Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Les employés du Racing (les vrais)

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Flux RSS 342 messages · 45.082 lectures · Premier message par strohteam · Dernier message par frollo

  • wickse a écrit, le 2011-02-18 14:38:42 :
    j'ai hâte de lire le point de vue du stubiste kneckbull :D sur ce (nouveau ou ènième problème).
    Hilali Haus !!


    Inutile d'en rajouter, merci.


    Mon avis est très clair: je suis très content que Magali ait trouvé un job dans une société qui lui permettra d'engager l'avenir sereinement.

    Quand une personne est salariée d'une société avec de telles difficultés que le racing et avec une telle incertitude sur l'avenir, il est normal de se mettre en sécurité en cherchant ailleurs.

    Cela fait partie de la vie de toutes les entreprises et il ne faut pas y chercher une nouvelle source de polémique.

    Nous ne maîtrisons clairement pas du tout ce sujet et on ne peut pas débattre en ayant aussi peu d'éléments.
  • Apparement Jaffes a pas entendu parlé de la rupture conventionnelle. C'est clair que mettre une salarié au placard, la pousser à la dém, ça resssemble pas à du harcelement moral.

    Je conseille vivement à ce très cher binoclard d'aller faire un tour sur Legifrance et d'engager un avocat français spécialiste en droit du travail. Parce qu'après la chambre commmerciale du TGI , je sens bien notre geekos supremo trainer sa face rondellette au conseil des prud'hommes.
  • Précisément la rupture conventionnelle n'est pas sans frais pour l'employeur.
    Dans mon entreprise nous refusons toute rupture conventionnelle à cause de cela.

    Honnêtement je ne me suis pas renseigné à ce sujet.
  • hammerfitz a écrit, le 2011-02-18 14:10:15 :


    Tu prends les dirigeants de la plupart des grosses boites française c'est bien comme ça qu'ils fonctionnent. La poste, France Telecom, et bien d'autres viennent dans la joie d'entrer dans ce type de fonctionnement et notre président en est la représentation la plus visible. Mépris pour le petit ou ses collaborateurs et management dit " a l'américaine " ( assez faussement parce que si en amérique c'est marche ou crève, il y a toujours la carotte devant: en France la carotte c'est de ne pas recevoir le coup de baton)


    On peut le déplorer mais ce n'est pas l'apanage des très grosses boîtes ou des cadors du CAC40...
    Déjà été spectateur de ça, à titre personnel, dans des structures assez modestes type PMI.
    Je ne pense pas que le parallèle soit très évident avec les USA. Là-bas, l'employé qu'on veut dégager, le lendemain il a un carton avec ses affaires sur son bureau et cette façon de procéder n'est pas sanctionnée comme en France. L'emploi est beaucoup plus flexible (ou précaire, selon la posture idéologique).
    En France, le droit du travail est très protecteur avec des risques financiers conséquents pour l'entreprise, il en résulte des dérives avec notamment des mises au placard plus ou moins violentes (car il y a des degrés de mise au placard). C'est effectivement très courant et pas qu'au Racing version Hilali. C'est une pratique que je ne cautionne absolument pas, chacun vit avec sa conscience managériale (ou son inconscience finalement), mais c'est archi répandu sans que ça fasse l'objet d'article dans les journaux tous les matins... Après, jeter la pierre c'est facile, surtout quand on n'est pas confronté quotidiennement à une pression hiérarchique et à des équipes à encadrer avec différents niveaux de compétences sur lesquels s'appuyer. Ceux que ça choque peuvent s'en prendre à un système et à ses conséquences, mais ce sont des méthodes... courantes.

    Par ailleurs, il est normal qu'un club dans la situation du Racing puisse susciter des inquiétudes auprès des employés. En cas de non-remontée, il faudra ajuster les charges aux recettes et cela peut amener le club à des licenciements économiques, voire un PSE. Normal que les employés cherchent à anticiper cette éventualité en défendant leurs intérêts, ou à trouver un emploi ailleurs. Si demain ma société connaît une situation financière très tendue, ou est menacée par un gros risque financier, je ne vais pas attendre d'être remercié pour me mettre à chercher autre chose...
  • En gros Hilali gère le Racing comme une ordure mais c'est pas grave parce que ça arrive tout les jours.
  • Guigues que de raccourcis
    Personne n'a prétendu cela. Mais ce qu'on dit avec Father-tom c'est que la Cornelie and co ils font comme tout chef d'entreprise plus ou moins normal en France et pas seulement. Tu as peut être du bol, un patron sympa tout va bien, mais sinon.. ben voilà ce qui arrive.

    Si ça te débecte, ce que je conçois tout à fait, faut s'en prendre à d'autres. S'il n'a pas de conscience, en soit c'est pas nouveau mdr, c'est quand même lui et Isenegger qui espérait pouvoir faire de la traite de noirs en les faisant venir au racing pour rien et les revendre après. :)) :)) :))



    Par ailleurs pour Father-tom, tu as raison à ceci prés qu'aux USA le licenciement du jour au lendemain est indemnisé en fonction de ton ancienneté dans la boite et souvent très cher. Le placard y existerait aussi dans ce cas. A ceci prés qu'ils ne méprisent peut être pas autant leurs collaborateurs ( cf la carotte)
  • hammer, pour revenir sur la rupture conventionnelle, celle ci permet au salarié de toucher une indemnité de rupture équivalente à l'indemnité de licenciement. Ceci dit ,au vu des eléments concernant la nana de la sécurité, vu qu'ils ne lui fournissait plus de boulot, que cela a pu être constaté par témoin, que l'inspecteur du travail est venu faire une visite, la salariée en question pourrait avoir assez d'élements pour mettre Jaffes le kakess aka el geekos supremo au prud'hommes pour rupture du contrat à l'initiative de l'employeur et demander des dommages et interêt.

    La R.C. aurait permis une fin de contrat plus sereine. Je pense qu'ils vont encore se foutre dans la panade, et qu'après la Dncg, la chambre commerciale du TGI, ils vont se retrouver avec l'inspection du travail au cul et ce serait pitêtre dans leur interêt de se barder d'avocats assez sérieux et de prévoir une somme en frais de justice pour le budget de l'année prochaine.
  • En fait je pense que le Racing ne voulait tout simplement pas lui payer d'indemnités, de quelques natures qu'elle soit, et a donc sagement attendu qu'elles préfèrent partir d'elle même. Encore une fois une histoire de gros sous.

    Le placard ça existe aussi dans des boites américaines, en France en tout cas, mais souvent ils préfèrent sortir le chéquier et régler le pb tout de suite.
  • L'ignoble Godin, qui se vautre dans la supputation et l'approximation(*) nous a informé que le porte-flingues de Kafar a été vu pour la dernière fois à la Meinau le 24 mars, que l'Attila de Rocherfort-sur-mer y a fait sa dernière apparition le 13 février.

    lekost nous sort cette phrase dans le topic du KCB:
    lekost a écrit, le 2011-04-03 13:13:48 :
    ... montrons notre union contre celui qui nous sert de président / actionnaire et faisons le partir au plus vite.


    Les sinistres personnages ne sont ils pas déjà partis sans laisser d'adresse?
    Imaginant mal le sombre duo accorder délégation de signature à un simple laquais du Racing (salarié), plouc de surcroît puisqu'Alsacien, j'en viens à me demander si les salaires de mars ont seulement été réglés.

    Quant à la désormais mythique triple prime. Lucille à la voix ensorceleuse nous a conté hier que c'est devenu un sujet récurrent parmi les joueurs et que posant la question à Mathlouti, ce dernier monta dans le bus sans répondre, mais avec un grand sourire...



    (*) Godin se contente de communiquer les dates, sans les heures, c'est dont bien de l'approximation.
  • BRASSENS, lui, se vautrait dans le stupre et la fornication.

    Il n'imaginait certes pas, à l'époque, qu'on allait pouvoir recevoir des demandes en mariage à la TSF.

    D'ailleurs, il était plutôt pour la non demande en mariage. Ma mie LUCILLE de grâce ne mettons pas sous la gorge à CUPIDON sa propre flêche.
  • Une batterie de casseroles

    http://www.lalsace.fr/fr/images/6A586CDB-996A-444B-8268-0278A1787...

    Licencié en juin à un an de la fin de son contrat pour faute grave, Pascal Janin fait partie des treize ex-salariés qui ont attaqué le Racing aux Prud'hommes. Photo Jean-François Frey
    Au moins treize litiges sont en cours aux Prud'hommes (1). Les plaignants demandent au total 11,81 millions d'euros, dont 7,84 pour le seul Jose Luis Chilavert (Ndlr : au cours actuel du dollar).

    Le cas de l'ancien gardien paraguayen ne sera tranché par la juridiction prud'homale qu'après le verdict de l'enquête pénale sur les transferts frauduleux du Racing pour lesquels l'ex-président Patrick Proisy et l'ancien manager Claude Le Roy sont mis en examen depuis l'automne 2006.

    Sur ces 11,81 millions de requêtes, seuls 992 000 euros ont été provisionnés, soient 8,4 % (704 000 pour Chilavert, 288 000 pour Jean-Marc Furlan). Aucun des contentieux datant de l'ère londonienne ne l'a été (2).

    À l'issue de l'assemblée générale du club le 8 décembre, l'ancien président délégué Jean-Luc Herzog - le premier à sortir de la salle ce jour-là et donc à s'exprimer - et une demi-douzaine d'actionnaires avaient révélé que le commissaire aux comptes Jean-Brice de Turckheim, dont Jafar Hilali espère obtenir la révocation, avait estimé qu'au 30 juin 2010, « 4,6 millions de risques réels n'ont pas été provisionnés. » C'était avant que Pascal Janin, Valérie Bonjour, Jean-Claude Thiry, Thomas Azan, Jean-Pierre Cochet, Catherine Cassel, Jérémy Abadie et Katia Zamparutti n'intentent à leur tour des actions prud'homales que le club n'a pas jugé utile de provisionner. La demande globale de ces «nouveaux venus» s'élève à 1,16 million, à quelques fractions près. On peut donc légitimement estimer que désormais, plus de 5 millions de risques réels n'ont pas fait l'objet de provisions.

    Witzel bientôt?

    Toujours dans l'attente de la lettre lui signifiant officiellement son licenciement - il est mis à pied à titre conservatoire depuis deux semaines -, le directeur sportif Jean-Luc Witzel devrait lui aussi assigner le club aux Prud'hommes et s'ajouter à la liste.

    Depuis des mois, les dirigeants strasbourgeois ont beau jeu de profiter des délais d'instruction pour gagner du temps. Mais les procédures suivent leur cours et chaque jour qui passe les rapproche de leur terme. Le compte à rebours est commencé.

    (1) José Luis Chilavert, l'ex-coach adjoint Noureddine Bouachera (voir par ailleurs), les anciens entraîneurs Jean-Marc Furlan, Gilbert Gress et Pascal Janin, l'ancien président Julien Fournier, Jean-Claude Thiry (ex-préparateur physique), Valérie Bonjour (ex-assistante de direction), Thomas Azan (ex-chargé de communication), Catherine Cassel (billetterie), Jean-Pierre Cochet (ex-directeur financier), l'ancien joueur Jérémy Abadie et Katia Zamparutti (ex-femme de ménage).

    (2) Le montant exact des provisions du club est de 1,65 million, dont 731 000 pour des litiges hors Prud'hommes.

    L'Alsace
  • 5 articles, pas un de moins, aujourd'hui, uniquement pour nous parler de fric, GODIN, a priori journaliste sportif, prépare t'il son transfert vers un quotidien financier ?

    Ou alors pour qui roule t'il ?
  • Godin parle du Racing, et malheureusement, ça fait plus d'un an et demi que "le fric" y a pris le pas sur le sportif ...
  • @triangle: 3 articles seulement, mais le chat du Norin les a scindés en 5 pour les poster dans les fils idoines.
    Si tu veux du sportif en dégustant un peu de barbapapa, je ne puis que te conseiller l'article sur Yoann Betsch paru dans la Pravda de ce matin. C'est tellement plus tranquille d'écouter l'orchestre tandis que le vaisseau coule.


    Je suis surpris du délai nécéssaire aux prud'hommes. Prenons le cas médiatique de Stéphane Guillon, il a fallu environ 8 mois aux prud'hommes pour juger l'affaire Au Racing, c'est le cas Furgland qui est toujours en cours.

    Je crains fort que ces litiges se règlent par exctinction de la dette suite à la liquidation du Racing. Evidemment si on trouve un riche mécène complètement givré qui claque 20 M€ comme nous 20 ct de pourboire sur une Meteor ou un Picon, l'affaire serait vite réglée.
  • Notre équipe, malgré tout, est quatrième au plan sportif après une remontée extraordinaire.

    J'espère que ces articles ne finiront pas par lui saper le moral.
  • Et ça changerait quoi, en fait.
    Parce qu'avec ces dirigeants, montée ou non, le résultat sera le même, faut arrêter de se voiler la face.
  • Il en existe qu'un seul qui va finir par saper le moral des joueurs, c'est notre Adp tout puissant X-(
  • triangle a écrit, le 2011-04-06 07:35:07 :
    5 articles, pas un de moins, aujourd'hui, uniquement pour nous parler de fric, GODIN, a priori journaliste sportif, prépare t'il son transfert vers un quotidien financier ?

    Ou alors pour qui roule t'il ?

    Et toi, tu roules pour qui ?

    Le club est dans une situation critique et les joueurs n'ont pas besoin de Godin pour voir leur moral sapé, les guignols londoniens y suffisent amplement.

    Beau travail de L'Alsace, dossier documenté et chiffres à l'appui. On attend le droit de réponse de Kafarkopf.
  • On dirait que certains membres découvrent la cathédrale.

    Le bon sens fout le camp. C'est tout sauf ADP. Et alors ?
  • A el vecchio, je roule pour le RACING, le vrai.
  • Couvrir un sport pro amène inévitablement a traiter des question économiques et financières. C'est un élément important pour n'importe quel club, et il est logique que les articles sur ce thème se multiplient à mesure que le Racing avance vers un coup d'arrêt brutal qui sera imprimé par l'économique et pas par le sportif, qui a été relancé après le saccage des années Ginestet-Furlan. Le temps du journalisme sportif baballe bicyclette est heureusement révolu.

    Donc je ne vois pas en quoi on pourrait reprocher à Godin de traiter ce genre de choses. Après, la pertinence des articles sur le fond c'est autre chose. C'est un peu le défaut de Godin de charger tous azimuthes avec des munitions de qualité inégale. Par exemple, son truc sur les comptes courants d'actionnaire me semble un peu forcé, vu que, même en cas de miracle avec montée en L1, le Racing n'est pas prêt de faire des bénéfices. Cela étant, l'ensemble constitue un document utile, chiffres à l'appui. S'il n'y avait pas Godin, il serait impossible pour le lecteur attentif de se faire une idée - même partielle - de la situation comptable du Racing, sur laquelle les DNA jettent un très pudique voile.
  • triangle a écrit, le 2011-04-06 08:11:04 :
    Notre équipe, malgré tout, est quatrième au plan sportif après une remontée extraordinaire.

    J'espère que ces articles ne finiront pas par lui saper le moral.


    T'inquiète pas, les joueurs ne savent pas lire.
  • Il faut laisser à notre ami [login=isocèle] que Godin est passé à la vitesse supérieure cette semaine. En ouvrant son Alsace électronique, on en prend plein la figure. A la limite de l'overdose. Et effectivement une majorité de faits n'est pas nouveau, même si il convient de rappeler aux esprits obtus pour qui tout va bien on va remonter en D1, qu'Hilali a toujours pour objectif de récupérer le maximum de ronds sur le dos du RCS. Ou qu'à défaut d'avoir sa confirmation, il se conduit comme tel depuis son arrivée.

    Enfermé dans son bunker londonien, Jafar Hilalo ne résiste plus que par communiqués SMS. Alors que les créanciers entourent la Meinau, ses partisans l'ont abandonné, Witzel passé à l'ennemi qui sera surement le prochain à la Une du quotidien norinois, Ehrerarhdt aussi, Cornélie disparu sans haine ni violence, même la comptabilité fout le camp. Godin essaie à l'évidence de l'achever médiatiquement avant que la ville ne fasse la connerie de lui donner un nouveau sursis.
  • guigues a écrit, le 2011-04-06 10:19:37 :

    Enfermé dans son bunker londonien, Jafar Hilalo ne résiste plus que par communiqués SMS.
    Le Gbagbo de la Meinau.
  • Tiens, il y a une tournure de phrase de Godin qui m'interpelle.


    Depuis le début 2011, la direction londonienne du Racing, qui sait sa trésorerie en souffrance, a fermé tous les robinets, excepté un : elle s'efforce - mais jusqu'à quand ? - d'honorer les salaires des employés, particulièrement ceux des joueurs de l'équipe pro.

    Que comprendre?
    • que seuls les joueurs de l'équipe pro sont payés?
    • que les joueurs de l'équipe pro sont payés à l'heure, pour les autres salariés on verra?
    • que lorsqu'on se décide enfin, ou que l'on peut enfin payer, on commence par payer les joueurs de l'équipe pro, les autres salariés passant à la caisse lorsqu'il y a des ronds?


    Dans l'ordre des priorités, il ne me vient bien sûr pas à l'esprit le salaire du porte-flingues de Kafar. :-' :-'
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