Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Indonesia Raya !

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Flux RSS 84 messages · 5.044 lectures · Premier message par barbu · Dernier message par barbu

  • Bonne idée conan, si il y a des gens que cela interresse... Parlons du plus
    grand archipel du monde !

    En réponse à la question de l'assention sociale dans le forum sur "les prénoms de
    vos futurs enfants" :

    On peut devenir riche et puissant à Bali, même si on n'est pas né là où il faut. Cela dit
    on ne peut jamais grimper dans la hiérachie des castes. Lors d'un mariage mixte,
    il est de bon ton de renier la personnes qui désire s'alliée devant les dieux avec une
    personne d'une caste plus basse (surtout si c'est une femme) et de conscidérer que le couple
    est de caste inferirieure.

    Si un/e balinais/e change de nom durant son existance, c'est pour d'autres raisons.. .mais
    voyons d'abord si ça interesse quelqu'un... :-B

    PS: le titre de ce topic est le titre de l'hymne national indonesien, il signifie :
    "Grande Indonésie" ('grande' comme 'great' pas 'big')
  • Pour développer le post de barbu sur les noms des Balinais, voici quelques précisions... Rapelons que tout ceci n'est valable que à Bali, et non dans une des 300 autres ethnies que compte l'Indonésie :O

    Différents models culturels sont utiles à l'homme pour expliquer les événements de sa vie. L'étude de la culture, c'est à dire l'étude de ces models, correspond à l'étude du mécanisme dont se servent les individus, groupes et sociétés pour s'orienter dans un monde qui sans cela demeurerait opaque. Les problèmes rencontrés, étant existentiels, sont universels. On les retrouve dans toutes les sociétés. Les réponses, quant à elles, sont humaines, et donc variables. Une nécessité est, elle, omniprésente à travers le monde: le besoin d'identifier chaque individu.
    Il existe six sortes de désignations de la personne à Bali : prénoms, noms déterminés par l'ordre des naissances, termes de parentés, teknonymes, termes indiquant le statut (généralement appelés “noms de castes” de manière peu légitime), titres publiques ou de fonction. Une fois de plus, les Balinais ne font pas dans la simplicité...

    Les prénoms:
    C'est la l'ordre symbolique le moins complexes, et également (donc, serait-on tenté d'écrire) le moins important socialement. Tous les Balinais ont un prénom, mais ils ne s'en servent que rarement. Les prénoms sont constitués de syllabes jointes arbitrairement et n'ayant aucune signification. Le prénom est en fait ce qui demeure lorsque toutes les autres désignations de la personnes, beaucoup plus voyantes, ont disparu. Force est de constater qu'elles ne disparaissent jamais!

    Les noms conforment à l'ordre des naissances:
    Confère le post de barbu dans le topic "Les prénoms de vos enfants"

    Les termes de parentés:
    La terminologie de parenté balinaise est dite “par génération”, c'est à dire qu'un individu classe ses parents d'abord en fonction de la génération qu'ils occupent par rapport à la sienne. On obtient un tableau général constitué de couches successives de parents, chaque couche faite d'une génération différente (celle des parents ou enfants, des grands-parents ou petits-enfants...). Celle à partir de laquelle on calcule, la sienne, est au milieu. Il s'agit là d'un langage surtout classificatoire, non prévu pour le face à face, et dans la pratique peu usité. Un fait est néanmoins révélateur de la notion balinaise de personnalité: à la troisième génération au-dessus et au-dessous du locuteur, les termes deviennent réciproques. “Kumpi” désigne à la fois l'arrière-grand-père et l'arrière-petit-fils. Symboliquement donc, un homme se confond vers le haut avec son ascendant le plus lointain, et vers le bas avec son descendant le plus lointain qu'il peut être amené à rencontrer dans sa vie. Un homme ne priant que les Dieux, et, ce qui est la même chose, ses aînés, non ses égaux ou ses cadets, un arrière-petit-fils ne priera pas lors de la cérémonie funèbre organisée pour son arrière-grand-père récemment décédé: ils sont égaux, ce sont tous les deux des Kumpi! :-B

    Les teknonymes:

    Aussitôt que le premier enfant d'un couple a été nommé, on s'adresse aux parents comme “Père de *” , “Mère de *”, jusqu'à la naissance de leur premier petit-fils, où ils deviendront “Grand-père de #” et “Grand-mère de #”. Le terme par lequel on désigne un individu évolué donc trois fois pendant sa vie. Ensuite, il sera Kumpi, et le cycle recommencera! A Bali, c'est la procréation qui, ainsi, amène l'identification (contrairement à chez nous ou l'épouse prend le nom de son mari au moment du mariage). Symboliquement, le lien Mari Femme s'exprime à travers les rapports communs avec leurs enfants, petits-enfants ou arrière-petits-enfants, et non en terme d'incorporation de la femme dans la famille du mari. Le couple “Père Mère” (et non “Mari Femme”) est la pierre angulaire de la société balinaise. Les sièges au Conseil du village sont d'ailleurs distribués par couples parents, et un individu n'ayant pas d'enfant (ce qui est rarissime...) restera, juridiquement parlant, un enfant, provoquant la gêne de ses proches qui éviteront de l'interpeller. Les individus se retrouvent classés en “couches de procréateurs”. Ce qui importe, c'est la continuité de la reproduction, la préservation pour la communauté de la faculté à se perpétuer telle qu'elle est. Et les Balinais ne conçoivent pas les stades de la vie en termes de vieillissement biologique, mais en ceux de régénération sociale. Un individu n'est pas situé par rapport à ses ancêtres, mais par rapport à ceux dont il est l'ancêtre. Ce qui unit l'Arrière-grand-père de Madé, le “Grand-père de Madé” et le “Père de Made”, c'est qu'ils ont tous coopère à la production de Madé, même si c'est de manière plus ou moins directe. Et donc au soutient du métabolisme des Balinais en général, et de leur village en particulier.

    Le statut social:
    Les titres attribués aux membres des castes supérieures (“Ida Bagus”, “Anak Agung”, “Gusti”...) ne sont attachés qu'à des individus, pas à des groupes. C'est là un trait personnel de pur prestige. D'autant plus que la politesse balinaise est très poussée et contrôle rigoureusement la surface des comportements sociaux. Les titres ont également une signification religieuse: c'est dans la réciprocité quotidienne le reflet de l'ordre divin sur lequel la société est formée. Le titre indique en réalité la composition spirituelle d'un individu. Ils viennent tous des Dieux. En porter un, c'est accepter de remplir les normes divines d'actions, au moins de s'en approcher. Tous les hommes n'en sont pas également capables, d'où l'écart dans les titres et chez ceux qui les portent. Associe pratiquement à chaque titre, on trouve un événement légendaire de nature très concrète, impliquant une erreur ayant une signification spirituelle commise par l'un ou l'autre tenant du titre, et témoignant de l'incapacité de la société à traduire fidèlement le model divin. Si les titres sont des étiquettes appliquées a des individus, les catégories Varna importées d'Indes (Brahmane, Satria, Vesia, Sudra) sont des étiquettes appliquées non aux hommes mais aux titres qu'ils portent. Comme la classification Varna des titres correspond a la distribution de fait du pouvoir, de la richesse et du prestige sociale, la société est vue comme bien ordonnée: valeur spirituelle et position sociale coïncident. Le système Varna traduit le système des titres sous l'aspect d'un ensemble de notions cosmologiques.

    Les titres publiques:
    Ils expriment la distinction provenant d'une charge publique. Les “responsables” sont interpelles et désignes par des titres officiels: ils n'occupent pas seulement un emploi, mais l'emploi les absorbent, c'est l'essence même de leur être. L'accès à ses emplois publics est lie au système des statuts et à son organisation en catégories Varna. C'est la doctrine de l' ”éligibilité spirituelle” qui veut que, théoriquement, les postes publiques au niveau régional ou de l'ensemble de Bali soit réserves aux seuls Triwangsa (membres des 3 castes supérieures), les postes au niveau du hameau restant l'apanage des Sudra. Les titres de la fonction publique de haut niveaux se fondent graduellement en ceux portés par les Dieux, dont il ne reste de l'identité que le seul titre. Tous les Dieux et Déesses sont invoqués ou désignés comme Dewa (féminin Dewi), ou, pour ceux de plus haut rang, Betara (féminin Betari). On ne sait pas, d'ailleurs on ne veut pas savoir, quels sont les Dieux et Déesses vénérés dans les différents temples. On utilise à leur égard la même déférence que pour des aînés et supérieurs en général. Le monde des Dieux n'est qu'un autre domaine publique situé au-delà de tous les autres, avec des préoccupations cosmiques plus que politiques, économiques ou cérémonielles. Les Balinais vénèrent des Dieux sans noms, dont ils ne connaissent que la fonction publique.

    Le plus frappant dans les models culturels aux travers desquels les Balinais perçoivent l'identité personnelle, c'est à quel point tous sont représentés comme des contemporains stéréotypés, des semblables anonymes et abstraits. Les différents processus de dénomination entraînent une normalisation, une idéalisation, une généralisation implicite des relations entre individus. La culture souligne un emplacement social, une situation particulière dans un ordre métaphysique éternel. Paradoxalement (pour nous), les formulations de la personnalité balinaises sont... dépersonnalisantes! #-o
  • Hopla, une petite fiche d'infos sur l'Indonésie:

    -Superficie: 1 904 440 km² (environ 4 fois la France, et plein de fois l'Alsace :)) ).

    -Nombre d'îles:
    13.677, dont plus de 6000 inhabitées.

    -Population: 217 millions d'habitants :O.

    -Langue(s): le Bahassa Indonesia et près de 200 langues ethniques et dialectes :-B

    -Régime politique: république dotée d'un régime présidentiel.

    -Religion: 87% de Musulmans (170 millions), plus à peu près tout ce qui éxiste :-&. Les Balinais sont Hindou.


    -Groupes ethniques:
    environs 300.
  • Et l'unité de ce pays date de la colonisation Hollandaise ou il existait déjà une entitée avant?

    Autre truc étonnant, le fait que ce pays soit Musulman (le plus peuplé au monde d'ailleurs). Alors qu'il n'est pas vraiment entourné d'états Musulmans. Ca s'explique comment?
  • Le concept d'Indonesie tel qu'on l'entend aujourd'hui fut pour la premiere fois esquisse au XVIe siecle, ou l'Empire fonde par Majapahit, un roi de Java, Hindou, parvint a conquerir la majeure partie de l'archipel, sous la houlette du general Gajah Mada. Detail rigolo, ce general est vu par les etudiants indonesiens comme l'equivalent de notre Napoleon. Ce qui, d'ailleurs, exprime assez bien leur point de vue concernant le concept de nationalisme (Louis XVI incarnant en fait plus l'unificateur francias, alors que Napoleon est tout de meme avant tout un conquerant, mais je me fourvoie...).
    Avant la conquete coloniale hollandaise, certaines iles etaient depuis longtemps sous controle portuguais (depuis les decouvertes d'Albuquerque). Mais Portuguais comme Hollandais n'ont surtout realise qu'une unite economique, cherchant avant tout a tirer le maximum de l'enorme potentiel des "Iles aux Epices".
    Je crois que le mouvement nationaliste indonesien c'est trouve booste pendant la II guerre mondiale, ou le pays (comme une part impressionnante de l'Asie d'ailleurs) etait sous domination japonaise. Le debuts des evenements qui aboutirons a l'Independance se situe en effet lors des discussions entre les Allies vainqueurs du Japon et les Hollandais qui planifient leur retour (la grande classe) en 45. La lutte fut menee par Soekarno, futur president (a vie mais c'est une autre histoire ;) ), dont la fille etait la presidente sortante, Megawati, a l'election presidentielle (elle a perdu).
    Concernant l'Islam, ca fait depuis grosso modo le XVe siecle que l'influence du Prophete se fait sentir. Le royaume hindou de Majapahit disparaitra rapidement a la suite de guerres declenchees par les Princes fraichemement convertis, devenu des Sultans.
    Toute la noblesse et les intelectuels de Majahpahit se refugierent... A Bali! La culture balinaise actuelle est donc, en fait, un musee vivant de ce qu'etait Java avant l'islamisation.

    Bon, en revanche, y'a quelques "gros morceaux" musulmans autour... La Malaysie, les Philippines, ca fait du monde aussi!
    C'est un des credos de certains groupuscules fanatiques (terroristes) musulmans que de creer un "Super Etat Musulman" regroupant Malaysie, Philippines, Indonesie et sud de la Thailande (ou ca frite deja).

    Voilou, et desole pour l'article un peu indigeste plus haut, les prochains je les feraient un peu "light" (si y'en a encore pour les lire a part barbu :( ).

    PS: j'ecris d'un ordi avec clavier anglais, don sans accent (ni de correcteur d'ortographe, la honte :-B )... Si les modo peuvent me filer un coup de pouce, ce serait cooly :x
  • Waouh, je viens de trouver Denpasar sur la carte! C'est tout petit Bali en fait! Plus petit que la Corse. :)

    Tiens c'est vrai que j'oubliais la Malaisie comme état Musulman. Brunei c'est dans le coin aussi il me semble non? Les Philippines par contre, je croyais qu'ils étaient Catholiques. (C'est là bas qu'il y a des mecs qui se font cruficier lors de céremonies, non?)

    Sinon, j'ai cru comprendre que d'un point de vue politique, c'était assez le bazard là bas, avec notament pas mal de régions en guerre civile, non?

    Du point de vue de la faune, il doit y avoir des animaux étranges et extraordinaires. Les Ourang Outan (j'ai jamais su l'écrire!) c'est là bas qu'ils sont je crois... Il y a des tigres là bas? Plein d'araignées, de méduses, de serpents mortels comme en Australie?

    Encore une question (j'en ai une tonne en fait) je crois savoir que le Badminton c'est le sport national là bas. J'ai déjà vu des images de rencontres face à la Malaisie de l'équivalent de la Coupe Davis joué dans des stades bondés dans des ambiances de folie. Tu as déjà assisté à des rencontres de ce style?
  • C'est vrai Bali est une toute petite île... ca doit faire un losange de 100x80 km. Ajoutons à cela que comme la plus part des îles volcaniques (beaucoups de volcans en Indonesie), au millieux... be ya des Volcans... et autours des volcans.. des montagnes.

    Bali a sont point culminent à 3000 et quelques mètres au sommet du "Gunung Agung" (trad : "grande montagne"). Je dis et quelques parcequ'on ne sait pas trop depuis qu'il a perdu une centaine de mètres lors de sa dernière erruption (explosion + tremblement de terre + poussière jusqu'à java...) j'ai pas les chiffres en têtes mais je crois que ça a tuer enormement de monde, des dixaines de milliers ; c'était en 1963.

    Le mont Agung, est une entité autement sacrée pour les Balinais, c'est pour faire simple (ciao denpasar :p): "la maison des dieux". Et quand il n'est pas dans les nuages... c'est juste magnifique à voir sur un premier plan de rizières (3000 c'est beaucoup)

    http://www.baliauthentique.com/images/bali_authentique_galerie_ph...

    (désolé g pas de foto plus dégagée sous la main... on doit être à une vingtaine de kms, là)

    L'Agung est un peut planté là (à l'est de Bali) et ne s'inscrit pas dans une chaine, ce qui ajoute au coté imposant de la chose, on peut voir la pente qui part de la mer jusqu'au sommet de certains endroits de l'île.

    Il y a un longue chaine de montagnes/volcans au millieux de l'île jusqu'a l'extreme ouest (1500-2200m). Tout ca pour dire qu'en plus d'être petit... ya pas beacoups de place !

    Officielement 3 millions de personnes y vivent, officieusement... à peut pres 5 et tout ça dans une superficie d' un tiers de l'île.
  • Comme l'Indonesie, les phillipines sont un archipel. Et comme en Indonesie, chaque île a sa propre culture (langages, traditions, religions, etc...)

    Je ne connais pas les philipines, mais je suppose que comme ici, il y a des îles musulmanes, des îles hindoues, des îles chrétiennes, etc... ad noseam

    Mais je pense que denpasar a raison, en majorité ça doit être musulman.
  • Politique bazar ? si on veut :)

    Disons qu'après que Soekarno ai pris le pouvoir de 45, il ne l'abandonera que pour le filler à un autre dictateur lors de la révolution contre les communiste en 1968.

    Occasion là de faire un guère civile sanglante dans tout l'archipel. Les chiffres officiels à Bali sont de 600 000 morts, mais certains historiens osent faire des aproxiamations de 1 500 000, c'est qui est incroyablement beaucoups (bali à l'epoque compte 3 000 000 d'hab)

    L'autre dictateur c'est Suarto, qui prend les choses en mains et ne les lache qu'à la révolution de 1998. Ce Suarto est une belle crapule, en proie plusieurs chefs d'accusation internationaux ! (mais il est trop vieux et trop malade pour s'y rendre... ca vous rapel qqun ?) c'est lui notament qui organise le génocide de l'Est-Timor... pas plus de commentaires, mais c'était un carnage.

    En 98 la premiere présidente est élue : Megawati Soekarno Putri (trad : megawati fille de soekarno)... On reste dans la famille :p

    Elle est dechue aux première élections au suffrage universel en 2004.

    Je ne parle pas ce que chacun a fait pour l'Indonesie... je m'y connais pas trop, mais nous sommes sauvés : denpasar est historien :)

    Le mot bazar est sans doute un emprun à l'arabe (très courant en indonesien) et à Bali, c'est le nom des fêtes de vilage (comme nos fêtes du vin...) on y boit et on y mange (on y boit surtout) un peu plus cher que d'habitude, pour faire rentrer de l'argent dans les caisses du village (renovation de temple, ecole, etc...). Un impôt indirect assez fatiguant. J'invite tous les stubistes à venir le goùter !
  • Croyez le ou non ! mais orang-utan est un mot indonesien ! Si si... literalement il se traduit par homme de la forêt (orang = homme/être, utan= forêt/jungle) ! et evidement... en indonesie il y a plein d'orang-utans !

    Certaines mauvaises langue disent même qu'il y en a un de plus de depuis mon arrivée X-(

    Je m'y connais pas trop en faunes... mais c'est vrai que sa change pas mal des Vogesa et de la Schwartzwald (c'est la jungle :-B ). Il y a des bien sur un collection d'insectes répugnants inconnus au battaillons, des serpents (mortels ou non) des énormes araignées etc... :-&

    Mais rassurons nous... toutes ces petite bébêtes trouvent un environements bien plus agréable pour elles dans la jungle que dans les villes (+)
  • C'est peut-être des quiches (lorraine :)) :)) ) en foot, mais coté badmington... acrochez-vous, ça déménage ! Tout le monde joue au badmignton ici, depuis le plus jeune age et dans la bonne humeur. Il y a multitude de clubs, avec des gamins qu'on entraîne sec !

    L'indonesie est un leader mondial du badmington, elle a plusieurs fois emporté les chompionats du monde ! :)-

    Une autres bonne raison de venir... se froter au indo au badmington c'est prendre deux leçons de sport: une bonne suée dans l'éffort, et l'humilité. Il est très mal vu (à Bali en tout cas) de faire sa grande gueule, ou de se laisser-aller à l'énervement. :-B

    Bonne ambiance (+) !
  • d'autres fotos de l'Agung (merci google):

    là on est à 45 km du sommets (Sanur).
    http://www.tropicalisland.de/DPS%20Bali%20Sanur%20beach%20at%20su...

    je sais pas d'où c'est pris... mais c'est joili $-)
    http://www.sanur.org/agung/agung.jpg

    une sans nuage prise dans la région de Tirta Ganga (Bali Est) à 12 km
    http://www.edwebproject.org/bali/gallery/pics/tirta.agung.jpg

    dans un autre style :-'
    http://vulcan.fis.uniroma3.it/gnv/pontine/ventotene/gif.ventotene...

    une petite derniere... ah ces rizières !
    http://www.klubkokos.com/accommodation/photos/facilities/agung.jpg
  • Ca manquait... Hopla, une jolie carte!

    http://www.populationdata.net/images/cartes/indonesie_relief.jpg
  • Focus sur Bali...

    http://www.bali-information.com/bali-map.jpg
  • Des infos complémentaires...

    -Population (2005): 241 973 879 habitants

    -Superficie: 1 904 443 km2

    -Densité: 127,06 h/km2

    -PIB par habitant (2001): 700 $us

    -Espérance de vie (2002): 68,63 ans

    -Taux de natalité (2002): 21,87 pour 1000

    -Taux de mortalité (2002): 6,28 pour 1000

    -Taux de mortalité infantile (2002): 39.40 pour 1000

    -Taux d'alphabétisation (1990): 84,06 %


    Villes principales:


    -Jakarta (capitale):
    17 579 100 hab. :-B

    -Bandung: 3 875 000 hab.

    -Surabaya: 3 722 300 hab.

    -Medan: 3 008 600 hab.

    -Palembang: 1 599 100 hab.

    -Semarang: 1 550 000 hab.

    -Ujung Pandang (Macassar): 1 275 000 hab.

    -Tanjungkarang (Bandar Lampung): 1 150 000 hab.

    -Mataram: 1 094 400 hab.


    Bali focus...

    Géographie

    -Superficie : 5,561 km²
    -Capitale : Denpasar
    -Frontières : Mer de Java au nord, Océan Indien au sud, détroit de Bali à l'ouest et détroit de Lombok à l'est.
    -Humidité : 80%. Pluviométrie : 893.44-2,702.6 mm par an.
    -Population : 3.172.000 hab. (2001). Densité : 550 hab/km² (2001).

    Religion

    Hindous (93.18%)
    Musulmans (5.22%)
    Protestants (0.58%)
    Bouddhistes (0.55%)
    Catholiques Romains (0.47%)

    Indicateurs économiques:

    Taux de croissance : 8.86%
    Exports : Garments, handicrafts, furniture, canned fish, vanilla, coffee, tuna, seaweed
    Value of Exports : US$ 145,997,595 (1991)

    Primary Products

    Agriculture - Food Crops : Rice, corn, and horticulture
    Commercial Crops : Coconut, clove, coffee, rubber, vanilla and fruits
    Livestocks : Cows, buffaloes, sheeps, goats, pigs, horses, chickens, and ducks
    Fishery - Fish Products : Tuna, skipjack tuna, barramundi, shrimp, seaweed, giant gouromy, and common carp
    Fresh Water Fishery Area : 841.37 ha
    Forestry-Forest Products : Cayuput oil, rattan, and incense
    Productive Forest Area : 8,535.05 ha
    Handicrafts : The Balinese are known for the outstanding wood and stone carving

    Désolé pour la fin, un peu la flème de traduire =;
  • J'avais surtout était sensibilisé par l'ancien magazine "Actuel" au sort atroce du Timor oriental, ancienne colonie portuguaise de confession catholique, qui avait subi un beau génocide en règle. :(

    Les choses se sont semble-t'ils arrangées depuis.
  • Je suis pas certains que les Est-Timorais soient particulièrement en bons termes avec l'Indonésie actuellement... Le principal, c'est qu'ils aient obtenu l'indépendance en 99...

    Un article intéressant sur les évènements marquant en Indonésie depuis l'indépendance, avec un développement sur le Timor (invasion puis indépendance)

    L'Indonésie indépendante
    Après la formation d'une République indonésienne, favorisée par les Japonais en 1945 et dirigée par Sukarno, les rapports sont restés très tendus avec les Pays-Bas (l'ancienne puissance coloniale). Ceux-ci sont intervenus militairement à plusieurs reprises avant que n'aboutisse la conférence de La Haye, en 1949, qui reconnaît la création des Etats-Unis d'Indonésie. Provisoirement maintenue, l'union avec les Pays-Bas est dénoncée par le nouvel Etat en 1954.
    L'Indonésie a connu une existence difficile sur le plan économique et politique. Les troubles n'ont guère cessé, liés à l'éviction des ressortissants néerlandais ou aux révoltes, aux Moluques (1955), à Sumatra et aux Célèbes (1958), à Sulawesi, à Bornéo ou en Nouvelle-Guinée, contre le centralisme de Java. Tout en gardant les faveurs de Moscou et de Washington, Sukarno s'est fait le champion du non-alignement (conférence de Bandung, 1955); il a favorisé le nationalisme indonésien et l'influence de Pékin. En 1963, l'Irian, laissée d'abord aux Néerlandais, fut réunie à l'Indonésie.
    Une tentative de coup d'Etat communiste entraîna une réaction très dure de l'armée, conduite par le général Suharto (1965-1966), qui élimina progressivement Sukarno. Maître du pouvoir, le général Suharto s'est rapproché des Etats-Unis et a vigoureusement sévi contre les communistes. Elu pour la première fois président en 1968, réélu en 1973, puis en 1978, 1983, 1988, 1993 et 1998, il bénéficie d'une large majorité au Parlement.
    Les tentatives de guérilla dans les provinces les plus récemment annexées (Irian Jaya, Timor oriental) sont sévèrement réprimées par l'armée. Ainsi, en juillet 1996, de violentes émeutes éclatent à Jakarta, provoquées par les partisans de Megawati, la fille de l'ancien président Sukarno, qui cristallise autour d'elle les forces d'opposition. La répression perdure dans l'île de Timor, conquise en 1975 et annexée en 1976, au prix de massacres, et Sumatra connaît une agitation islamique. Malgré la victoire massive du parti gouvernemental le Golkar (en claire, le parti de l'armée, donc du dictateur), les dernières élections législatives du 29 mai 1997, furent le théâtre de violentes émeutes traduisant le malaise croissant provoqué par des inégalités de revenus de plus en plus importantes et la rigidité du régime.
    Au début de l'année 1998, la situation économique de l'Indonésie se dégrade et une hausse des prix, sans précédent (30 à 50 %), provoque de nouvelles émeutes dans tout le pays. Le président Suharto est contraint de faire appel à l'armée. Parallèlement, le FMI, considérant que les conditions macroéconomiques fixées, ne sont pas respectées par le gouvernement de Djakarta, retarde son programme d'aide économique. Cette situation de crise n'empêche pas le président de voir son mandat reconduit par l'Assemblée consultative du peuple (le 10 mars). En mai, les dernières mesures d'austérité exigées par le FMI provoquent de nouvelles manifestations durement réprimées par l'armée. Sous la pression du Parlement et du gouvernement américain, le président Suharto est contraint de donner sa démission et nomme le vice-président, Bacharuddin Yousouf Habibie, à la tête du pays. Ce dernier ramène provisoirement le calme en annonçant une libéralisation du système politique et le démantèlement des sociétés et cartels de la famille Suharto. Au même moment, il fait libérer les prisonniers politiques et promet d'organiser de nouvelles élections législatives.
    Au début de l'année 1999, le pays subit toujours les contrecoups de l'effondrement brutal de son économie et de la politique menée par l'ancien président Suharto. Le taux de chômage élevé (évalué à 40 % de la population active en 1998) et l'inflation galopante (70 %), combinés à une dette globale écrasante (plus de 130 milliards de dollars), attisent le mécontentement d'une population dont près de la moitié des individus vivent en dessous du seuil de pauvreté. Par ailleurs, les hésitations du pouvoir à mettre en oeuvre les mesures économiques et politiques annoncées, jettent un voile de scepticisme sur sa légimité, notamment en raison de ses liens étroits avec le régime précédent. Devenus frileux, les organismes internationaux d'aide, qui toutefois ont accordé un nouveau prêt de 1,1 milliard de dollars, contre la promesse que les fonds ne soient pas utilisés avant les élections générales, demeurent dans l'expectative, de même que les investisseurs étrangers, qui, pour la plupart, ont conclu des accords avec l'ancien régime et tout perdu lors de son effondrement.
    Enfin, le réveil des séparatismes à Ambon (archipel des Moluques), où les affrontements meurtriers entre chrétiens et musulmans sont durement réprimés par l'armée, ainsi que dans le Kalimantan occidental (Bornéo) et en Irian Jaya, mais aussi la question lancinante de l'indépendance du Timor oriental, placent le président Habibie dans une position inconfortable aux yeux de la population et de l'opinion internationale. Signe du changement amorcé, la campagne pour les élections générales qui débute en mai, est marquée, dans la capitale, par des manifestations de soutien au Parti démocratique indonésien de lutte (PDIP) de Megawati Soekanoputri (fille de l'ancien président Sukarno), rival direct du parti au pouvoir, le Golkar.
    Parallèlement, le 5 mai, les gouvernements indonésien et portugais signent un accord par lequel ils s'engagent à organiser un référendum auprès de la population du Timor-Oriental, lui permettant de se prononcer pour l'autonomie au sein de la république indonésienne ou en faveur de l'indépendance. Organisé sous la surveillance d'agents civils mandatés par l'ONU, le référendum, qui se déroule dans un climat de violence extrême (de nombreuses personnes sont assassinées par les milices anti-indépendantistes pro-indonésiennes, dont trois membres de l'ONU), débouche sur le rejet de l'autonomie par 78,5 % des votants. Ce plébiscite en faveur de l'indépendance déclenche une nouvelle vague de violence, qui contraint le président Habibie à décréter la loi martiale dans la province. Peu après, le Conseil de sécurité de l'ONU décide d'envoyer une force multinationale (Interfet), placée sous le commandement de l'Australie et chargée de «restaurer la paix et la sécurité».
    Parallèlement, la formation d'une commission d'enquête internationale chargée de faire la lumière sur les crimes et exactions perpétrés au Timor-Oriental est approuvée par l'ONU. Rapidement, l'Interfet subit des pertes parmi ses troupes, harcelées par les miliciens pro-indonésiens et doit procéder à l'évacuation des populations et des visiteurs étrangers menacés.
    En octobre, l'ONU est chargée, sur décision du Conseil de sécurité, de l'administration civile et militaire de la province et de veiller au respect du processus permettant à cette dernière d'accéder à l'indépendance. Sergio Vieira de Mello, sous-secrétaire général aux Affaires humanitaires, prend en charge la nouvelle Administration transitoire des Nations unies au Timor-Oriental (Untaet). Disposant de larges pouvoirs, y compris judiciaires, l'Untaet est appuyée par 9000 Casques bleus, chargés de remplacer les forces de l'Interfet dès le début de l'an 2000.
    Outre le retour du chef historique de la résistance est-timoraise, José Alexandre «Xanana» Gusmao, cette fin d'année voit ainsi le départ des derniers soldats indonésiens, après vingt-quatre années d'occupation. Enfin, le 20 octobre, Abdurrahman Wahid dit «Gus Dur», considéré comme le représentant d'un islam modéré et ouvert, est élu président de la République par l'Assemblée consultative du peuple et Megawati Sukarnoputri, fille du fondateur de l'Indonésie indépendante et populaire, dirigeante du Parti démocratique indonésien (PDI-P), premier parti du pays, est nommée à la vice-présidence.
    Dès leur arrivée au pouvoir, les nouveaux dirigeants sont confrontés à une nouvelle flambée de violence attisée par les indépendantistes, notamment dans la province d'Atjeh (nord de Sumatra) et en Irian Jaya. Considérant que ces actions de rébellion menacent l'unité indonésienne et constituent un défi à son autorité, le gouvernement charge les forces de police de rétablir l'ordre dans les provinces. Si les pourparlers engagés avec les séparatistes musulmans du Front de libération d'Atjeh aboutissent, le 12 mai 2000, après deux décennies de lutte armée et plus de cinq mille victimes, à la signature d'un accord de cessez-le-feu avec le gouvernement indonésien, l'élan indépendantiste habite toujours les mentalités, à l'image des Papous de l'Irian Jaya qui proclament leur indépendance à l'égard de Djakarta le 4 juin et organisent une nouvelle administration de leur province.
  • Sait-on jamais, si il y'a des amateurs... ;)

    La colonisation européenne

    Intéressés par le commerce des épices, les Portugais puis les Espagnols sont les premiers, au XVI e siècle, à passer des accords commerciaux avec les princes indigènes indonésiens. Mais ce sont les derniers venus, les Hollandais, dont la première expédition a lieu en 1595-1596, qui, pour trois siècles et demi, vont organiser la colonisation de l'archipel.
    Pour contenir la concurrence hispano-portugaise, ils doivent adopter une politique d'ensemble; c'est ainsi que des villes néerlandaises créent en 1602 la Compagnie hollandaise des Indes orientales, qui a la charge de négocier et de coloniser. La Compagnie impose telle ou telle culture selon les besoins du commerce: épices au XVII e siècle, café au XVIII e , puis canne à sucre, thé, tabac, coton, hévéa, etc. Cette exploitation ne va pas sans révoltes locales, toujours réprimées. Batavia, aujourd'hui Jakarta, devient une grande ville commerciale. Pendant les guerres napoléoniennes, les Britanniques s'acharnent sur les colonies de la République batave, lesquelles ne reviendront totalement sous la dépendance néerlandaise qu'en 1824.

    Au XIX e siècle, l'exploitation devient plus stricte: on adopte le système introduit par le gouverneur Van den Bosch en 1830, qui impose l'abandon, au profit de l'Etat colonial, du cinquième des terres du village et du cinquième du travail de chaque homme (au moins 60 journées par an). Ce système, très avantageux pour la métropole, qui régit ainsi toute la vie agricole, orientée vers l'exportation des cultures commerciales, fait apparaître de graves inconvénients pour les populations locales: les cultures vivrières sont négligées et les différences s'accroissent entre les autres îles et Java, joyau colonial des Hollandais.
    A partir de 1870, une nouvelle évolution se fait sentir: une loi agraire favorise la mise en culture des terres incultes. Ainsi, de grandes sociétés à capitaux néerlandais ou étrangers (surtout britanniques) se développent pour exploiter les richesses nouvelles: l'hévéa et le palmier à huile; les produits miniers sont systématiquement exploités. Dans le pays, où la population augmente rapidement et où l'industrie demeure peu développée, le mécontentement va grandissant, d'autant que la crise de 1929 entraîne l'effondrement de la culture de la canne à sucre: les Indonésiens connaissent alors chômage et émeutes. Les réformes introduites aux Indes néerlandaises (représentation assurée par un Conseil du peuple, participation de l'élite indigène, statut de territoire d'outre-mer, en 1922) sont insuffisantes et n'empêchent pas la création de mouvements nationalistes ou révolutionnaires: Union sociale indonésienne, Parti communiste indonésien, Parti national indonésien de Sukarno, créés respectivement en 1914, 1920 et 1927.
    En août 1940, le gouvernement néerlandais en exil reporte à la fin de la guerre le problème de l'autonomie, réclamée en 1939 par le Congrès du peuple, que convoquèrent les mouvements nationalistes. Les Japonais occupent les Indes néerlandaises de 1941 à 1945.
  • Au niveau business pur et dur, c'est comment à Bali ? Quels sont les acteurs implantés là bas (immobilier, équipement, distribution, etc...). Est-ce qu'il y a surtout des entreprises asiatiques ? Européennes ? Américaines ?

    C'est peut être idiot comme question me direz-vous... mais bon, tant pis, ça fera un petit "up" gratuit du topic ;)


    Edit : je me demande en fait si je n'aurais pas du relire plus sérieusement les messages précédents :-s
  • En réponse à cette remarque...

    "Une australienne de 27 ans vient de se faire juger dans la ville dont tu portes le nom, pour avoir introduit 4 kg de Marie-jeanne dans le pays....Ici, c'est un scandale énorme, un honte pour Bali !! Surtout qu'il n'y a aucune évidence..."

    Ouai, ben franchement, ça me choque plus, ces histoires...
    L'Indonésie condamne à la peine capitale pour détention de stupéfiants, et ce quels que soit la nature ou la quantité. Les gens qui essayent d'en faire passer, ils le savent. C'est d'ailleurs rappelé dans les avions, et y'a des panneaux ça comme dans l'aéroport avec marqué « Death penality for drugs »... Le type il tente le coup quand même, si ça passe il se construit une super villa avec piscine et ira faire le kacou en boite... il se fait attraper, et plein de gens disent « c'est pas normale, le pauvre ». Ben il avait qu'à dealler dans des pays où il risque pas autant...
    Faut pas oublier que pour un pays comme l'Indonésie, pas très au fait des droits de l'homme, c'est l'occasion rêvée de faire rouspetter gentiment les gouvernements occidentaux, en sachant très bien que la réaction sera molle (ce sont quand même des trafiquants de stupéfiants !), et de pouvoir leur dire « désolé, ça vous plait pas mais chez nous c'est comme ça », discussion terminée, sans risquer de voire débarquer l'ONU :o)... Et ça les fait tripper à mort !
    Autre point, la plupart des types qui se font coincer sont, parait-il, simplement balancés par un plus gros qu'eux. Les douaniers indonésiens sont satisfaits (pot de vin + statistiques en hausse) et le lendemain, ils laissent passer un autre mec avec 100 fois plus de dope sur lui...
    Après, si ça permet à des Ardissons de faire pleurer dans les chaumières...
  • concernant la délation, j'avais vu un reportage sur des passeurs en Colombie. Ils disaient que souvent des passeurs avec des petites quantités se font dénoncer par les mecs qui les ont recrutés, ce qui permet d'occuper les douaniers un petit moment et à un autre gus de passer tranquillement une qantité plus importante.
  • A Bali par exemple, des types louches, souvent occidentaux, cherchent parfois à mettre le grappin sur des jeunes qui présentent bien, avec un discours faisant miroiter argent facile et succès. Le type dit oui, et au premier passage, il est balancé...
    C'est ce qui pourrait être arrivé à Michael Blanc, le protégé d'Ardisson (j'habite à 1 km de sa prison :-& ).
  • La grandeur de l'australie limite considerablement les echanges inter-villes quels qu'ils soient...ca compte pour la drogue egalement.

    Pour ce faire les trafiquants ont corrompu les bagagistes des aeroports qui utilisent des bagages de voyageurs...il suffit donc de recuperer la marchandise avant le transfert...

    Malheureusement pour le cas present, le bagagiste du vol interieur qui a precede le vol international vers Bali a eu un empechement et une belle surprise pour les douaniers a l'arrivee...

    A quoi cela servirait de faire entrer de la drogue dans un pays ou elle a une valeur nettement inferieur au pays d'origine ??

    Je trouve sympa de la part des australiens de s'indigner de cette injustice ! et j'adhere pleinement a ce sentiment !!
  • Je ne connaissais pas la manière de faire locale... C'est vrai que si c'est le bagagiste qui met le paquet en douce dans ton sac, c'est relou...
    En revanche, je suis pas certain que la valeur marchande des drogues soit moins élevée à Bali... Les Indonésiens qui se droguent, soit c'est à la colle parce qu'ils ont pas les moyens de se payer autre chose, soit c'est des types richissimes pour qui rien n'est impossible ou presque...
    Le reste du marché, c'est des occidentaux, donc je pense que le prix doit être à peu près uniformisé...
    Je précise que n'étant pas moi même drogué, ce sont des supputations... O:)
  • Tout de même, avec ce genre d'affaires, le rayonnement de l'Indonésie comme à ne plus être si raya [-X
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Stammtisch
  • bastoune68 Pour ceux qui ont les chaines allemandes : il y aura 34 matchs sur ARD/ZDF et 14 sur RTL soit 48 matchs sur 51
  • quentin671 Pas que les matches de la France * (hors France c’est pas correct)
  • quentin671 Ou vous avez des infos ou les matches sont diffusés ? Aussi hors France
  • quentin671 Salut ! Est ce qu’il y a un écran géant pour les matches de l’équipe de France pendant l’Euro ?
  • gohelforever Thomas Dutronc a perdu ses racines
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  • cigonhao Je ne sais rien mais je dirais tout
  • kitl adieu Françoise Hardy :'(
  • speedy67 Il est clivant le bonhomme. Mais suis quand même content pour lui
  • kitl ça aurait été drôle d'avoir Kéké seulement lors de la pub cet été
  • speedy67 Et Kéké la braise aux JO :)
  • speedy67 Superbe Gletty, bravo !
  • speedy67 Plus que 8cm et il saute au-dessus de la barre transversale ;)
  • speedy67 Ouaw, 2m37 !!!!
  • speedy67 Et puis la messine Auriana Lazraq-Klass, une fraicheur, une fille qui s'éclate et nous éclate
  • speedy67 Mais quel bonheur aussi cette Louise Maraval, les combinards, ces mastodontes de l'athlé
  • mouloungoal Il est complètement frappé! :)

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