Le Racing saison 2012/2013
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princessece n est pas peut etre pas pour rien que personne ne soutien le fcm(ni privee ni public)....a si Hilali etait interesse il y a quelques temps... :D -
Dans dix ans les Coopé auront toutes fermé, et les Mammama ne pourront plus y ratschà avant d'acheter quelques tapettes............ à mouches.
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Au Racing sans fonds publics, pas beaucoup de fonds privés...
Au FCM, on a un président sponsor discutable et discuté mais réel !
Sérieusement que la CUS, le CG67 soutiennent le Racing tant mieux.
Sinon la région, d'ailleurs dont je pense que le sport pro ou semi-pro (cf Lohr, Coop, Schindler, etc, etc...), n'est vraiment pas la priorité. En tout les cas si le conseil régional veut financer, alors pas qu'un seul club de la région. L'Alsace du foot ne s'arrête pas au Neudorf... -
fcmwackes a écrit, le 2012-06-15 18:55:59 : . L'Alsace du foot ne s'arrête pas au Neudorf...
oui mais non c'est la Meinau -
Certes, mais la gare où s'arrêtait le train il y a plus de 30 ans, c'est la gare du Neudorf, enfin la gare marchandises.
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Eh bien alors une subvention au pro rata du nombre de spectateurs semble coherente
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Sérieux, vous préféreriez qu'on attribue cette subvention à Colmar ou à Mulhouse plutôt qu'au club phare de l'Alsace depuis des décennies ?
Il va être gai, le Conseil Unique
jamal a écrit, le 2012-06-15 18:23:09 : Ça ne représente même pas 1% de leur budget annuel alors bon...
Ce qui, quand on y pense, est quand même absolument considérable. -
De toute manière le Racing a toujours été un club plus ou moins mal géré, heureusement que l'on peut sans cesse ponctionner le contribuable pour le sauver de sa disparition pure et simple.
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Comme ça ça à l'air sympa mais c'est quand même pas très moral de prendre de l'argent de force à des gens pour financer le racing...
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Racing Sitterlé fait obstruction
Les négociations entre les repreneurs et Frédéric Sitterlé pour le rachat de la marque piétinent. D'autant que le Blodelsheimois cherche à les court-circuiter.
C'est une lapalissade que de le dire : lorsqu'une négociation est en cours, difficile d'en prévoir l'issue. Accord ou rupture brutale : les deux options restent possibles. Mais chaque jour qui passe réduit un peu plus la marge de manoeuvre, surtout lorsque les positions sont toujours aussi éloignées. La DNCG (1), qui auditionnera le Racing pour la 2 e fois le mardi 26 juin à 9 h, a en effet laissé aux dirigeants jusqu'au début de semaine prochaine pour lui communiquer les lettres d'intention des futurs actionnaires.
Encore faut-il que d'ici là, le pool de repreneurs mené par Marc Keller trouve un accord avec l'investisseur fantôme Frédéric Sitterlé, propriétaire de la marque RCS. Contrairement à ce que « L'Alsace » supputait jeudi, l'ancien international et ses alliés n'ont pas du tout abandonné l'idée de faire supporter à l'homme d'affaires de Blodelsheim une partie (la moitié ?) du besoin en fonds propres au 30 juin (850000 euros), ni de lui faire céder la marque pour un euro symbolique. Certains d'entre eux n'en démordent pas. Mais en face, F. Sitterlé campe sur une position « hilalienne ». Comme le jusqu'au-boutiste londonien Jafar Hilali, qui était allé jusqu'à publier en juin 2011 sur le site internet du club la liste des supposés candidats au rachat de la section professionnelle (Ndlr : il paraît même que des Chinois étaient sur les rangs !), il semble résolu à ne pas céder le moindre pouce de terrain.
Hier, le Haut-Rhinois a ainsi tenté une approche indirecte de Christian Constantin, le président du FC Sion, qu'il avait rencontré le 26 août à l'aéroport d'Entzheim, mais qu'il a ensuite snobé des mois durant, comme la Ville de Strasbourg l'a aussi « snobé » ces dernières semaines, son adjoint aux finances Alain Fontanel n'ayant jamais libéré une date pour rencontrer le président sédunois. Sitterlé s'est vu opposer une fin de non-recevoir. Il est vrai que le patron du FC Sion avait d'autres chats à fouetter ce vendredi : il présentait sa dernière recrue, le champion du monde italien (en 2006 en Allemagne) Gennaro Gattuso qu'il a attiré en Valais pour deux saisons au nez et à la barbe de Galatasaray, mais aussi de fortunés clubs russes, chinois, qatariens et américains. Et sûrement pas pour un Franc suisse symbolique. Preuve, si besoin était, de son aisance financière.
Sitterlé a toutefois eu le temps de confier à son interlocuteur qu'il exigeait 500000 euros pour une marque qu'il a acquise contre 150000 euros fin août 2011. Du bluff ? En début de semaine, lors de ses premiers échanges avec son ex-conseiller Patrick Adler, proche de Marc Keller, il lui avait fait cette déclaration qui en dit long sur son état d'esprit. « Je me fous que le Racing finisse en DH. » Adler a évidemment répercuté ces propos à Marco Keller et son équipe.
Cette sortie musclée du Blodelsheimois a cependant tous les atours d'une énième bravade. Car contrairement à Jafar Hilali l'an passé, il n'a pas les moyens de mettre ses menaces à exécution. Il n'est effectivement « que » propriétaire de la marque. Et si d'aventure, les investisseurs optaient pour un changement de nom (2), hypothèse qu'ils n'écartent pas et à laquelle ne sont plus opposés beaucoup d'acteurs et observateurs du club (3), excepté la Ville de Strasbourg, F. Sitterlé se retrouverait à la tête d'une coquille vide. Sauf à ouvrir une enseigne de restauration rapide sur les Champs-Élysées et tenter de faire fortune grâce à la vente de merguez bien cuites estampillées Racing ! « La Ville préférera changer le nom du club plutôt que de voir capoter le dossier de reprise », pronostique un proche du dossier. On ne tardera plus à le savoir
L'alsace -
foot-france67 a écrit, le 2012-06-15 15:52:16 : le Racing c'est une histoire, d'où il tient sa légitimité, et il est normal qu'il bénéficie d'un coup de pouce qui est le fruit de son histoire centenaire, de toutes les émotions qu'il a procuré à tous les alsaciens à certaines époques.
Et pour avoir le droit de revivre ses émotions, ça vaut bien 500000€ par an pendant 3ans.
Si à chaque fois qu'on a besoin d'€ on sort l'argument du passé glorieux, sûr qu'on aura des cent et des milles perpétuellement. Mais il faut arrêter de se leurrer, tout ça c'est bel et bien du passé. On est (provisoirement) en CFA et le club aujourd'hui n'a strictement rien à voir avec le club d'hier...
A te lire, on croirait que le club peut ponctionner indéfiniment le contribuable parce qu'il lui a procuré joies et peines depuis longtemps...
Quant à l'argument des émotions... comme si ça se quantifiait ce genre de choses...
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Les milliers de supporters justifient largement les subventions
La subvention leur est due , à leur passion et à leur fidélité et cela paraît tellement logique -
aldebert a écrit, le 2012-06-15 15:23:55 : mediasoc a écrit, le 2012-06-15 14:05:25 : Je ne sais pas trop quoi penser, mais ça restera toujours le "Racing"...
Pas faux... qui connait le PSG FC ??
Au début des années 70, 2 clubs parisiens, le Stade Saint Germain et le Paris FC ont fusionné (en 2 ou 3e division) pour former le Paris SGFC, une foit le PSGFC en L1, ils se sont a nouveau séparés, le PFC et l'ancien Stade SG préférant garder le nom de PSGFC ou PSG -
samh a écrit, le 2012-06-15 05:52:25 : Vive le Football Club du Racing Club de Strasbourg Alsace Bas Rhin (+)
'Tain, j'étais pas loin...
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princesse a écrit, le 2012-06-15 15:24:50 : aldebert a écrit, le 2012-06-15 13:37:58 :
on a aussi bien finance la grande mosquee de Strasbourg alors je ne vois pas en quoi cela serait choquant de financer un club de foot qui lui amenera sans doute plus de plaisir aux alsaciens que la grande mosquee ´....
C'est normal, on finance la mosquée comme n'importe quel édifice religieux, catholique, protestant ou juif. C'est une spécificité alsacienne, tu devrais le savoir. comme l'islam est une religion dynamique et qui concerne beaucoup de contribuables alsaciens, c'est logique .
Je pense par ailleurs qu'à l'échelle de la région, il y a plus gens sensibles au sort fait à l'islam ou à l'égalité de traitement entre religions que de gens intéressés par le sort du racing? -
Toutes proportions de coût prises en compte je pense qu il est normal de participer aux deux
Quant au comparatif sur l intérêt à voir....... -
jamal a écrit, le 2012-06-15 18:23:09 : aldebert a écrit, le 2012-06-15 13:37:58 : Franchement, la Région n' a- t'elle pas mieux à faire d'un demi-million d'€ ???
Ça ne représente même pas 1% de leur budget annuel alors bon...
ouaip, mais pour plein d'associations, de boites ou de projets autrement plus ""productifs" dans leur domaine, ça peut vouloir dire beaucoup. (même si c'est un détail pour vous) -
Le concordat ne vaut que pour les cultes catholique, protestant et israélite. Ceci pour le rappel historique.
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aldebert a écrit, le 2012-06-18 16:13:24 : princesse a écrit, le 2012-06-15 15:24:50 : aldebert a écrit, le 2012-06-15 13:37:58 :
on a aussi bien finance la grande mosquee de Strasbourg alors je ne vois pas en quoi cela serait choquant de financer un club de foot qui lui amenera sans doute plus de plaisir aux alsaciens que la grande mosquee ´....
C'est normal, on finance la mosquée comme n'importe quel édifice religieux, catholique, protestant ou juif. C'est une spécificité alsacienne, tu devrais le savoir. comme l'islam est une religion dynamique et qui concerne beaucoup de contribuables alsaciens, c'est logique .
Je pense par ailleurs qu'à l'échelle de la région, il y a plus gens sensibles au sort fait à l'islam ou à l'égalité de traitement entre religions que de gens intéressés par le sort du racing?
"Je pense par ailleurs qu'à l'échelle de la région, il y a plus gens sensibles au sort fait à l'islam ou à l'égalité de traitement entre religions que de gens intéressés par le sort du racing?
" Tu deconnes la j espere???le jour en alsace ou l islam passera en priorite devant le sort du rcs dans l esprit des gens il sera grand temps de prendre une bonne corde et de trouver un bel arbre....
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et bien va y. Ca évitera les comparaison qui n'ont pas lieu d'ètre. retoir au sujet?
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exact hors sujet!!
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Le vent et la vente de l'espoir
-joueur-de-1991-a-1996-pui.jpg)
Un an après son départ de Monaco, Marc Keller (ici avec l'ASM à Sochaux), joueur de 1991 à 1996, puis directeur général de 2001 à 2006 au Racing, en deviendra dès aujourd'hui le nouveau président. Archives Lionel Vadam
C'est fait : Frédéric Sitterlé va définitivement disparaître du panorama du RCS. Tard hier, il a paraphé le protocole d'accord pour la cession de sa SAS (1) et de la marque Racing, chacune pour un euro symbolique, à Marc Keller, le futur président, et ses associés. Le club va garder son nom et pouvoir jouer en CFA.
Le Racing va continuer à s'appeler Racing et si tout se passe comme prévu mardi lors de l'audition de ses nouveaux dirigeants à la DNCG (2), il reprendra le 11 août, comme si de rien n'était, le championnat de CFA. À ce 4 e échelon national que l'équipe de François Keller a, par ses performances sur le rectangle vert, gagné le droit de rejoindre.
Hier, après deux semaines de négociations ralenties par un Frédéric Sitterlé qui, jusqu'au dernier moment, a tenté de trouver une autre issue, l'homme d'affaires haut-rhinois a, contraint et forcé, accepté de passer la main et céder sa SAS et la marque Racing pour deux euros à Marc Keller et aux autres repreneurs (Ndlr : deux fois l'euro symbolique).
Depuis plusieurs jours, l'homme d'affaires de Blodelsheim s'était pourtant ingénié à faire courir le bruit que ses interlocuteurs avaient du mal à boucler leur tour de table et qu'il leur manquerait 275 000 euros en trésorerie au mois d'octobre (3). En réalité, cette somme ne correspondait en rien à un quelconque manque de trésorerie, mais au montant que, dans un premier temps, Marc Keller et son équipe lui avaient demandé d'acquitter. À savoir la moitié des besoins en fonds propres (425 000 euros sur 850 000) au 30 juin, moins le prix de rachat de la marque RCS (150 000 euros). « La vérité, c'est que, comme il le fait depuis le début, Sitterlé a, en relançant Bernard Graeff et Christian Constantin ces derniers jours, tenté de trouver un pigeon pour payer à sa place les 275 000 euros », analyse un dirigeant du RCS.
Cette ultime manoeuvre de diversion que n'aurait pas reniée son prédécesseur Jafar Hilali a échoué. Et F. Sitterlé a dû se résoudre à aller au bout des pourparlers avec des repreneurs alsaciens de moins en moins enclins, à mesure que les jours passaient, à lâcher du lest. Dès mercredi soir, alors que les tractations étaient de plus en plus tendues, Marc Keller tenait un discours sans ambages : « Comme nous allons assumer tous les besoins en fonds propres pour une saison à laquelle nous n'avons pas participé, il n'est pas question de payer la marque. Réunir de l'argent pour sauver le club, oui. Mais payer pour les erreurs des autres, non. En acceptant d'assumer les besoins en fonds propres, mais aussi de payer la marque, nous priverions deux fois le club de moyens pour l'avenir. »
L'économie des 150 000 euros de la marque n'a en effet rien d'anodin. Elle correspond peu ou prou aux salaires annuels cumulés de deux très bons joueurs de CFA (charges patronales comprises). Soit une bonne partie du recrutement envisagé par François Keller.
Personne ne le dira de façon aussi crue, mais sous la pression générale, Frédéric Sitterlé a, d'une certaine manière, baissé son pantalon pour concéder un accord qui restera dans les annales. Un juste retour des choses pour celui qui a tant promis sans jamais tenir et trompé tout son monde à l'été 2011. Le Blodelsheimois ne récupérera que deux euros pour la cession de sa SAS et d'une marque RCS que les repreneurs vont donner gracieusement à l'association amateur. En dix mois au Racing, il aura perdu 165 998 euros (150 000 pour la marque, 6000 pour le mobilier et 10 000 pour le capital social de la SAS, moins les deux euros symboliques). Un moindre mal pour quelqu'un qui n'assumera rien du déficit 2011-2012 (1,462 million).
Mais si le Haut-Rhinois a fini par s'asseoir sur l'argent qu'il avait investi dans le rachat de la marque, c'est sans doute et surtout parce qu'il redoutait une action au pénal intentée contre lui par l'association (voir l'article publié hier soir sur www.lalsace.fr). « « Deux points ont favorisé les négociations », décrit un acteur important de la cession, « d'abord, Sitterlé craint pour sa réputation et a clairement peur d'être attaqué au pénal ; ensuite, il n'a pas d'argent immédiatement disponible pour payer quoi que ce soit. C'est ce qu'il nous a dit. »
Le météorique « vrai-faux » propriétaire du Racing va désormais rejoindre Jafar Hilali au panthéon des marchands d'illusions. En dix mois, il aura réussi l'incroyable tour de force de supplanter le Londonien sur la première marche du podium des présidents interlopes. Pour la première fois depuis des années, la direction du RCS va être rendue à un footballeur, Marc Keller. À lui et ses partenaires de restaurer un espoir que F. Sitterlé se targuait d'incarner l'été dernier, mais qu'il n'a cessé de trahir. Avec cette vente, le vent de l'espoir peut de nouveau souffler.
VOIR Le communiqué de Marc Keller sur www.lalsace.fr
(1) Société par actions simplifiée.
(2) Direction nationale du contrôle de gestion de la Fédération française de football.
(3) Notamment dans des SMS à Christian Constantin, le président de Sion, que « L'Alsace » a en sa possession, ce qui évitera ainsi à F. Sitterlé de démentir prestement.
L'Alsace -
La vente de l'espoir?
Mais il s'imagine quoi ce journaliste à "deux euros", ce naïf à deux balles avec ses articles sur des sujets super intéressants comme l'"open space" et "la vente des tondeuses".
Marc Keller tenait un discours sans ambages : « Comme nous allons assumer tous les besoins en fonds propres pour une saison à laquelle nous n'avons pas participé, il n'est pas question de payer la marque. Réunir de l'argent pour sauver le club, oui. Mais payer pour les erreurs des autres, non. En acceptant d'assumer les besoins en fonds propres, mais aussi de payer la marque, nous priverions deux fois le club de moyens pour l'avenir. »
Les erreurs des autres sont les mêmes depuis des années et sera la même l'année prochaine. Faut arrêter d'être naif et prendre les gens pour des "Hilali". Le pool de repreneur va combler le déficit de cette saison mais l'année prochaine qui va le faire?
L'économie des 150 000 euros de la marque n'a en effet rien d'anodin. Elle correspond peu ou prou aux salaires annuels cumulés de deux très bons joueurs de CFA (charges patronales comprises). Soit une bonne partie du recrutement envisagé par François Keller.
150.000 euros pour deux joueurs? plus de 5000 euros par mois pour un joueur, on joue en ligue 2 ou en cfa? C'est sur qu'avec une politique de salaires très élevés le Racing sera de nouveau en déficit.
Marc Keller fera surement du bon boulot, mais après il faut assumer financièrement... -
5000 eur bruts charges patronales et salariales comprises c est à dire le coût pour le club ce qui revient à peu près à la moitié net pour le joueur ......
Donc rien d anormal pour un club qui aligne des joueurs à statut fédéral et assimiles -
Bon, on va enfin pouvoir parler de foot et de mercato :)
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