Nouredine Bouachera
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superdouarbo a écrit, le 2010-01-09 15:59:38 : Y a un autre truc qui me fait tiquer, combien d'autres personnes comme Nouredine Bouacherra sont payé par le RCS à rien foutre?
Tu m'étonnes à la fin qu'on a un gros trou dans le budget...
Tu en connais beaucoup, des clubs qui n'ont personne qui supervise les adversaires, ou qui supervisent des joueurs ?
Donc, dire qu'il fout rien, c'est se foutre de la gueule du monde (-) -
Bon alors, c'est quoi sa place dans l'organigramme? Apparement il ne bossait pas avec/pour Janin, donc il supervisait pour la CFA? pour les U19?
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Il recrute sur vidéo non?
Cool le job, tu regardes sport+, orange sports eurosport toute la journée (+) .
Alain Fontenla, je le fais pour 3000€ (+) . (Et les chips, je les achète moi même pour pas niquer le budget :p). -
S'il s'occuppe de superviser les joueurs, cela signifie qu'il travaillait avec Pierre ginestet, dans la cellule recrutement.
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Il s'occupe aussi de superviser les adversaires, donc pour/avec Janin.
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Ou pour quelqu'un d'autre (Pierre Ginestet, Camadini), qui donnerait les notes à Janin
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Oui enfin que ce soit directement ou indirectement, c'est du pareil au même. Mais j'ose espérer que le mec qui supervise s'adresse directement au coach, histoire de pouvoir bien se comprendre.
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Et e plus , grâce à son matériel professionnel dernier cri qu'il maitrise maintenant parfaitement, M Bouacherra vous propose aussi de filme vos mariages, baptèmes, bar-Mitsva et autre réjouissances familiales.
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Nourredine Bouachera au Mondial avec l'Algérie ?
En fin de contrat à Strasbourg, Nourredine Bouachera, l'ancien adjoint de Jean-Marc Furlan chargé cette saison de la cellule vidéo et de l'observation des adversaires du RCS, pourrait bien s'envoler pour l'Afrique du Sud avec la sélection algérienne. « Depuis un mois et demi, j'ai travaillé pour le compte du sélectionneur algérien Rabah Saâdane, afin de l'aider à définir sa liste de 25. J'en avais informé le président du Racing, Jean-Claude Plessis, pour ne pas me mettre en porte-à-faux. Je me suis occupé du suivi des Fennecs évoluant en France, comme le Sochalien Ryad Boudebouz ou le Valenciennois Foued Kadir. J'ai préparé douze montages vidéo à ce sujet, mené une analyse vidéo des adversaires de l'Algérie à la Coupe du monde - la Slovénie, l'Angleterre et les États-Unis - et préparé l'évaluation et les tests physiques de l'équipe algérienne. À l'origine, elle devait partir en stage en Italie, mais je lui ai conseillé de déplacer ce stage à Crans Montana (Suisse), puisqu'elle jouera en altitude en Afrique du Sud. Le séjour à Crans est prévu du 13 au 28. Je dois y aller le 20. Je saurai alors si j'accompagne la sélection algérienne au Mondial (du 11 juin au 11 juillet). »
L'Alsace -
J'espère qu'il fait la même chose pour son employeur avec autant de zèle dis-donc...
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en général quand t'en fais des caisses, et que t'es obligé de détailler ce à quoi tu occupes ton temps, c'est que t'as quelque chose à te reprocher
"Douze montages vidéos", pas onze, ni treize, douze, c'est important. et puis quelques tableaux excel, pour un max de $. Ce qui doit être à la portée de n'importe quel kiné de votre patelin, ou prof de sport, ou éducateur de bon niveau.
Et donc tout ça il le faisait pendant son temps de travail, son employeur était informé, soit. Double fonction, des journées bien remplies quoi. Bizarrement ces journées étaient tout aussi remplies quand il ne s'occupait que du Racing.
Bordel quoi. -
les vérités de Bouachera
Dans un mail adressé le 6 mai à la direction, l'ancien adjoint de Jean-Marc Furlan, Noureddine Bouachera, en fin de contrat, abonde dans le sens de Jean-Marc Kuentz et François Keller. Il cible la politique de Philippe Ginestet.
Jean-Claude Plessis a beau estimer que l'altercation entre François Keller et Pascal Camadini relève de la simple anecdote dans un milieu du football où les explications houleuses seraient, selon lui, monnaie courante, le nouveau président a vite cerné que les relations entre certaines composantes du Racing étaient plus que tendues. « Je découvre quelque chose de monstrueux dans ce club : l'animosité entre les gens. Je passe mon temps à rencontrer des personnes qui démolissent celle que j'ai quittée il y a dix minutes. Je n'ai jamais vu un club où tout le monde ragotait autant », disait-il voici quelques jours.
À l'évidence, l'ancien président du FC Sochaux en a entendu des vertes et des pas mûres depuis son arrivée. En a lu aussi, sous forme, par exemple, d'un mail que lui a adressé le 6 mai Noureddine Bouachera, l'ancien adjoint de Jean-Marc Furlan chargé cette saison de la cellule vidéo et l'observation des adversaires, en fin de contrat en juin.
Absent de la fameuse réunion de la veille où la boite à gifles a failli fonctionner, Bouachera y défend le travail du centre de formation aux époques Duguépéroux, Larguet et Kuentz. Il rappelle en substance que le Racing a vécu trois ans sur les transferts de joueurs formés au club (1) et pourrait encore devoir son salut financier à la vente des derniers éléments recrutés par Marc Keller et Jacky Duguépéroux (Loïc Damour, Mamadou Bah, Jean-Alain Fanchone, Quentin Othon, Magaye Gueye).
« Des clans et des interférences »
Il dénonce surtout ce qu'il dénonçait déjà à l'époque où Furlan dirigeait les pros : l'influence de la cellule recrutement sur le choix des joueurs, contre l'avis des techniciens en place. C'est de notoriété publique : Jean-Marc Furlan n'a jamais souhaité les venues de Victor Correia, Boubacar Kébé (tous deux blessés, le premier n'ayant pas disputé le moindre match officiel depuis son arrivée en 2008) et Franck Dja Djedje (prêté cette saison à Vannes). Il a toujours pesté contre ces choix qui lui avaient été imposés. « Le vrai problème au Racing, c'est qu'il n'y a pas de justice dans le mode de fonctionnement », fait observer Bouachera, « Mon mail (2) reproche à la cellule recrutement de l'époque ce qu'on lui a reproché pendant deux ans avec Jean-Marc. Nous avons vécu dans un club perturbé par des clans et de grandes interférences. Et c'est en partie pour cette raison que nous avons échoué d'un rien dans notre opération remontée en Ligue 1 en 2008-2009. Nous avons fini 4 es avec 65 points. Arles-Avignon vient de monter en L 1 en décrochant la 3 e place avec seulement 60 points. L'an passé, avec ce total, il ne se serait classé que 7 e . »
S.G.
(1) Pour mémoire et pour ne remonter qu'à la période récente, les seules ventes de Sidi Keita, Ricardo Faty, Morgan Schneiderlin, Habib Bellaïd et Kévin Gameiro depuis 2006 ont rapporté près de 14 millions. Le RCS peut même prétendre à 30 % de la plus-value à la revente au-delà des 3 millions auquel Gameiro a été vendu à Lorient.
(2) Noureddine Bouachera tient à préciser qu'il n'a jamais dévoilé l'existence de ce mail et est même surpris que « L'Alsace » ait pu en avoir connaissance (Ndlr : pas dans le détail). Mais il ne renie pas ce qu'il y écrit.
L'Alsace -
Cette charge en règle contre le système Ginette coincide parfaitement avec le sortie de Furlan dans les DNA du même jour. Quitte à se foutre tous sur le gueule les une et les autres autant que les choses soient dites et j'apprécie que Bouachera et Furlan défendent le centre de formation et les gens qui y ont travaillé contre les Camadini, Canosi et Ginette bros.
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Ce message est une brève publiée par katzo68.
Noureddine Bouachera demanderait 100.000€ de dédommagement au Racing suite à des baisses de salaires qu'il a jugé abusives après la relégation en Ligue 2.
Source: L'Alsace -
Bouachera ira en appel
Son cas diffère sensiblement de celui des autres salariés, tous licenciés économiques ou pour faute grave, et est de ce fait moins significatif. Noureddine Bouachera est en effet allé au bout de son bail (2007-2010). Mais il se bat depuis deux ans pour récupérer des émoluments (99 000 euros) qu'il estime dûs par le Racing. Il a cependant été débouté la semaine passée en première instance.
À son arrivée en 2007, l'adjoint de Jean-Marc Furlan paraphe un contrat de trois ans qui stipule que son salaire sera divisé par deux en cas de relégation en Ligue 2. La descente est effective un an plus tard. « À l'époque, je n'ai pas trop eu le choix, mais j'aurais dû immédiatement saisir la LFP pour dénoncer cette clause que j'estime abusive. Nous, les adjoints, ne sommes défendus par aucune convention collective, au contraire des joueurs dont le salaire ne peut pas, après une relégation, être diminué de plus de 20 %, sauf s'ils sont d'accord. Jean-Marc Furlan, qui avait dû se plier à la même clause, avait récupéré dès novembre un salaire seulement réduit de 20 %. J'aurais aussi dû avoir ce droit. J'ignore pourquoi les Prud'hommes ont rejeté ma requête, mais j'irai en appel. Et je vais saisir la LFP sur mon cas. »
L'Alsace -
Encore un cas d'école, avec l'affaire Abadie. Au moins grâce au Racing, les droits des joueurs et adjoints pourraient évoluer O:)
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Ce message est une brève publiée par katzo68.
Noureddine Bouachera, qui réclame 99.000€ au Racing pour son licenciement, a été débouté en première instance. Il va faire appel et compte saisir la LFP sur son cas.
Source: L'Alsace -
La technique au service du jeu
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Ici entouré de ses deux salariés, Benjamin Hoffmann (à gauche) et Pierre-Christophe Dus, dans les locaux de la rue de l'Artisanat à Reichstett, l'ancien coach adjoint du Racing Noureddine Bouachera, qui vit à Bordeaux et travaille comme prestataire pour le club de Troyes, garde, via sa société et ses amitiés, les deux pieds ancrés en Alsace.
Créateur de sa société, l'ancien entraîneur adjoint du Racing Strasbourg Noureddine Bouachera a développé un logiciel de gestion sportive qu'il propose aux clubs. Un outil informatique destiné à rationaliser leur travail dans tous les domaines auxquels ils touchent.
Les locaux de la rue de l'Artisanat à Reichstett sont « spartiates », pour reprendre l'expression de Noureddine Bouachera, l'ancien entraîneur adjoint du Racing, patron de la société « Pro training systems ». L'objet de cette dernière ? Promouvoir ce que son éminence grise appelle « un outil structurant et organisant » pour les clubs de football.
Avec divers concours, dont celui de ses deux salariés, il a développé - et continue à le faire - « Pro training soccer », un progiciel modulaire qui offre « une base de données personnalisées » sur l'entraînement, la préparation physique, la compétition et le recrutement (un dernier module pas encore commercialisé). « Au fil des années, j'ai mis en place différents outils pour assurer le suivi longitudinal de nos équipes et de nos joueurs. Tout regrouper et proposer ça en abonnement aux clubs les met à l'abri de voir leur entraîneur les quitter en emportant ses données personnelles. Avant, chacun travaillait dans son coin, avec des dossiers éparpillés. Nous avons élaboré un progiciel modulaire simple d'utilisation, mais particulièrement sécurisé : chaque service n'a accès qu'à son domaine d'activité, sauf à disposer du code d'accès d'un autre service. Ça évite ainsi fuites et interférences. Nous ne nous occupons que de la gestion sportive, pas de la gestion financière. Pour l'instant, notre logiciel n'existe que pour le foot, mais nous envisageons de le développer pour les autres sports collectifs. »
Troyes, Lens, Strasbourg et le centre de formation de Lyon l'ont déjà essayé et adopté. La commercialisation, débutée en 2011, bat son plein, avec Noureddine Bouachera comme prospecteur : « Nous sommes en discussion avec la Fédération française et avons un accord de principe avec la FIFA, dont Alexander Vencel (l'ex-dernier rempart et entraîneur des portiers du Racing) est instructeur pour les gardiens, dans le but de développer un outil spécifique gardiens à distribuer partout dans le monde. »
« Une base de données sur 90 000 joueurs »
Le dernier module mis en chantier - le recrutement - n'est évidemment pas le moins spectaculaire. Le créateur de « Pro training systems » l'a jugé indispensable : « Lors de ma dernière année à Strasbourg, j'ai vu 120 matches de visu et 300 au total, avec ceux regardés à la télé. Mais je me suis aperçu que peu de clubs disposaient de structures de recrutement, excepté en Ligue 1. Notre logiciel leur fournit une base de données sur 180 championnats et 90 000 joueurs, avec tous les détails de leur carrière, leur temps de jeu, leurs matches joués, leur nombre de buts et passes décisives, la durée de leur contrat et leur valeur marchande. On appuie tout ça avec des vidéos individuelles sur demande. Nous travaillons en partenariat avec des prestataires qui nous remontent ces infos. Le logiciel est ainsi toujours actualisé. À terme, nous voulons récupérer des données plus personnelles, comme les blessures de chaque joueur durant sa carrière. »
L'ancien prof de sports refuse toutefois catégoriquement le mélange des genres. « En aucun cas, je ne rentre dans la transaction sur un transfert. Aujourd'hui, les gens qui proposent des joueurs sont directement intéressés par le profit financier qu'ils en tireront. Notre rôle est de donner un conseil gagnant à un club sans intérêt personnel dans l'arrivée du joueur proposé. Je ne peux donc pas me permettre de faire dans le copinage ou l'affect. »
Ce « conseil gagnant » est en effet le gage de sa crédibilité. Et une façon de prouver aux clubs et à leurs staffs que « Pro training soccer » est un instrument d'accompagnement, pas de remplacement. « Nous rencontrons des réticences dans les clubs, parce que ça modifie forcément la façon de travailler des gens en place. Certains peuvent penser que ça touche à leurs prérogatives. En réalité, notre logiciel n'est pas fait pour se substituer à la compétence des entraîneurs, mais les accompagner dans la mise en place d'un projet. »
Le Racing en est l'un des premiers utilisateurs. Logique : sa reconstruction en est encore à ses balbutiements.
DÉCOUVRIR Pour tous renseignements, consulter www.protraining-systems.com.
L'Alsace -
Là il a trouvé un très bon filon. Je suis même étonné qu'un tel logciel n'existe pas déjà avant lui. Seule faute de goût : elle est de taille : le dernier mot du nom de son logiciel.
"Pro training soccer", ***tain, mais il peut pas utiliser le terme"football" comme tous les pays qui jouent au foot ! le vrai ! -
Je pense que c'est une allusion à Pro Evolution Soccer.
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L'info était passée inaperçue...
Chargé du recrutement à Troyes depuis 2010, Nourredine Bouachera a été remercié par le président Daniel Masoni. «J’aurai un regard sur le recrutement, ce qui n’empêchera pas que ce sera toujours un recrutement à la demande du coach», a précisé ce dernier lundi sur le site officiel de l'ESTAC. Troyes est dernier de Ligue 1.
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