Qu'avez vous mangé à Noël ?
Flux RSS 14 messages · 984 lectures · Premier message par lenain2jard1 · Dernier message par la-lanterne
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lenain2jard1Un petit topic complémentaire a celui de Marc sur les cadeaux.
A Noel, souvent sont tables Gargantuesques.
Pour ma part, voilà ce qui'il y avait chez ma mère :
- Apéro ( petits salés, olives ...)
- Foie gras dans sa gelée
- Saumon plus crevettes
Là, petite pause car on en peut déja plus tellement les quantités sont astronomique
Mais bon, comme il faut bien continuer, la suite :
Chapon Farci ( un monstre qui devait bien faire 5 kilos
) pommes au four
Apres ça, on est proche d'exploser, on décide donc d'offrire les cadeaux histoires de faire de la place.
Vient ensuite la traditionnelle bûche de Noel ( à. la nougatine) puis le café.
Voila pour hier soir .
Mais c'est pas fini
Vers 16h aujourd'hui je récupère ma Copine chez ses grands parents et j'en profite pour prendre le dessert
Puis ce soir, petit reveillon de Noel rien que pour nous 2 :
- Feuilleteés d'Escargots
- Filet de Boeuf au foie gras.
Voilà, et vous qu'avez vous mangé ? Votre Nain boucher se le demande .
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Après mes 5 amers fleur de bière j'ai mangé des toasts au saumon.
Après j'ai mangé du riz cantonais avec une fondue chinoise.
Ensuite déserts, glace panier fruits.
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J'ai mange mac do
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Et bien
apéritif de viande ( petit pâté en croûte)
Foie gras avec fleur de sel, confit de fruits secs et confit d'oignons
tournedos rossini
lotte à l'armoricaine
dinde aux marrons
bûche de noël -
Du poulet avec des pommes de terres, devant le stub
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Pain surprise
de la sandre accompagner de riz
buche, biscuit au fruit.....
(biere de noel)
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Du foie gras, Moules Frites, Buche de noël, + ricard et une bonne Bière de noël 1.5litre pour moi. Quel Bonheur......
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Les moules frites et Jack, une longue histoire d'amour...
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Et comment ils était bien baveuse.
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Un article rigolo paru dans Le Monde sur ce que mangeaient les Gaulois...
Vercingétorix et les sangliers
Les repas des Gaulois étaient beaucoup plus variés que la légende veut le laisser croire. Rencontre avec un archéologue.Que reste-t-il des Gaulois dans nos assiettes ? Christian Goudineau, professeur au Collège de France, titulaire de la chaire des Antiquités nationales, se veut prudent : la Gaule au temps de César était "une mosaïque de tribus" au sein de l'ensemble celtique, qui allait au coeur de l'Europe centrale, avec des pratiques culturelles différentes.
Il n'est pas sûr alors qu'il y ait eu une cuisine gauloise.
Mais Vercingétorix, ce fier guerrier extirpé de l'ombre sous le Second Empire et érigé en symbole par l'école de Jules Ferry après la défaite de 1870, mangeait-il quand même du sanglier ? La paléo-zoologie répond aujourd'hui à cette question. C'est la plus indiscrète des méthodes d'investigation. Les archéologues sont les médecins légistes de l'Histoire. Ils s'intéressent aux dépotoirs autant qu'aux trésors, mais désormais - c'est nouveau - ils dressent des statistiques. On sait ainsi avec précision, après avoir fouillé leurs poubelles, les repas des Gaulois.
"Vercingétorix a dû en manger, répond Christian Goudineau, parce que, étant aristocrate, il était chasseur." Mais l'essentiel de la nourriture carnée, à cette époque, est celle des animaux d'élevage : le porc, les volailles, le chien... On connaît aujourd'hui les espèces, leur stature, leur poids, leur apparence et même l'âge auquel les bêtes étaient abattues.
Les données recueillies dessinent à chaque époque une sociologie et une géographie de l'alimentation, car on ne mange pas la même chose dans un oppidum, dans une petite exploitation rurale ou lors d'un banquet sacrificiel.
"Les Gaulois aiment surtout le cochon et les volailles", dit Christian Goudineau. Ils mangent également du chien, du moins jusqu'à la fin de l'âge du fer ; sa consommation disparaît avec la romanisation. En second lieu, le boeuf et, accessoirement, le mouton et la chèvre, très rarement le cheval.
Chez les Salyens d'Entremont (près d'Aix-en-Provence), on observe que les restes des membres postérieurs de porcs y sont plus fréquents que ceux des membres antérieurs. Importait-on des jambons ou bien vendait-on les épaules à l'export ?
Chez les Rèmes, d'après les trouvailles d'Acy-Romance (Ardennes), on peut imaginer un banquet servi en l'honneur de Vercingétorix : "Au menu, quelques poissons d'eau douce capturés lors du frai, puis une cuisse de chien grillée et enfin les salaisons, spécialités de l'endroit", assure Christian Goudineau. La viande est soit bouillie, soit rôtie, car on trouve des broches et même des grils dans les vestiges de maisons rurales.
"L'ordre qui va du rôti au bouilli est à la fois temporel et culturel, disait Marcel Detienne, spécialiste de la civilisation grecque. C'est celui d'une humanité engagée sur la voie du mal vers le mieux, et rappelle ainsi qu'elle a d'abord mangé des grillades avant d'apprendre l'art des plats mijotés."
A cet égard, l'oppidum du Titelberg, au Luxembourg, révèle une formidable organisation du commerce de la viande et des produits dérivés, probablement destinés à l'exportation. Mais alors, et le sanglier ? On a très peu de vestiges et cette quasi-absence de traces permet de tordre le cou au mythe selon lequel le Gaulois vivait de la chasse et de la pêche comme l'homme de Cro-Magnon, "un peu trop pénard dans sa caverne ornée de fresques et de cuissots de rennes" (Le Caporal épinglé, de Jacques Perret, 1947, Gallimard, Folio).
Cette image encore vivace a longtemps alimenté la verve revancharde contre les invasions à répétition des tribus germaniques : toujours selon Jacques Perret, "Arioviste, avant de tomber sur les Eduens, avait dit à ses troupes : vous trouverez là-bas des jambons d'auroch de toute première bourre et des femmes qui se graissent les cheveux avec du beurre vénète".
Christian Goudineau livre ses réflexions les plus récentes. Il pense que la civilisation des peuples celtes est ancienne et essentiellement agricole et que la chronologie doit être révisée. "Les planches consacrées à l'outillage dans L'Encyclopédie de d'Alembert montrent des outils de la vie rurale connus et utilisés en Gaule bien avant l'arrivée de César."
On cultive un blé amidonnier, de l'épeautre, qui permet la fabrication de galettes levées, du millet, de l'avoine, de l'orge. La vigne, apparue, selon des recherches récentes, dès le VIIe siècle av. J.-C. en Languedoc, progresse dans la vallée du Rhône. Mais, dès le temps de César, on importe d'importantes quantités de vin d'Italie, ce dont témoignent les innombrables amphores. Christian Goudineau avance le chiffre de 250 000 hectolitres par an. Il pense également, avec Fanette Laubenheimer, directrice de recherche au CNRS, que la présence en Gaule d'imitations de la monnaie des cités grecques est une preuve de l'existence sinon d'un marché commun, du moins d'une zone où les échanges (vins, métaux, cuirs, étoffes et probablement esclaves) existaient entre la Gaule et le monde méditerranéen.
L'archéologue se méfie des légendes et des certitudes identitaires forgées sur les textes de César pour inventer la nation française, mais il a le grand mérite de rendre... la Gaule aux Gaulois.
Ben dis donc, beaucoup de chien quand même... Personnellement je suis pour que l'on replonge dans nos racines (j'aime pas ces bêtes là). -
Fois gras poellé sur pain d'épices
Cuissôt de Marcassin mariné au cidre , Purée de patate douce, purée de pdt, purée de panais avec un Nuit St Georges 1998
Un demi munster à moi tout seul
Gateau aux marrons
Irish Café O:) -
Pour moi , c'est ce soir.
Et je mijote un petit repas "léger".
*Apero avec petits canapés
*Entrée : rillettes de saumon, tomates cerises
*Plat : Pintade aux pommes & foie gras poêlé
*Et une petite ile flottante au dessert. -
Un grog (rhum-jus de citron-eau bouillante)
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Pour moi ce soir:
apéro: crémant avec petit salé
entrée: foie gras avec gelée au gewurztraminer et toast au figues - Muscat de Rivesalt
plat: boeuf mariné sauce citron-menthe (plat libanais), légumes du jardin (PDT, poivron, courgette, tomate, carotte, oignon) - Bordeaux
dessert: croquant au chocolat, glacee vanille - Pinot gris
digestif: café et thé, Jack Time.
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