Le Racing saison 2010/2011
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g.raphael67Il n'y a plus de direction ,juste un hystérique prêt à tout casser si on ne lui donne pas ce qu'il veut! -
Cette brève est une nouvelle fois incroyable, toujours plus loin dans l'ubuesque glauque.
Mais que deviennent donc les défenseurs de M. Jafar Hilali et autres adeptes du wait & see (& not pay the hotel bills) ? -
Venant de Jafar, plus rien ne m'étonne.
On a également comprit, enfin pour ceux qui en doutaient encore, quel avenir Hilali prépare pour le RCS... -
Vous allez voir qu'il ne remettra plus les pieds a Strasbourg.
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dudu a écrit, le 2011-04-30 22:41:45 : Vous allez voir qu'il ne remettra plus les pieds a Strasbourg.
Je pense que tu as raison,il joue ses dernières cartes et après il disparaîtra sans le moindre remord d'avoir envoyé le RCS par le fond! -
matteo a écrit, le 2011-04-30 22:33:50 : Mais que deviennent donc les défenseurs de M. Jafar Hilali et autres adeptes du wait & see (& not pay the hotel bills) ?
Asinus asinum fricat... -
Fournier a payé l'hôtel
Laurent Fournier ne souhaitait guère s'exprimer sur le sujet, mais il a fini par confirmer l'information. L'affaire avait de toute façon été ébruitée par ses joueurs. Après la rencontre à Amiens avant-hier, les Strasbourgeois ont rallié en bus Paris où ils ont passé la nuit. Contrairement à d'habitude, la direction londonienne du RCS ne leur avait fourni aucun chèque pour régler la note d'hôtel. Preuve que les caisses sonnent désespérément vides. Le coach a donc remis un chèque de sa société personnelle sur laquelle sont notamment reversées ses prestations de consultant radio et télé à Didier Félix pour honorer la facture. L'établissement hôtelier ayant refusé d'envoyer celle-ci à la Meinau et exigé d'être payé sur le champ, l'intendant a dû émettre hier matin un chèque de plus de 1000 euros dont « Lolo » Fournier espère évidemment sans garantie aucune être remboursé par ses dirigeants.
Vendredi déjà, le groupe strasbourgeois avait failli ne pas partir en train pour Amiens. Pour la 4 e fois (après Plabennec, Fréjus et Luzenac), l'agence de voyages qui organise ses déplacements avait menacé de ne pas lui fournir les billets, car le Racing, qui se fait tirer l'oreille depuis des mois, lui doit encore environ 15000 euros, malgré quelques récents versements. Les Bleus n'ont finalement pu rallier la cité picarde que parce que lesdits billets, déjà émis, n'étaient ni échangeables, ni remboursables, donc de toute façon perdus s'ils n'étaient pas utilisés. Reste maintenant à savoir comment sera financé le dernier déplacement à Rouen.
L'Alsace -
Ce message est une brève publiée par katzo68.
Laurent Fournier a payé la note d'hôtel de ses joueurs pour un montant de plus de 1.000€. La direction du Racing ne leur avait laissé aucun moyen de paiement.
Source: L'Alsace -
Que dire..
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Strasbourg : Une semaine décisive à plus d'un titre
TGI mardi, DNCG mercredi
Si, sur le plan sportif, Strasbourg jouait presque une finale samedi dernier à Amiens, en coulisse, le club jouera son avenir mardi et mercredi. En effet, comme le soulignent les DNA ce lundi, le Racing sera audtionné par le Tribunal de Grande Instance de Strasbourg mardi, avant de passer devant la DNCG le lendemain. Deux échéances décisives pour l'actuel quatrième de National, dont les comptes sont dans le rouge, et c'est peu de le dire. Le conflit entre l'association et la SASP bat lui aussi son plein, ce qui au final ne devrait être bénéfique à personne. Pire, depuis samedi dernier, du fait de ce différend, tous les jeunes en formation sont libres de signer où ils l'entendent. Une information extrêmement grave pour l'avenir à moyen et long terme du Racing, si avenir il y a...
Foot-National -
Le Racing m'a ressuciteR
« Mourir en combattant, c'est la mort détruisant la mort. Mourir en tremblant, c'est payer servilement à la mort le tribut de sa vie. » écrivait William Shakespeare.
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0 défaite lors des 17 derniers matches, 3 défaites en 37 matches...
En regardant ces statistiques, on se demande comment le Racing ne figure pas sur le podium actuellement...
Le début de saison râté y est pour beaucoup. Mais pas seulement. Le nombre excessif de matches nuls (17 en 37 matches !!!) ont été les principales causes de cet echec sportif. Amiens (10 matches nuls) et Guingamp (11) ont fait la différence dans ce domaine. Dommage mais quand même un énorme bravo aux joueurs et surtout à Laurent Fournier qui dans cette abhérante situation a, durant toute la saison, fait un énorme travail. Merci Lolo, vraiment. (+) (+) -
C'est surtout à mon avis les huit matchs nul à domicile qui nous on plombés,pour un prétendant à la montée sa fait beaucoup.
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Si c'est vrai qu'on peut avoir des regrets par rapport à notre première partie de saison et que le Racing n'a pas à rougir de son bilan face au trio de tête (1 défaite en 6 rencontres),par contre c'est aussi vrai que sur l'ensemble du championnat Bastia,Amiens et Guingamp ont fait preuve de beaucoup plus de régularité.
D'ailleurs il suffit de voir la présence sur le podium de chacun des 4 premiers pour s'en convaincre:
Bastia (29) Amiens (22) Guingamp (24) Strasbourg (1..)
Bref un trio de tête logique car une saison débute au mois d'août et non en janvier malheureusement pour nous. -
... Or la saison au Brésil commence en Janvier, donc le Racing est brésilien, CQFD
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g.raphael67 a écrit, le 2011-05-05 23:49:33 : C'est surtout à mon avis les huit matchs nul à domicile qui nous on plombés,pour un prétendant à la montée sa fait beaucoup.
D'ailleurs c'est assez rare pour être signalé (et ce n'est pas Janin qui dira le contraire..) mais à l'heure actuelle le Racing est mieux classé à l'extérieur (2e) qu'à domicile (5e).
Si on nous avait dit ça il y a quelques mois.. -
Et c'est bien dommage,on avait gagné ne serait-ce que quatre de ses huit matchs on serait à égalité avec Amiens.
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royrodgers a écrit, le 2011-05-06 00:48:18 : ... Or la saison au Brésil commence en Janvier, donc le Racing est brésilien, CQFD
Un certain Guy Roux aurait même vu jouer le Brésil à la Meinau au milieu des années 2000..
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Avec 20 défaites en 37 matches, il est logique que le Racing ne soit pas sur le podium.
Si, si! 20 défaites, les 3 comptables et les 17 prétendus nuls.
a) Tout ce qui n'est pas une victoire est un défaite.
b) Un match dit nul c'est deux points de perdus.
c) perdu vient de perdre et perdre c'est une défaite. -
Si on suit ton raisonnement ca serait plutôt : 17 nuls + 3 défaites = 20 matchs donc 17 points sur 60 possibles ! Soit 5 victoires + 2 nuls et 13 défaites !!!! Et non 20 !!!!
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Houla! On fait dans la complexité et on finit par transformer des nuls en victoires.
Nul, c'est nul! Nul c'est aussi zéro. Maintenant, je sais, c'est le football moderne où l'on vient sur le terrain dans cet objectif. Surtout ne pas gagner, surtout pas! Mais comme ce genre d'objectif passe mal, on le maquille derrière un "ne pas perdre". -
il-vecchio a écrit, le 2011-05-06 08:40:34 : Houla! On fait dans la complexité et on finit par transformer des nuls en victoires.
Nul, c'est nul! Nul c'est aussi zéro. Maintenant, je sais, c'est le football moderne où l'on vient sur le terrain dans cet objectif. Surtout ne pas gagner, surtout pas! Mais comme ce genre d'objectif passe mal, on le maquille derrière un "ne pas perdre".
Chacun est libre d' interpréter à sa façon, moi je me base par rapport aux chiffres...Ca doit être mon coté optimiste... -
La question des salaires n'apparaît même pas comme une circonstance atténuante, aux yeux de Laurent Fournier. « On fera le boulot jusqu'au bout, poursuit-il. De toute façon, il n'y a aucune excuse puisque l'on sait qu'au pire, on sera payé par des caisses de solidarité. Les joueurs n'ont qu'à négocier avec leur banquier. Mais j'ai confiance dans mes joueurs et je leur ai dit avant la séance : pas de sueur, pas de salaire, pas de titre.» (DNA)
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Les amateurs paient les salariés
Les salariés du Racing vont pouvoir remercier Patrick Spielmann, président de l'association support. Archives Jean-Marc Loos
Après d'interminables discussions, l'association support Racing et la section pro ont signé hier soir un compromis. La première, versant amateur du club, a versé 300000 euros à la seconde pour lui permettre de payer les salaires d'avril du personnel de la SASP (1). Un simple répit ?
Toute la journée de jeudi, soirée comprise, et celle d'hier, jusqu'à 20 h, les téléphones et autres messageries électroniques ont chauffé entre Strasbourg et Londres. Mais en fin d'après-midi, un accord est intervenu entre l'association support RCS, gestionnaire du centre de formation qui possède le numéro d'affiliation à la Fédération Française de Football (2), et la SASP dirigée par Jafar Hilali.
Les salariés vont donc pouvoir respirer. Grâce au versement de 300000 euros que la banque de l'association a opéré dès hier soir sur le compte de la section pro, ils vont toucher leurs salaires d'avril en début de semaine. L'homme d'affaires londonien a fait le forcing pour ratifier ce compromis dès hier soir, sans doute afin d'informer Laurent Fournier et son groupe qu'ils pourront jouer l'esprit dégagé ce soir (18 h) à la Meinau contre Rodez.
Si les négociations ont été placées sous le sceau de la confidentialité, les conditions de l'accord ont fini par filtrer (voir ci-dessous). Qui en est le vainqueur ? Sur le court terme, Jafar Hilali, sans doute. À court de liquidités, puisqu'il manque environ 1,8 million en trésorerie pour boucler la saison, l'homme d'affaires va pouvoir honorer les salaires d'avril du personnel et ainsi éviter que ce dernier n'enclenche une procédure qui aurait très vite pu conduire au dépôt de bilan. « C'est un accord intéressant qui permet de repousser le risque de dépôt de bilan sans porter atteinte aux intérêts vitaux de l'association », observe l'adjoint strasbourgeois aux finances Alain Fontanel, au coeur de la médiation. « Mais c'est un accord transitoire qui ne résout de loin pas la totalité des problèmes. Il continue de permettre à espérer de sauver le club. »
Mais si l'on creuse un peu, l'association présidée par Patrick Spielmann est en réalité la grande gagnante. Un, elle apparaîtra aux yeux des salariés comme le sauveur de leurs salaires d'avril. Deux, elle a repoussé le spectre d'une guerre atomique qui aurait pu, dans le pire des cas, lui coûter les 3,188 millions que lui réclamait Hilali depuis un mois et demi. Les deux parties ont en effet mis un terme au référé qui les avait conduites à en découdre mardi au tribunal de Strasbourg.
Hilali était pressé d'avoir du cash
Même si Hilali attaquait ultérieurement l'association en justice, il ne pourrait exiger que 300000 euros de plus. En clair, pour obtenir sans délai 300000 euros cash - à peine 10 % du total qu'il espérait récolter il y a seulement quatre jours au TGI -, le trader a tiré un trait sur les 90 autres %. Il s'est aussi engagé à garder le statut pro en cas de non-montée en Ligue 2. « Nous considérons que ces 300000 euros sont une aide au personnel, pas à Hilali », martèle Patrick Spielmann. « C'est un compromis, signe de la volonté de pacifier les choses. Mais ça ne résout en rien les problèmes pour la suite. Ce compromis va servir de base à l'élaboration, dans un 2 e temps, de la nouvelle convention de gestion entre l'association et la SASP qui, elle seule, nous permettra de donner le numéro d'affiliation à la FFF (3). Je sais que c'est une solution provisoire. Mais nous pouvions difficilement faire autrement. »
Alain Fontanel, qui insiste sur le fait que « sans convention, il n'y aura pas non plus de numéro d'affiliation », en est lui aussi convaincu et place désormais le propriétaire londonien devant ses obligations. « L'association a pris ses responsabilités. Il appartient aux dirigeants du club de prendre les leurs. »
Autrement dit : de trouver au plus vite le 1,5 million manquant pour assurer la trésorerie jusqu'en juin. Faute de quoi, la manne versée par l'association n'aura offert qu'un répit. Début juin, le club se retrouverait de nouveau dans l'impasse. En attendant, ce compromis protège l'association et le club contre tout recours ultérieur de Hilali, même en cas de dépôt de bilan. Cette victoire-là est moins visible que les 300000 euros concédés par l'association. Mais excepté pour des salariés soulagés, elle est beaucoup moins anecdotique.
(1) Société anonyme sportive professionnelle.
(2) Indispensable pour s'inscrire en championnat.
(3) Les négociations sur cette future convention débuteront la semaine prochaine.
L'Alsace
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