Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Pierre Ducrocq

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Flux RSS 260 messages · 37.090 lectures · Premier message par le-rcs-en-force · Dernier message par donizzio

  • aragon a écrit :
    luyindula a écrit :
    Le dernier étant Njanka :))


    Faux, le dernier c'est Pierre LAURENT :-'


    A moitié faux, vu qu'ils ont joué leur dernière saison au Racing en 02/03 tous les deux [-( :D
  • Pierre Laurent tellement il etait mythique je l'avais ................. oublié
  • Excepté une saison au Havre, Pierre Ducrocq n'avait plus connu l'élite depuis ses années PSG. A Strasbourg, il retrouve la L1 mais devra se battre pour gagner sa place. Comme au bon vieux temps.



    Pierre Ducrocq, on vous attendait au Maccabi Tel Aviv, vous avez finalement signé à Strasbourg. Pourquoi avez-vous changé d'avis ?
    Il y a eu beaucoup de complications. Je suis d'abord passé une semaine par la Turquie, je devais signer au Bursaspor mais ils ont connu des rebondissements au sein du club : huit personnes se sont faites virer, le président s'est pris la tête avec le directeur sportif, c'est donc devenu très compliqué pour moi et j'ai préféré ne pas attendre. Le Maccabi m'avait appelé plusieurs fois avant mais je n'avais pas vraiment donné suite. Là, voyant que ça ne marchait pas en Turquie, je suis reparti en Israël. Je suis arrivé le dimanche soir et je devais signer le mardi, mais ce jour-là, le coach s'est fait virer. Tout a donc de nouveau été remis en questions puisque c'est cet entraîneur qui me voulait.

    Qu'avez-vous fait alors ?
    Le manager m'a demandé d'attendre jusqu'au samedi mais je ne pouvais pas. Je suis rentré à Paris et ce concours de circonstances a fait que tout s'est accéléré à la dernière minute avec Strasbourg. Si le Maccabi n'avait pas changé de coach, j'aurais signé là-bas. Au départ, j'avais la volonté de retourner à l'étranger, mais voyant comment ça se passait là-bas, j'ai été un peu freiné et la dernière semaine m'a fait réfléchir à cette opportunité de retrouver la Ligue 1. Pour preuve : aujourd'hui, tout redémarre un peu comme avant. Tu réapparais en L1 et tout le monde reparle de toi. Ce sont les matchs sur Canal Plus, des articles dans L'Equipe et sur Internet. Ce sont des bêtises mais ça résume la médiatisation de la L1 et ça permet de te remettre en avant, ce n'est pas négligeable. En Ligue 2, qui est malheureusement un championnat très négligé, tu es vraiment dans l'oubli.

    Comment expliquez-vous ces nombreuses saisons passées en L2, vous qui ne semblez pas porter un grand intérêt à ce championnat ?
    Tout simplement parce que quand nous sommes descendus en L2 avec Le Havre, lors de ma première année là-bas, le président m'a proposé un challenge sur deux ans pour remonter. Je l'ai relevé mais malheureusement, nous ne sommes pas montés. Comme nous nous apprécions mutuellement beaucoup avec le président, nous avons de nouveau tenté le pari la troisième année : il m'a fait un bon contrat et m'a proposé de rester. Il y avait Jean-Michel Lesage et des joueurs de l'équipe de France Espoirs comme Digard et Mandanda. Une fois de plus, j'ai relevé le challenge, mais c'était chaud et j'ai dit stop. C'est plus l'aventure humaine qui m'a fait rester aussi longtemps au Havre.

    « Etre dans l'ombre peut me faire du bien »

    Plusieurs fois, vous avez dû vous demander ce que vous faisiez là...
    Oui, je me le suis dit, mais pas la saison dernière car nous avons été dans la course toute l'année. Nous n'avons craqué qu'au dernier moment. Mais deux saisons avant, où nous avions failli descendre, je m'étais effectivement posé la question. A ce moment-là, il n'y avait plus que le terrain pour essayer de se battre. Mais c'était difficile de prendre du plaisir, surtout à ce poste de défenseur ou de milieu défensif. En L2, ça ne repart pas systématiquement de derrière comme en L1 : ça balance beaucoup. Le plaisir est donc beaucoup plus collectif qu'individuel. C'est pour cela qu'aujourd'hui, je suis très heureux de me sortir de là. Beaucoup de joueurs n'y arrivent pas une fois qu'ils ont goûté à la L2. Je veux donc profiter de cette opportunité pour repartir.

    En choisissant la Ligue 1 avec Strasbourg, vous avez surtout opté pour la sécurité. Ce qui n'était pas assuré en signant ailleurs à l'étranger...
    Tout à fait. En arrivant à Strasbourg, c'est vrai que je n'arrive pas dans l'inconnu. J'arrive dans un vrai championnat, dans un vrai club où il y a vraiment tout ce qu'il faut. Je vais renouer avec le vrai football, celui que j'avais connu en L1 à l'époque. D'autant que je débarque dans un groupe qui marche bien et a bien démarré la saison. Rien ne disait que j'allais recevoir l'opportunité d'un club de L1, c'est d'ailleurs pour ça que j'avais pensé à l'étranger dans un premier temps. Mais que ce soit l'Angleterre, l'Italie ou l'Espagne, ils ne font plus n'importe quoi non plus. On parle d'eldorado pour les joueurs, mais ce n'est pas tellement vrai. Pour les grands joueurs OK, mais pour la moyenne des autres joueurs, les signatures se font au compte-goutte.

    Allez-vous réussir à vous contenter de ce rôle de complément dans l'ombre de Paisley et Bellaïd ?
    En venant ici, l'objectif est d'être prêt pour pallier les suspensions et les blessures. Maintenant, on sait comme ça se passe dans le football : rares sont les coachs qui veulent te sortir quand tu es bon. Il faudra être patient et répondre présent le jour où l'on aura besoin de moi. Pour le reste, je fais confiance aux qualités humaines de Jean-Marc Furlan, je sais qu'il saura faire les bons choix. Je ne suis vraiment pas inquiet par rapport à ça. Etre dans l'ombre peut me faire du bien. Je vais me remettre en questions et repartir de zéro ou presque. C'est parfois bon de repartir de pas grand-chose pour essayer de regagner ce qui a été perdu, ça peut être une épreuve intéressante.


    (Mercato 365)
  • Après avoir signé son contrat d'un an en faveur du Racing, Pierre Ducrocq a assisté, samedi soir, à la prestation de ses nouveaux coéquipiers face à Lorient. Il se dit séduit par la qualité de jeu et la maîtrise dont a fait preuve l'équipe. L'ancien défenseur du Havre arrive en Alsace pour tenir le rôle de troisième défenseur axial. Un rôle qu'il aborde sereinement.


    - Pourquoi avoir choisi le Racing ?
    - C'est vrai que j'étais en Israël, au début de la semaine dernière, pour visiter les installations du Maccabi Tel Aviv. Dans le même temps, je gardais des contacts avec les dirigeants du Racing. A Tel Aviv, l'affaire s'est compliquée avec le licenciement du coach et puis, les contacts se sont précisés avec le club strasbourgeois. L'idée de retrouver la Ligue 1 m'attirait et voilà comment je suis arrivé ici.

    - Vous étiez au match samedi, qu'avez-vous pensé de votre nouvelle équipe ?
    - J'ai vu évoluer une formation de Strasbourg bien en place. On sent que les rouages sont déjà là. Les gars ont su être patients et ont construit leurs actions en partant de derrière. Honnêtement, c'était plaisant à voir. J'ai senti une équipe bien en jambe et où les automatismes sont présents. Le bon début de saison réalisé par l'équipe n'est pas dû au hasard.

    « Je ne me prends pas la tête »

    - Justement, ces bons résultats ont-ils fini par vous convaincre de rejoindre le Racing ?
    - C'est toujours plus agréable de rejoindre un groupe qui a réalisé un bon début de championnat. Mais, même si les résultats avaient été différents, je pense que je serais venu.

    - Vous venez pour remplir le rôle de troisième défenseur central. Comment abordez-vous ce statut particulier ?
    - Je ne me prends pas la tête avec ça. Ma mission sera d'être le meilleur possible aux entraînements et en match quand on fera appel à moi. Je devrais être là le jour J. Cela va demander beaucoup de travail et d'écoute de ma part. Mais, je suis prêt à remplir ce rôle et à bien faire le boulot.

    « On peut passer de bons moments ici »

    - Allez-vous également tenir un rôle de conseil auprès des jeunes défenseurs du groupe ?
    - Oui, s'il y a quelques conseils à donner aux plus jeunes, je n'hésiterai pas. Mais, sincèrement, je sens qu'il y a moins de différences aujourd'hui entre les jeunes et les anciens. En tout cas, ce qu'il faut c'est que chacun puisse s'exprimer librement. C'est une force dans un groupe.

    - Avant de vous engager au Racing, quelle image aviez-vous de ce club ?
    - Celle d'un vrai club de foot ! D'ailleurs, on le sent tout de suite quand on vient ici. Le stade, fermé, respire le foot. Quand il est plein ça doit être très chaud. Et puis, il y a les installations qui permettent de bosser dans les meilleures conditions. On sent que si ça se passe bien au niveau des résultats, il y a vraiment de bons moments à passer dans ce club.

    SO
  • Pour info je l'ai croisé avec sa famille aujourd'hui près de la cathédrale ! Message totalement inutile mais ca fait toujours marrant de les voir en civil
  • Pierre Ducrocq a écrit :
    Je suis d'abord passé une semaine par la Turquie, je devais signer au Bursaspor mais ils ont connu des rebondissements au sein du club : huit personnes se sont faites virer, le président s'est pris la tête avec le directeur sportif, c'est donc devenu très compliqué pour moi et j'ai préféré ne pas attendre.


    Pauvre Tum... :|s
  • Ducrocq (bien) en jambes

    Désireux de renforcer sa base défensive, le Racing s'est attaché les services de l'ancien Parisien et Havrais Pierre Ducrocq, une valeur éprouvée du championnat de France désormais chargée d'endosser le rôle du « troisième homme ».

    Cliquez ici pour lire la suite de cet article
  • A participé au match RCS - Thoune 1-2 (Amical) le : titulaire
  • Strasbourg - Ducrocq - 13/09/2007
    «Un an pour me battre»

    Arrivé à Strasbourg dans les dernières heures du marché des transferts, Pierre Ducrocq retrouve à 30 ans avec «une immense satisfaction» la L1 après trois ans passés au Havre, où il n'avait pas envie de «s'enfermer». En Alsace, l'ancien Parisien aura un rôle de doublure. Mais cette situation ne le dérange pas, son objectif est «d'être à 100 %» quand on fera appel à lui.

    «Pierre, comment se déroulent vos premiers pas au sein de l'effectif strasbourgeois ?
    Très bien. Il y a une bonne ambiance. Je suis arrivé en même temps qu'Alvaro Santos (ndlr : prêté par Sochaux), et notre intégration s'est faite rapidement.

    Physiquement, comment vous sentez-vous ?
    J'ai besoin de deux ou trois semaines pour retrouver mon meilleur niveau. Pendant deux mois, j'ai travaillé seul. Je manque de rythme. D'ailleurs, cela s'est vu samedi en match amical (ndlr : face à Thoune, 1-2). Ce n'était pas catastrophique. Mais pas top.

    Vous disiez qu'il y a une bonne ambiance dans le groupe, due notamment aux bons résultats du Racing Club de Strasbourg. Êtes-vous étonné par le début de saison de votre nouvelle équipe ?
    Pas du tout. Il y a une vraie qualité technique dans cette équipe. Tactiquement, même s'il y a encore des choses à parfaire, le coach (ndlr : Jean-Marc Furlan) a mis en place des schémas qui fonctionnent. Il sait où il va. C'est rassurant. Bien sûr, il y aura des moments plus difficiles où les victoires s'obtiendront moins facilement. Mais il faudra garder notre ligne directrice, et tout ira bien. J'ai confiance.

    Votre arrivée à Strasbourg s'est faite le dernier jour du marché des transferts. Au départ, la piste la plus sérieuse était le Maccabi Tel-Aviv...
    Non, non. Les contacts avec Strasbourg étaient établis depuis deux ou trois semaines. Après, j'ai dû faire mon choix entre le Maccabi et Strasbourg. En fait, je n'ai pas eu à décider. Le coach du Maccabi a été limogé quelques jours avant la fin du Mercato. Je devais attendre le 2 ou 3 septembre, et l'arrivée du nouvel entraîneur, pour savoir si je signais ou pas. Cette façon de faire m'a déplu. Alors, après avoir bien discuté avec les dirigeants strasbourgeois, on est tombé d'accord. Je retrouve avec une immense satisfaction un club de L1.

    Pourquoi n'avez-vous pas honoré votre dernière année de contrat avec Le Havre ?
    J'avais fait mon temps là-bas. Je suis resté trois ans en L2 avec le HAC. Et franchement, ça suffit. Avec tout le respect que j'ai pour Le Havre, je n'avais pas envie de rester enfermé en L2. Notre objectif durant cette période était de monter en L1. On n'y est pas arrivé. Et comme beaucoup de mes anciens coéquipiers, Steve (Mandanda), Jean-Michel (Lesage)... Je ne me voyais pas continuer là-bas.

    Jean-Marc Furlan a fait savoir qu'il vous considère comme une doublure en cas de pépin au sein de sa défense centrale (Paisley - Bellaïd). Ce rôle vous convient-il ?
    Oui. Avec Habib (Bellaïd) et Greg (Paisley), la charnière centrale est de très bonne qualité. Mon rôle a été défini dès le début. Je suis là pour pallier à des absences éventuelles en défense centrale, voire au poste de milieu récupérateur. La concurrence est saine. Habib est un mec bien et Greg est un ami. Je le connais depuis des années. A moi de me tenir prêt, d'être à 100% quand on fera appel à moi. C'est mon objectif sur un an.

    Justement par rapport à la durée (un an) de votre contrat, est-ce que vous n'avez pas une pression supplémentaire ?
    Peut-être. De toute manière, je marche un peu à ça. J'ai un an pour me battre. Ça me va très bien.

    Samedi (20h), votre équipe se rend à Bonal pour affronter Sochaux. Cela faisait longtemps que Strasbourg ne s'était pas présenté dans la peau de favori pour ce derby. Comment abordez-vous cette rencontre ?
    C'est toujours bon ce genre de match. Il n'y a pas besoin de faire beaucoup monter la mayonnaise. Il y a déjà suffisamment de pression positive dans un derby. Quand on est joueur, on adore ces rencontres. Il ne faudra pas laisser l'enjeu dépasser le jeu ».

    Propos recueillis par Guillaume Chassaing

    Source:francefootball.fr
  • A participé au match Nancy II - RCS II 3-2 (CFA (B)) le : titulaire
  • A participé au match RCS II - Besançon 1-1 (CFA (B)) le : titulaire
  • A participé au match RCS II - Sochaux II 1-2 (CFA (B)) le : titulaire
  • Première apparition dans le groupe pour le match contre Metz.
  • Il devient quoi lui? Parce que niveau recrue fantôme, il se pose là... O:)

    Il est blessé?
  • Un message avant le tien, tu apprends qu'il était dans le groupe à Metz. :-B
  • Peut-être fera-t-il ses débuts contre Zurich :)
  • marc a écrit :
    Un message avant le tien, tu apprends qu'il était dans le groupe à Metz. :-B


    Merci j'ai lu, j'aurais du dire "il était blessé". :D

    Je suis quand même étonné du fait qu'il soit là depuis 1 mois et demi à peu pres et que ce soit seulement sa première apparition dans le groupe. Je pensais par exemple le voir jouer contre Amiens, et faire quelques entrées en fin de match. Là partit comme c'est, il nous fait plutot une Christophe Avril...
  • Ben, comme cela a ete dit dans l'interview, il joue le role d'une doublure, donc a moins d'une blessure ou d'une fatigue tellement enorme de Paisley ou Habib au point ou ils ne puissent pas jouer, je crois que Ducrocq va devoir attendre et nous aussi avant de le voir fouler la pelouse...
  • Paraîtrait aussi qu'il n'était pas au point, physiquement, en arrivant.
  • A participé au match RCS - Grasshoppers 4-1 (Amical) le : titulaire
  • A participé au match RCS - Bordeaux 1-1 (Ligue 1) le : titulaire
  • je croit qu'ont le reverra pas de sitot en lateral droit , il etait totalement a la rue, laissant d'enorme boullevard sur son coté droit , et avec un marquage a 10 metre du bonhomme.Bon a sa decharge , c'est pas un lateral de metier...
  • Clairement, il ne sait pas jouer arrière droit.

    Il faut prier pour que Szelesi soit rétabli pour le prochain match, ou espérer que Tritz soit titularisé, si on ne veut pas se prendre une sacré désillusions dans le Nord :|s

    Si les bordelais avaient joué sur son côté plutôt que sur celui de Dos Santos en permanence, je pense qu'on aurait perdu hier soir.
  • Pareil, l'ait vraiment trouvé à la ramasse et sur le but c'est lui qui couvre Bellion je crois avant de repiquer dans l'axe.
  • Il n'était pas trop bon défensivement c'est vrai, mais j'ai trouvé ses centres pas mal (+)

    Perso, j'ai vu Bellion 3 fois seul au deuxième poteau, et sur 1 action il marque :-s
  • Je vous trouve un peu sévère avec lui. En seconde période toute l'equipe a reculé et ce n'est pas de sa faute. Pas de sa faute aussi la tête de Chamack qui trouve la barre. Sur le corner je sais pas si c'est lui qui marquait Bellion mais franchement ce but on le voyait presque venir tellement on a été dominé. Bref je préfère voir un Ducrocq qu'un Santos qui mange la feuille de match à quatre reprise dans ce match ou qui est fantomatique dans les autres.
  • pareil je vous trouve aussi sévère. Sur le ralentit du but on voit bien qu'au départ il a bellion au marquage, mais avant la déviation de diarra il y avait un joueur seul qui allait tenter la reprise de volé, c'est a ce moment que ducrocq a laché bellion. Sinon je trouve qu'il a quand même une bonne qualité de centre.
  • Ducrocq pimente sa saison

    D'aucuns le jugent coupable d'une erreur fatale sur l'égalisation bordelaise samedi dernier (1-1). En l'occurence, toute la défense strasbourgeoise a oublié David Bellion au second poteau et permis à l'attaquant girondin d'inscrire son 7e but.

    D'autres ont été épatés par son esprit d'entreprise. Après s'être appliqué à défendre, Pierre Ducrocq, qui honorait face à Bordeaux ses premières apparition et titularisation sous la tunique bleue du Racing, a peu à peu pris ses aises. Il a tissé à lui seul, ou presque les deux dernières énormes occasions alsaciennes en s'improvisant ailier droit avec bonheur.

    Appelé pour assurer l'intérim de Zoltan Szelesi (béquille) et Guillaume Lacour (cheville), l'ex Havrais poursuivra sa mission à Lille, dans un registre qu'il a expérimenté avec le PSG de Luis Fernandez, mais ou il avoue manquer de repères. "Contre Bordeaux, j'ai eu tendance à revenir dans l'axe. Couvrir le couloir, ce sont des habitudes à prendre. En revanche, je savais que j'aurais la possibilité de monter."

    Arrivé le 31 août, dernier jour du mercato, après avoir été libéré de sa dernière année de contrat au Havre (dès la fin de saison passée, j'avais annoncé au président Louvel que je ne souhaitais pas repartir pour une nouvelle course aléatoire à l'accession). Le néo-strasbourgeois a pris son mal en patience. En passant volontiers par la case réserve. "Après ma préparation estivale en solo, j'avais besoin de jouer en CFA. C'était prévu. J'avais hâte et envie de retrouver la L1 pour la première fois depuis quatre ans. Mais je sais que je suis là pour dépanner. Ca ne veut pas dire que je n'ai pas envie de rejouer le samedi suivant."

    Les circonstances lui en offrent l'occasion ce soir. A lui, qui avoue ne pas tirer de plan sur la comète au-delà de son année de bail au RCS, d'en profiter.

    Source: L'Alsace
  • En tout cas c'est un joueur visiblement réaliste ,qui sait se remettre en question malgré son expérience passée.J'aime beaucoup ça.
  • Oui moi j'ai trouvé sa partie contre bordeaux encourageante. En plus ça a l'air d'être un mec qui en veut, ça peut que nous faire du bien. Un peu bourrin, j'espère que ça deviendra notre Jürgen Kohler à nous :)
  • A participé au match Lille - RCS 0-3 (Ligue 1) le : titulaire
  • Il était quand même bien mis en difficulté les 30 premières minutes, mais au final il a su trouver la bonne carburation. Rassurant de se dire qu'on peut compter sur ce gars à un poste qui n'est pas forcément celui ou il se sent le plus à l'aise. (+)
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  • raukoras merci pour le lien direct
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  • athor [lien]
  • athor Il est bien en ligne depuis 15:00

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