Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Dépôt de bilan ?

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  • Les minoritaires n'ont qu'un rôle de conseiller s'ils n'ont pas de minorité de blocage. Ceci est aussi vrai dans le foot que dans n'importe quelle société. A ce niveau là, il n'y a aucune différence, ni juridique, ni dans la vie de l'entreprise.

    Ginestet a foutu la merde, mais il était pas qu'un minoritaire, il avait un droit de préemption sur la totalité des actions de l'entreprise. Autrement dit, il était l'homme qui décidait de qui pouvait avoir le pouvoir, et il le voulait pour lui-même.

    Oui, des raisons personnelles. Je ne vois pas ce qu'il y a de drôle là-dedans. Il avait un fils qui avait des problèmes judiciaires, et qui nécessitait de l'argent disponible immédiatement, et il avait de graves problèmes de santé. Il y a des choses plus graves qu'un club de foot dans la vie. Et ceci n'a vraiment rien de drôle, ni pour lui, ni pour personne.

    Une assemblée générale des actionnaires a juste le pouvoir de virer le patron lui-même. Et on ne parle pas des mecs qui ont 1 ou 2 actions. On parle là de personnes qui détiennent à eux 4 une minorité de blocage. Et dans toutes les entreprises, ces gens là ne restent pas éloigné de leur investissement.

    Le système basé sur un seul homme, cela se nomme soit la Royauté, soit la Dictature. Donc, ce n'est pas un problème de système, mais bien de personnes. D'ailleurs, le même système fonctionne très bien dans les autres clubs.
  • éclaire ma lanterne: de quels clubs parles-tu ?
  • ilovenietzsche a écrit, le 2011-07-17 11:49:02 :


    "obligé pour des raisons personnelles" : :))


    Obligé pour des raisons de santé pour être plus précis. :-B
  • ilovenietzsche a écrit, le 2011-07-17 12:13:15 :
    éclaire ma lanterne: de quels clubs parles-tu ?

    Quasiment tous les clubs ont des actionnaires minoritaires. Rares sont ceux où la totalité des parts appartient à un seul homme. Ce sera certes le cas au PSG.

    Donc, on peux citer les derniers champions en exemple: l'OM (MLD détient 55% des parts seulement), Lille (Seydoux a 54% des parts, Isidore Partouche 40%), Lyon (OL Groupe est côté en Bourse, avec comme actionnaires ICMI à 34%, PATHÉ + OJEJ à 25%, le public 23%, ...).

    Ca réponds à ta question ?
  • je crois quand même que dans les clubs que tu cites il y a 1 seul chef, identifié. Et on voit que dans tous les clubs de France les luttes intestines entre dirigeants foutent le bordel. Notamment au racing.

    quelles sont les raisons qui font qu'à Strasbourg, le club n'avance pas ?

    Wenger par exemple parle de la même chose: qui décide ?

    je répète ce que j'ai dit: je souhaite que le millefeuille des sociétés et des minoritaires disparaisse avec le dépôt de bilan etc..

    content que Gindorf se soit remis de ses soucis de santé
  • Parce qu'à Strasbourg, il n'y a pas un seul chef identifié ?

    Le chef, c'était pas Hilali, avant lui Ginestet, avant lui Gindorf ?

    C'est ce que je répète, ce n'est pas un problème de système, c'est juste un problème de personnes.

    Quant au bordel, il n'y en a pas à Auxerre, à Nice, à Monaco, à Nantes, à Arles, ... ?
  • t'as raison, gardons bien la cascade de sociétés qui contrôlent (finalement) le club, gardons une poignée d'actionnaires minoritaires qui n'ont pas les moyens (à plusieurs !) de racheter le club pour quelques millions quand y a le feu dans la maison, on avancera avec ça !
  • Quand il y a le feu à la maison, on ne rachète pas la maison, voyons [-(
  • Euh, c'est pas pour dire, mais il y a plein de Chinois qui rachètent la Grèce et d'autres pays européens en feu.
  • il-vecchio a écrit, le 2011-07-17 18:35:00 :
    Euh, c'est pas pour dire, mais il y a plein de Chinois qui rachètent la Grèce et d'autres pays européens en feu.


    Non, ils rachètent des parties isolées qui ne peuvent pas flamber et laissent le reste partir en fumée dans un coin.
  • Liquidation totale

    Le Racing ne devrait pas échapper au dépôt de bilan, ce matin, lors de son passage devant la chambre commerciale du Tribunal de Grande Instance de Strasbourg. Ni à la liquidation judiciaire, qui mettrait fin à l'aventure du club alsacien plus que centenaire.

    http://www.dna.fr/fr/images/dfb48d09-aefa-4714-8f79-014cce731c58/...
    La Meinau s'apprête à vivre un long hiver. Son club-résident devrait être envoyé dans les profondeurs du football français, après son passage devant le Tribunal de Grande Instance, ce matin. (Photo archives DNA)

    Ce matin, le Racing a rendez-vous avec son destin. Vers 9h, dans la salle 43 du Tribunal de Grande Instance (TGI) de Strasbourg, la justice va se plonger dans un dossier qui n'en finit plus de faire couler de l'encre.

    Il y a peu de chances que le club centenaire sorte « vivant » de cette audition, même si l'actualité de ces derniers jours, aux rebondissements incessants, incite à se montrer prudent.

    Mais là, on voit mal comment il pourrait y avoir un miracle. Car le Racing n'est plus que l'ombre de lui-même. Le club qui possède à son palmarès quelques coupes vaillamment arrachées et un inoubliable titre de champion de France, est sous assistance respiratoire depuis trop longtemps pour obtenir un nouveau répit.

    Une liquidation judiciaire comme un soulagement

    Ce matin, il est donc fort possible que la justice dise définitivement stop, en prononçant tout simplement la liquidation judiciaire du club ( lire aussi ci-dessous). Et dans la situation actuelle où se trouve le club, ce serait, paradoxalement, un soulagement.

    « Si le juge décide d'un redressement judiciaire, il faut se lancer dans une nouvelle période d'observation de quinze jours minimum sous l'égide d'un administrateur, lance un proche du club. Et là, quelle que soit l'issue, ce serait trop tard pour repartir en championnat. Et puis les caisses du club sont complètement vides. Comment ferait-on pour payer les joueurs et les salariés fin juillet ? ».

    Le seul à souhaiter que l'aventure se poursuive est Thomas Fritz

    L'autre argument en défaveur du redressement est que personne, au club, n'en veut. Pas plus les joueurs, qui souhaitent désormais pouvoir signer ailleurs sans indemnité de transfert, que les salariés du club, qui espèrent eux aussi rebondir le plus rapidement possible. Ces derniers ne manqueront pas, ce matin, d'exposer leur point de vue par le biais d'Éric Moerckel, leur représentant.

    Le seul finalement, à souhaiter que l'aventure se poursuive, est Thomas Fritz, propriétaire du club depuis une semaine, quand Jafar Hilali lui a fait un cadeau empoisonné en lui cédant le Racing pour un euro symbolique.

    Comment repartir ? À quel niveau ?

    Fritz a annoncé ce week-end avoir réuni plus de 3 millions d'euros et avoir d'ores et déjà trouvé un entraîneur, en la personne de Stéphane Paille. Mais le jeune ingénieur, dernier arrivé dans ce bal des prétendants au rachat, va être bien seul à défendre son idée... si toutefois le tribunal accepte de l'entendre, ce qui n'est pas acquis.

    Car quoi qu'en pensent les plus optimistes, il est désormais trop tard pour sauver le Racing. Et ceux qui ont tenté de le faire dans les temps se sont découragés face à l'ampleur du désastre financier. Avec les dettes accumulées depuis de nombreuses années, notamment en raison de procès à répétition aux Prud'hommes, ce ne sont pas 3 millions, mais plutôt 15 ou 20 millions qu'il aurait fallu injecter dans la machine pour qu'elle reparte.

    Du coup, du côté de l'association, comme de la Ville de Strasbourg, l'heure est déjà à l'après. Comment repartir ? À quel niveau ? Telles sont les interrogations de ceux qui vont tenter de sauver la place du Racing en CFA. Ce ne sera pas à la justice de trancher sur ce point, mais à la Fédération Française de Football, où les acteurs du plan B pourraient être reçus mercredi.

    Que la FFF fasse deux exceptions pour que le Racing reparte en CFA

    « Pour que le Racing reparte en CFA, il faudrait que la FFF fasse deux exceptions : une première en acceptant de dissocier la section amateur et la SASP, alors qu'un club pro est toujours composé de ces deux entités. Et ensuite, il faudrait que la FFF accepte ensuite de considérer que, comme l'équipe réserve est montée sur le terrain en CFA, le club puisse repartir à ce niveau », expose un connaisseur du dossier.

    Ce n'est pas gagné, même si Patrick Spielmann et les animateurs du plan B ont des arguments. Les finances de l'association Racing sont saines avec une trésorerie positive estimée à 500 000 euros. Et un budget se met en place, avec une aide substantielle de la Ville (800 000 euros ?) et des apports extérieurs (des investisseurs seraient déjà sur les rangs, notamment pour aider le centre de formation).

    Ensuite, le chantier sera immense pour pouvoir espérer retrouver un jour ne serait-ce que la Ligue 2. Si la liquidation risque d'être douloureuse, la reconstruction le sera aussi...

    DNA
  • Vers un lundi noir

    http://www.lalsace.fr/fr/images/DDDEDCCA-A5C8-4510-BB0D-2F2C47A7C...
    C'est ici, au Palais de justice provisoire, situé quai d'Islande à Strasbourg, que la page la plus triste de l'histoire du Racing va probablement se tourner ce matin. Archives Jean-Marc Loos

    Le Tribunal de grande instance de Strasbourg devrait, selon toute vraisemblance, prononcer aujourd'hui la liquidation judiciaire du RCS et mettre fin ainsi à 78 ans de professionnalisme dans la capitale alsacienne.

    Ce matin, la 1 re chambre commerciale du Tribunal de grande instance de Strasbourg va décider de l'avenir du Racing. Il ne fait de secret pour personne que celui-ci s'annonce très sombre puisque la présidente Martine Rivet devrait prononcer la mise en liquidation judiciaire (ou le redressement) d'un club plus que centenaire. « Elle semble connaître le dossier sur le bout des doigts », soulignait à son sujet Me Arnaud Schmitt, l'avocat de Sébastien Graeff, samedi dans nos colonnes. Pour preuve, elle n'a pas jugé utile de nommer un administrateur judiciaire provisoire (voir notre édition de samedi) pour faire face à la vacance de pouvoir à la tête du Racing comme le demandait vendredi l'avocat du candidat au rachat du RCS qui a renoncé la semaine dernière. Bien évidemment, le désormais ex-président et actionnaire majoritaire Jafar Hilali, dont c'est bien la gestion depuis un an et demi qui est en cause, ne sera pas de la partie. Le club devrait alors être représenté par son avocat M e Bernard Alexandre.

    De son côté, le délégué du personnel du club Eric Moerckel sera lui présent à l'audience (le RCS est convoqué ce matin à partir de 9 h) pour porter la voix des 77 salariés. Entre les frasques de Jafar Hilali, les projets de reprise avortés de Frédéric Sitterlé et plus récemment de Sébastien Graeff, l'arrivée du farfelu Thomas Fritz, le supporter du RCS qui a racheté le club pour un euro symbolique à Hilali, ces derniers, à bout de souffle, ne veulent plus être pris en otage. « Je n'ai pas d'appréhension par rapport à ce rendez-vous, souffle Eric Moerckel. Tout simplement parce que nous sommes persuadés d'avoir les bons arguments pour demander la liquidation. Ils sont totalement légitimes. Aujourd'hui, il n'y a plus de patron, plus de représentants légaux car ils ont tous démissionné, donc il n'y a plus de raisons de continuer. »

    Moralement très touchés par un an et demi d'incertitude et de galère, les employés du RCS souhaitent que le TGI mette le point final dès aujourd'hui à ce qui ressemble de près à un très mauvais film. « On sait qu'il n'y a plus d'avenir alors pourquoi attendre ? Aujourd'hui, nous avons envie de passer à autre chose et tourner la page. Pour nous, la meilleure des solutions est d'arrêter et si la liquidation est prononcée ce lundi, on aura avancé d'un cran », indique le kiné Eric Moerckel.

    Pour l'adjoint aux finances à la mairie de Strasbourg, Alain Fontanel, en charge du dossier Racing, ce passage devant le tribunal est « une étape obligatoire pour tourner la page Hilali. C'est le premier chapitre d'une nouvelle histoire avec la reconstruction du club. Bien évidemment, ce qui est arrivé est un déchirement. Les responsabilités sont clairement identifiées. Mais maintenant, il faut se tourner vers l'avenir. »

    Un avenir que toute l'Alsace du football espère à l'opposé de tout ce que le club strasbourgeois a pu vivre au cours des derniers mois. Et le plus éloigné possible des prétoires, où il n'aurait, à l'évidence, jamais dû finir...

    L'Alsace




    Question: Quelqu'un pourrait il nous en dire davantage sur ce Me Alexandre? N'était il pas jusqu'à ce jour l'avocat du Racing dans les conflits prud'hommaux?
    Les caisses résonnant de l'écho du vide sidéral (*), qui va le rémunérer pour sa prestation devant le TGI? On est en droit de se demander s'il n'a pas d'autres factures en souffrance.



    (*) Vu qu'on ne dispose d'aucun enregistrement de l'écho du vide sidéral, nul ne pourra me contredire
  • Waterloo Sunset

    Sauf ultime rebondissement, la décision du tribunal de grande instance aujourd'hui devrait entériner l'inéluctable : la fin de 72 années de football professionnel à Strasbourg.

    Cliquez ici pour lire la suite de cet article
  • strohteam a écrit, le 2011-07-18 10:20:10 :
    Waterloo Sunset

    Sauf ultime rebondissement, la décision du tribunal de grande instance aujourd'hui devrait entériner l'inéluctable : la fin de 72 années de football professionnel à Strasbourg.

    Cliquez ici pour lire la suite de cet article



    cela veut dire plus de foot a Strasbourg ???
  • La mise en liquidation judiciaire (ou le redressement) du RCS devant la première chambre commerciale du tribunal de grande instance de Strasbourg devrait être prise ce midi par la présidente Martine Rivet (lalsace.fr)
  • Le juge rendra sa décision à midi
    Le cas du Racing Club de Strasbourg était évoqué ce matin devant la chambre commerciale du tribunal de grande instance de Strasbourg. Le juge rendra sa décision, procédure de redressement ou liquidation, à midi.


    zoom

    Le juge rendra sa décision à midi. Eric Moerckel, représentant des salariés, a demandé une décision dès aujourd'hui. (Photo DNA-Cédric Joubert)
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    partager : Les différentes parties ont été entendues ce matin à la chambre commerciale et ont pu défendre leur point de vue. Eric Moerckel, le kiné qui représente les 55 salariés de la SASP qui chapeaute le club professionnel, a expliqué qu'il fallait à tout prix éviter un renvoi et clarifier la situation dès aujourd'hui. Un représentant de Jafar Hilali, propriétaire du RCS et président depuis novembre 2010 jusqu'à la cession à l'euro symbolique à un supporter la semaine dernière, s'est également présenté à l'audience, de même qu'un représentant du RCS Omnisports.

    Le magistrat a laissé entendre qu'il ferait part de sa décision à midi. Le sort du RCS, club professionnel depuis 1933, sera alors scellé. L'hypothèse la plus probable, défendue par les salariés, est celle d'une liquidation et donc d'une disparition pure et simple du club professionnel.

    Plus d'informations en fin de matinée

    Source DNA
  • Redressement judiciaire et cessation de paiement.

    L'administrateur a été nommé, il a jusqu'au 22 aout pour qu'un éventuel repreneur ne se manifeste...

    Source : l'alsace

    http://www.lalsace.fr/actualite/2011/07/18/football-le-racing-place-en-redressement-judiciaire
  • Pour l'adjoint aux finances à la mairie de Strasbourg, Alain Fontanel, en charge du dossier Racing, ce passage devant le tribunal est « une étape obligatoire pour tourner la page Hilali. C'est le premier chapitre d'une nouvelle histoire avec la reconstruction du club. Bien évidemment, ce qui est arrivé est un déchirement. Les responsabilités sont clairement identifiées. Mais maintenant, il faut se tourner vers l'avenir. »
    Pas tous les responsables et encore certains se cachent derriere leurs statuts.
    je suis juste d'accord avec eux pour se tourner vers l'avenir, actuellement il n'y en a pas beaucoup pour soutenir le Racing mais dans l'avenir je suppose que si on remonte la pente a partir du National les loups et autres charognards reviendront dans le giron du Racing.
  • Cauchemar sans fin...
  • Je viens de lire ceci :
    Citation:
    On est exactement dans le même cas que la société où je boss, il y a 6 mois, on est passé en redressement judiciaire, Me Weil a été nommé, des repreneurs ont fait des offres, le tribunal a cédé les actifs de la société à un des repreneurs mais pas le passif.


    Est ce faisable ? #-o
  • En gros c'est un énième "Wait & See" :-' , donc il ne devrait pas y avoir de saison 2011/2012 au Racing :-&
  • wickse a écrit, le 2011-07-18 12:37:51 :
    En gros c'est un énième "Wait & See" :-' , donc il ne devrait pas y avoir de saison 2011/2012 au Racing :-&

    pourquoi???
  • Dans le cadre de la procédure de redressement judiciaire qui a été décidée, je pense qu'on s'oriente vers une future vente du club après mise en concurrence, en prenant en compte de la qualité de l'éventuel repreneur et de son projet pour le club. Comme je l'ai déjà dit, une reprise par un tiers peut se faire par le biais d'un plan de redressement dans la mesure où ce partenaire apporte les moyens financiers nécessaires à la présentation d'un tel plan.

    Ceci dit, je ne suis pas un spécialiste du droit des sociétés, mais je ne vois pas d'autres issues.
  • Je suis supporter boulonnais et sincèrement, je suis désolé de ce qui vous arrive. (comme beaucoup de supporters de par la France d' ailleurs)

    Concernant le match qui devait opposer nos 2 clubs vendredi en Coupe de la Ligue, je pense que c' est rapé? A priori, vous devriez reprendre à quel niveau?

    Bon courage à vous.
  • Si il y a possibilité de reprendre le club sans le passif et sans clauses à Hilali espéront que Sitterlé se manifeste, rien qu'avec ce qu'il était près à mettre pour racheté le club, il peut constituer une équipe correcte de CFA !

    Merci Giropodo, en effet il est clair que vous êtes dès à présent qualifié pour le second tour de la coupe le la ligue, on repartira au mieux en CFA !
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