Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Le Racing saison 2011/2012

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Flux RSS 2267 messages · 198.611 lectures · Premier message par redaction · Dernier message par fsrcs

  • Objectivement, en mettant de côté la stratégie politique qui se cache derrière, il faut reconnaître qu'ils n'ont pas tord... D'accord le Racing n'est plus un club pro donc peut recevoir des subventions de la ville, d'accord le Racing est un club spécial pour la ville et les strasbourgeois, mais cela ne justifie pas que ce soit la ville (donc les contribuables) qui subvienne aux besoins du club... D'ailleurs, j'avoue avoir été plutôt choqué en voyant la conventions décrites dans les médias... C'est là qu'on voit qu'être supporter d'un club n'est pas une motivation suffisante pour y investir... La vraie motivation, c'est toujours $-)...
  • Il faut croire que c'est trop demandé d'avoir un club qui fasse uniquement parler de lui sur le plan sportif.
    Qu'il évolue dans l'élite ou au niveau amateur on a l'impression que la vie du Racing ne sera jamais un long fleuve tranquille.....
  • C'est clair.
    Quand tout va bien, il faut qu'il y ait un petit tas de merde à mettre dans les journaux...
  • Depuis quand les DNA (sponsor du club hein) font des articles de fonds voir "politiques" sur ce qu'il se passe au Racing?
    Seraient-ils anti-alsacien ou avaient-ils peur d'être taxé de racisme lorsque l'enfumé qui plombait le club n'était ni issu de la région ni de nomination "purement" française?

    Qu'ils continuent à compter les plots et à interviewer qui ils veulent, voir à s'occuper de Colmar, mais qu'ils arrêtent de vouloir foutre la merde au club MAINTENANT.
  • Je regrette parfois d être encarté UMP
    Comment utiliser le sport pour faire de la politique politicienne
    Des politiques ont vendu le club à PROISY , d autres critiquent le sauvetage du club
    Des politiques ont fait tomber GESS en 80 puis WELLER maintenant au tour de SITTERLE
    les a t on entendu pendant l épisode HILLALI,
  • Avec le report des rencontres que le Racing subit aujourd'hui, je me disais que ce n'était pas si grave d'un point de vue calendaire étant donné que la FFF a sans doute prévu large en faisant finir un championnat de 30 journées début juin. Laissant donc la place à d'éventuels matchs remis.

    Sauf que... de début août (et encore, la CFA2 n'a commencé que fin août) à fin mai, il n'y a que 41 week-end.
    Assez me dira-t-on pour organiser les quelques 30 matchs durant la saison.
    Sauf qu'à ce calendrier, il faut ajouter au moins 4 week-end à réserver pour la coupe de France (plus pour les quelques clubs qui accèderont aux tours supérieurs). Il faut également prendre en compte, les week-end ou les terrains seront impraticables comme actuellement.

    Ce qui fait, que avec le dernier report de la rencontre face à l'ASIM, le calendrier du Racing est bouclé du 25 février au 3 juin, chaque week-end il y'aura un match de championnat, ce qui peut paraitre incroyable étant donné que juin, c'est encore loin.
    Il y a même une rencontre excédentaire, vu que la rencontre face à Forbach n'a pas encore étée replacée, et qu'il n'y a plus de week-end disponible dès lors que la rencontre ASIM-RCS aura été officialisée pour le 6 avril.
    A la limite, le 9 avril étant férié en Alsace et en Moselle, peut-être que le règlement de la FFF autorise que des rencontres de CFA2 soient jouées à 72h d'intervalle?




    On comprend également un peu mieux les soucis de la ligue professionnelle de football qui sur 41 week-end doivent inclure 38 rencontres de championnat de 1ère ou 2ème division, certaines rencontres internationales, la coupe de France, la finale de la coupe de la ligue. Ca fait quand même beaucoup, et on comprend là pourquoi il y'a tellement de journées prévues en semaines.

    Ce sont des faits auxquels je n'avais jamais prêté attention (les gens pour qui tout ceci est d'une logique implacable [ça l'est en effet, étant donné que c'est mathématique] pardonnez donc mon ignorance).
  • L'opposition veut des explications

    Le Racing va donc une nouvelle fois s'inviter au conseil municipal de Strasbourg ce lundi. Alors qu'il devrait couler des jours tranquilles en CFA 2, uniquement obnubilé par la montée en CFA et l'envie de reconstruire dans le calme et la symbiose entre ses différents acteurs, le club strasbourgeois verse à nouveau dans le psychodrame.

    Lundi, Jean-Emmanuel Robert, conseiller municipal d'opposition membre du groupe UMP, Nouveau Centre et Indépendants, interpellera le maire Roland Ries sur le devenir du RCS. Une interpellation qu'il a déjà adressée aux rédactions (voir le texte intégral ci-dessous). L'édile n'y prend guère de gants envers le nouveau propriétaire de la marque Racing, Frédéric Sitterlé, qu'il accuse implicitement de n'avoir pas tenu ses engagements : « Nous découvrons que la communication a été nettement plus abondante que les actes », s'indigne-t-il en réclamant des réponses claires sur la situation juridique et financière du club. Pour justifier sa démarche, il avance un argument de poids : « l'engagement sans précédent » de la Ville et de la CUS depuis 2009 (7 millions d'euros) « pour un club qui évolue aujourd'hui en CFA 2. » Refusant que les deux collectivités se substituent « à tout ou partie de la responsabilité d'un entrepreneur privé », il apporte aussi son soutien au président de l'association support Patrick Spielmann. Il s'inquiète encore de voir le club risquer de se retrouver « bien loin d'une situation assainie et ce, malgré une communication depuis le mois de juillet dernier fort habile. »

    Silencieuse depuis les premières révélations de « L'Alsace » le 13 janvier, la municipalité ne pourra se soustraire ce jour-là - peut-être avant - à une explication de texte.

    * * *


    L'intégralité du texte



    Jean-Emmanuel Robert apostrophe la Ville

    Dans une très longue lettre adressée au maire de Strasbourg Roland Ries, Jean-Emmanuel Robert, conseiller municipal d'opposition, manifeste son inquiétude et celle de son groupe « UMP, Nouveau Centre et Indépendants » sur la situation du Racing-Club de Strasbourg. Lors du conseil municipal de lundi, l'élu interpellera le premier magistrat strasbourgeois qui, dans la matinée, aura rencontré le nouveau propriétaire de la marque RCS, Frédéric Sitterlé, et – à ce jour – toujours potentiel bailleur de fonds du club.
    Voici dans son intégralité le courrier sur lequel J.-E. Robert s'appuiera pour obtenir des réponses à ses questions et, au-delà, à celles d'un environnement qui s'interroge sur les intentions réelles de Frédéric Sitterlé.

    « En juillet dernier, après deux saisons rocambolesques, le Racing-Club de Strasbourg a été conduit à déposer le bilan. De ce naufrage, l'ensemble des supporters du Racing, mais aussi ses acteurs financiers aspiraient à une reconstruction du club sur des bases saines afin qu'à l'avenir, plus jamais de telles situations ne se reproduisent.
    L'ambition commune était claire : pour gravir rapidement les échelons et s'installer durablement parmi l'élite du football, il fallait que le club ne soit plus l'objet de petits calculs personnels, en particulier sur le plan financier.
    Il fallait que le football soit enfin la préoccupation numéro un à tous les étages du club, du terrain jusqu'à la direction. Il fallait que l'actionnariat soit lisible en permettant, si nécessaire, des transitions apaisées. Bref, il fallait tout mettre en oeuvre pour que plus jamais, les rebondissements à répétition que nous avons connus depuis sa privatisation (et même avant) ne se répètent et pour qu'enfin, le Racing abandonne son image de « petit OM de l'Est »...

    C'est dans cet esprit, M. le Maire, que nous avons débattu en octobre dernier au sujet de la délibération de soutien au nouveau projet qui nous était présentée.
    Que ce soit lors de ce débat ou dans les médias, un certain nombre d'annonces ont été formulées.
    1) Dès le dépôt de bilan du club, le nouvel actionnaire pressenti déclarait dans la presse : « J'ai décidé d'apporter dès à présent à l'association les moyens financiers nécessaires pour préparer au mieux la saison qui s'annonce. »
    2) Le budget du club devait être de 4,4 millions d'euros, dont 1.7 pour le fonctionnement du centre de formation. Toujours dans la presse, Frédéric Sitterlé a déclaré à ce sujet : « J'injecte tous les mois pour assurer charges et salaires. J'ai pris l'engagement d'équilibrer le budget de l'association avec un déficit estimé à l'époque à 1,35 million. En fait, on s'aperçoit qu'il faudra investir 2,3 millions pour boucher le trou d'un budget global de 4 millions, comprenant la section « pro ».
    3) Au sujet de la contribution des collectivités (Ville et CUS), notre collègue en charge des finances (Ndlr : Alain Fontanel) déclarait : « nos financements représentent moins de 20% de la totalité du budget de l'association. »
    4) Lors de ce conseil, à une question précise de Robert Grossmann sur le budget du club et ses besoins en financements, voilà ce que répondait Alain Fontanel : « Pour ce qui est des éléments budgétaires, vous avez raison, nous nous sommes nous-mêmes posé ces questions, car on doit trouver un équilibre précis et juste sur ce qui est à la charge du repreneur et ce qui peut être à la charge d'une collectivité dans l'accompagnement de la reconstruction (...). Il n'est pas question que la collectivité soit amenée à se substituer à tout ou partie de la responsabilité d'un entrepreneur privé. Nous sommes bien attachés à bien respecter cette ligne de démarcation. »
    5) Le projet de M. Sitterlé est, je cite « un projet de reconstruction sur des bases saines. »

    Six mois depuis le début de la lente reconstruction du club, nous découvrons dans la presse que la communication a été nettement plus abondante que les actes. Depuis juillet 2011, aucun euro n'a été investi dans le club par le nouvel homme fort. Le budget n'est pas de 4,4 millions comme annoncé dans les médias et en conseil municipal (et de CUS), mais de 2,634 millions comme l'ont découvert les membres de la commission régionale de contrôle des clubs de la Ligue d'Alsace le 12 janvier.
    Les 2,3 millions annoncés à grand renfort de communication n'ont jamais été injectés, puisque le club vit d'abord sur les réserves financières de l'association qui, suite au rachat du centre de formation (pour 4,1 millions) par la Ville, disposait encore de 727 872 euros sur ses comptes, ce que nous ignorions comme le grand public.
    Il vit aussi sur les recettes publicitaires et de billetterie, mais surtout grâce à l'argent public. Ville et CUS se sont engagées à hauteur de 750 000 euros pour cette saison sans compter la mise à disposition gratuite du stade de la Meinau et la quasi-gratuité du centre de formation (11 000 euros à l'année). Sans compter aussi les soutiens financiers de la Région Alsace et du Département.
    Ces financements publics ne représentent donc pas « moins de 20% du budget », mais près de 56% pour les seules Ville et CUS en incluant les reliquats du rachat du centre de formation. Dans les faits, et contrairement à ce qu'affirmait en octobre dernier notre collègue en charge des finances, Alain Fontanel, nos deux collectivités sont bien amenées à se substituer à tout ou partie de la responsabilité d'un entrepreneur privé...

    Depuis 2009, ce sont près de 7 millions d'euros d'argent public provenant de la Ville et de la CUS qui auront été investis dans le club. Il s'agit d'un engagement sans précédent pour un club qui évolue aujourd'hui en CFA2.

    A ce tarif, on pouvait au minimum espérer que le Racing reprenne sur des bases saines. Or, il semblerait que cela ne soit pas le cas et c'est bien là le plus grave.
    Propriétaire de la marque Racing, rachetée pour 150 000 euros, il semblerait que le nouveau président du Racing (Ndlr : Frédéric Sitterlé n'est pour l'heure pas président) ait des projets qui risquent, à mon sens, de compromettre la pérennité du club dans le futur, car probables sources de conflits.
    D'abord à travers une première convention qui lierait le club à la société BMV (Blodelsheim Media Venture) propriétaire de la marque Racing. Ainsi l'association serait amenée à verser chaque année une redevance à cette société pour l'usage de la marque. De 150 000 euros en CFA2 à 1.5 millions en Ligue 1.
    Cette société, distincte de la SASP, serait donc assurée d'une rente annuelle non négligeable quels que soient le ou les actionnaires majoritaires de la SASP, y compris si M. Sitterlé décide de tourner la page Racing.
    Une seconde convention dite de gestion est évoquée. Celle-ci lierait l'association à la SASP et en cas de non-renouvellement, l'association devrait alors verser à la SASP une indemnité conséquente qui ne pourrait être inférieure à un million d'euros.
    Si cette volonté, évoquée dans la presse, mais aussi en coulisses par de nombreuses personnes proches du club, est confirmée, nous serions en l'espèce bien loin d'une situation assainie et ce, malgré une communication depuis le mois de juillet dernier fort habile. Il faut dire qu'en rémunérant deux communicants, présentés initialement comme des bénévoles, le ton est bien donné...

    M. le Maire, au regard de l'ensemble de ces éléments, je vous demande de bien vouloir faire la lumière sur la situation financière réelle du Racing. Quel est son budget réel ? Quel est celui consacré au centre de formation pour lequel nous nous sommes mobilisés ? Quelle est la part réelle de la participation publique dans le financement du club ? Y-a-t-il des obligations légales à respecter en la matière ?
    Et enfin, êtes-vous en mesure de nous dire combien a réellement investi M. Sitterlé dans le club, depuis juillet dernier ? Je n'imagine pas un instant qu'après les événements passés, la Ville et la CUS ne suivent pas de près la situation économique du club.
    Après avoir injecté près de 7 millions en 3 ans, en ces temps difficiles où chaque euro compte et par respect envers nos concitoyens, il me semble essentiel que nos collectivités veillent de près à la situation du Racing.

    Je vous demande également de bien vouloir nous faire un point sur la situation juridique actuelle du club, ainsi que sur les projets de conventions. Il est de notre devoir, alors que le club évolue en CFA2, de veiller à ce qu'aucun montage juridique et financier ne vienne compromettre la solidité du club, comme nous l'avons connu dans un proche passé.
    Imaginez un instant le club tiraillé entre 3 parties, l'association, la SASP qui gère le foot professionnel (dont la majorité peut évoluer et dont M. Sitterlé veut déjà ouvrir le capital) et la société BMV qui détient la propriété de la marque Racing, cette fameuse marque qui, historiquement, a été régulièrement source de conflits.
    Enfin, pouvez-vous nous indiquer si la position de Patrick Spielmann, pilier historique du club et interlocuteur important pour la Ville, est menacée, comme cela se murmure depuis la dernière AG de l'association ? Si oui, nous devons lui apporter notre soutien.

    Je suis bien conscient qu'à travers mon interpellation, nous brisons l'unanimité faite jusqu'à présent autour de M. Sitterlé. Je suis bien conscient qu'il va y avoir une levée de boucliers du côté des inconditionnels du club qui, comme moi, sont heureux des résultats sportifs du moment, mais ne se soucient pas forcément de la pérennité de la gouvernance. Mais en ces temps de crise, il ne saurait y avoir de vache sacrée. Il est de notre devoir d'élus de veiller au bon usage des deniers publics investis dans le club qui, en l'espèce, ont été très importants et surtout de nous assurer de sa pérennité quitte à passer pour les empêcheurs de communiquer en rond ! »







    L'Alsace
  • Ce message est une brève publiée par katzo68.
    La situation du Racing sera abordée lors du conseil municipal du 20 février. Frédéric Sitterlé sera préalablement reçu par le maire.
    Source: L'Alsace
  • De nombreux employés du centre de formation ne sont même pas payés...
  • C'est le moment de rappeler que les séances du conseil municipal de Strasbourg sont retransmises en direct sur le net.

    Pic d'audience en perspective !
  • greg667 a écrit, le 2012-02-17 10:26:42 :
    De nombreux employés du centre de formation ne sont même pas payés...

    :O :O :-/ :-/

    Pardon?
    Que lis-je?

    Aurais tu, pourrais tu, nous communiquer la source de cette info?
  • Quoi ? Spielmann ne paye pas les employés de l'association ? :p
  • Mon frere qui travaille la bas et qui n'est pas le seul à n'être pas payé
  • Merci pour ta réponse.

    La bulle de purin grossit, grossit, grossit.
  • Quoi Sitterlé n'allonge pas l'argent pour faire fonctionner le Racing en fin de mois et utilise les subventions destinées au centre pour faire tourner l'équipe pro sans mettre un radis ? :p
  • Bon remarque y a des entreprises qui arrêtent les salaires pour moins que ça. Le Racing était quand même dans une situation catastrophique. Espérons que suite à la convention tout s'arrange pour ces salariés.
  • Quoi Sitterlé aurait gardé tous les chéquiers de l'association ? Il va faire comment Spielmann pour faire son plein d'essence maintenant ?
  • Dans « L'Alsace » du 16 septembre 2011, près d'un mois après la liquidation judiciaire, il déclarait ceci : « J'injecte tous les mois pour assurer charges et salaires. »

    Une vanne / un fait.
  • Cela empêche t-il l'association de payer ses salariés ?
  • En fin de compte personne ne paye dans ce club :p
  • jamal a écrit, le 2012-02-17 15:18:01 :
    Cela empêche t-il l'association de payer ses salariés ?


    Association / Racing / Sitterlé = la même chose.

    Les bénévoles, les joueurs, les salariés sont payés par l'assoce car c'est la seule structure existante. Si elle ne peut pas payer c'est que Sitterlé ne met pas l'argent. Intentionnellement, pour faire chier Spielmann, parce qu'il n'a pas d'argent ? Je n'en sais rien. Je ne juge pas c'est simplement un fait. Sitterlé s'est engagé à payer les salaires au Racing, il ne le fait pas.

    D'une manière générale, je suis pantois à l'importance donnée à Spielmann. Pour moi cela reste une marionnette qui démission de son poste quand on lui demande, et qui le réintègre quand on lui demande. Si il a une influence néfaste, ce n'est certainement pas lui qui est un rouage essentiel du Racing actuel comme passé.

    Je ne suis pas pour crucifier Sitterlé, mais mettre tout ramener à Spielmann c'est clairement une impasse.
  • Ouai, je ne pense pas non plus qu'il soit l'homme à abattre mais à défaut de savoir qui est l'auteur de tout ce bordel, il représente quand même l'association par son statut et pourrait, je pense, payer les employés, les caisses ne sont pas encore vides il me semble...
  • Dans un article que l'on peut trouver sur le site officiel du racing sur le partenariat entre le club et le lycée Jean Monnet on peu lire ceci :

    « Il est important d'accompagner les jeunes dans la vie scolaire et c'est le sens de ce partenariat qui montre la volonté que nous avons de travailler ensemble » a affirmé Frédéric Sitterlé.

    Quand après j'entends une personne que je connais qui donne des cours de foot à ces élèves de sport-études et qui n'as pas été payé depuis je n'sais combien de temps...

    Par contre pour publier de supers articles sur le site, se faire mousser, donner une super image et poser pour de belles photos ça marche...

    J'pense que ça donne une assez bonne idée du genre de personnage...
  • Oui un simple vieux cliché remplit de préjugés.
  • toujours et encore des histoire dans ce club.
    on ne peu même pas se concentrer uniquement sur une montée qui est loin d'être acquise et qui avec ces histoires va encore plus se compliqué.
    j'en connais qui doivent bien se marrer...... #-o
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