelouse du Parc des Princes avec la Tour Eiffel sur le torse à 20 ans, lors d'une victoire du PSG face à Lens (2-0). Il enchaîne dans la foulée trois saisons au cours desquelles il accumule une centaine de matches sous le maillot parisien.
    La maturation a semblé prendre une forme autrement moins épidermique que pour les jeunes d'aujourd'hui en galère pour maintenir le bateau à flots. « Par rapport à tous les jeunes qui évoluent depuis quelques semaines au PSG, j'ai l'impression qu'on leur montre moins la voie qu'à nous », considère-t-il. « Avec Grégory Paisley ou Jérôme Leroy, on sortait une demi-heure avant les autres du vestiaire, parce qu'on avait la charge de préparer le terrain d'entraînement ». Le cirage de pompes n'étant pas une coutume française, même passée - « ça, j'ai connu durant les huit mois que j'ai passés à Derby County » -, il se forge aussi un mental et une réputation en participant aux campagnes prometteuses parisiennes. En 2000, la 2e place décrochée sous les ordres de Luis Fernandez permet de voir grand et surtout européen.
    « Il y avait eu des contacts avec Monaco, la Juve ou Tottenham à ce moment », rappelle-t-il sans se gargariser. « Mais je ne me voyais pas y donner suite. J'étais Parisien et je ne me voyais pas partir à ce moment-là, alors que l'on devait jouer la Ligue des champions. Je n'ai d'ailleurs quasiment aucun regret sur ma carrière qui a toujours dépendu de mes choix ». Il n'allait néanmoins pas survivre à l'ouragan à l'oeuvre la saison suivante.
    Le PSG réussit une Ligue des champions correcte, en passe 7 à Rosenborg, bat le Bayern, passe en seconde phase de poule mais n'échappe pas au ridicule en prenant l'eau à La Corogne (4-3) non sans avoir mené 3-0. Les résultats de L1 sont médiocres. Luis Fernandez évince la génération locale fidèle ou rapatriée (Anelka, Luccin et Dalmat) pour faire place belle à un contingent espagnol. « J'ai quitté le PSG et je n'ai plus existé à Paris », considère-t-il sans aucune amertume par rapport à cette intersaison de 2001 qui le contraint à plier bagage. « J'ai appris beaucoup de choses sur le métier lors de cette période. Les gens, dans la rue, quand je me balade à Paris, me demandent si je joue encore au foot. La Ligue 2 (ndlr : qu'il a fréquenté sous le maillot du Havre pendant cinq saisons), ce n'est pas le haut niveau ». Mais elle permet de l'entretenir. Si Ducrocq devait jouer samedi, quelques expériences parisiennes seraient au service du Racing pour déborder le PSG.

    source : l'Alsace
  • Et dans les DNA :)) :

    Ducrocq, coeur parisien

    Le défenseur du Racing Pierre Ducrocq a passé près de dix ans à Paris. Avant la venue de la troupe de Paul Le Guen en Alsace, il revient sur sa carrière et ses années PSG.

    Parc des Princes, 25 octobre 1997. Le Paris Saint-Germain de Rai, Bruno N'Gotty et Marco Simone reçoit Lens. A la 78e minute, Pierre Ducrocq, 21 ans, remplace Vincent Guérin. Le PSG mène 2-0 et Ducrocq foule pour la première fois la pelouse du stade de la Porte d'Auteuil.
    Une première qui en appellera d'autres pour le natif de Pontoise puisqu'en quatre saisons, Pierre Ducrocq sera aligné à 101 reprises. « J'ai fait ma formation au PSG. A l'époque c'était dur, très peu de jeunes sortaient même s'il y avait des joueurs cadres qui nous montraient le chemin, raconte le défenseur central, je me souviens qu'avec Greg Paisley, Didier Domi et Jérôme Leroy, on arrivait une demi-heure avant les autres et on devait préparer le terrain, on amenait les plots, les ballons... »

    Approché par Monaco, La Juventus et Tottenham

    Ducrocq apprend le métier et « des valeurs », tout en grimpant les échelons sans se presser. Philippe Bergeroo finit par lui donner sa chance et une place de titulaire. Il ne la lâchera plus. Le défenseur vit alors quatre années fastes et est même approché par des clubs comme La Juventus ou Tottenham. « Je n'ai pas donné suite parce que j'étais Parisien et qu'on jouait la Ligue des Champions », explique-t-il.
    Un choix prudent qui va pourtant se retourner contre lui après le limogeage de Bergeroo en milieu de saison 2000/2001, après une défaite cinglante des Parisiens à Sedan (5-1). « Luis Fernandez est arrivé. J'ai encore joué jusqu'en fin de saison, mais ensuite Luis a fait venir sa clique espagnole et m'a dit qu'il ne comptait plus sur moi. J'avais 24 ans et envie de jouer, donc je suis parti », poursuit le défenseur. Avant d'ajouter : « Ce sont les aléas du foot ».
    Après un intermède à Derby County, où il côtoie notamment Ravanelli et l'ex-strasbourgeois Zavagno, il rentre en France et signe au Havre. S'ensuit une saison en L 1 ponctuée par une descente, puis trois ans dans l'anonymat de la L 2.
    « Au Havre j'ai vécu des choses intéressantes même si je n'étais pas en pleine lumière comme à Paris », explique Ducrocq, qui rappelle que, carrière ratée ou pas, il a toujours assumé ses choix. Sans jamais oublier son équipe de coeur.
    « A part Jérôme Rothen et Bernard Mendy, je ne connais plus personne au PSG. Mais c'est quand même dur de les voir en mauvaise posture, surtout qu'à la tête du club, il y a Cayzac et Le Guen, des gens qui aiment vraiment Paris », souligne-t-il.

    « Ils sont peut-être perdus au Parc, mais à l'extérieur ils sont plus à l'aise »

    Pierre Ducrocq refuse d'ailleurs d'enterrer à l'avance les Parisiens avant le match à la Meinau. Bien au contraire. « J'aurai préféré qu'ils gagnent face à Lyon, parce que là ils n'ont pas d'autre choix que de s'imposer. Ils sont peut-être perdus au Parc, mais à l'extérieur ils sont plus à l'aise », analyse encore Ducrocq, qui serait « ravi » d'être sur le terrain samedi soir.
    « Zoltan (NDLR : Szelesi) est revenu et le coach fera son choix. Moi je reste humble et réaliste, Zoltan est quand même international. Mais, de mon côté, l'envie est là et je me prépare, que je joue 90', 10' ou pas du tout », achève-t-il.
  • Ce joueur a une excellente mentalité.C'est vraiment précieux de l'avoir au racing.
  • A participé au match RCS - Hoffenheim 0-1 (Amical) le : titulaire
  • A participé au match RCS - Valenciennes 0-0 (Ligue 1) le : titulaire
  • Ducrocq l'épicurien

    À 30 ans, Pierre Ducrocq a appris à savourer l'instant présent. Dimanche à Lyon, le défenseur devrait de nouveau être titulaire.

    Il avait suppléé Zoltan Szelesi, victime d'une béquille, sur le côté droit de la défense contre Bordeaux (1-1) et à Lille (3-0). Samedi face à Valenciennes, Pierre Ducrocq a compensé le forfait de Habib Bellaïd dans l'axe. Ce dernier de retour, l'ex-Havrais devrait suppléer au poste de latéral droit l'international hongrois, dont Jean-Marc Furlan estime qu'il a besoin de « se régénérer ».

    Pierre, pensez-vous avoir prouvé à Jean-Marc Furlan qu'il pouvait compter sur vous ?

    Disons que le coach pouvait avoir un doute sur ma capacité à me hisser de nouveau au niveau de la L 1, alors que je n'avais pas fait de préparation estivale. J'ai peut-être levé ce doute en montrant que je suis dans le rythme. Mais quand tu as joué trois matches sur quinze, tu ne peux décemment pas te sentir dans la peau d'un titulaire.

    Vous avez signé comme joueur de complément. Ces trois titularisations ont-elles changé l'approche de votre rôle ?

    Absolument pas. Mon état d'esprit est inchangé. Chaque fois que je jouerai, il faudra que je sois à fond. Je serais très frustré si je n'avais pas répondu présent lorsque le coach a fait appel à moi. J'ai envie d'enchaîner les matches. Mais la décision ne m'appartient pas.

    Pour votre première en défense centrale contre Valenciennes, ça s'est plutôt bien passé...

    Le fait d'évoluer à côté de Greg (Ndlr : Paisley, avec qui il a été formé au PSG) m'a aidé.

    Pourtant, vous n'aviez jamais joué ensemble dans l'axe...

    Non, c'est vrai. Mais on se connaît bien et chacun anticipe ce que va faire l'autre. Samedi, je me suis senti tout de suite bien. À ce poste, dès les deux premiers duels, tu sais si tu es dans le coup ou si tu ne l'es pas.

    « Ça peut aller très vite »
    Malgré votre expérience, avez-vous ressenti une certaine pression ?

    J'avais une boule, pas de stress, ni d'anxiété. De concentration plutôt. Parce qu'à mon âge, on a envie de savourer ces moments-là.

    Vous avez peu joué. Estimez-vous avoir fait le bon choix en venant à Strasbourg ?

    Absolument. À 30 ans, j'apprends, sur le plan tactique, des choses nouvelles avec un coach que je ne connaissais pas. Ça me fait avancer.

    Au moment où vous trouvez votre rythme de croisière, le Racing est, lui, en perte de vitesse...

    Sur les quinze premières journées, nous n'avons raté qu'un match, à Monaco. En ce moment, nous manquons surtout d'un peu de fraîcheur dans le dernier geste.

    Avant la 16e journée, le Racing ne possède plus que quatre points d'avance sur le premier relégable. Ça vous inquiète ?

    Non. Bien sûr, nous avons tous le classement dans un coin de la tête. Nous ne sommes pas stupides et nous savons que ça peut aller très vite. Il fallait s'attendre à ce que nous traversions une période plus délicate, ne pas croire que nous allions faire la course en tête toute la saison. Je ne suis pas inquiet sur la capacité de réaction du groupe. Même en ce moment où ça va moins bien, il continue à bien vivre. Et quelque part, je crois qu'il a besoin de sentir la pression des équipes classées derrière.

    Même avant un déplacement à Lyon ?

    Nous aurons là-bas moins de pression que si nous recevions Caen à la Meinau avec une obligation de résultats. Nous pourrons jouer libérés, jouer crânement notre chance, sans crainte de l'adversaire.

    source : l'Alsace
  • Vraiment ce type me plaît, il a une très bonne mentalité et puis c'est un remplacent de luxe je trouve, perso face à Valencienne il m'a même plutôt impressionné :'> . donc voilà bien content de l'avoir lui ;)
  • Ouep, une des bonnes pioches du recrutement. (+) Super mental ce mec.
  • C'est avec ce genre de joueur qu'on avance. (+)
  • A participé au match Lyon - RCS 5-0 (Ligue 1) le : titulaire
  • A participé au match Rouen - RCS 0-0, 0-0ap, 4-5tab (Coupe de France) le : titulaire
  • "A refaire sans hésiter"

    En ce mois de janvier, le Centre Technique National Fernand Sastre fête ses 20 ans d'existence. L'occasion de revenir avec différents protagonistes sur l'histoire de ce lieu. Aujourd'hui, la parole est donnée à Pierre Ducrocq, milieu de terrain du RC Strasbourg, qui a fait partie de la première promotion de pré-formation de l'Institut National du Football (INF) yvelinois entre 1990 et 1992.

    Pierre, vous avez été parmi les tous premiers à suivre votre préformation au CTNFS. Quels souvenirs en gardez-vous ?
    "Je suis arrivé en 1990, année à laquelle l'INF a basculé de la formation vers la préformation. J'en garde d'excellents souvenirs. On bénéficiait de terrains d'excellentes qualités, qu'on surnommait des "galettes". Les conditions étaient réunies pour notre épanouissement. On avait même déjà le stade couvert qui nous permettait de pouvoir s'entraîner quelles que soient les conditions climatiques. J'étais vraiment impressionné. Dès le retour de l'école, on jetait les cartables, on se changeait au plus vite pour aller jouer !"

    Vous avez été les pionniers de l'INF à Clairefontaine. Vous attendiez-vous à voir l'Institut prendre une telle dimension au fur et à mesure des années ?
    "Pas du tout. Quand tu as 12 ans, tu ne penses pas du tout à cela. On pensait déjà à profiter du moment présent. Les deux ans sont d'ailleurs passés trop vite. Mais quand on voit les générations qui nous ont succédé, on ne peut être qu'impressionné de faire partie de cette grande famille. Une chose est certaine, si c'était à refaire demain, je recommencerais avec grand plaisir tellement les souvenirs sont bons."

    Les liens tissés entre pensionnaires ont-ils résisté au temps ?
    "J'ai revu Benjamin Nivet il n'y a pas longtemps et c'est toujours un plaisir. J'étais proche également de Johan Radet et d'autres joueurs qui n'ont malheureusement percé. Ensuite, je me souviens que lors de ma deuxième année, j'ai partagé des séances avec les plus jeunes parmi lesquelles figuraient Thierry Henry, William Gallas ou Jérôme Rothen. Quand on voit leur parcours, c'est phénoménal."

    Au niveau spécifique football, cela reste aussi de bons moments ?
    "Tout à fait. La formule était très bien adaptée. On s'entraînait la semaine au CTNFS avant de rejoindre notre club le week-end. Du coup, aux entraînements, il n'y avait pas de notion de compétition, c'était le plaisir à l'état pur. Les séances étaient individualisées et nous ont permis de progresser dans des conditions optimales. Je jouais au Paris-SG le samedi et le dimanche, j'étais content de retrouver les copains du Centre pour une nouvelle semaine en commun. On a eu la chance de tomber sur des éducateurs formidables : mon entraîneur André Merelle et l'ancien directeur Claude Dusseau, qui étaient comme des seconds "papas". Pour être honnête, je crois que c'est pendant ces deux ans que j'ai le plus progressé techniquement. Tout le travail était fait dans ce sens."

    Vous avez pu aussi approcher vos idoles à l'époque.
    "Oui, c'était la génération des Papin, Pérez, Boli ou encore Ginola. On les regardait avec de grands yeux ébahis. Ils jouaient de temps en temps à la pétanque devant le Château et avaient toujours un petit mot gentil à notre encontre. Cela fait partie des moments privilégiés que j'ai pu vivre en étant à Clairefontaine. Pour un mordu de football de 12 ans, approcher de si près les Bleus, c'était le summum et la concrétisation d'un rêve."

    Restez-vous attentif aux générations actuelles de l'INF ?
    "J'ai toujours un oeil sur les CV des joueurs. Quand je vois l'INF dans sa fiche, je sais qu'il peut s'agir d'un très bon. On l'a encore vu récemment avec des joueurs comme Hatem Ben Arfa. A la limite, on trouve cela presque normal qu'ils aient du talent à la sortie du Centre (rires). Je pense que ce n'est pas fini et que d'autres joyaux sortiront bientôt de cet endroit."

    www.fff.fr
  • ne pas oublier BELAID .en plus d'etre simple c'est un bon joueur bonne recrue se monsieur DUCROCQ
  • Sérieux, je le préfère mille fois plus à un Szeleszi...
  • A participé au match Lens - RCS 2-2 (Ligue 1) le : titulaire
  • Interwiew de Ducrocq à football365 après le amtch de Lens:

    Pierre Ducrocq, avez-vous digéré ce match de Lens où vous avez mené deux fois au score avant de vous faire rejoindre à chaque fois ?
    C'est surtout l'égalisation prématurée de Lens qui est difficile à vivre : le penalty. Nous marquons très vite, donc nous nous disons que cela peut faciliter le match. Et eux reviennent deux minutes après sur un penalty imaginaire. Maoulida me le glisse même dans l'oreille après le penalty. Mais c'est comme ça : l'arbitre est un peu caché par Bellaïd et justement Maoulida. Ce sont des faits de jeu, et je pense qu'il faut plutôt aider les arbitres plutôt que les descendre car ce n'est pas évident. Mais il y a forcément quelques regrets. Ceci dit, sur la fin du match, nous pouvons aussi perdre 3-2 sur un but de Maoulida, qui est refusé alors qu'il n'y avait pas hors-jeu. L'objectif premier était de revenir avec un point. C'est ce qui a été fait, donc il faut s'en tenir à ça.

    Maoulida vous a clairement dit qu'il n'y avait pas penalty ?
    Oui, il me l'a dit une fois que l'engagement était fait. J'étais encore au marquage sur lui et il m'a glissé qu'il ne pensait pas qu'il y avait penalty, effectivement. Mais ça fait partie du football moderne aujourd'hui : les attaquants se laissent tomber un peu facilement.

    En tout cas, Strasbourg commence bien l'année 2008. Est-ce aussi votre avis ?
    Oui, c'est sûr. Il y avait un début un peu difficile, avec une défaite à la maison (ndlr : 1-0 contre Nice). Mais nous avons réussi à réagir en ramenant deux nuls d'Auxerre et de Lens, ce qui n'est pas facile, et une victoire à la maison. Si nous arrivons à battre Metz en Coupe vendredi soir, le bilan du mois de janvier aura été positif. Et si nous faisons quatre mois comme ça, nous serons sauvé. Et le maintien est notre objectif.
  • Toujours sur F365 qui doit avoir le portable de P. D. ou alors ils ont saucissonné l'interview pour pouvoir faire plusieurs brèves. Je trouve cette déclaration assez sympa

    « Greg est blessé, donc je pallie son absence. C'est toujours désagréable de pallier l'absence d'un blessé, surtout quand il s'agit de votre ami. Mais c'est le boulot qui veut ça. Greg était encore aux soins mercredi, il va voir jeudi s'il peut jouer ou pas, mais il y a peu de chances (ndlr : Paisley, touché au fessier, est finalement forfait). Donc on risque de me revoir contre Metz. Tant mieux, je suis content. »

    Avec la suspension de Bellaïd on va sans doute le voir à l'oeuvre trois matches de suite. Il est limité (cf. son match contre Lyon) mais correct et surtout il n'a aucun problème avec son statut de remplaçant. S'il fait deux bons matches contre Metz et Sainté je pense qu'il faudrait le prolonger d'un an vu qu'il sera en fin de contrat en juin.
  • A participé au match RCS - Metz 0-3 (Coupe de France) le : titulaire
  • A participé au match RCS - St-Etienne 3-0 (Ligue 1) le : titulaire
  • Ducrocq s'affirme de plus en plus comme un peu plus qu'un remplaçant, en tout cas ses prestations ne laissent pas penser qu'il n'est qu'un deuxième choix. A mon avis nos dirigeants seraient bien inspirés de prolonger son bail au Racing, car avec lui on tient une roue de secours de premier choix. De plus en touchant le poteau il n'a vraiment pas été loin de déflorer son compteur avec le Racing ce soir.
  • Il assure, c'est clair. Et humainement il me paraît fiable, donc aucune raison de ne pas lui faire confiance sur la durée...! B-)
    ~o)
  • Tout en étant pas toujours à la fête face à son adversaire direct, en l'occurence Gomis, j'estime qu'il a fait somme toute une partie très correcte, étant mieux qu'une solution de rechange sur la durée.
  • Il se dépense beaucoup, on le sent en confiance dans la défense strasbourgeoise... Même si parfois, il ne respire pas la sérennité (à Lyon ou contre Lens), il reste un remplaçant de luxe à la mentalité d'or.

    Donc, son transfert n'était qu'un dernier coup du mercato d'été mais les dirigeants seraient, à mon avis, bien inspirés de le faire prolonger. En tout cas, il en a les jambes encore...
  • Restons concentré sur notre saison ,et une fois le maintien assuré on pourra toujours voir a qui on peut prolongé leur contrat ou pas.
  • Il a 31 ans, il peut donc encore jouer minimum un ou deux ans et c'est bien d'avoir des joueurs expérimentés dans un groupe, surtout en défense.
  • J'espère qu'il restera au racing. J'apprécie ce joueur mis a part 1fois ou toute l'équipe avait certes sombré, quand on fait appel à lui il répond toujours présent. C'est un battant sur le terrain qui donne toujours son maximum. De + il ne se plaint jamais de son statut de joker de luxe qu'il a au sein du racing.

    Bref un homme à la mentalité exemplaire et qui l'est tout autant sur le terrain (+) (+) (+)
  • Ce message est une brève publiée sur le portail.
    Pierre Ducrocq fait partie de l'équipe type de la 24ème journée de championnat de France Football.
    Source: France Football
  • Ducrocq : prolongation à l'étude

    Alors que les négociations ont déjà été entamées avec Nicolas Puydebois (sous contrat jusqu'en juin) et Guillaume Lacour (lié au RCS jusqu'en 2009) pour une prolongation de contrat, le club strasbourgeois souhaite également reconduire le bail de Pierre Ducrocq. L'ancien Havrais, arrivé dans les dernières heures du marché estival des transferts en qualité de « joker » en défense centrale, a parfaitement rempli son rôle lors des six rencontres de L 1 et deux de Coupe de France qu'il a disputées. « Pierre a fait exactement ce que nous attendions de lui et nous souhaitons tous qu'il poursuive son aventure au Racing », a annoncé hier Jean-Marc Furlan. « Nous sommes très satisfaits de lui. » Les pourparlers ont donc débuté. « Tout se passe bien », témoigne le Parisien de formation, « Le club m'a témoigné sa volonté de me garder et sa confiance en moi. J'en suis flatté. Je ne nierai pas que le challenge sportif m'intéresse. Pour la durée (Ndlr : un an ?), je suis persuadé que nous tomberons d'accord. Mais l'aspect financier aura également – je ne le nie pas – son importance. »


    source : l'Alsace
  • C'est vraiment une bonne idée de ronlog.. prolonger Ducrocq, c'est vraiment un très bon élément, il sait bien qu'il est la troisième roue du carosse en défense, mais il fait le travail sans broncher, et le fait bien. Puis son expérience est interressante pour encadrer un groupe somme toute assez jeune.
  • Je pense surtout que bellaid vas partir cet été et qu'il prévoient de le remplacé par notre ami ducrocq
  • Je ne sais pas trop pour Bellaïd... même si a priori il a tapé dans l'oeil de plusieurs clubs européens, pour le moment, rien ne nous dit qu'il ne restera chez nous encore une ou deux saisons, surtout si le club atteint plus que son objectif cette saison, à savoir le maintien. Quant à Ducrocq ( (+) ), c'est vrai qu'il fait son boulot et très bien même. Je trouve que c'est une bonne chose de le garder, plutôt que de tenter un pari avec un nouveau joueur. Que Bellaïd reste ou pas, il a prouvé qu'il avait sa place dans l'effectif du Racing :)-
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