Frédéric Sitterlé
Flux RSS 7365 messages · 477.746 lectures · Premier message par samh · Dernier message par mediasoc
-
axisJe préférerai voir sa stratégie en action au Racing, en avant première mondiale O:) -
Je le verrais bien prendre la place de papy Plessis. Ce serait une (vraie ?) bonne opération de com' pour Jafar (chloch), non ?
-
Pas forcément pour lui.
La saison est mal engagée, les déboires se multiplient, les dettes augmentent...
Piquer oui, mais s'impliquer... -
Tiens, augmentation de capital de My Skreen, apport de 10 Millions d'Euros de l'INA...
Cela serait le bon moment pour sortir quelques dividendes de My Skreen et faire une petite offre a notre ami Jafar.
Ca tombe pile poil au bon moment
http://www.zdnet.fr/actualites/video-a-la-demande-l-ina-va-rentrer-dans-le-capital-de-myskreen-39755024.htm -
Il a vraiment de la suite dans les idées ce gars...
-
La seule chose à ne surtout pas faire, c'est de racheter le Racing, ce sera bien trop couteux aujourd'hui (trop de frais pour reconstruire ne serait-ce que le sportif) et demain (procès en instance).
Que les futurs investisseurs prennent leur mal en patience.
Bientôt il y' aura un club amateur à Strasbourg à financer. Qu'il s'appelle Racing ou autrement, la base sera la même.
Wait&See (+) -
Mouais je suis pas tout à fait d'accord.
Ok reprendre le Racing aujourd'hui équivaudrait à mettre environ quoi: 5 Millions après négotiation? Je pense en tout cas. Du moins faisable en négociant un ou deux points sur les futurs litiges en termes de procès.
Bref cela veut dire que mettre ce montant là pour un club encore en national et en rajoutant du blé derrière pour en faire quelque chose te prendra moins de temps de refaire remonter le club en L2 que si tu repars de CFA2 avec rien du tout.
Maintenant si le mec attend le dépot de bilan, je pense que certes tout est liquidé mais on repart au mieux de CFA 2 sans aucun bien (aujourd'hui le centre vaut encore quelque chose et si dépot de bilan, je pense qu'on peut tout oublier).
Donc si un investisseur a un minimum de passion, je pense qu'il vaut mieux tenter de faire quelque chose maintenant plutot qu'attendre la fin de vie du Racing.
Je suis convaincu que quelqu'un bougera d'ici la mort du Racing, d'ailleurs je vois bien l'ami Jafar tenter de refourguer le bébé mourant et essayer de récupérer quelque chose car mine de rien si Carroussel perd 7 Millions au total, le Jafar peut tout simplement y perdre sa place (rebellion de clients mécontents etc etc). -
dolores a écrit, le 2010-10-11 00:35:11 : La seule chose à ne surtout pas faire, c'est de racheter le Racing, ce sera bien trop couteux aujourd'hui (trop de frais pour reconstruire ne serait-ce que le sportif) et demain (procès en instance).
Que les futurs investisseurs prennent leur mal en patience.
Bientôt il y' aura un club amateur à Strasbourg à financer. Qu'il s'appelle Racing ou autrement, la base sera la même.
Wait&See (+)
Ouais enfin le bémol c'est que si le club passe amateur on démantèle le centre de formation, la seule richesse sportive du Racing.
Je veux peut-être le beurre et l'argent du beurre, mais l'idéal serait de chasser Jafar et que le Racing puisse néanmoins continuer dans le monde pro...
~o) -
truite68 a écrit, le 2010-10-10 23:28:20 : Tiens, augmentation de capital de My Skreen, apport de 10 Millions d'Euros de l'INA...
Cela serait le bon moment pour sortir quelques dividendes de My Skreen et faire une petite offre a notre ami Jafar.
Ca tombe pile poil au bon moment
http://www.zdnet.fr/actualites/video-a-la-demande-l-ina-va-rentrer-dans-le-capital-de-myskreen-39755024.htm
C'est cool grâce à lui on pourra ressortir les vidéos de Gress des années 70
-
paolo a écrit, le 2010-10-11 08:01:52 : dolores a écrit, le 2010-10-11 00:35:11 : La seule chose à ne surtout pas faire, c'est de racheter le Racing, ce sera bien trop couteux aujourd'hui (trop de frais pour reconstruire ne serait-ce que le sportif) et demain (procès en instance).
Que les futurs investisseurs prennent leur mal en patience.
Bientôt il y' aura un club amateur à Strasbourg à financer. Qu'il s'appelle Racing ou autrement, la base sera la même.
Wait&See (+)
Ouais enfin le bémol c'est que si le club passe amateur on démantèle le centre de formation, la seule richesse sportive du Racing.
Je veux peut-être le beurre et l'argent du beurre, mais l'idéal serait de chasser Jafar et que le Racing puisse néanmoins continuer dans le monde pro...
~o)
Si on garde le statut pro actuel, on conserve également la douzaine de procès en cours, les dizaines de petits actionnaires répartis sur plusieurs étages et les différentes dettes crées par l'actuel direction, mais aussi les précédentes. Alors certes, on fait aussi une croix sur les futures recettes, notamment sur Gameiro, et surtout sur le centre de formation, mais j'ose croire qu'en cas de nouveau départ en CFA2, certains bons jeunes seront tentés par l'aventure d'évoluer au même niveau qu'actuellement, mais en équipe première, avec un vrai soutien populaire. -
Si Sitterlé joue l'alliance avec les différents actionnaires qui sont encore ventilés façon puzzle dans les différentes sociétés qui gèrent l'équipe c'est sans doute pas pour les laisser perdre leur mise et ne racheter le Racing qu'après faillite.
Cette considération tactique mise à part je suis tout à fait d'accord avec Truite68. Repartir en CFA2 (ou même en CFA si l'équipe 2 remonte cette année) revient à perdre du temps et quasiment tout l'effectif actuel pour un résultat aléatoire. A un moment donné Hilali devra soit rajouter encore du fric soit vendre aux conditions des acheteurs c'est à dire pour rien. Si il dépose le bilan, la procédure judiciaire prévoit qu'un acheteurs peux encore se manifester et racheter le club pour rien de toutes façon.
Le seul enjeux là dedans c'est que tout ça ne se fasse pas à l'arrache au dernier moment et pourrissent encore le club une saison de plus avec grosse hémoragie de joueurs à la clef.
La question pour moi n'est pas tant de savoir si le Racing va couler a la fin de saison mais si le nécessaire sera fait dès avant cette fin de saison pour procéder à un maximum de prolongations de contrats afin de faire des joueurs banquable de vrai actifs et des joueurs sur lequel le club peux compter, que ce soit pour les revendre ou pour jouer une nouvelle montée l'an prochain. Tout celà indépendamment du fait qu'il soit en National ou en Ligue 2 l'an prochain. -
Je viens de retomber sur cet article par hasard. Comme quoi, meme en cas de depot de bilan, les repreneurs sont la.
Candidat à la reprise du Racing Club de Strasbourg, le groupe d'investisseurs alsacien mené par Frédéric Sitterlé a annoncé le retrait de l'offre qui prévoyait la prise en charge du déficit de la saison en cours. Mais reste candidat au rachat du club.
par Emmanuel Quintin, le 26-03-2010
Le retrait de l'offre initiale
Les coulisses du RC Strasbourg sont toujours agitées. Deux jours après l'officialisation de l'arrivée de Jean-Claude Plessis à la présidence du club, le groupe des investisseurs locaux qui avait tenté de racheter le club au moment de la vente de celui-ci à Alain Fontenla, un homme d'affaires français installé à Londres, a annoncé qu'il retirait son offre de rachat telle qu'elle avait été formulée ! «Nous étions prêts, pour préserver les intérêts supérieurs du club, à prendre en charge le déficit de la saison en cours et à assurer une sortie sans perte pour les actionnaires actuels.» Aujourd'hui, ce n'est plus le cas. L'offre de rachat est toujours sur la table mais elle n'épongera pas les déficits éventuellement creusés par les actionnaires actuels. «Face aux multiples erreurs de gestion, décisions hasardeuses, sources de conflits et de coûts pour le club nous les mettons face à leurs responsabilités. Ils devront désormais assumer les conséquences financières de leur gouvernance approximative et faire face à une pression grandissante», indique le groupe d'investisseurs dans un communiqué publié vendredi.
Toujours prêts à racheter le club
Ces derniers ne sont pas tendres avec les propriétaires actuels du club, qui ne bénéficient pas par ailleurs du soutien de la mairie. «Le RCS est mis en danger par des intérêts spéculatifs court-termistes ; c'est l'avenir et la survie du club qui sont en jeu. Le projet des actionnaires actuels est hasardeux et a pour seul véritable objectif la recherche d'une plus-value qui passe par des décisions de restructuration et de réduction des budgets. Ont-ils seulement la volonté, les moyens financiers et la compétence professionnelle pour gérer un club de cette envergure et assurer l'avenir et les résultats sportifs futurs du Racing ?», s'interrogent-ils dans leur communiqué. Face à ce constat alarmiste, ils veulent cependant rassurer les fans de Strasbourg en rappelant qu'ils seront «présents pour sauver le club» quand il le faudra avec leur projet en trois axes (renforcement du centre de formation, construction d'un centre d'entraînement moderne et ouverture du capital à un groupe puissant). «Nous restons mobilisés et déterminés pour faire aboutir ce beau projet, au service de notre Région, dans le respect de l'Histoire et les racines du club», concluent-ils. -
Article publié sur Clubic.com
Fondateur de Sport24.com, ancien directeur des nouveaux médias du groupe Figaro, Frédéric Sitterlé est le créateur et le président de Myskreen, un agrégateur de l'offre légale de contenus vidéo du Web français. Pour Clubic, il revient sur les objectifs poursuivis par cette jeune société, parfois qualifiée de Hulu à la française ou d'alternative à l'incontournable iTunes d'Apple.
Frédéric Sitterlé, bonjour. En ces temps de réflexion autour de la valorisation de l'offre vidéo légale en ligne, comment se positionne Myskreen ?
Frédéric Sitterlé, Myskreen
Il faut bien voir que la volonté première de l'internaute n'est pas de télécharger illégalement mais de voir le contenu dont il a envie. Il va donc regarder ses vidéos là où le contenu est disponible. Or aujourd'hui, une recherche liée à une série américaine sur Google va bien souvent renvoyer vers une offre illégale et pas vers une plateforme légale. Enfin, si le contenu en question est disponible sur l'une de ces plateformes, il faut bien voir que l'achat ou la location restent complexes.
Dans la vidéo à la demande en France, on a aujourd'hui environ 40 000 titres répartis sur une cinquantaine de plateformes. Pour accéder à cette offre extrêmement éclatée, l'internaute va devoir s'inscrire sur celle qui propose ce qu'il souhaite, télécharger un lecteur dédié, souffrir des problèmes de compatibilité avec son Mac etc. Lutter contre le piratage, ça n'est pas qu'une question de prix, c'est aussi faciliter l'accès. L'internaute est globalement prêt à payer à partir du moment où les choses se déroulent simplement.
Partant de ce constat, Myskreen a pris le parti de référencer toutes les offres légales et de les placer dans une base de données unique, que l'internaute peut interroger pour trouver son contenu et y accéder facilement. Aujourd'hui, on référence plus de 1,3 million de contenus, tous disponibles en ligne, qui vont du cinéma au documentaire en passant par la télévision de rattrapage. A travers un moteur, nous vous permettons de chercher un film, un acteur ou un réalisateur, et pour un contenu sélectionné, nous vous indiquant l'ensemble des plateformes légales sur lesquelles vous allez pouvoir le visionner. La grande innovation, c'est que l'on propose à l'internaute d'utiliser comme compte unique son compte Myskreen, au sein duquel il aura renseigné son numéro de carte bancaire, comme il peut le faire aujourd'hui sur iTunes.
Vous réfutez régulièrement la comparaison entre Myskreen et une sorte de Hulu à la française, pourquoi ?
Un Hulu à la française ? Hulu serait peut-être un Myskreen à l'américaine, et encore ! Non ce serait un peu réducteur. Aux Etats-Unis, Hulu a été construit par les détenteurs de droit pour contrer YouTube. Le problème, pour eux, est que si leurs contenus sont diffusés sur YouTube, ils se retrouvent aux côtés des vidéos produites par les internautes et deviennent difficiles à monétiser. Hulu réalise une audience quatre fois moindre que celle de Dailymotion, mais génère un chiffre d'affaires bien plus important.
En France, on n'a pas vraiment besoin d'un Hulu puisque les chaines de télévision ont déjà réalisé de belles initiatives. Par contre, ce qu'il faut c'est agréger ces audiences et offrir à l'internaute un point d'entrée unique. Aujourd'hui, ce sont les programmes qui constituent des marques fortes, de moins en moins les chaînes de télévision ou les producteurs. L'internaute qui veut regarder un épisode de Dexter ne sait pas forcément quelle chaîne le diffuse en ce moment.
Un point d'entrée unique qui recense toute l'offre, c'est le modèle développé par Apple dans la musique ?
Au début de la musique en ligne, chaque major avait voulu lancer son propre site. Il manquait effectivement un méta-moteur qui agrège tout ça, en se limitant à l'offre légale bien sûr, puisqu'un Google ne filtrera jamais les contenus pirates. Apple a réussi à mettre au point un modèle vertical, simple et intégré : les résultats sont là, les gens achètent.
Un élément doit être pris en compte ici : si le point d'entrée et la maitrise des points de trafic sont confiés à un acteur tiers basé à l'étranger, c'est lui qui maitrisera le prix, la relation client etc., ce qui risque de créer une relation de dépendance pour les acteurs historiques, qui en plus risquent de bénéficier de conditions fiscales non équitables en termes de concurrence, voir iTunes dont le siège européen est situé au Luxembourg.
Myskreen aurait donc vocation à devenir l'iTunes français de la vidéo à la demande ?
Notre objectif est de permettre aux acteurs nationaux de se déployer largement sur Internet et de valoriser le contenu. Les studios, les chaines de télévision, peuvent constituer des acteurs d'une taille importante, mais ils ne jouent que sur leur propre périmètre, alors qu'un Apple ou un Google voit beaucoup plus large. Le problème n'est pas que ces acteurs existent : c'est qu'ils existent seuls. Les acteurs de la création française doivent donc se fédérer autour d'une offre commune. Ils peuvent se mettre d'accord entre eux, ou faire appel à un tiers neutre. Nous pensons que Myskreen peut être ce tiers.
Ce qui implique un modèle économique de distributeur ?
En tant que distributeur, nous prélevons en effet une commission standard de 30% sur les transactions payantes. Par contre, contrairement à un iTunes qui prend une commission similaire, nous ne cherchons pas à capter la valeur. Apple détient le catalogue et la boutique, ce qui lui permet de fixer les prix et de capter l'intégralité de la relation client. A l'inverse, Myskreen invite les chaînes et plateformes de VOD à lui confier leurs contenus, mais conserve un modèle ouvert : c'est celui qui fournit le contenu qui en fixe le prix, nous lui restituons l'audience générée et le client.
Nous offrons toutefois la possibilité aux plateformes de nous confier l'hébergement de leurs vidéos, ce qui nous permet de garantir la continuité entre les écrans. Dans ce cas, il leur suffit de nous confier un fichier pivot, que l'on encodera en six ou huit formats différents, et que l'on diffusera en adaptative streaming, avec un débit qui sera fonction de la taille de l'écran et de la connexion utilisée.
A partir du moment où l'on a rapatriés ces contenus, on peut s'appuyer sur un réseau de sites partenaires pour les faire connaitre. Aujourd'hui par exemple, si Telerama fait un article sur Yves Saint-Laurent, on est en mesure de proposer à la fin un documentaire payant. Ce réseau, constitué pour l'essentiel de sites de presse, représente 16 millions de visiteurs uniques. -
Ce message est une brève publiée par strohteam.
Jafar Hilali a refusé ce midi une offre faite par Frédéric Sitterlé à hauteur de 3.6M€, dont 1M€ versés immédiatement.
Source: DNA -
Proposition plus qu'honnête pour un XXXXXXXX comme jafar, merci Mr Sitterlé d'avoir essayé, adieu racing.
Message édité -
il etait donc serieux quand il disait qu'il voulait 10 millions :o!
Faut etre deja un peu taré pour offrir un peu moins de 4 millions pour le racing actuellement mais faut l'etre encore plus de refuser une telle offre. -
Le mec préfère tout perdre que de récupérer 3,6 millions, c'est qu'il veut vraiment couler le club par dessus tout.
-
greg a écrit, le 2011-06-10 18:11:14 : Le mec préfère tout perdre que de récupérer 3,6 millions, c'est qu'il veut vraiment couler le club par dessus tout.
1 million, vu qu'il doit y avoir des conditions pour le reliquat. Mais ça reste une superbe offre, très (trop) généreuse et effectivement ça confirme, s'il en était encore besoin, que le souhait d'Hilali est juste de détruire autant que possible le Racing, par pure vengeance. -
Merci Frédéric, grâce à toi, jean-marie pourra plus dire que les locaux n'auront rien tenté pour sauver le club (+)
Maintenant, on compte sur toi pour reprendre le club après le dépôt de bilan, l'économie que tu auras faite en n'ayant rien à payer à Hilali te permettra d'injecter plus d'argent dans le club. -
Sitterlé, Président !!!!
-
L'article de l'Alsace est un peu plus complet:
Racing : Hilali refuse une offre de Sitterlé
le 10/06/2011 à 18:10
Après avoir indiqué hier qu'il était prêt à étudier une offre ferme de rachat du Racing si elle lui était transmise dans la journée de ce vendredi, avant que l'abandon du statut professionnel ne devienne définitif, Jafar Hilali a refusé cet après-midi une proposition de l'homme d'affaires alsacien, Frédéric Sitterlé, déjà candidat à la reprise du RCS en mars 2010.
Le patron haut-rhinois de la société myskreen.com a transmis au propriétaire londonien une offre comprenant le rachat du club pour 1,6 million d'euros (le prix d'achat qu'avait payé Hilali en décembre 2009 à Philippe Ginestet), assortie de deux bonus d'un million d'euros en cas de remontée en Ligue 2 dans les deux ans et d'un autre million en cas de retour en Ligue 1 dans les quatre ans. Hilali l'a rejetée en moins de cinq minutes, expliquant qu'il exigeait 7 millions et qu'il était inutile de lui faire perdre son temps avec une offre aussi basse.
Frédéric Sitterlé, qui a coordonné sa proposition avec Henri Ancel, avait demandé au patron du RCS de l'accepter avant 20h pour permettre de garder le statut professionnel. Il s'était engagé à lui fournir une garantie bancaire dans les deux jours ouvrés suivant l'acceptation de l'offre pour une vente définitive du club avant le 20 juin.
Sauf retournement de situation dans les heures qui viennent, le football professionnel à Strasbourg est donc mort ce vendredi 10 juin. -
Incroyable et totalement incompréhensible à moins qu'Hilali a une idée... derrière la tête ou une info en sa possession.
-
Ce guignol ne peut pas avoir d'idée derrière la tête, c'est juste qu'il est con.
-
J. Hilali est un Monsieur qui croit pouvoir se permettre une vengeance à plusieurs millions d'euros.
Mais il se venge de quoi au juste. De tout ceux qui le mettent face à ses échecs.
C'est vraiment une pure folie.
On peut remercier F. Sitterlé d'avoir essayé et son offre est plus qu'honnête. Il aura au moins mis en évidence la duplicité de J. Hilali qui ne pourra pas se retrancher derrière le manque de candidat à la reprise sérieux.
Le choix du président est clair, il veut casser son joujou pour briser le rêve des gens qu'il déteste (tout ceux qui sont témoins de son incompétence).
Il n'arrivera pas à briser notre rêve car dés qu'il sera enfin parti, notre Racing pourra renaître de ses cendres. -
Qu'il garde son argent dans quelques années le racing sera en ligue 1 et tocard 1 en prison.
1 millions d'euros c'est beaucoup trop... c'est plutot hilali qui devrai donner 7 millions d'euros pour dommages et intérêts.
Il faut être inscrit et connecté pour ajouter un commentaire. Déjà inscrit ? Connectez-vous ! Sinon, inscrivez-vous.
