[2011-2012] RCS - Chaumont | Avant-match
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yoyo67Pour être plus sérieux, je suis d'accord avec toi, et sauf cas de force majeure, je serai aux deux. -
L'équipe mérite qu'on se déplace , mais avec toutes les histoires , faut vraiment être supporter et je peux comprendre que des gens en aient marre .
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tous a la Meinau pour les deux prochains matchs et tous en deplacement avec nos gars (bravo a eux!!!!!) et allez Racing!!!
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Je pense que le club ne s'attendait pas à ce que Pontarlier ne fasse qu'un match nul à Neuve-Maison, et a préféré tout miser sur le dernier match, là ils ont été prit au dépourvu.
C'est dommage car c'est bien le match contre Chaumont le plus important de la saison, le match contre Jarville ne sera qu'un match amicale vraisemblablement, il ne semble pas y avoir de grosse communication autour du match contre Chaumont, je doute qu'il y ai aussi plus de monde que contre Vesoul. -
on pourrait une promo style une entrée ,une saucisse (mi cuite!!) :))
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RCS Inside : la montée, c'est maintenant
"Les joueurs espèrent que les tribunes seront pleines pour faire la fête avec leurs fidèles supporters." -
« Tu gagnes, tu montes »
Benjamin Genghini et le Racing veulent fêter leur accession dès samedi. Photo DNA Laurent Réa
Pontarlier ayant concédé le nul le week-end dernier, une victoire suffit aux Strasbourgeois pour valider mathématiquement la montée en CFA, dès samedi, face à Chaumont.
« Faut retenir l'essentiel : si tu gagnes, tu montes », lance David Ledy, à la sortie de l'entraînement.
Finis les comptes d'apothicaire, finis les scénarios alambiqués... Pontarlier ayant concédé le match nul dimanche dernier à Neuves-Maisons (2-2), le Racing peut valider sa montée en CFA dès samedi.
Mais pour cela, il faut encore décrocher quatre points face à une équipe de Chaumont d'ores et déjà reléguée.
Oublier les mauvais scénarios du passé
« Avant de penser à fêter, il faut gagner », pose ainsi Pacho Donzelot, souriant, mais prudent. Idem du côté du milieu de terrain Benjamin Genghini : « Si on gagne samedi, notre objectif sera atteint ».
Pour Ledy, Donzelot et Genghini, qui ont tous vécu la fin galère de la saison 2010/2011, la fête promise en cas de victoire samedi sera appréciée à sa juste valeur.
« L'an passé, lors du dernier match, c'était beau. Tout le public était avec nous, on est monté dans le Kop... C'était vraiment une super fête », pose Benjamin Genghini. Mais une fête forcément teintée d'amertume. « C'était plus un hommage rendu aux joueurs qu'une célébration », pose ainsi Francisco Donzelot.
« L'année dernière, on dépendait des autres. Avoir notre destin entre nos mains, ça change tout », lance aussi David Ledy.
En effet, le Racing va enfin sortir de la malédiction de la dernière journée qui lui colle aux crampons depuis quelques saisons.
Rappel: en s'inclinant lors de l'ultime journée à Montpellier en 2009 (2-1), le Racing n'était pas monté en Ligue 1 pour un petit point.
La saison suivante, le Racing était descendu en National en raison d'une défaite à Châteauroux (2-1) lors de la dernière journée.
Rebelote la saison dernière, avec une accession ratée d'un rien lors d'une dernière journée alors que les Strasbourgeois étaient... exempts.
« C'est pour ça que je pense à ce match de samedi avant tout, évoque ainsi Ledy, un peu traumatisé par des scénarios passés. On devra faire le boulot jusqu'au bout et respecter cette équipe de Chaumont ».
Même si toutes les probabilités sont du côté du Racing (lire encadré ci-contre), personne ne va donner au Racing les quatre points qui manquent pour accéder en CFA.
Et au-delà de la montée, les joueurs alsaciens pensent aussi au titre de champion.
Car si l'on parle beaucoup de Vesoul et Pontarlier, l'équipe d'Auxerre III qui ne peut pas monter car la II évolue en CFA ne compte que trois points de retard sur les Strasbourgeois (83 points contre 86 pour le Racing).
« J'aimerais qu'on monte en n'ayant rien donné à personne, en étant premier avec le maximum de points d'avance, énonce Benjamin Genghini. Si on gagne samedi, notre objectif principal sera atteint et on pourra ensuite jouer le titre sereinement ».
Pour Pacho Donzelot, le titre serait un plus... sans plus. « Si on est deuxième et qu'on monte ça me va, pose le défenseur latéral. Après, pour la Ville, pour les supporteurs, ce serait bien qu'on puisse fêter un titre ».
Pour David Ledy, « finir en tête serait beau, mais le vrai objectif est la montée ». Et l'attaquant du Racing de rappeler, surtout, d'où vient son équipe.
« Au mois d'août, il n'y avait même pas d'équipe, faut quand même voir d'où on vient. Je pense qu'on peut rendre hommage aux jeunes du club comme Gisselbrecht, Ursch... Ce sont eux qui ont fait le boulot au départ », pose le meilleur buteur du club avec 18 réalisations.
Pour les jeunes pousses issues du centre, cette fête serait la première de leur carrière. Un moment à savourer, car personne ne connait encore l'avenir d'un club sportivement au top, mais toujours à la recherche d'un investisseur qui tienne la route.
DNA -
Ce message est une brève publiée par athor.
Le groupe strasbourgeois: Kéhi, Duki, Golliard, Modeste, Donzelot, Guignery, Sikimic, Ursch, Ounissi, Sichi, Martin, Genghini, Ledy, Pinaud, Benchenane, Sow.
Source: Site officiel -
Mais que devient donc Gisselbrecht? Ça fait un moment qu'on ne l'a plus vu dans l'effectif.
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Ses problèmes physiques lui ont coupé quatre mois de compétition, notemment au moment ou il aurait pu être titulaire quand il y avait des blessés, depuis il joue avec la deux (il a d'ailleurs marqué un doublé y'a deux semaines je crois)
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il-vecchio a écrit, le 2012-05-11 11:44:22 : Mais que devient donc Gisselbrecht? Ça fait un moment qu'on ne l'a plus vu dans l'effectif.
Il ne faut pas oublier que, comme les tous les autres 94, il en est à sa première saison en sénior et qu'à ce titre, il est plus profitable pour lui de faire ses classes avec la DH (où il réalise de bonnes prestations). -
Quel beau symbole que ce Gisselbrecht premier buteur de la saison.
Sinon pour ce samedi, j'aimerais bien voir un match entier de Ounissi. -
Je posais la question, car je me souvenais l'avoir vu bien souvent titulaire en début de saison. Ne suivant pas l'effectif au jour le jour, je me suis demandé s'il souffrait de disgrâce, n'ayant jamais lu de commentaires acerbes ou piconnisés à son sujet
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j'ai une petite question
est ce que les enfants de moins de 6 ans peuvent accéder aux loges sans billet s'il accompagnent quelqu'un qui a un ticket pour voir ce match dans un fauteuil? -
cohade1 a écrit, le 2012-05-11 14:25:46 :
Ca devrait être ça, logiquement, en permutant Golliard et Modeste, ainsi que Martin et Sichi
Moi aussi j'aimerais voir Ounissi titulaire, à nouveau, en équipe une. -
Une idée du nombre de billets vendus ?
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a mon avis 5000 !
Le club a ouvert la billetterie toute la semaine, mais sans succès .. on devrait je pense retrouver l'affluence des matchs avant Vesoul .. -
moi je voit un bon 8000 !! :)) (bon il va manquer Inter ,mais il est bientôt de retour :))
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On ne sent pas un gros engouement pour le match, les gens semblent avoir misé sur Vesoul et attendent le dernier match sans doute, puis les problèmes extra-sportif...
j'espère que je me trompe. -
ben moi j'y serais mais faute d'avoir eu le temps je les cherche demain aprèm pffff
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Vivement le matchhh!! Allez Racing (+)
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La première marche
Adel Benchenane effectue son retour dans le groupe strasbourgeois aujourd'hui à la Meinau pour affronter Chaumont. Photo Dominique Gutekunst
Dans le parcours semé d'embûches menant au professionnalisme, l'accession en CFA était la première étape obligée. Le club strasbourgeois pourrait l'assurer officiellement aujourd'hui à 18 h à la Meinau face à un Chaumont déjà relégué.
A posteriori, il est toujours aisé de dire que pour le Racing, l'accession résonnait comme une évidence. Mais il serait plus juste d'écrire qu'elle relevait surtout de l'obligation. Avec une équipe construite à la hâte, en dehors des délais habituels et sur la base de promesses financières jamais tenues par un « investisseur », Frédéric Sitterlé, qui aura réussi la gageure de faire l'unanimité tout au long de la saison d'abord pour lui, ensuite contre -, le challenge s'apparentait presque, vu de l'extérieur, à une mission suicide.
Insuffisamment rodé, mais constitué de joueurs venus des niveaux supérieurs, le club bas-rhinois a eu la bonne idée de limiter la casse en début de saison. Il a su faire le dos rond quand ses adversaires mieux préparés, Vesoul en tête, réussissaient une entame idéale.
Les semaines passant, il a soigné ses automatismes, régulé son jeu et enchaîné les résultats, contre vents et marées, sur le terrain, mais surtout en dehors quand il est apparu, comme le résume ci-dessous Milovan Sikimic, que le groupe sportif allait une nouvelle fois se retrouver livré à lui-même.
Quand il a haussé le rythme, ses adversaires ont, eux, sensiblement décéléré. À commencer par Vesoul, seulement 10 e de la poule depuis le début 2012. Le voilà aujourd'hui nanti d'une avance conforme aux prévisions de certains observateurs en début de saison. À telle enseigne qu'il pourrait être assuré dès ce soir, sur les coups de 20 h, de la montée à trois journées de la fin. Ne lui resterait plus qu'à aller chercher le titre de champion de groupe pour succéder, symboliquement, à la réserve de... François Keller, couronnée l'an dernier.
Keller a « hâte d'en finir »
Objectivement, on voit mal comment Chaumont, déjà condamné au retour en championnat régional, pourrait empêcher la Meinau de fêter l'accession tout à l'heure (18 h) pour ce match des extrêmes. Battus sur leur pelouse à l'aller le 14 janvier moins nettement que ne semble l'indiquer le score (3-0), les Chaumontais, qui avaient ouvert leur saison par huit défaites et n'ont gagné que trois matches, restent sur une série d'insuccès de huit rencontres (5 revers, 3 nuls).
Pour autant, François Keller ne se départit pas de sa mesure légendaire : « J'ai demandé aux joueurs de ne pas fêter l'accession avant le match, d'être bien concentrés pour faire le job. Ce serait vraiment bien de terminer le travail ce samedi chez nous pour récompenser le public qui nous a soutenus toute la saison. »
À titre personnel, le coach du RCS, qui n'a apporté qu'un seul changement à son groupe, avec le retour d'Adel Benchenane à la place de Robin Binder, avoue avoir « hâte d'en finir. Parce qu'à Strasbourg, on est de grands habitués des scénarios improbables. Je ne m'attendais pas à ce que la saison soit aussi compliquée, même si, avec la construction très tardive de l'effectif, je savais que ce ne serait pas simple. Si on m'avait dit au début du championnat qu'il nous faudrait réaliser ce parcours presque parfait pour nous en sortir, j'aurais sans doute eu peur. Malgré une saison pratiquement sans faute, nous ne sommes pas encore certains de monter. »
Le RCS l'est toutefois « à 99 % », de l'aveu même de Milovan Sikimic ci-dessous. Le 1 % manquant relève de ce qu'on a coutume d'appeler « la glorieuse incertitude du sport. » Il ne tient qu'à Ludovic Golliard et aux siens de la réduire à néant dès ce soir.
Le groupe : Kéhi, Duki Donzelot, Golliard, Modeste, Sikimic, Guignery, Martin, Sichi, Ursch, Pinaud, Genghini, Sow, Benchenane, Ledy, Ounissi.
L'Alsace -
"Tu gagnes, tu montes !"
Après trois saisons de galère sportive où le Racing a, à chaque reprises, subit le couperet de la dernière journée de championnat, David Ledy et les Bleus, version CFA 2, ont su s'offrir le luxe de sceller une belle saison à trois journées de la fin.
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Ce soir, le KOP = "the place to be"... Croyez-moi !
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