Frédéric Sitterlé
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dimonouil-vecchio a écrit, le 2012-01-05 18:09:45 : Ainsi donc Milo, Pacho, Benj et David auraient mauvaise mentalité.
Enfin, c'est ce que j'en déduis.
Hé! on généralise pas non plus
Si je dis ça, c'est pour les pros ou ex-pro qui veulent aller dans des clubs amateurs en gardant leurs avantages de pros, comme Noro qui aurait demandé un trop gros salaire...
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« Pouvoir anticiper »
Le Racing entame son année 2012 à Drancy, dimanche. Le président du club strasbourgeois, Frédéric Sitterlé, y sera. Satisfait du bilan jusqu'ici, il exprime sa volonté d'envisager à moyen et long terme l'avenir du Racing.
Q uel regard portez-vous sur la première partie de saison du Racing, dont vous avez pris la tête il y a quelques mois ?
Je suis satisfait par rapport aux objectifs initiaux. Nous avons réussi à réengager les équipes dans les différents championnats, ce qui n'était pas gagné au mois d'août. On se retrouve en bonne situation en championnat et je suis confiant quant à la montée. On a la structure, les qualités et le savoir faire pour répondre à l'ambition impérative de se retrouver en CFA à la fin de la saison. Si les joueurs continuent à bosser comme ils le font, on y arrivera. Après, il y a ce match à jouer à Drancy. Un 32 e de finale, ce n'est pas rien. C'est le premier vrai défi de la saison.
« Il n'est pas possible de poursuivre l'aventure sur les bases du bénévolat »
La trêve a été marquée par l'arrivée de Milovan Sikimic, alors que le Racing recherchait un attaquant. N'y a-t-il pas une forme de paradoxe ?
La priorité reste la venue d'un attaquant, mais il y a un équilibre dans le vestiaire à préserver, en matière de salaire notamment. Il ne s'agit pas de fragiliser le groupe avec l'arrivée d'un joueur. On est dans une démarche à moyen et long terme et, dans ce sens, je suis en phase avec le staff technique. Concernant Milovan Sikimic, il y a eu une opportunité, on sait qu'il peut être précieux sur un terrain et dans un vestiaire. Avec sa présence, on a anticipé des besoins à venir, sachant qu'il y avait la possibilité de le faire venir cet hiver.
Vous manifestez un souci d'associer des partenaires à votre démarche alors que votre engagement ne date que de quelques mois. Éprouvez-vous des inquiétudes sur le plan financier ?
Le Racing suscite un intérêt digne de nombreux clubs professionnels. Pour préparer les échéances à venir, on a déjà réactivé une SASP ( ndlr, société anonyme sportive professionnelle), qui servira de cadre à un développement futur. Par rapport à la structure, à l'engouement, il n'est pas possible de poursuivre l'aventure sur les bases du bénévolat. Pour ma part, je ne considère pas que le Racing m'appartient. Je suis déjà heureux d'avoir évité sa mort. Ensuite, il faut viser un capital large pour ne pas dépendre d'un seul investisseur.
« Le pire serait de se retrouver le bec dans l'eau »
Il y a déjà eu des contacts pris, des gens qui se sont manifestés. Mais il s'agit de choisir des actionnaires qualifiés, des gens capables de comprendre notre démarche.
Il n'empêche que l'apport de cinq millions que vous prévoyez sur trois à quatre ans ne devrait pas suffire, au regard du déficit de 2,5 millions qui se profile en juin...
On avait établi un budget initial. Après, il apparaît important de pouvoir anticiper. Il y a des besoins en cash. Le pire serait de se retrouver le bec dans l'eau. On a vu où ça pouvait conduire le club dans un passé récent.
Parmi les bruits qui courent autour du Racing, la difficulté de certains fournisseurs à se faire payer ne nuit-elle pas à l'image que vous souhaitez véhiculer ?
Sur le sujet, je vais être clair. Le Racing a de la trésorerie. Le budget est assuré jusqu'au mois de juin. Mais il est indispensable de renégocier certains contrats. Si on doit payer 400 000 euros alors que certains sont en mesure de faire la même chose pour la moitié, il est de mon devoir de remettre en question un accord.
On sait que si on remet en cause certains avantages acquis, on fait grincer des dents. Mon job, c'est aussi de déranger des gens qui se payaient sur la bête.
La convention qui lie la SASP à l'association est également en négociation. Considérez-vous que le flou juridique qui entoure un document essentiel pour le fonctionnement du club peut être rapidement levé ?
Je considère que ces deux entités font un seul et même club. Juridiquement, le Racing est une association et une SASP, mais l'unité est la base. La convention est un document qui entérine un pacte de gouvernance. On se retrouve à rechercher un équilibre, à élaborer un outil technique qui préserve les intérêts de l'un et de l'autre.
DNA -
Un trou de 2,5 millions !!!!! Bon la trésorerie existe , tant mieux .
Il veut renégocier des contrats alors qu'il espère que le club va remonter en fin de saison !!!!!
De quels joueurs il parle car à part Ledy , Sikimic , Genghini ou Donzelot , ils doivent avoir des salaires en rapport avec la situation du club . Il est vrai que ce ne sont pas de véritables amateurs .
Cela fait peur pour la saison prochaine . -
Il parle de contrat de fournisseur je pense.
Je me demande bien quel prestataire peut avoir un contrat de 400 000 avec un club de CFA2 dont la section pro a été liquidée cet été
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De même, je pense qu'il s'agit plus de contrats liants liant le club à des prestataires.
Peut-être et sans doute ceux qui sont en charge d'organiser la restauration? Populaire mais aussi celle de la Meinau d'en haut.
Je suppose, j'en sais rien après tout.
Ceci dit, ces contrats logiquement n'ont été signé qu'a partir d'août et le nouveau Racing. Dans la précipitation donc, ce dont certains du ont profiter en s'évitant un appel d'offre trop de concurrentiel.
C'est la loi du bizz après tout, que le président veuille remettre certaines choses à plat et une bonne chose.
Je retiens également ceci:
Citation: Concernant Milovan Sikimic, il y a eu une opportunité, on sait qu'il peut être précieux sur un terrain et dans un vestiaire. Avec sa présence, on a anticipé des besoins à venir, sachant qu'il y avait la possibilité de le faire venir cet hiver.
Qui prouve bien là encore que le président a la tête sur les épaules.
Financièrement c'était réalisable aujourd'hui, sportivement (vestiaire et terrain) c'est plus qu'intéressant, donc on saute sur l'occasion. En pensant surtout à demain.
Inutile de s'embourber en voulant signer des contrats "pharaoniques" à tout le monde dès aujourd'hui. -
greg a écrit, le 2012-01-06 08:20:34 : Il parle de contrat de fournisseur je pense.
Je me demande bien quel prestataire peut avoir un contrat de 400 000 avec un club de CFA2 dont la section pro a été liquidée cet été
Moi aussi je me demande bien qui peut percevoir une telle somme et pour quels services ? Il serait intéressant d'en savoir un peu plus, on en a soupé des nébulosités du côté de la Meinau ? -
[citation=katzo68|2012-01-06 05:09:06|963329
l'avenir du Racing.
Sur le sujet, je vais être clair. Le Racing a de la trésorerie. Le budget est assuré jusqu'au mois de juin. Mais il est indispensable de renégocier certains contrats. Si on doit payer 400 000 euros alors que certains sont en mesure de faire la même chose pour la moitié, il est de mon devoir de remettre en question un accord.
DNA
Maintenant , moi je comprend ( si on doit payer )il ne dit pas on paye 400 000 euros moi je dirais qu'il ne prendra jamais un contrat de 400 000 euros ?ou je n'est pas très bien compris le sens -
Je pense que c'était un chiffre à titre d'exemple.
Pour le reste, je me demande si on a vraiment fait le ménage dans ce club
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Je pense aussi que c'est à titre d'exemple. Il veut dire par là que si un fournisseurs fait une prestation identique à l'autre pour la moitié du prix, pourquoi faudrait-il payé plus chère?
Logique totalement compréhensible. -
mikedu67 a écrit, le 2012-01-06 10:19:26 : Je pense aussi que c'est à titre d'exemple. Il veut dire par là que si un fournisseurs fait une prestation identique à l'autre pour la moitié du prix, pourquoi faudrait-il payé plus chère?
Logique totalement compréhensible.
voila je l'ai compris de la même façon mais mal exprimé
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De toute facon,et ca tout le monde le sait,et le presi le repete"l imperatif c est la montee en cfa".
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Ce message est une brève publiée par fsrcs.
Frédéric Sitterlé sera l'invité de la Fédération des supporters le jeudi 19 janvier à 19h15. Inscription obligatoire : fsrcs.local@gmail.com.
Source: FSRCS -
Voici ce qu'à posté Sitterlé sur son FB vers minuit. Je trouve qu'il tape très juste.
"Se faire éliminer en 32e de coupe, aux tirs aux buts face a une belle équipe de CFA n'est pas de nature à remettre en cause la qualité des joueurs strasbourgeois. Cette équipe est belle et capable de très bien jouer. C'est d'autant plus frustrant : la victoire était largement à notre portée. C'est dans les têtes, au retour du vestiaire puis pendant le temps additionnel que nous avons perdu ce match. Cela vous rappellera, entre autres... le nul à Vesoul. La coupe n'était pas une priorité. Donc rien de grave. Mais pour assurer la montée il faudra apprendre à gagner les matchs... dans nos têtes. #concentration. #collectif. #coaching. Chaumont nous voilà !" -
Interview du Président sur Alsace 20
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Je ne sais pas pour vous, mais franchement on lui doit quand même une fière chandelle.
Ce mec fait avec ces moyens, et on sent bien qu'il adore le racing, il a la tête sur les épaules et dégage quand même un certains calme et une vision assez juste concernant l'avenir.
J'espère que des investisseurs le suivront car le racing le mérite, mais lui aussi.
Il y en aura toujours qui le critiquerons, mais faut lui laisser une chose, il se bat pour ce club. -
C'est le président le plus impressionnant depuis Alain Leopold. Ce sont donc 32 années (!) que le Racing aura du patienter avant de trouver un dirigeant de cette trempe. On est peut-être en Cfa2, mais on a du bol d'avoir à la tête de notre club un mec pareil !
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spoutnik a écrit, le 2012-01-11 19:59:30 : C'est le président le plus impressionnant depuis Alain Leopold. Ce sont donc 32 années (!) que le Racing aura du patienter avant de trouver un dirigeant de cette trempe. On est peut-être en Cfa2, mais on a du bol d'avoir à la tête de notre club un mec pareil !
léopold était effectivement un super Président dommage que déjà sous sa Présidence il y avait de gros problème d'argent -
L'argent, à l'époque, relevait davantage des institutionnels que des sponsors et avec un André Bord, baron du gaullisme et faiseur de beaux temps en Alsace, la messe fut rapidement dite pour Leopold. Et c'est bien dommage. Car un Léopold avec des ressources extérieures et un Gress juste un chouïa moins mégalo (je sais les poules auraient eu des dents), ce club serait devenu un grand de France. Tandis qu'on connait la suite... Mais n'empêche que si l'on "oublie" le niveau D5 actuel du Racing, entre la relégation en 76/77 et aujourd'hui, il y a de sacrés apparentements. Pourvu que la suite positive ressemblât à celles qui suivirent la remontée du Rpsm.
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Qualifier Bord de "baron du gaullisme" à l'égal des Frey, Guichard ou Debré, me semble quelque peu exagéré au vu de la stature nationale du personnage. Quant a son influence régionale, elle était grande dans les années 1970 mais pas jusqu'à l'omnipotence, notamment car la mairie de Strasbourg - principal pourvoyeur du Racing à l'époque - était plutôt démocrate-chrétienne.
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Après le monstre qui était fier de l'être, en aurions nous un autre as du camouflage?
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On a tous notre part de monstre en nous et on ne devient pas dirigeant d'une boîte en étant bisounours. Maintenant, ces clauses sont une chose mais à Sitterle de nous en expliquer l'objectif.
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On va attendre sa réponse suite à l'article du jour le concernant mais quoi qu'il arrive il est bon de ne pas oublier que sans lui le Racing n'existerait peut-être plus aujourd'hui.
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http://www.lalsace.fr/sport/2012/01/13/inconvenantes-conventions
Le genre d'article qui a le don de m'agacer !
Mais que croit donc le journaliste qui a écrit ce papier ? (et certains lecteurs, au vu des réaction !)
Il est complètement logique qu'un actionnaire ne se contente pas de mettre 2 à 4 millions d'euros par an en pure perte, mais essaie de retirer de l'argent de ses investissements.
Eh ! Les gens ! Le Racing est une entreprise gérée par un actionnaire qui veut à minima ne pas perdre d'argent ! C'est le monde de la finance, pas le monde merveilleux de Oui-Oui ou celui des Bisounours !
Qui accepterait parmi les gens qui ont commenté cet article de perdre chaque année 2 à 4 millions d'euros sous prétexte que le Racing le vaut bien ?
Je continue à dire merci à M. Sitterlé pour ce qu'il a fait et ce qu'il fera encore. J'ai complètement confiance en lui et en son projet. Qu'il y ait des ratés, cela ne me dérange pas, il faudra du temps pour ce remettre d'années de gérance défaillante. Il faudra juste que le paiement des fournisseurs se normalise avec le temps, sous peine de perdre toute crédibilité financière.
En tous cas, les journaleux, quels fouilles-merdes, quand ils s'y mettent ! Sauter sur la moindre rumeur, le moindre problème pour vendre du papier. (-) -
Ce qui dérange, c'est pas le fait de ne pas vouloir perdre d'argent, c'est de bénéficier d'une rentre à vie en cas de cession de la SASP, et les rétributions annuelles exorbitantes perçues par BMV dès le retour au professionnalisme...
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yvestiti a écrit, le 2012-01-13 11:52:30 :
En tous cas, les journaleux, quels fouilles-merdes, quand ils s'y mettent ! Sauter sur la moindre rumeur, le moindre problème pour vendre du papier. (-)
C'est leur boulot d'informer
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