Le Racing et la DNCG
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kibitzPuisque Camadini a refusé, on va demander à Papin de rechausser les crampons.
Pour en revenir à Jafar, j'espère qu'il ne mobilisera pas le groupe comme il a réussi à mobiliser contre lui
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patess67 a écrit, le 2010-11-03 05:52:28 : Une idée sur la rallonge ? J'ai comme un doute
25 m, ça suffit juste pour aller direct à la voiture après le CA du jour, et ainsi bifurquer et éviter une nouvelle fois une rencontre avec l'entraineur et l'équipe.
Ca peine pour garder les comptes équilibrés et ça rechigne à mettre la main dans l'hérisson pour sortir un peu de pognon. Je vois pas vraiment la réalité de la chose.
Dans ce cas la, autant sortir 15 M de plus de suite (les 7 M d'arrierés de litiges en sus), afin d'assurer le plein équilibre....
Moi ce qui me chagrine, c'est de voir la boutique du Club fermée depuis quelques matchs. En théorie, la vente de produits officiels du Club doit rapporter un peu de sous ? non ? A moins que les coûts de fonctionnements soient plus élevés si ouverture il y a les soirs de matchs.
Je trouve que c'est une manne, plus ou moins rentable, certes, dont se prive les dirigeants actuels. C'est assez paradoxal, quand on voit que ça rogne sur les coûts et les dépenses à droite à gauche, et ça fait pas mal de déçus les soirs de matchs.
Faudrait qu'on m'explique... -
C'est que les allers-retours Strasbourg-Toulouse, Strasbourg-Paris et Strasbourg-Varsovie en avion ne sont pas donné. Pendant ce temps là les joueurs voyagent en bus et Camadini ne peut pas aller à Colmar pour réduire les frais...
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Bientôt les joueurs vont s'inscrire sur le covoiturage du stub pour aller au match ^^
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redaction a écrit, le 2010-11-10 08:34:14 : Ce message est une brève publiée par katzo68.
Le Racing aurait déjà un dépassement de 50.000€ par rapport au budget prévisionnel pour la partie allouée aux déplacements.
Source: L'Alsace
Ah c'est sûr qu'en mettant 0 Euros dans cette ligne budgétaire...
J'ai du mal à comprendre comment on peut dépasser ce budget avec le bus du club
Jafar Hilali pensait peut-être que les joueurs allaient loger chez l'habitant ? -
Augmentation du prix de l'essence peut-être ?
Ou alors, trop de joueurs en sur-poids, ça fait consommer trop de carburant
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Il faut dire que les deux semi-remorques de grillage homologué FFF et le bus d'artisans spécialisés dans la construction-réparation de grillages reviennent cher.
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mediasoc a écrit, le 2010-11-10 21:46:37 : J'ai du mal à comprendre comment on peut dépasser ce budget avec le bus du club
Jafar Hilali pensait peut-être que les joueurs allaient loger chez l'habitant ?
Tout cela va finir comme dans PEKIN EXPRESS, 1€ par jour et par personne et le stop pour tout le monde.... -
Que diable fait donc la presse?
Godin le fouineur qui sait tout, voit tout et entend tout, le pire cauchemar de Cornélie est plus silencieux qu'une tombe. La succursale Pathé-Marconi sise 22 rue de la Nuée-Bleue rencontre des difficultés budgétaires pour payer l'encre à son personnel.
Le supporter lambda est donc maintenu dans l'ignorance.
Mais, il y a un mais. Le supporter kappa, avec un k comme KCB ou un k comme Kneckbull. Visiblement le supporter kappa est on ne peut mieux informé. Un clic sur le lien de la revue de presse de ce jour est à ce sujet éloquent.
supporter kappa a écrit : L'enjeu est de taille. En effet, la direction du club espère que sera levé le plafonnement de la masse salariale afin de pouvoir renforcer l'équipe de deux ou trois joueurs. Pour ce faire, le budget qui sera présenté prévoit une trésorerie positive pour la fin de saison. Ce sont ces excédents (qui sont suffisants) que le club compte utiliser pour dans un premier temps qualifier Yohann Betsch, recruter Stéphane Noro qui est à l'entraînement depuis hier après midi et enfin renforcer le secteur offensif par un joueur issu d'un club de L2. A priori, la DNCG ne devrait objectivement voir dans les chiffres présentés............
.........aucune objection pour lever cette sanction :
A l'évidence certains savent, mais savent ils tout?
La tâche d'un porte-parole est de communiquer, d'informer, mais sans trop en dire.
Voici donc que d'un budget prévisionnel déficitaire, le Racing terminera l'année en excédent par l'opération du Saint-Esprit. La restructuration de personnel n'ayant pas été menée à bout, ce n'est pas de ce coté que se dégageront les excédents. A moins que l'économie réalisée sur l'abandon d'entretien du site y contribue ou que les Brootwurscht soient enfin devenues comestibles et si réputées dans le royaume de France qu'on se déplace depuis celui de Navarre (vu de Strass, l'Ariège c'est la Navarre, puisque vu d'outre-Vosges nous sommes en Allemagne) par charters, trains et bus entiers pour y goûter, remplissant ainsi les travées de la Meinau. (*)
La seule question qui mérite encore d'être posée est la suivante: Ces excédent qui sont suffisants (supporter kappa dixit) pour qualifier Betsch et Noro dans un premier temps, suffiront ils dans un second temps à financer la construction de MON stade?
(*) Ralphy, conseiller occul-te de Jafar-le-Magnifique a suggéré de ne vendre des Brootswurscht qu'aux personnes munies d'un billet pour le match, faisant ainsi d'une pierre deux coups. -
L'article dont tu parles a été modifié depuis, on ne parle désormais plus d'une "levée du plafonnement de la masse salariale" mais seulement d'un assouplissement. La journée a été visiblement difficile du côté de la Meinau.
Entre le contrat de Mathlouthi à faire valider (il ne faudrait pas l'oublier, c'est ce que le club lui a promis le mois dernier), celui de Betsch, probablement Noro et l'autre joueur de L2 déjà annoncé pour le Mercato (sans parler d'Adabie honteusement sacrifié), le rendez-vous avec la DNCG s'annonce compliqué. :( -
Qui veut paumer des millions ?
Julien Fournier laisse son avocat s'occuper de son dossier : l'homme de loi réclame pour le compte de l'ancien président 1,2 million d'euros. Archives Dominique Gutekunst
Déjà peu reluisante, la situation financière du RCS pourrait être plombée par tous les litiges en cours aux Prud'hommes. De quoi effrayer n'importe qui, à commencer par la DNCG (1) qui auditionnera le club demain après-midi.
C'est la partie immergée de l'iceberg. Celle que les multiples audits de ces derniers mois ont contribué à faire remonter à la surface, remettant en lumière certains litiges que l'on aurait presque fini par oublier. D'aucuns datent des époques antérieures au règne anglais. Les autres se sont multipliés depuis l'avènement de Jafar Hilali et Alain Fontenla.
La direction du club a provisionné ces procès prud'homaux « en fonction de l'appréciation du risque » qu'elle pouvait en avoir. Dans le document qu'elle produira demain devant la DNCG, elle reconnaît que plusieurs n'ont d'ailleurs purement et simplement « pas fait l'objet de provisions. » Selon les nouveaux dirigeants, le total représenterait - en demande - 4,8 millions d'euros.
Mais la réalité des chiffres est bien plus inquiétante. Ne serait-ce que parce que le dossier Jose Luis Chilavert n'est toujours pas clos. En 2000, en marge d'un salaire officiel de 30 000 euros bruts, le gardien du Paraguay, star du mondial en France deux ans plus tôt, signe à son arrivée au Racing une convention sous seing privé de 4,2 millions de dollars. Viré à l'automne 2001, il n'en verra jamais la couleur. Le président strasbourgeois de l'époque, Patrick Proisy, dénonce le document comme un faux grossier et porte plainte. En première instance le 2 juillet 2005, Chilavert est condamné par le tribunal correctionnel de Paris à six mois de prison avec sursis pour « usage de faux » et 10 000 euros de dommages-intérêts à verser au RCS. Mais un an plus tard (le 14 juin 2006), la Cour d'Appel de Paris le blanchit et renvoie les deux parties dos à dos, estimant qu'il y a « un doute sur la fausseté même » de la convention.
Chilavert pèse... 8 millions
La procédure prud'homale, elle, n'est pas encore arrivée à son terme. Le Conseil des Prud'hommes a subordonné sa décision à l'enquête diligentée par la justice strasbourgeoise sur l'affaire des transferts frauduleux du RCS pour laquelle Patrick Proisy et son ancien manager général Claude Le Roy restent mis en examen. Une enquête toujours instruite, avec, notamment, l'envoi récent de commissions rogatoires à l'étranger, dont les remontées demandent naturellement du temps.
De ses conclusions, les Prud'hommes s'inspireront sans doute pour statuer. Pour l'heure, l'ancien portier sud-américain réclame non seulement les 4,2 millions de dollars (3,1 millions d'euros) de la convention sous seing privé, mais aussi des salaires de la saison 2001-2002, compléments de rémunération, frais de procédure et autres congés payés pour 920 000 euros. Sans parler de dommages-intérêts complémentaires pour... 4 millions. Soit la coquette somme - à quelques fractions près - de 8 millions. En l'état actuel des choses, rien n'indique que Chilavert sera indemnisé à cette hauteur, ni même s'il sera indemnisé tout court. Mais rien ne permet non plus d'affirmer formellement le contraire, surtout si Proisy et/ou Le Roy devaient être condamnés au pénal.
Le reliquat des ères pré-londoniennes ne s'arrête bien entendu pas là. L'ex-entraîneur Jean-Marc Furlan, limogé au terme de la saison 2008-2009 à un an de la fin de son contrat, demande 460 000 euros. Son éphémère successeur, Gilbert Gress, écarté en août 2009, exige sensiblement la même somme. Ex-adjoint de Furlan, Noureddine Bouachera espère 100 000 euros en réparation de baisses de salaires qu'il estime abusives après la relégation en Ligue 2.
2 millions de risques sous l'ère Hilali-Fontenla
De leur côté, les propriétaires londoniens peuvent, en moins d'un an d'exercice, se targuer d'avoir multiplié les conflits, pour un poids global de quelque 2 millions. En l'absence de conciliation, tous ceux qu'ils ont évincés sont déterminés à faire valoir leurs droits et aller jusqu'au bout. Le premier président de l'époque « anglaise » Julien Fournier a, par le biais de son avocat, demandé 1,2 million. En dédommagement de son année de bail, l'ex-coach Pascal Janin a estimé son préjudice à près de 300 000 euros. Licenciée pour faute grave, l'ancienne assistante de direction Valérie Bonjour a déposé une requête pour 200 000. Silencieux sur son cas, l'ex-préparateur physique Jean-Claude Thiry en aurait demandé, selon nos estimations, environ 100 000.
À ces sommes s'ajoute la procédure lancée par l'ancien président Luc Dayan, qui, en sus de ses 75 000 euros d'honoraires non perçus pour sa mission de quatre mois, de janvier à avril (2), réclame désormais 175 000 euros de dommages-intérêts.
Tous comptes faits, les affaires en cours constituent un risque potentiel d'un peu plus de 11 millions (3 sans le dossier Chilavert). Le Racing en a provisionné à peine plus de 1,6 million (3), soit environ 15 %. La DNCG dira demain si cette garantie lui suffit.
S.G.
(1) Direction nationale du contrôle de gestion de la Ligue de Football Professionnel.
(2) Malgré deux injonctions de payer, le club a fait appel. Luc Dayan a donc décidé de ne pas faire le moindre cadeau, comme d'ailleurs tous les autres ex-salariés en conflit avec la direction londonienne.
(3) Dont 700 000 pour Chilavert et 288 000 pour Furlan. Cette dernière provision est d'ailleurs la seule pour la saison passée. Rien n'a été prévu pour les litiges avec Julien Fournier, Valérie Bonjour, Jean-Claude Thiry, Pascal Janin et Luc Dayan.
L'Alsace -
Tiens, au passage, c'est intéressant d'apprendre que l'affaire des transferts sous IMG est toujours en cours d'instruction. On avait rien entendu là-dessus depuis les mises en examen en 2006.
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Bonjour les bombes a retardement.
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Rien ne sert de dire ou écrire tel litige est à imputer à tel président. Le problème est que ces litiges sont bel et bien là, que lors du rachat du Racing, Fontenla, Lobban, Isseneger et Hilali les connaissaient, il leur incombe à présent d'assumer. Quant aux licenciement faciles je ne pense pas que le Racing figure au hit-parade, d'autres clubs ont cette pratique facile.
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Il me semble que c'est aussi l'une des raisons pour laquelle les reprenneurs ne se pressent pas...
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pur-et-dur68 a écrit, le 2010-11-24 10:00:03 : Rien ne sert de dire ou écrire tel litige est à imputer à tel président. Le problème est que ces litiges sont bel et bien là, que lors du rachat du Racing, Fontenla, Lobban, Isseneger et Hilali les connaissaient, il leur incombe à présent d'assumer. Quant aux licenciement faciles je ne pense pas que le Racing figure au hit-parade, d'autres clubs ont cette pratique facile.
J'avais écrit ce massage dans le topic Jaffar Hilali, une erreur de requête a planté la transmission et quand j'ai rouvert la session j'ai pris par inattention"Le Racing et la DNCG. -
ça pue de plus en plus... ça sent la banqueroute...
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La DNCG lit-elle l'Alsace?
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Citation: Il me semble que c'est aussi l'une des raisons pour laquelle les reprenneurs ne se pressent pas...
C'est à mon sens la seule chose importante... Qaudn on voit que les "locaux" peinaient à se mettre d'accord, on avait tendance à gloser qu'il n'était pas capable de réunir l'argent du rachat + l'éventuel investissement, mais les montants de l'Alsace font froid dans le dos. A la (très grosse)louche : 4 millions pour racheter à Kim Jong Il + 2 millions d'investissement pour jouer qqchose de potable (en National ou en L2) + 3 millions (procédure, avec Chilavert perdant), ça fait le ticket d'entrée à 9 millions d'euros.
Dans une hypothèse "haute" : on peut imaginer 6+2+11 soit 19 millions d'euros, c'est surréaliste pour un club de National.
On n'est pas dans la merde... :( -
Non mais tout va bien, c'est Hilali qui le dit.
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Et dire que tout le monde me riait au nez quand je disais que ce club ne valait plus un kopeck, que Ginestet n'était qu'un escroc en demandant autre chose qu'un €uro symbolique.
Voilà où nous en sommes maintenant. -
Strasbourg : Onze millions d'euros sont en jeu!
Ce que nous révèlent nos confrères de L'Alsace ce jour est tout simplement hallucinant. En effet, le Racing Club de Strasbourg, qui doit passer devant la DNCG demain jeudi, risque de devoir payer 11 millions d'euros, le fruit d'affaires en cours pas toujours très claires. Ainsi, on apprend par exemple que Chilavert, l'ancien gardien paraguayen du Racing, chercherait à récupérer pas moins de 8 millions d'euros relatifs à un contrat signé en 2000 (clause d'environ 4 millions d'euros non touchée et autant réclamés en dommages et intérêts).
Janin et compagnie se font entendre
Si "l'affaire Chilavert" pourrait coûter très cher au club de National, d'autres procédures sont en cours. Ainsi, Luc Dayan (250 000 euros), Jean-Claude Thiry (100 000 euros), Jean-Marc Furlan et Gilbert Gress (460 000 euros), Noureddine Bouachera (100 000 euros), Pascal Janin (300 000 euros) ou encore Julien Fournier (1,2 millions d'euros) sont décidés à récupérer une jolie some d'argent. Au total, le Racing Club de Strasbourg a provisionné à peine plus de 1,6 million d'euros, bien peu au regard des 11 millions réclamés. La DNCG va devoir trancher.
Foot-National -
Détail intégriste mais rien n'oblige ou obligeait les éventuels repreneurs à assumer la garantie passif.
Cela avait d'ailleurs fait l'objet de négociations entre Gindorf & co et Maccormack. -
En même temps, certaines affaires durent depuis si longtemps, que celles-ci et surtout les dernières, peuvent encore durer quelques années supplémentaires!
Rapide, notre justice!
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