Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Le Racing saison 2011/2012

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  • De Damien Ott " Si on ne sait pas où on va on ne peut pas y arriver". Cette phrase va si bien au Racing
  • Citation:
    l'US Quevilly, dont le budget annuel(1,9 million d'euros) équivaut plus ou moins à cinq mois du salaire de Yoann Gourcuff. Comme Calais en 2000, la petite PME normande incarne le football amateur. Sauf que dans la réalité, il n'y a pas de gardien boulanger ou de stoppeur agriculteur à Quevilly. Amateur sur le papier, le 13e du National fonctionne comme un club de Ligue 1, « mais avec le système D et les moyens du bord », avoue à Eurosport son président, Michel Mallet. A l'USQ, 14 joueurs ne vivent que du ballon rond grâce à des contrats fédéraux compris entre 1 500 et 2 500 € par mois. Douze autres sont amateurs, mais bénéficient pour la plupart de boulots trouvés par le club



    A titre de comparaison avec un club de CFA2. Évidemment il serait simpliste de dire que l'on pouvait, peut faire la même chose au Racing notamment en raison du centre de formation, etc. Mais à l'heure ou les € manquent, il y a matière à réfléchir.
  • C'est vrai que le regard que je porte sur QUEVILLY pour cette finale est complétement différent de celui que j'aurais pu avoir auparavant, du simple fait que le Racing aurait pu être a cette place et surtout que nous sommes encore plus bas qu'eux.
  • Mais non, le Racing n'aurait pas pu être à leur place, ça arrive une fois tous les 15 ans ce genre de truc et ça fait tache pour le foot pro qu'un club de National se retrouve en finale de CdF, donc du coup, j'espère que Lyon gagnera.

    edit: en plus comme on est le Racing, il nous arrive jamais rien de bien.
  • Les exploits de Calais et d'Amiens datent du début des années 2000 dans une compétition qui a toujours réservé des surprises,et c'est d'ailleurs ce qui fait son charme.

    (le Racing a tout de même remporté 3 Coupes entre 97 et 2005 donc on ne peut pas dire qu'il ne lui arrive jamais rien de bien même si ces dernières années ce fut beaucoup plus compliqué)
  • Mais oui je sais que le Racing a gagné deux coupes, mais second degré rcsforever...
  • Le doute était permis car il faut avouer que depuis notre dernière montée en 2007 on ne rigole pas tous les jours.
    Enfin à choisir entre un club au présent douloureux mais qui nous a permis de vibrer par le passé ou un club sans histoire dans lequel il ne se passe(ra) jamais rien sur le plan sportif, je pense qu'il est préférable d'avoir l'écharpe du Racing autour du cou.
    Jouer le maintien en National ou en Ligue 2 dans l'indifférence générale (comme le FC Metz par exemple) ce n'est pas forcément plus passionnant que d'évoluer dans le haut de tableau au niveau amateur.
    Bon après si le Racing pouvait uniquement faire parler de lui sur le terrain on ne s'en plaindrait pas non plus.
  • Donc il n'y a qu'une solution c'est le retour en L1 :)
  • Scénario probable :

    Vendredi 6 mai :
    Victoire du Racing à Saint-Dié
    Victoire de Pontarlier à Neuves-Maisons

    Le samedi d'après, le 12 mai, le Racing reçoit Chaumont pendant que Pontarlier accueille Auxerre III. Une victoire face à Chaumont pendant que Pontarlier ne bat pas Auxerre, et nous serons mathématiquement en CFA. Cela commence vraiment à sentir très bon.
  • Le Racing va t-il atteindre la barre des 100pts ? :D (ça implique au moins 4V +1N)
  • Ou 5 victoires :'>
    Cela va être dur mais ce n'est pas impossible oui. (+)
  • axis a écrit, le 2012-04-25 09:52:55 :
    pur-et-dur68 a écrit, le 2012-04-25 09:25:37 :
    Ce qui se passe ailleurs on s'en moque. Le problème c'est que le Racing est entrain de crever et tout ça parce qu'un homme qui s'est présenté comme le sauveur n'a cessé de mentir dès son arrivée. Il ne faut pas désigner comme coupables les Spielmann, Ancel ou autres anciens. Il n'y a qu'un seule responsable de la situation actuelle: SITTERLE. Comme j'ai précisé par ailleurs il pourra dire à son fils de 12 ans "Tu vois mon fils ces ruines ce sont l’œuvre de ton père, tu peux en être fier".


    Désolé de dire ça, mais faut vraiment être simple d'esprit pour écrire ce genre d'ânerie.

    C'est vrai que si ce salaud de Sitterlé n'avait pas été là on repartait en DH, et encore on aurait commencé mi-septembre le championnat (si on l'avait commencé). Sitterlé a foncé sur l'occasion il a racheté la marque, a fait venir ses potes pour être opérationnel à temps et a tout fait pour qu'on redémarre en CFA. Malheureusement on a préféré repartir en CFA2 pour éviter le risque d'une rétrogradation dans l'hypothèse où on ne finissait pas 1er de CFA (sans possibilité de monter), mais rappelle moi en combien de temps on était opérationnel ?

    La rente à vie n'est qu'un mythe, une mauvaise interprétation d'un texte qui il est vrai, était mal formulé mais qui a été modifié dès le 1er mois mais dont on parlait encore 4 mois plus tard.

    Bien sûr, il n'a pas encore comblé le déficit (je parle du déficit car on n'est pas très au clair sur les soi-disant financements de-ci de-là) mais sa ligne de conduite est de ne pas financer tant qu'il n'est pas aux commandes. OK, si le papier est signé la validation par la préfecture ne devrait pas être un frein et là dessus je ne comprend pas ce qu'il fout. Mais Spielmann avait bien dit qu'il laisserait la place, ce n'est toujours pas le cas. On parle de Ancel, pour moi ce n'est qu'un loser qui enchaîne les ratés avec ses boîtes.

    dans ce paragraphe je t'ai cité les 3 noms dont tu parlais, "et tous les autres anciens". Citons les : Specht, au nom de qui va-t-il dans les vestiaires ? il ne représente plus personne. Gemmrich, président de la LAFA. Les politiques, qui bien sûr n'en ratent pas une pour se balancer ce sujet à la gueule entre adversaires. Les prestataires (oui, c'est aussi des anciens) avec l'Alsacienne de Restauration qui selon Chauveau se remplissait les poches mais ne rapportait quasiment rien au club là où du bénévolat permettait de gagner plus (on est en CFA2, allez demander à Illzach ou à Saint Louis si c'est Maurer et Frères ou Tempé qui assure la buvette). L'ES, qui en tant que sponsor principal a peut-être son mot à dire. Les DNA, partenaires également (tiens, marrant c'est les concurrents de L'Alsace alors que les 2 appartiennent au Crédit Mutuel). Les membres de l'association qu'on ne connaît pas, le centre de formation, les vieux actionnaires qui restent pas loin à l'affût... Liste non exhaustive, après tout il y a tellement de monde qui a son mot à dire dans cette baraque qu'au final on s'y perd. Et toi, toi qui n'a de cesse de taper sur Sitterlé, tu viens nous dire que c'est sa seule et unique faute à lui ?

    Oui Sitterlé a été idiot sur pas mal de points, oui il est en train de se débiner. Mais si je te demande POURQUOI, ta réponse ne sera pas très argumentée : "parce que c'est un rapace qui n'a pas de sous".


    A titre personnel, ma confiance en Sitterlé est réduite, mais ma confiance en l'association est inexistante. Pour moi ce sont tous de grosses légumes qui ne pensent qu'à leurs histoires de gros sous. Le Racing version dirigeants se limite à ça.


    (+)
    Ou sont les girouettes pour répondre, hein...?
    Trouvez des excuses pour défendre ceux sur qui vous avez craché.
    C'était quoi déjà votre banderole? "Un passé à solder....."
    Et maintenant ils ont les bourses qui brillent....
  • Cotes sportif le racing sera en cfa mais si ca suis pas au niveaux finance que se passera t il?
  • L'indignation de « Sir Alex »

    Sollicité l'été dernier par ses amis François Keller (coach n° 1) et Jean-Marc Kuentz (responsable de la formation et entraîneur de la réserve), Alexander Vencel a volontiers accepté d'apporter un soutien bénévole à un Racing dont il a porté les couleurs durant une décennie, d'abord comme joueur (1994-2000), puis comme entraîneur des gardiens (2006-2010). « Nous, les anciens, avons un passé et un vécu au club. Il était naturel pour moi de participer à la reconstruction. Mais aujourd'hui, je ne viens plus au RCS que pour les gardiens que j'entraîne, des plus jeunes à Vauve (Vauvenargues Kéhi, le portier de l'équipe 1). Je suis très déçu par ce qu'il s'y passe, particulièrement par la façon dont ont été montrés du doigt Albert (Stoeckel, l'entraîneur des gardiens), André (Bohn, fidèle dirigeant depuis plus de trois décennies) et les autres entraîneurs. Ça me dérange qu'on s'attaque à ces personnes dévouées alors que le Racing tourne aujourd'hui encore grâce à leur implication. Jusqu'à quand va-t-il tourner si on les décourage ? C'est une question cruciale. »

    L'Alsace
  • Des prévisions à la réalité

    http://www.lalsace.fr/fr/images/10820D7D-BB7D-4858-8F95-CC531A02D...

    Si la Ville et Roland Ries (à g.) ont déjà apporté leur aide au RCS et si Henri Ancel (au 1 er plan) est resté membre du CA de l'association amateur après que Frédéric Sitterlé a annoncé son intention de partir, la Région et Philippe Richert (à d.), convaincus de « s'être fait avoir par de beaux discours », ont gelé leurs subventions. J.-M. Loos

    Depuis une semaine, le cabinet lyonnais d'audit financier RSM décortique les comptes de l'association amateur. Ses conclusions risquent de différer du budget corrigé par Frédéric Sitterlé et son équipe début 2012.

    La Palice n'aurait pas dit mieux : un budget prévisionnel a ceci de spécifique qu'il n'est que... prévisionnel et, donc, parfois en décalage avec le bilan de fin d'exercice. Début 2012, Frédéric Sitterlé et son conseiller financier Philippe Chauveau n'ont cessé de clamer partout, après le passage du Racing devant la CRCC (1) de la Ligue d'Alsace, que la restructuration menée par leurs soins fin 2011 avait permis de réduire ce déficit prévisionnel de 2,3 millions (selon le premier budget établi en octobre) à 766 718 euros. Une économie de 1,5 million dont les deux hommes s'attribuaient le mérite.

    La réalité est évidemment moins simple. D'abord parce que le budget initial avait volontairement vu large pour éviter toute mauvaise surprise et s'appuyait en partie sur les dépenses 2010-2011 en National. Ensuite parce qu'une part non négligeable de l'épargne réalisée l'a été sur la masse salariale joueurs. En septembre, alors que le club naviguait à vue après la liquidation judiciaire de l'ancienne SASP (2) le 22 août, les dirigeants avaient préféré ne pas ergoter. Ils avaient alloué une enveloppe de 1,4 million, charges patronales comprises, à François Keller et lui avaient laissé carte blanche pour la gérer. L'entraîneur a tout rationalisé et peut seul, grâce à son approche cartésienne, revendiquer la paternité d'une économie annuelle de 200 000 euros : salaires et frais (680 000 euros), primes de victoires (80 000) et de montée (120 000) pour un total limité à 880 000 euros. 1,2 million TTC, contre 1,4 prévu.

    Un déficit de 1,3 million ?

    Sans entrer dans le détail de toutes les dépenses (voir encadré), quelques-unes interpellent néanmoins. Ainsi en va-t-il des fluides du centre de formation (gaz, électricité, eau, etc), d'un poids de 100 000 euros en 2010-2011. Dans le prévisionnel de janvier 2012, ils ne sont plus censés coûter qu'un peu moins de la moitié (48 000). Les jeunes pensionnaires du centre ne prendraient-ils qu'une douche sur deux ? Ou n'éclaireraient-ils leurs chambres qu'une nuit sur deux ? Comment imaginer que ces 48 000 euros couchés arbitrairement sur le papier puissent correspondre aux factures réelles appelées à figurer dans le bilan au 30 juin ?

    Si certaines charges ont été minorées, parfois artificiellement, quelques recettes restent également aléatoires. Pour des montants qui n'ont rien d'anodin. Le RCS escompte ainsi de la Région et du Département du Bas-Rhin 505 000 euros de subventions (3). Dans le détail : 300 000 pour le Conseil régional (dont 150 000 d'achats de prestations), 205 000 pour le Conseil général (dont 100 000 de prestations).

    Le président de la Région, Philippe Richert, n'a certes pas démenti samedi à la Meinau (2-0 contre Vesoul) le chiffre de 300 000 euros. Il a même laissé entendre que sa collectivité pourrait s'impliquer au-delà de ce montant dans un plan à long terme. Mais dans l'attente d'une visibilité plus grande sur le projet et le budget du RCS, la délibération a été reportée. Idem au Département qui ne votera pas avant fin juin les aides éventuelles au club (voir ci-contre).

    De fait, le déficit d'exploitation 2011-2012 (4) risque fort de ne pas se circonscrire aux 766 000 euros et des poussières annoncés en janvier par Frédéric Sitterlé. Dans les jours à venir, le cabinet RSM pourrait bien confirmer un trou supérieur au million (1,3 selon les prévisions les moins optimistes). Loin des effets d'annonce qui ont quelque peu maquillé la réalité, y compris devant la CRCC.

    (1) Commission régionale de contrôle des clubs.

    (2) Société anonyme sportive professionnelle.

    (3) Toujours dans le prévisionnel de janvier.

    (4) À ne pas confondre avec la trésorerie.

    Des économies mécaniques

    Le premier budget prévisionnel, daté d'octobre 2011, s'élevait à 3,985 millions en charges et 1,62 million en recettes, soit un déficit de 2,365 millions. La masse salariale joueurs avait été établie sur une base haute (voir par ailleurs), mais elle n'était pas la seule. Les déplacements des équipes aussi, évalués à 180 000 euros, mais logiquement ramenés à un peu plus de la moitié (95 000). Des « expéditions » à Schiltigheim, Steinseltz, Saint-Louis ou Illzach sont moins coûteuses qu'à Luzenac, Bayonne ou Plabennec. Les contrats de maintenance et nettoyage du centre de formation ont été renégociés à la baisse dès la fin de l'été. La sécurité à la Meinau, estimée à 85 000 euros dans le budget d'octobre (avec le service aux caisses), est en fait assurée bénévolement par la société Sécu'Event, prestataire récurrent qui a accepté de participer lui aussi à l'effort général. Les frais de réception lors des matches sont comme par enchantement passés d'un budget à l'autre de 100 000 euros à... 0, alors que les hôtesses sont pourtant rémunérées. Tous les frais relatifs aux assurances, aux cotisations, au téléphone ou à l'affranchissement ont été ramenés de 78 000 euros à... 0. Les exemples de ce type sont légion. La diminution des charges paraît de fait moins étonnante. Est-elle pour autant crédible ?

    L'Alsace
  • Voir pour payer

    D'ordinaire au poker, on paie pour voir. Pour la Région Alsace et le Département du Bas-Rhin, ce serait plutôt le contraire cette saison avec le Racing.

    Les deux collectivités étaient prêtes à étudier avec bienveillance la requête du club pour l'aider à remonter les échelons et retrouver les sommets. Mais l'absence d'investissement privé les a refroidies, comme ne le nie pas Christophe Kieffer, directeur de cabinet du président du Conseil régional Philippe Richert : « Nous avons été en discussion avec Frédéric Sitterlé. La Région s'était alors dit qu'il était peut-être intéressant pour elle de s'inscrire dans le projet de reconstruction et que, dans ce cadre, le RCS pourrait bénéficier d'une subvention conséquente, dérogatoire aux critères habituels. Le club n'avait pas de besoins immédiats en trésorerie et nous-mêmes souhaitions analyser les choses, en attendant que Ville et CUS se positionnent. Car il n'est pas question d'aller à l'encontre de leurs décisions. Nous avions deux choix : soit appliquer les critères normaux et attribuer une subvention pas cohérente avec le projet et l'histoire du club ; soit sortir de ces critères pour accompagner ce projet de développement qui nous intéressait. Le budget était ambitieux. Les arguments développés par Sitterlé faisaient sens. Je l'ai interrogé sur sa capacité à assurer le financement. Je n'ai pas obtenu de réponse directe et précise. A la lumière des débats et des informations qui nous sont ensuite parvenues, il est apparu que le budget du Racing était essentiellement public, ce qui change fondamentalement les données. L'absence d'investissement privé est étonnante. Les conditions ne sont donc pour l'instant pas réunies pour y voir clair dans un contrat de partenariat. »

    « Lorsque la locomotive va mal... »

    Au Conseil général, la même prudente réserve prévaut. La directrice de cabinet du président Guy-Dominique Kennel, Marie-Agnès Bélard, ne cache pas une certaine circonspection : « Le président a reçu Patrick Spielmann et Frédéric Sitterlé début janvier à l'époque où tout allait encore à peu près bien. Je rappelle que le sport professionnel ne figure pas dans le champ d'intervention du Conseil général. Le président a donné son accord de principe pour soutenir à nouveau les mercredis du foot dans le cadre de nos traditionnelles actions dans les quartiers et villages. Nous avons instruit la demande, mais il n'y aura pas de vote des élus avant fin juin – début juillet (Ndlr : une séance plénière est programmée le 25 juin). Le feuilleton actuel n'est pas de nature à rendre enthousiaste ou optimiste. Nous avons lu que Frédéric Sitterlé voulait partir. On est en droit de penser que lorsque la locomotive va mal, le reste du train, que le Département est disposé à aider, n'est pas en grande forme non plus. »

    M.-A. Bélard juge d'ailleurs les prévisions du club (205 000 euros d'aide du Département pour 2011-2012) quelque peu surévaluées. « On ne peut pas empêcher les dirigeants de prévoir les montants qu'ils espèrent. Mais ce n'est pas ce qui sera validé par les élus. À mes yeux, ces montants sont très optimistes. D'autant que je rappelle qu'il n'y a aucune obligation du Conseil général en matière de sport professionnel. »

    L'Alsace
  • Les mots d'Alex Vencel, reflètent très bien ce qui se dit par ailleurs: Le staff est à bout, ne supporte plus Sitterlé et sa clique qui se mèle de tout. Citons pêle-mêle, l'auditeur financier qui devient cost-killer avec des méthodes mafieuses envers certains fournisseurs et le trait de plume pour d'autre, pour finalement s'autoproclamer directeur sportif et signataire des chèques qu'il refuse de signer pour les modestes notes de frais des vrais bénévoles et le "bénévolat" à la Sitterlé à 4000 € mensos, frais gastronomiques compris, pour finir par Beau-Parleur, si prompt à porter le groupe au pinacle devant la presse mais qui menace de le faire exploser en sifflant Franz à Paris tel un clebard.
  • Ce message est une brève publiée par katzo68.
    Le déficit pour la saison 2011-2012 pourrait s'élever à 1,3 million d'euros au lieu des 766 000 euros annoncés par Frédéric Sitterlé au mois de janvier.
    Source: L'Alsace
  • il-vecchio a écrit, le 2012-05-03 07:46:55 :
    Les mots d'Alex Vencel, reflètent très bien ce qui se dit par ailleurs: Le staff est à bout, ne supporte plus Sitterlé et sa clique qui se mèle de tout. Citons pêle-mêle, l'auditeur financier qui devient cost-killer avec des méthodes mafieuses envers certains fournisseurs et le trait de plume pour d'autre, pour finalement s'autoproclamer directeur sportif et signataire des chèques qu'il refuse de signer pour les modestes notes de frais des vrais bénévoles et le "bénévolat" à la Sitterlé à 4000 € mensos, frais gastronomiques compris, pour finir par Beau-Parleur, si prompt à porter le groupe au pinacle devant la presse mais qui menace de le faire exploser en sifflant Franz à Paris tel un clebard.

    Quand tu lis de telle déclaration de Vencel sa fait réfléchir sur ce qui c'est passé cette année au racing quand même...
  • En parlant du Racing ce bon vieux Vencel est l'un des derniers en qui j'ai une entière confiance.
  • (Dans l'hypothèse qu'on joue en CFA l'an prochain)

    Keller a bien expliqué qu'il faudra être patient, que ça sera compliqué, il a raison de souligner le point sur lequel il ne faudra pas espérer finir au pire 2eme pour monter en National puisque ce sont les équipes de national qui seront d'abord sauvé (Le RCS a le don de toujours tomber au bon moment :-& )
    Si on regarde le groupe B de CFA, (on exclue Lyon II) Bourg-Peronnas possède 83pts après 28 journées avec 16V / 7N / 5D, le second Lyon-la-duchère 82pts avec 15V / 9V / 5D
    le Racing devrait certainement jouer ces 4 premières places, mais comme on le voit en CFA2 nous en sommes à 18V / 6N / 2D après 26 journées (grosse domination mais pas d'écrasement), on peut penser qu'en CFA le bilan ne sera pas aussi favorable en notre faveur, et que du coup le CFA sera serré l'an prochain... Nous conduisant au risque de faire une FCMulhouse, en restant embourbé dans ce championnat, en finissant 2eme l'an prochain, puis 3eme l'année d'après, ça serait vraiment con d'en arriver-là.
    Donc espérons que l'actuel ou futur investisseur mettra un peu le paquet l'année prochaine, en conservant évidemment nos meilleurs élements, et en recrutant un bon joueur de niveau L2/Nat pour chaque ligne.
    Le plus dur ça sera vraiment cette saison en CFA, le plus dur sera de finir 1er et ainsi de monter en National, où les perspectives de monter en L2 seront bien plus dégagé avec 3 places de montée pour 20 (ratio de 1 pour 6,6 en Nat, contre un ratio de 1 pour 13/14 en CFA).
    :|s
  • ferrarifan a écrit, le 2012-05-03 17:43:05 :
    il-vecchio a écrit, le 2012-05-03 07:46:55 :
    Les mots d'Alex Vencel, reflètent très bien ce qui se dit par ailleurs: Le staff est à bout, ne supporte plus Sitterlé et sa clique qui se mèle de tout. Citons pêle-mêle, l'auditeur financier qui devient cost-killer avec des méthodes mafieuses envers certains fournisseurs et le trait de plume pour d'autre, pour finalement s'autoproclamer directeur sportif et signataire des chèques qu'il refuse de signer pour les modestes notes de frais des vrais bénévoles et le "bénévolat" à la Sitterlé à 4000 € mensos, frais gastronomiques compris, pour finir par Beau-Parleur, si prompt à porter le groupe au pinacle devant la presse mais qui menace de le faire exploser en sifflant Franz à Paris tel un clebard.

    Quand tu lis de telle déclaration de Vencel sa fait réfléchir sur ce qui c'est passé cette année au racing quand même...


    Et on peut retrouver ces déclarations où ça ?
  • Un peu plus haut...

    L'indignation de « Sir Alex »

    Sollicité l'été dernier par ses amis François Keller (coach n° 1) et Jean-Marc Kuentz (responsable de la formation et entraîneur de la réserve), Alexander Vencel a volontiers accepté d'apporter un soutien bénévole à un Racing dont il a porté les couleurs durant une décennie, d'abord comme joueur (1994-2000), puis comme entraîneur des gardiens (2006-2010). « Nous, les anciens, avons un passé et un vécu au club. Il était naturel pour moi de participer à la reconstruction. Mais aujourd'hui, je ne viens plus au RCS que pour les gardiens que j'entraîne, des plus jeunes à Vauve (Vauvenargues Kéhi, le portier de l'équipe 1). Je suis très déçu par ce qu'il s'y passe, particulièrement par la façon dont ont été montrés du doigt Albert (Stoeckel, l'entraîneur des gardiens), André (Bohn, fidèle dirigeant depuis plus de trois décennies) et les autres entraîneurs. Ça me dérange qu'on s'attaque à ces personnes dévouées alors que le Racing tourne aujourd'hui encore grâce à leur implication. Jusqu'à quand va-t-il tourner si on les décourage ? C'est une question cruciale. »

    L'Alsace
  • Merci, je viens de voir également que c'était déjà publié un peu plus haut sur la page :'>
  • A vérifier mais cela doit être la première fois que le Racing termine la saison (et puis c'est pas encore fini) avec une différence de but aussi élevée. (+)
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