Patrick Spielmann
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iuliu68Puis bon après refuser d'aller à Planète Racing, c'est pas forcément un argument choc pour dire le mec est pas clair
Je vois pas au nom de quoi quelqu'un qui ne souhaite pas s'exprimer devrait le faire... -
Au nom du fait qu'il est (ou était) le président de l'Association, soit un poste qui exige qu'on puisse obtenir des explications sur la gestion, les comptes, les affaires courantes, etc.
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Pareil, en vertu de quoi toi ou moi ou quelqu'un d'autre pourrait et devrait exiger des comptes?
A la limite, les membres de l'association oui, ils peuvent le faire, mais nous? -
Le poste de président de l'association exigeait plutôt jusqu'ici de rester dans l'ombre et signer ce que la SASP lui donnait.
Et puis à la limite comme Spielmann est un homme intègre, il ne doit pas voir grand chose à dire. Dixit Sitterlé
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iuliu68 a écrit, le 2012-03-17 13:18:07 : Pareil, en vertu de quoi toi ou moi ou quelqu'un d'autre pourrait et devrait exiger des comptes?
En tant que supporters tout simplement. Tant que la convention n'est pas signée, tout passe par le président de l'Asso. Et avoir un minimum de respect pour les supporters serait (j'estime) d'honorer une invitation pour donner des explications sur les craintes que nous avons tous. J'en demande peut-être trop
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A mon humble avis, tant que la convention n'est pas signée Spielmann ne peut ni ne doit s'exprimer publiquement, au risque de compliquer le processus.
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Mister nobody et missis bretzel ont un fils.
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paolo a écrit, le 2012-03-17 13:21:56 : iuliu68 a écrit, le 2012-03-17 13:18:07 : Pareil, en vertu de quoi toi ou moi ou quelqu'un d'autre pourrait et devrait exiger des comptes?
En tant que supporters tout simplement. Tant que la convention n'est pas signée, tout passe par le président de l'Asso. Et avoir un minimum de respect pour les supporters serait (j'estime) d'honorer une invitation pour donner des explications sur les craintes que nous avons tous. J'en demande peut-être trop
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Je comprends ce que tu veux dire, mais là cela relève plus d'une certaine forme de courtoisie que d'une véritable obligation. Planète Racing, la Fédé ou je ne sais quels spinoffs de UPLR n'ont de droit de regard, si ce n'est une forme d'accord tacite.
Mais je maintiens que rien n'oblige Spielmann à s'exprimer publiquement, sauf peut-être dans je ne sais quelle action de justice (mais je ne sais pas, je ne suis pas strohteam).
Je crois qu'il faut parfois aussi sortir du fantasme de la puissance du quatrième pouvoir, d'autant qu'aucun de vous n'a de carte de presse.
Alors oui on peut regretter que Spielmann maintienne le flou en ne s'exprimant pas publiquement, on peut fustiger son manque de courtoisie de ne pas répondre à des invitations etc etc
Mais
1. Il est dans son droit.
2. le procès d'incompétence notoire que tu lui fais est un pur procès d'intention, à moins que tu ais des éléments tangibles à avancer, dans ce cas là nous serons heureux d'entendre tes arguments et tes preuves
3. c'est un autre procès d'intention que de dire en gros "le mec veut pas s'exprimer, ça prouve qu'il est pas clair." -
SG?
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Il y a une chose que j'ai du mal à comprendre (bon enfaite je comprend plus rien à ce qui se passe dans les coulisses du racing) : quel est l'intérêt pour Spielmann de porter préjudice à Sitterlé alors que ce dernier veut donner plus de pouvoir à l'association qu'il préside ?
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D'une part le fait qu'il veuille donner à l'asso plus de pouvoir reste à montrer. Pour moi ça fait partie du flan inutile de Sitterlé pour se défendre d'être l'ignoble escroc dépeint dans la presse. A supposer qu'il veuille vraiment donner du pouvoir à l'asso, le fait qu'il se soit fait imposer une convention type rend ce projet chimérique. Enfin si jamais un jour il y parvient, jamais Spielmann ne sera à la tête de l'asso.
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« Personne ne se nourrit sur la bête »
Patrick Spielmann, le président du Racing, s'inquiète du sort d'un club qui n'a de cesse de s'agiter. Photo archives DNA
Le Racing se reconstruit sur le terrain. En coulisses, il ressemble à un champ de mines, au point d'inspirer une nouvelle interpellation de la part de l'opposition au conseil municipal strasbourgeois ce soir. Au coeur du conflit, Patrick Spielmann présente sa réalité des choses et conteste les accusation
Depuis plusieurs mois, une guerre larvée divise le club. Elle vous oppose à Frédéric Sitterlé. Décelez-vous une origine, un épisode annonciateur de la cacophonie actuelle ?
- Nos relations ont débuté sous de très bons auspices. Je reconnais à Frédéric Sitterlé d'avoir été là, l'été dernier, quand il n'y avait plus grand monde et plus d'argent. Nos relations se sont dégradées en raison d'une incompréhension réciproque autour des deux projets de convention (de licence de marque et de gestion de la Société par action simplifiée, SAS). Le montage proposé me semblait contraire à l'histoire du club et aux intérêts de l'association. Si je parle d'incompréhensions réciproques, c'est que je ne veux pas faire de procès d'intention à qui que ce soit. Il y avait des intérêts différents. Nous avons eu du mal à trouver une vision commune. Je croyais que nous avions réussi à dépasser cela en signant une nouvelle convention qui va pouvoir entrer en vigueur dans les toutes prochaines semaines.
« Sans apport de fonds dans les prochaines semaines, le club ne pourra payer ses fournisseurs »
- Quel regard portez-vous sur la situation actuelle ?
- Je crains que le maelstrom permanent ne risque à terme de déstabiliser l'équipe. Sans remontée en CFA il n'y aura plus de Racing, il ne faut pas l'oublier. Il y a des insinuations qui me dérangent voire me blessent quand elles portent atteinte à la réputation du club, de ses dirigeants et de ses bénévoles sans lesquels le Racing n'existerait plus depuis longtemps. Personne au club ne se nourrit « sur la bête », il y a au contraire beaucoup de travail désintéressé souvent dans des conditions difficiles. Nous risquons d'ailleurs de perdre nos meilleurs cadres et nos bénévoles si cette instabilité se poursuit.
- Comment expliquez-vous les revirements, entre la pacification intervenue dans le sillage de la signature de la fameuse convention et aujourd'hui ?
- Je ne sais pas. Peut-être une certaine lassitude. La tâche n'est pas facile et souvent ingrate. Je suis bien placé pour le savoir. Les proches de Sitterlé peuvent aussi porter une part de responsabilité.
- Considérez-vous que Frédéric Sitterlé se défile par rapport à un investissement sans cesse repoussé ?
- Nous approchons du moment de vérité. Sans apport de fonds dans les prochaines semaines, le club ne pourra plus payer ses fournisseurs. La convention de gestion est signée. Elle sera très prochainement validée par les services de l'État. Frédéric Sitterlé peut désormais assurer ses engagements comme il a confirmé vouloir le faire. C'est attendu par de nombreux acteurs depuis un certain temps.
« Tout à fait prêt à céder à nouveau la présidence »
- La convention liant l'association à la SAS a pu provoquer les montées de fièvre ces dernières semaines. Où en est-on sur le sujet ?
- Le dossier a été déposé le 3 avril. Après examen, les services de l'État nous ont demandé jeudi 12 avril des pièces complémentaires*. Je leur ai transmis celles relevant de ma responsabilité dès le lendemain. Nous attendons désormais la décision de la Préfecture dans les toutes prochaines semaines. La convention signée reprend toutes les préconisations du Ministère des sports. Le club sera ensuite enfin en ordre de marche.
- Frédéric Sitterlé regrette de ne pas disposer des pleins pouvoirs. Seriez-vous prêt à lui laisser ?
- J'ai naturellement, et de moi-même, laissé la présidence de l'association à Frédéric Sitterlé en octobre dernier. Il a ensuite souhaité me la redonner dès décembre. Il lui était difficile de signer lui-même les conventions pour les deux parties (l'association et sa société BMV) sans risque de conflit d'intérêt. Je suis tout à fait prêt à céder à nouveau la présidence de l'association, dès demain et dès les financements confirmés, si c'est cela les pleins pouvoirs. De fait, il deviendra, dès mise en oeuvre de la convention, président du club et contrôlera ainsi l'équipe une et la stratégie du club. L'activité de l'association se limitera alors à nouveau à son centre de formation. La SAS pourra contrôler les dépenses de l'association et suivre de près son activité. L'article 7 de la convention lui donne le contrôle du futur conseil du club qui examinera tous les recrutements, toutes les dépenses de plus de 20 000 euros, débattra du budget de l'association et de ses choix stratégiques. Je tiens d'ailleurs à préciser que la totalité des engagements financiers pris depuis le début de cette année est conforme au budget établi avec Frédéric Sitterlé. Tout ce qui est payé correspond à des engagements pris en début de saison. Cela permet d'éviter des poursuites de fournisseurs non réglés.
- Quel regard portez-vous sur ces nouvelles péripéties, quelques mois après avoir eu affaire à Jafar Hilali ?
- Je suis triste et inquiet. Nous devons dépasser ces nouvelles difficultés. Il n'y a pas de malédiction mais une transition nécessairement difficile après la folie de la saison dernière. Nous devons faire ensemble les efforts nécessaires pour surmonter cette épreuve.
« Si la priorité est de vendre le club... »
Mais si la priorité est de vendre le club seul Frédéric Sitterlé peut prendre cette décision alors il faut être clair et que les choses se fassent en bon ordre, sans rupture. Le « plus offrant » ne peut pas être le seul critère, la qualité du projet sportif est un enjeu essentiel.
* : Il manquait la liste des salariés de l'association, une demi-douzaine de personnes, ainsi que le numéro d'immatriculation et le budget prévisionnel de la Société par actions simplifiée, en cours de constitution.
DNA -
Moi je le crois se qu'il dit Spielmann ,plus que se raconte le menteur
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J'ai relevé que selon Spielmann il est difficile à FS de signer la convention pour les deux parties sans risquer le conflit d'intérêt....
A moins que ce ne soit une manière alsacienne de s'exprimer, le Code du Sport va beaucoup plus loin et dit que c'est totalement interdit ...
Y a t'il quelqu'un au RCS qui maitrise le Code du Sport ? -
Maintenant à Sitterlé de jouer vu que la convention , normalement , va être validée .
Les gens , certains , attendaient une réponse de l'association dans la minute . Une réponse claire se prépare pas comme la fameuse attaque de Sitterlé envers Weil qui ne parlait pas de la même chose .
Mais certains croiront toujours qu'il y a des vieux qui depuis 1970 vampirisent le RCS .
Ce n'est pas parole d'évangile , tout autant que ce que déclarait Chauveau ou Sitterlé . -
katzo68 a écrit, le 2012-04-16 05:26:43 : Je tiens d'ailleurs à préciser que la totalité des engagements financiers pris depuis le début de cette année est conforme au budget établi avec Frédéric Sitterlé. Tout ce qui est payé correspond à des engagements pris en début de saison. Cela permet d'éviter des poursuites de fournisseurs non réglés.
Vraiment??? -
Spielmann dans son entretien est un peu plus mesuré, j'espère une volonté d'apaisement. Le conflit explose trop vite, de façon préventive mais du coup c'est un peu le pompier pyromane. Tant que le cadre juridique ne permet pas à Sitterlé d'intervenir, tout cela n'est que contreproductif.
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Le cadre juridique, le cadre juridique! Il a beau jeu le cadre juridique. Mettons de coté août-septembre où il fallait agir en urgence, mais qu'il faille d'octobre à mars pour rédiger une convention, c'est énorme.
Maintenant lorsqu'on lit ces conventions innovantes, alors qu'une seule est autorisée où l'on s'aperçoit que BMV perçoit les royalties et de colossales indemnités de non renouvellement, après avoir vécu Hilali, on comprend que cela bloque.
Ce conflit n'explose pas trop vite, il couve depuis octobre-novembre, voire plus tôt mais nous n'en avons rien su. Cette explosion est désormais devenue une nécéssité devant le refus avéré de Sitterlé de mettre au pot, en se réfugiant derrière ses arguments habituels, alors que nul ne sait comment régler les frais de mai-juin.
Après avoir passé leurs créances en pertes suite à la liquidation et avoir subi 18 mois d'Hilali, je ne crois pas que les fournisseurs soient désormais enclin à laisser s'accumuler les factures.
Le nerf de la guerre, là est le premier problème.
Verdammi, ils sont en train de chercher leur montée avec les tripes en disputant des trente-deuxième de finale tous les WE et ils vont se retrouver en D3 départementale! -
Ce qui me gêne, c'est que pour l'instant c'est lui le parton, légalement, juridiquement et beaucoup d'autres d'adverbe en -ment mais nous n'en avons pas l'impression. Puisqu'il me semble que c'est l'Association qui est engagée en championnat et aucune autre entité.
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Marc Keller s'est présenté devant la DNCG accompagné par Spielmann, Ancel et Fontanel. Ceux qui il y a peu de temps encore descendaient en flèche le président de l'Association, le traitant d'incompétent, voire de magouilleur, ceux qui estimaient que Ancel n'avait plus rien à faire au Racing où sont-ils passés?. Aujourd'hui ils se montrent bien discrets, tout aussi discrets en ce qui concerne leur idole d'hier et qui s'est évaporé avec sa casquette.
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Pour dire quoi ? Qu'ils dégagent ? Ben oui alors, qu'ils dégagent.
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Il suffit de juger sur pièce
Certains ont accompagné la descente aux enfers et ont leur part de responsabilité
FS à à minima permis au club de survivre il y a un an
Quant aux mensonges et manipulations...à chacun de juger même si SITTERLE est inexcusable -
Quels mensonges ?
Quelles manipulations ? -
Moi j'espère sincèrement qu'il restera.
Qui d'autre que lui pour combattre le népotisme rampant du clan Keller? -
Comment a la fois regretter comme beaucoup l absence d homme fort et parler de népotisme rampant?
Qu on donne aux frères KELLER. Les moyens de réussir sera plus utile qu un contrepouvoir qui a prouvé pendant les dix dernières années son inutilite
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