Dépôt de bilan ?
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didesseh oui ce soir c'est coucher de rideau , on remballe tout et on rate la remontée pour la deuxième fois et pour un seul match non gagné dans une saison. Y à de quoi se mordre les C...lles.
Bref avec toutes les affaires tordues de ces dernières années le seul bien fait c'est qu'avec la liquidation y aura plus rien à payer pour personne et à celui qui veut de recommancer un club digne de Strasbourg et de ses supporters.
De toute façon c'est le foot mondial en entier qui à un problème!
A force de payer les joueurs trop cher on coule tout un système.
Je pense que Jaffar doit se les mordre tout les jours quand on pense aux millions investis et le résultat.
Bref il n'a fait que reculer l'échéance d'un an si non ce serait Ginestet qui l'aurait coulé.
en attendant ça fera l'affaire de Colmar. -
Déjà que j'avais pas le moral cette semaine, la fin est encore pire!
Rouen n'y arrivera pas, Guingamp monte ce soir, Mathlouthi part, les jeunes du centre qui s'en vont sans avoir porter les couleurs du club, et bien sur Kafar qui continu la destruction...
Et la suite, on fait quoi?
Supposons que Jafar parte une fois les sanctions de la DNCG tombée? que va-t-il se passer, dans quel division et avec quel entraineur et joueur le club va t il reprendre et surtout avec quel actionnaire? -
L'heure du rachat ?
Laurent Fournier a annoncé hier que sa décision de partir « était prise à 80 % ». Mais un rachat du club par son ami José Cobos et ses associés pourrait le convaincre de rester. Archives Jean-Marc Loos
Après un an et demi d'une gouvernance indigne d'un club de football professionnel, le RCS, condamné à rester au mieux en National, est au bord du précipice. Peut-il vraiment être racheté avant un dépôt de bilan ?
La petite phrase qui va suivre est celle d'un actionnaire - très - minoritaire. Elle date d'un mois, a fait sourire quelques initiés et faisait suite à la déclaration du président du Racing, Jafar Hilali, dans « L'Équipe » du 29 avril : « J'ai fait une mise à prix à dix millions d'euros, pas un euro de moins, pas un euro de plus. »
Ce jour-là, notre actionnaire - très minoritaire donc - s'est montré particulièrement taquin : « Il veut dix millions, pas un euro de plus ? Vraiment dommage pour lui. J'étais prêt à lui en offrir douze ! »
Derrière la boutade transparaît toutefois une véritable information : Hilali a ouvert depuis quelques semaines la porte à une vente du club. « Le président du Racing m'a informé de l'existence de trois dossiers portés par des repreneurs potentiels et m'a invité à contacter ces derniers », ne nie pas l'adjoint strasbourgeois aux finances, Alain Fontanel, qui se retranche cependant derrière une clause de confidentialité pour ne pas en dire davantage.
Un de ces pools de repreneurs est identifié. Il est aussi le plus actif, alors que les deux autres se seraient mis quelque peu en retrait. L'ancien Racingman José Cobos, l'ex-président de Monaco Jérôme de Bontin et Eric Gousset, Strasbourgeois de naissance (42 ans) et directeur parisien de la division française d'un grand groupe étranger, en sont les porte-parole. Cobos et Gousset, membres du conseil de surveillance de l'AS Saint-Etienne depuis six ans, se sont connus quand l'enfant du Neuhof a rejoint le PSG (Ndlr : en 1993).
Mais si le trio souhaite faire vite, il n'a pour l'instant pas formulé d'offre concrète à J. Hilali. « Pour qu'une reprise soit envisageable, il faut un vendeur et un acheteur. Il faut aussi qu'ils soient d'accord sur un prix. Ces discussions les regardent directement », expose A. Fontanel. « Pour l'instant, nous ne sommes sûrs d'aucun de ces trois éléments. »
L'affaire ne paraît pas seulement compliquée. Elle l'est. D'abord parce que Hilali veut toujours vendre 10 millions un club de National qu'il a acheté 1,6 million lorsqu'il était en Ligue 2. La seule mise en perspective de ces deux chiffres témoigne de la perte totale du sens des réalités chez le propriétaire londonien. Mais qui s'en étonnera encore ?
« S'engager sur la durée »
Adjoint de Gernot Rohr, le sélectionneur du Gabon, José Cobos confirme que les tractations ont évolué et que le trio devrait se positionner dans les jours à venir : « Aujourd'hui, le Racing est en National, mais pour moi, la L2 ou le National ne change vraiment rien. Nous voulons aller vite, oui, parce qu'il y a des dates butoir (1). Notre dossier est sérieux. Il est porté par des gens qui le sont tout autant, des professionnels qui aiment le foot, contrairement à beaucoup d'autres dans le milieu, et ont envie de réussir, car ils connaissent parfaitement l'histoire, le potentiel, les installations et l'attente du public pour le Racing. Notre projet arrive à maturation et il part d'un principe : s'engager sur la durée. »
Les trois hommes ont déjà défini leurs rôles respectifs en cas de rachat : Jérôme de Bontin président, Eric Gousset directeur général et José Cobos directeur sportif, les deux derniers, natifs de Strasbourg, étant particulièrement sensibles aux malheurs de leur club de coeur. Leur premier objectif serait de convaincre l'entraîneur Laurent Fournier, qui s'avoue sur le départ (voir ci-dessous), de rester. D'où leur volonté de ne pas traîner.
Quoi qu'il en soit, entre un rachat éventuel ou un dépôt de bilan qui semble être la seule autre « solution », la fin du règne de Jafar Hilali, dit Jafar 1 er, paraît proche. Mais nul ne peut parier ce matin que l'actionnaire majoritaire du RCS, étranglé par un garrot financier chaque jour un peu plus serré, ne sera pas tenté de laisser le club s'asphyxier avec lui.
(1) Notamment l'audience le 9 juin devant une DNCG qui va sans doute apprécier que Jafar Hilali veuille équilibrer son budget 2010-2011 avec quatre millions de ventes de joueurs avant le 30 juin, tout en annonçant l'abandon du statut pro.
L'Alsace -
Cette alternative semble assez cohérente pour faire repartir le Racing mais effectivement, que souhaite faire HILALI ?
Est-il seulement vendeur ? Que va décider la DNCG ? quel est la surface financiére de ce trio ? l'affaire peut-elle se boucler rapidement ?
Autant de questions sans réponses pour l'instant, mais a mon avis la principale reste quand même la premiére.... -
J'espere pour le club que quelqu'un reprenne le racing car une liquidation serait beaucoup trop dangereuse pour le Racing et il ne s'en remettrait peut etre jamais et bien sur il faudra travailler sur du long terme et ce la est trop risqué, je sais faudra pas mal d'argent mais il y a pas le choix si le club ne veut pas crever.
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Attention jean-marie , un dépôt de bilan n'entraîne pas forcément une liquidation judiciaire.
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Citation: les commissaires aux comptes ont enclenché la phase 2 de la procédure d'alerte sur les finances du club (phase qui s'accompagne toujours d'une information au tribunal de commerce)
L'Alsace
La procédure en question : "Lorsque le commissaire aux comptes d'une société anonyme relève, à l'occasion de l'exercice de sa mission, des faits de nature à compromettre la continuité de l'exploitation, il en informe le président du conseil d'administration ou du directoire dans des conditions fixées par décret en Conseil d'Etat.
A défaut de réponse sous quinze jours ou si celle-ci ne permet pas d'être assuré de la continuité de l'exploitation, le commissaire aux comptes invite, par un écrit dont copie est transmise au président du tribunal de commerce, le président du conseil d'administration ou le directoire à faire délibérer le conseil d'administration ou le conseil de surveillance sur les faits relevés. Le commissaire aux comptes est convoqué à cette séance. La délibération du conseil d'administration ou du conseil de surveillance est communiquée au président du tribunal de commerce et au comité d'entreprise ou, à défaut, aux délégués du personnel." -
Citation: Dans cette interview dont sont extraites toutes les déclarations ci-dessous du Londonien, tout le monde ou presque en prend pour son grade : « Laurent Fournier et cette équipe n'ont pas été capables de monter en Ligue 2. Ils ont le niveau du National et auront les moyens du National. À part si Superman arrive. Quand j'ai récupéré la présidence, il (Fournier) é tait loin de cet objectif-là (Ndlr : la montée). Que ça lui plaise ou pas, c'est moi le patron. »
Bref, J. Hilali, qui dit ne pas être contre l'idée d'une vente et confirme des contacts, « attend de savoir » ce qu'on lui propose. Il s'érige une fois de plus en « maître de la décision » (2). « Vendre à l'euro symbolique, ce n'est pas possible. Il faut que ça aille assez vite. Je n'ai pas forcément envie de rester, mais la sortie ne se fera pas aux conditions de l'acheteur. Elle se fera aux miennes. Je ne suis pas un marchand de tapis. Je n'ai aucun cadeau à faire à qui que ce soit, ni au public, ni à l'environnement local. Je ne bloquerai pas la vente, mais qu'on ne vienne pas me proposer quelques millions, ça ne marchera pas comme ça. »
Puisque le résultat sera de toute façon le même, CFA !
Que la Ville et l'asso le plantent une bonne fois pour toutes et qu'on en finisse avec ce boulet. -
Il ne se satisferait pas Quelques millions, pour un club qu'il a lui-même ruiné !
Il rêve le pauvre homme. Si déjà on éponge ses dettes et si le reprenneur assume les conséquences de sa gestion calamiteuse, il peut encore s'estimer heureux.
Qu'il s'en aille et vite ! Même l'euro symbolique, c'est trop. Il ne mérite pas un centime en terme de compensation. -
kibitzQue la Ville et l'asso le plantent une bonne fois pour toutes et qu'on en finisse avec ce boulet.
Oui, oui, oui et encore oui, plus un centime pour cet abruti et un dépôt de bilan le plus tôt possible pour que l'on se débarrasse enfin de ce c..
Je me demande encore une fois ce que l'on a bien pu faire au Bon Dieu pour hériter d'un taré pareil !!! -
Le soucis c'est que même après le dépot de bilan le RCS va devoir se fader ce boulet devant les tribunaux. ILs sait parfaitement qu'on fonce vers le dépot de bilan et sa stratégie est claire - au moins depuis le transfert de Gurtner et le confirmation de la non montée en ligue 2 - récupérer du fric par tous les moyens. Sa entêtement à valoriser le club à 10 millions pour sa revente n'a qu'un seul objectif : s'appuyer sur ce chiffre pour espérer extorquer encore plus d'argent devant les tribunaux.
La bataille n'est plus sportive. désormais elle est juridique et les défenseurs du Racing feraient bien de penser à passer à l'attaque sans la moindre pitié. -
J'ai un peu le même genre de craintes que toi, Roquette...
Cela fait un bout de temps que je me demande si la "solution" du dépôt de bilan permettrait véritablement de se débarasser de Hilali, de ne plus entendre parler de lui.... et je n'en suis pas sûr du tout.
J'ai l'impression que beaucoup voient le dépôt de bilan comme un coup d'éponge, genre "on efface tout et on recommence - certes en CFA et sans centre de formation - ". J'ai peur que ce ne soit pas si simple. -
C'est la liquidation judiciaire qui efface toutes les dettes, pas le dépôt de bilan
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Sûr ?
Parce que si je lis les DNA de dimanche dernier, c'est pas ce que je comprends :
Citation:
u Dépôt de bilan
Jafar Hilali, qui ne veut plus mettre un euro dans le club, avait annoncé qu'il était prêt à déposer le bilan, quitte à perdre dans l'affaire les 7 millions d'euros investis. Acte qui représenterait une sorte de vengeance pour celui qui estime avoir été mal accueilli en Alsace.
Dans cette configuration, les dettes disparaissent, mais l'équipe subit dans le même temps une relégation administrative. Concrètement, cela veut dire que le Racing repartirait la saison prochaine en CFA ou en CFA 2, si un repreneur se manifeste.
« Et là, il faut compter un minimum de cinq ans pour retrouver le haut niveau, expose Thierry Wendling. L'avantage est que cela coûterait beaucoup moins cher à un éventuel repreneur, mais il faut alors se projeter sur le long terme. »
Et avoir un projet sportif cohérent. Histoire d'éviter un scénario à la FC Mulhouse, qui végète depuis des années au niveau amateur.
u Liquidation judiciaire
Si Jafar Hilali ne dépose pas le bilan et refuse de vendre le club, c'est la DNCG qui risque de dire « stop ».
Début juin, le président du Racing doit passer devant le gendarme financier du foot professionnel. Et au vu du budget annoncé jeudi soir par le directeur général Christophe Cornelie au conseil de surveillance (DNA d'hier), tout le monde sait que le club va droit dans le mur.
« Le budget sera retoqué par la DNCG, à coup sûr... Hilali table sur 4,4 millions d'euros de recettes, en vente de joueurs. C'est complètement surréaliste ».
Quand bien même le Racing récupérait 4 millions en vendant Damour, Othon ou Fanchone (sic), le problème ne serait pas réglé, « car la DNCG veut un équilibre des comptes sans comptabiliser les ventes de joueurs », souligne encore Wendling.
Hormis la DNCG, Jafar Hilali va aussi devoir faire face à la procédure d'alerte lancée par les commissaires aux comptes (dont Brice de Turckheim) concernant les finances du Racing. Procédure d'alerte qui sera étudiée par le conseil de surveillance de la SASP, qui se réunit lundi après-midi.
Cette procédure d'alerte permet de voir quel est l'état financier exact du club (passif, avoirs...). Un administrateur judiciaire peut ensuite éventuellement être nommé et à terme, cette action peut mener à une liquidation judiciaire.
Liquidation qui serait, sportivement parlant, le pire des scénarios, puisque le club serait relégué... en Excellence départementale.
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le dépôt de bilan n'a jamais effacé les dettes, la liquidation oui, un dépôt de bilan est simplement une cessation de paiement, le commissaire au compte va saisir le tribunal de commerce, et c'est lui qui va décider d'un redressement ou une liquidation judiciaire. En cas de redressement,les actionnaires ou pdg sont destitué du club et un administrateur sera nommé, soit en vendant aux enchères les actifs encore dispo pour rembourser les créanciers, soit pour trouver un repreneur qui devra assumer le passif
je pense qu'en cas de reprise, certains dossier au prud'homme seront réduit voir annuler -
Je confirme. C'est un erreur de la part de l'Alsace. En cas de redressement judiciaire (= dépot de bilan sans liquidation et donc avec un repreneur) Hilali perd son fric et peut-être aussi les actionnaires minoritaires (en tant qu'investisseurs, ils jouent, ils perdent c'est ballot mais c'est comme ça sauf recours toujours possibles). Il y a des chances pour que tout ou partie des clauses de retours à meilleurs fortune des anciens actionnaires ayant lâché du fric sautent également mais ç'est à vérifier.
Les différentes dettes classiques, elles, peuvent être échelonnées mais elles restent dûes et sont théoriquement remboursées par la vente des actifs ou un plan de reprise.
On peut aussi imaginer qu'en cas de plan de reprise, le montant des contentieux aux prud'hommes dégonflera de différentes manières (jury plus conciliant vis à vis des nouveaux patrons, offres de médiations plus acceptables pour les plaignants qui pourraient lâcher du lest par lassitude, intérêt ou amour réel du Racing (hein Schiless?)) mais ça n'a aucun lien direct avec le redressement judiciaire.
Bref sauf liquidation totale, les dettes resteront présentes et continueront de peser de tout leur poids d'ou la craintes que dette de ligue 2 sur épaules de CFA n'aboutissent à une stagnation longue dans les eaux troubles de l'élite amateur.
C'est pourquoi il serait malgré tout souhaitable qu'un plan de reprise puisse se faire avant la rétrogradation à venir suite à l'audition du 9 juin prochain mais là encore la seule voie de sortie viable est minée par l'autre sociopathe handicapé du sens des responsabilité. -
Merci Roquette pour ces précisions (au fait l'erreur ici est des DNA )
Il n'y aurait donc que la liquidation judiciaire pour éffacer les dettes et réellement "repartir de zéro", et en l'occurence en Excellence ou en DH (dixit Gemmrich). Donc le statut serait amateur, et le centre de formation disparait.
En cas de redressement judiciaire avec plan de reprise, les dettes resteraient dues (quoique échelonnées ou potentiellement réduites), et le Racing repartirait en CFA (au mieux). Là aussi, statut amateur et disparition du centre.
En case de reprise avant dépôt de bilan, on repart en National, en gardant le statut pro et le centre. Le hic, comme toujours, c'est Jafar et ses conditions de revente.
Entre ces trois scénari, quel est le "moins pire" pour le Racing ? Vraiment, il est difficile de se prononcer sur la question. -
La moins pire serait de repartir en national avec un ou de nouveaux investisseurs et puis c'est tout ! le reste...
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comme quoi les chinois serait pas une mauvaise solution.. A moins que ce soit de l'intox..
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J'ai toujours du mal à me faire une idée du scénario probable à partir du 9 juin.
Ce jour là, le Racing, ou plutot ce qui lui sert de dirigeant, a rendez-vous devant la DNCG, qui va probablement le rétrograder en CFA.
Mais, concrètement, la cessation de paiement et le redressement judiciaire sont une décision du tribunal de commerce, qui découle de l'alerte lancée par les commissaires aux comptes non ? La DNCG ne peux pas décréter le club an cessation de paiement... ou le peut-elle ?
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Juste histoire de faire une comparaison,en se disant qu'on n'est pas les seuls (même si le GF38 n'a pas le quart du tiers de notre histoire).Alors Jafar,le Racing à 10M.,c'est toujours d'actualité?
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royrodgersJ'ai toujours du mal à me faire une idée du scénario probable à partir du 9 juin.
Ce jour là, le Racing, ou plutot ce qui lui sert de dirigeant, a rendez-vous devant la DNCG, qui va probablement le rétrograder en CFA.
La rétrogradation, s'il doit y en avoir une, ne sera pas immédiate. Comme toujours ils accorderont un délai à nos chers dirigeants. Le mercato ouvrant ce même jour, je pense que Jafar va jouer sur les fameux transferts qu'il estime, excusez du peu, à 4 M € pour pouvoir encore gagner du temps. -
Ce qu'il veut, c'est effectivement encore gagner un peu de temps, racler encore quelques centaines de milliers d'euros avec la vente de ce qu'il reste d'effectif pour limiter ses pertes et s'en aller en suite comme un voleur. (Note à l'attention des avocats de M. Hilali : C'est bien sûr une expression consacrée et non un jugement de valeur).
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Autre note à l'attention des avocats de M. Hilali: pensez-vous vraiment qu'il va vous payer vos honoraires?
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