Stade de la Meinau
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rcsforeverC'est vrai que l'état de saleté du stade est honteux mais si à l'avenir chaque supporter pouvait prendre le temps de mettre son gobelet ou je ne sais quoi dans une poubelle,ça irait déja un peu mieux.
Après pour les sièges c'est une autre histoire mais je suppose que c'est le dernier des soucis pour une personne qui ne va jamais voir une rencontre à la Meinau.
Enfin essayons au moins de faire quelques efforts de notre côté,rien que par respect pour ce stade mythique en Alsace. -
kibitz a écrit, le 2011-02-20 08:45:00 : :(
Il n'y a même plus de quoi payer assez de stadiers pour contrôler les accès aux tribunes (non seulement les condamnées, mais aussi les payantes)...
et il n'y a plus personne pour te fouiller à l'entrée ça m'a quand meme choqué ça -
Le stade de la Meinau, quant à lui, fermerait tout simplement ses portes.
Pauvre Racing,pauvre Meinau si par malheur le dépôt de bilan se confirme.. -
Si le club joue en DH, je doute que la Meinau ferme. C'est surtout une pression médiatique de la part du pouvoir publique. La Meinau étant quand même un symbole fort.
Fermer la Meinau signifierai l'abandonner et le désaffecter... Le Pelouse sauvage, squat dans les tribunes... en 3 ou 4 années une ruine. Je doute fort. OK, il coûtera de l'argent pour l'entretien, mais pas plus que si il fallait le réouvrir un jour. -
Comme je le disais dans un autre topic la Meinau ne sera plus qu'un vaisseau fantôme.
On n'y entendra plus que les sifflements du vent dans les coursives.
Comme seul occupant on y trouvera des pigeons qui déféqueront à souhait sur les sièges de la présidentiel.
Il parait que certains soirs de pleine lune on pourra y apercevoir Jafar Hilali admirer son chef d'oeuvre.
LE VIDE!!!!! -
france-stades a écrit, le 2011-04-18 20:13:57 : Si le club joue en DH, je doute que la Meinau ferme. C'est surtout une pression médiatique de la part du pouvoir publique. La Meinau étant quand même un symbole fort.
Fermer la Meinau signifierai l'abandonner et le désaffecter... Le Pelouse sauvage, squat dans les tribunes... en 3 ou 4 années une ruine. Je doute fort. OK, il coûtera de l'argent pour l'entretien, mais pas plus que si il fallait le réouvrir un jour.
Je l'espère mais comme tu le dis si justement l'entretien n'est pas gratuit et la ville peut tout simplement décider de démolir à long terme si jamais le club ne se relève pas..
Et rien que d'imaginer un tel destin pour ce stade mythique me met le moral à zéro. -
Le démolir ? je doute fort. Si le RCS venait à jouait en DH, il est probable qu'elle rejoigne le CFA, voir même le National avant 2020.
Proposer quel stade ensuite sit le club venait à remonter ?
Que la vide condamne 90% du stade, je veux bien. Le fermer, franchement... mouaip.
Calais joue en CFA2 dans un stade de 12000 places flambant neuf devant 300 spectateurs. Il a été évoqué que Calais retourne jouait dans son ancien stade pour des soucis de coût de location mais la Ville de Calais s'est demander ce qu'elle allait faire du nouveau stade.
Y aurait un club de rugby en pro D2 à Strasbourg, à la rigueur mais là... il n'y avait qu'à voir la gueule du stade Grimomprez Jooris 4 ans après son abandon : squat en tout genre pour SDF, dealer, pelouse en friche, etc... -
Si on prend l'exemple du voisin mulhousien qui a déposé le bilan en 99 et qui évolue toujours en CFA aujourd'hui,qui en cas de destin identique pour le Racing pourrait continuer d'entretenir la Meinau sur une longue période pour un simple club amateur sans argent ?
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on peut en faire une arène dédiée au motocross ... idéal pour des supercross par exemple et autres exhibitions motorisées ! O:)
(oui je sais ... je sors ...
)
Mais n'empêche, depuis des années que je vais à la Meinau, cette idée m'a déjà effleurée l'esprit (faut dire que je verrai bien le même bordel sur la place Kléber) ... oui : ça tourne à l'obsession ! :))
Mais pour être un peu plus sérieux, je ne vois pas par quel miracle on pourrait conserver ce magnifique stade en cas de rétrogradation à un échelon trop bas (DH) ... en revanche, si le club reste en CFA : ça tient du domaine du possible ! -
La Ville est proprio, elle en fait ce qu'elle veut. Le RCS "nouveau" ira sûrement jouer ailleurs parce que ça coûte quand même un loyer et ça nécessite de l'entretien.
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Message supprimé à la demande de son auteur
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Personnellement, je verrai bien la conservation du site, mais en le transformant en parc d'attraction.
Jafar Hilali à la caisse.
Puis Jafar dans les buts.
Objectif : lui éclater les c.......s sur 1 seul pénalty.
Pensez à apporter votre ballon ! (non fourni) -
Aussi jeune que je suis, la Meinau va térriblement me manquer...
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Un stubiste avait souligné il y a quelques semaines l'état désastreux d'un point de vue entretien de la Meinau... je confirme :(
Triste et lamentable... On devrait organisé un "Osterputz" de la Meinau tous ensemble... -
Adieu la Meinau !
Les « Londoniens » entendent désormais véhiculer l'idée qu'un départ du Racing de la Meinau incomberait exclusivement à la municipalité de Strasbourg. Archives Jean-Marc Loos
La direction londonienne a informé hier le comité d'entreprise que les secteurs administratif et sportif quitteraient la Meinau si la Ville, propriétaire des lieux, ne consentait pas à la mettre gracieusement à disposition. Une charge à peine déguisée contre la municipalité.
Désormais lancés dans une logique de victimisation et d'application, en représailles, de la loi du talion, les dirigeants londoniens du Racing ont décidé de rendre tous les coups que l'environnement alsacien est censé, de leur point de vue, leur avoir portés depuis des mois. Aussi n'ont-ils visiblement pas l'intention de baisser la garde alors même que la menace d'une rétrogradation administrative se profile à l'horizon de ce jeudi, lorsque le président Jafar Hilali et les autres seront auditionnés par la DNCG (1).
Hier lors d'un comité d'entreprise marathon, le directeur général Christophe Cornelie a annoncé aux salariés que les secteurs administratif et sportif quitteraient la Meinau la saison prochaine. Une obligation plus qu'une volonté selon lui, guidée par des considérations économiques et une certaine intransigeance de la Ville de Strasbourg, propriétaire du stade. Même s'il a été divisé par plus de trois après la relégation en National, le loyer annuel de l'enceinte s'élève toujours à 135 000 euros, contre 450 000 euros précédemment. Le DG estime qu'à l'instar de ce qui se fait ailleurs, le RCS, club de 3 e niveau, devrait en être exempté. Une façon de mettre la pression sur la collectivité et la rendre responsable d'un déménagement qu'il juge inéluctable en cas de statu quo. Bref, d'inverser les rôles en exonérant une nouvelle fois les Londoniens de leurs responsabilités dans l'actuelle situation cataclysmique.
Quelle destination le Racing pourrait-il alors emprunter ? Le futur « théâtre » de l'équipe, appelée à découvrir le monde amateur (Ndlr : le directeur général a de nouveau confirmé en CE le prochain abandon du statut pro), n'a pas été davantage évoqué que l'implantation possible des nouveaux bureaux mis à disposition des salariés. À supposer qu'il en reste d'ailleurs, puisque Cornelie mise sur des départs volontaires pour réduire la masse salariale de façon drastique.
La Ville a été payée
Cette charge à peine déguisée contre la mairie intervient précisément alors que la vente du RCS est au point mort. Hier, Jafar Hilali l'a reconnu en publiant un nouveau communiqué sur le site officiel du club. Il admet « qu'aucune offre ferme (avec les garanties bancaires nécessaires) » ne lui est parvenue. Il précise surtout, en réponse au communiqué des actionnaires minoritaires qui, la veille, rappelaient qu'ils bénéficiaient d'un droit de préemption (2) en cas de cession que ce droit ne s'applique pas à sa société Carousel Finance SA. Celle-là même qu'il désire vendre.
En théorie, il a raison, puisque le droit de préemption ne concerne que la SASP (3) et ses holdings de tutelle : de bas en haut de la pyramide, Euroracing, Racing Investissements et FC Football Capital Limited (dont Hilali détient désormais 100 % des parts). Mais dans la pratique, qui, aujourd'hui, allongerait 10 millions - le prix qu'il a fixé - pour acquérir Carousel Finance ?
De fait, personne n'entrevoit la sortie du tunnel. Certes, la cession de la clause Kévin Gameiro pour 1 million (4) a permis aux dirigeants de régulariser certains dossiers. Les salaires de mai du personnel ont ainsi pu être honorés sans retard. A priori, tous les créanciers ont été réglés, même la Ville qui avait lancé des procédures de recouvrement pour les 240 000 euros que lui devait le RCS (« L'Alsace » du 1 er juin) et les a donc stoppées.
Mais le pécule versé par Lorient a du coup été sérieusement entamé. Et nombre d'observateurs s'interrogent : avec des charges mensuelles incompressibles de 700 000 euros, reste-t-il suffisamment de liquidités pour assurer le paiement des rémunérations de juin ? Cette question, la DNCG ne manquera sûrement pas de la poser demain, parmi une foule d'autres, à Jafar Hilali.
(1) Direction nationale du contrôle de gestion. (2) Ce droit de préemption permet aux minoritaires de racheter le club en priorité s'ils s'alignent - au moins - sur l'offre d'un repreneur extérieur. (3) Société anonyme sportive professionnelle. (4) Le RCS bénéficiait de 30 % sur la plus-value réalisée à la revente de son ancien attaquant, cédé à Lorient en 2008 pour 2,8 millions. Il a vendu cette clause 1 million au club morbihannais qui lui a en outre payé un bonus - contractuel - de 250 000 euros pour la première sélection de « Kev » Gameiro en équipe de France.
L'Alsace -
rcsforever a écrit, le 2011-04-18 21:03:49 : Si on prend l'exemple du voisin mulhousien qui a déposé le bilan en 99 et qui évolue toujours en CFA aujourd'hui,qui en cas de destin identique pour le Racing pourrait continuer d'entretenir la Meinau sur une longue période pour un simple club amateur sans argent ?
Le tableau du stade de l'Ill est paradoxal : dégradation surtout de la tribune sud (infiltrations,pigeons...), normes obsolètes mais piste d'athlétisme neuve, club house également récent...
Pourtant malgré la non-vie sportive du FCM, le stade est très utilisé : scolaires, les clubs (Sreg...),les équipes du FCM. Sans parler de manifestations comme "Tout Mulhouse marche" et ses milliers de participants
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Le stade de l'Ill qui n'est pas mono foot peut continuer sa vie . Je ne sais si la Meinau pourrait être aussi flexible en cas de déréliction du Racing .
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Le RCS plus à la meinau?...mon dieu vite ce passage à la DNCG, qu'on en finisse, si j'avais un fusil j'aurais déjà abattu notre bête mourante qui est le Racing pour ne pas la voir souffrir plus.
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Je ne suis pas certain qu'il eût fallu viser le Racing....
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C'est une image :P
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Il est hors de question que la ville fasse le moindre cadeau tant que M. Hilali est encore en place. C'est aussi un des moyens de pression pour le faire partir au plus vite. Pas de stade gratuit pour Hilali, ni à la Meinau ni ailleurs dans la CUS.
Une fois ce dernier parti, bien évidemment, ce sera à la municipalité de soutenir le club qui repartira en division amateur (laquelle ?) et qui aura pour tâche de retrouver une place dans le paysage professionnel. Dans ce sens, on peut attendre d'elle qu'elle mette le stade et les locaux qui lui appartiennent à la disposition d'un club amateur sensé porter les couleurs de la ville et former des jeunes de la région, comme cela se fait dans d'autres municipalités.
Le soutien aux clubs amateurs reste totalement autorisé, on pourra même veiller à l'entretien du stade et des pelouses. -
Strasbourg / Si le football professionnel s'arrête dans la capitale de l'Europe
Que faire de la Meinau ?
Au-delà du suspens insoutenable sur l'avenir à court terme du Racing, club fanion alsacien, se pose la question du principal équipement sportif de la Ville de Strasbourg. Sans football pro, donc sans club locataire capable de régler un loyer à la fin du mois...
La tragédie du club résident de la Meinau -un stade qui a pris le nom du quartier qui l'a accueilli en 1921- a un impact très concret sur la politique de la Ville: si la CUS se retrouve sans club professionnel, comment va-t-elle faire pour combler le manque à gagner? Sachant qu'une année de location lui rapporte 135 000 euros -un loyer sensiblement revu à la baisse en National, avec la spirale de l'échec qu'a connu le Racing. Vu que la privation de la manne des droits de retransmission de télévision et recettes spectateurs et publicités ne permettent plus au club de régler une note qui s'élevait en Ligue 1 à 450 000 euros.
Sarcophage du football professionnel?
Après l'époque de la splendeur, l'heure est à la décadence. Ce théâtre de l'épopée moderne du Racing -champion de France, vainqueur de la coupe de France et de la coupe de la Ligue, et qui a connu aussi l'ivresse des campagnes européennes- est-il appelé à devenir le sarcophage du football professionnel dans la capitale de l'Euro?
Va-t-il être démoli totalement ou partiellement ? Y aura-t-il des immeubles de logements à la place, comme une vieille rumeur réactivée récemment le laisse entendre ? Pas si vit e , répond Alain Fontanel, chargé des finances à la CUS (propriétaire du stade) : « Nous n'en sommes pas là , répond l'adjoint au maire de Strasbourg, il ne faut pas aller plus vite que la musique : l'objectif est d'inscrire le club dans la durée, donc il nous faut un stade, il n'est pas du tout question de détruire la Meinau » .
«La Meinau à Strasbourg, c'est comme le Vélodrome à Marseille»
Bien au contraire, poursuit-il, « pour la collectivité et la Ville, comme pour toute la région et l'ensemble des connaisseurs du football en France, le stade de la Meinau à Strasbourg, c'est la même chose que le Vélodrome à Marseille ».
Aucun immeuble de logements ne poussera donc dans l'ancien jardin Haemmerlé, sis au 12 rue de l'Extenwoerth, ancien nom du stade (de 1906 à 1921), et qui a connu des extensions successives en 1930, puis 1951, avec l'ajout de tribunes supplémentaires. Avant de connaître son couronnement architectural « une nef moderne, un stade d'envergure européenne, un petit chef-d'oeuvre fonctionnel » (expliquaient les DNA les 13 et 14 avril 1984)- avec quatre tribunes fermées. Un véritable écrin des folles soirées de football -à partir de 1984 et qui a accueilli des matches de l'Euro de la même année.
«300 à 350 000 euros de charges en plus du loyer»
Doté de 40 000 places, l'arène sportive a été ramenée pour des raisons de sécurité à 29 000 places au total, dont 24 000 assises.
« L'enjeu n'est pas [seulement, ndlr] le loyer, c'est aussi la prise en charge de l'entretien et la sécurité du lieu », poursuit Alain Fontanel. Des charges qui se montent, selon lui, à plus de « 300 000 euros » et qui comprennent notamment « l'entretien des terrains, chauffage de la pelouse en hiver compris, mais aussi entretien des abords, arrosage de la pelouse, sécurité ».
Bref « tout ce qui concerne l'accueil du public dans le bâti, dans de bonnes conditions ». À l'exception toutefois des « frais liés aux soirs de matches comme les stadiers ou encore les guichetiers ».
En clair, s'il n'y a plus de club de football professionnel résident, et que la Ville voudrait y installer le club de rugby, par exemple, ce serait au contribuable de la CUS de régler la note qui avoisinerait les « 500 000 euros », calcule l'adjoint aux finances, en additionnant à la louche le manque à gagner de 135 000 euros aux plus de 300 à 350 000 euros d'entretien courant... Tout cela sur une année pour permettre de faire fonctionner l'enceinte en toute sécurité.
«En National ou en CFA 2»
Par conséquent, indique-t-il en adressant un petit message au propriétaire du Racing : « Entre tout ou rien, un point d'équilibre peut être trouvé : la CUS consent à faire un effort, à condition qu'il s'inscrive dans un partenariat ». Sur quoi ? « Soit sur le loyer, soit sur le partage des charges » , à venir. Que le club joue « en National ou en CFA 2 ».
Dans ces circonstances « cette bien triste histoire », commente Alain Fontanel-, « l'unique consolation pour le contribuable » réside peut-être dans le choix de ne « pas avoir endetté la communauté urbaine pendant trente ans » pour un projet qui apparaît aujourd'hui comme étant totalement décalé. Celui de « reconstruire la Meinau sur site » pour quelque 150 millions d'euros.
DNA -
Ce message est une brève publiée par deadwing.
Les dirigeants du Racing auraient décidé de dénoncer le bail de location du stade de la Meinau, car il ne répondrait pas aux normes sismiques, et serait envahi par des rongeurs.
Source: France 3 Alsace -
Putain, mais ils arrêtent de sortir une connerie par jour, eux ?
Le stade est parfaitement aux normes, et les rongeurs, s'ils sont là, c'est parce qu'ils n'ont pas fait le nécessaire pour les éradiquer, car ils sont locataires, et donc, c'est à eux d'assurer l'entretien des lieux ! -
Je ne sais pas si il faut en rire ou en pleurer, vivement qu'on en finisse.
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C'est tout simplement incroyable, lui il a des rongeurs dans le cerveau !
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