Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Ballon de Plomb 2007

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Flux RSS 44 messages · 1.945 lectures · Premier message par matteo · Dernier message par luyindula

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  • Si tu veux voir comment ils ont choisi les nominés, c'est par ici :D
  • Moi je voterais bien pour Moussilou aussi, car lui c'est vraiment le top du top ce gars la :)) !
  • Kalou les mecs!! Ce mec il est super à Auxerre, il se grille au PSG (bon à part Pauleta ça arrive à tous les joueurs qui y signent quasiment =; ), il signe à Lens, retrouve son pote Akalé, retrouve Guy Roux, joue comme au PSG (tout pourri) et là quitte le pays pour une sous nation du football.
    International Ivoirien qui plus est (donc censé valoir le coup), donc le Ballon de plomb lui va comme un gant.

    Barthez? non, c'est pas forcément lui qui a merdé à Nantes, les médias racontent ce qu'ils veulent.
  • Nan mais à propos de Dalmat, vous l'avez vu jouer cette saison ?
    Parce que s'il est pas là, Sochaux est derrière Metz hein...

    Tirer son équipe vers le haut en proposant du jeu depuis le début de saison, c'est pas spécialement ce que j'appelle mériter le ballon de plomb. :)
    Alors que bon, Barthez, arrivé comme le Seigneur qui revient de la retraite pour sauver un club mythique de la panade, et qui se casse comme un voleur après avoir été pire que Debès, voilà quoi :D


    Edit, lu dans l'article des CdF, ce passage résume à lui seul ma pensée sur la saison de Barthez :D :

    "Heu, et le même doute n'aurait-il pas dû bénéficier à Mendy et à Pedretti? Les arguments que tu avances seront cités comme autant d'éléments à décharge par les pro-Barthez lors de la campagne, qui gagnera beaucoup, à n'en pas douter, à la présence d'une telle star.
    Le mec est champion du monde et d'Europe, il débarque en sauveur dans un club qui n'est pas descendu depuis 45 ans, et boum, il se plante totalement, encaisse un quadruplé de Savidan et un centre de Ducourtioux, s'entraîne tout seul dans son coin au lieu de tirer les djeunzes déboussolés dans son sillage expérimenté, avant de piquer une crise de parano fatale après une sortie de stade qui n'a pourtant rien à voir avec ce que les Marseillais se fadent régulièrement en repartant de la Commanderie. Il se casse avant terme et ne parvient pas, en dépit de ses déclas comme quoi il voudrait continuer, à trouver le moindre club prêt à l'accueillir, alors que 35 ans c'est pas si vieux pour un goal de sa qualité. Le tout sans jamais admettre que l'équipe de France, c'est fini pour lui... Si ça c'est pas un superbe candidat au BdP..."
  • superdou a écrit :
    Je suis quand même surpris de ne pas voir Alou Diarra dans la liste :(


    Franchement, Alou Diarra cartonne depuis le début de saison, c'est l'un des tout meilleurs Bordelais de ce début de saison! (+)
  • Barthez avait-il tout pour réussir à Nantes?
    Quand des pseudos cadres comme Da Rocha ou Savinaud disent de lui avant qu'il ne les rencontre "ouais...ben on verra ce qu'il peut apporter quoi..." et qui, d'après les dires de pas mal de personnes assistants aux entrainements, ne vont pas forcément aider à l'integration...
    Enfin bon c'est plus facile de taper sur Barthez que de remettre en cause des mecs qui ont failli couler le club déjà 2 ou 3 saisons auparavant. :)
  • forzayalta a écrit :
    superdou a écrit :
    Je suis quand même surpris de ne pas voir Alou Diarra dans la liste :(


    Franchement, Alou Diarra cartonne depuis le début de saison, c'est l'un des tout meilleurs Bordelais de ce début de saison! (+)


    C'est ce que j'allais répondre à superdou: suffit de voir un match des Girondins pour comprendre que c'est le meilleur gars sur le terrain.
  • johnnbo a écrit :
    il se plante totalement, encaisse un quadruplé de Savidan et un centre de Ducourtioux, s'entraîne tout seul dans son coin au lieu de tirer les djeunzes déboussolés dans son sillage expérimenté, avant de piquer une crise de parano fatale après une sortie de stade qui n'a pourtant rien à voir avec ce que les Marseillais se fadent régulièrement en repartant de la Commanderie. Le tout sans jamais admettre que l'équipe de France, c'est fini pour lui... Si ça c'est pas un superbe candidat au BdP..."





    :)) :)) (+) Très bon tout ça!
  • Je trouve que la réponse parle d'elle-même:

    =>> Idéfix
    J'ai le même problème pour stigmatiser Barthez, quand bien même les faits sont accablants. Une porte de sortie possible, c'est lui attribuer une dérogation spéciale façon condamné à mort dans le Texas, au bénéfice du doute. Le doute des faits extra-sportifs. Le doute d'une saison nantaise pourrie et instable qui ne peut lui être imputable, entre un président "fantasque" et un entraîneur opportuniste et nul. Le doute lié à sa personnalité spéciale pas forcément aussi lisible qu'elle n'y parait, et malgré un certain casier négatif. Bref, la grâce rédactionnelle de Jamel Attal.
  • Fabien Barthez
    FC Nantes
    Sa sélection en 2005, l'année du crachat, nous avait été reprochée... Cette fois, Barthez présente des états de services impeccables. Un choix de carrière calamiteux, qui le voit voler au secours d'un FC Nantes déjà plombé : l'homme providentiel aura à peine servi d'opération de communication au président Roussillon, dont il passera surtout pour la danseuse. Des performances très irrégulières, illustrées par un quadruplé de Savidan encaissé à la Beaujoire. Et côté mentalité, un festival : embrouille avec certains de ses nouveaux coéquipiers (dont Da Rocha et Savinaud, piliers de la maison jaune) ; abandon d'entraînement pour cause de bombardement intempestif de ses cages ; abandon de match sur blessure diplomatique au milieu de Nantes-Sedan après avoir encaissé un but casquette. Et pour finir, abandon de club, à quatre journées de la fin, après une agression de son aile avant droite par un supporter. Le sauveur s'est sauvé, laissant le FCNA prendre le chemin de la Ligue 2.
    Atout : une étoile qui chute, ça fait plus de bruit.
    Faiblesse : on peut tout mettre sur le dos de Rudi Roussillon.


    Éric Cubilier
    FC Nantes et FC Metz
    La lecture seule de son CV 2007 a de quoi affoler ses concurrents dans la compétition : en ayant évolué successivement avec les lanternes rouges du premier et du second semestre, l'ancien Niçois doit être le joueur ayant le moins marqué de points en championnat depuis le début de l'année civile. Nul doute que ses performances personnelles participent d'ailleurs activement des résultats de ses équipes, si l'on en croit sa capacité à cumuler les gestes défensifs de plomb.
    Atout : sa remarquable capacité à n'évoluer dans des clubs historiques du championnat (Monaco, PSG, Lens, Nantes et Metz) qu'aux périodes les plus pathétiques de leur histoire.
    Faiblesse : il a joué cette année dans deux des « Football Club » les plus attachants de l'élite, laissant à penser qu'au fond, il doit tout de même bien être un petit peu footballeur.


    Stéphane Dalmat
    Girondins de Bordeaux et FC Sochaux
    Sera-t-il le Maldini du Ballon de Plomb ? Déjà deux fois nommé, présent une fois sur le podium (2006), il a le chic pour échapper à cette juste sentence : auteur de débuts de saison qui font illusion, il a l'habitude de se désintégrer totalement après le nouvel an. À Bordeaux, il a disparu du groupe comme il avait disparu de celui de Toulouse deux ans plus tôt, ne disputant que treize rencontres de championnat (autant qu'à Santander au cours de la saison intermédiaire).
    En toute discrétion. On ne parle donc de lui que pour saluer ses « retours » et entendre ses vaines promesses de nouvelle maturité et de renouveau footballistique... Alors qu'il représente tout de même une escroquerie de première ampleur, avec ses 375 années de contrats signés depuis ses débuts. Transféré à Sochaux pour une énième relance de sa carrière, il « brille » dans une équipe qui va d'emblée se caler dans la zone de relégation.
    Atout : sa non-carrière doit enfin être récompensée !
    Faiblesse : il s'est bien planqué dans un des clubs les moins glamour de France.


    Gerard
    AS Monaco et Recreativo Huelva
    Gerard Lopez Segù dit Gerard a débarqué à Monaco avec l'étiquette « d'international espagnol en provenance d'un grand club et en manque de temps de jeu ». Comme Fernando Morientes donc. On allait voir ce qu'on allait voir ! Et on a vu. Une première saison blanche, la faute à une grave blessure au tendon d'Achille. Une deuxième saison qui n'a rien à envier à la première. Des blessures à répétition, de graves ennuis familiaux et cette statistique remarquable mais fort peu glorieuse : pendant la saison de L1 2006/2007, Gerard a été titulaire une seule fois (remplacé à la mi-temps qui plus est !) et remplaçant à cinq reprises. Bilan des courses : six défaites dont trois à domicile. On comprend pourquoi le gato negro n'a plus été convoqué après la 21e journée de championnat...
    Ayant fait le tour de tous les centres de soin de la côte azuréenne et désireux de relancer sa carrière dans un club plus à la portée de ses peu époustouflants moyens techniques, Gerard a signé cet été au Recreativo Huelva pour une saison, avec l'ambition de rejoindre un club plus huppé dans un an. Sinon, y aura toujours de la place à Kilmarnock...
    Atout : il a déjà un nom d'anti-trophée.
    Faiblesses : la concurrence de Kallon qui risque de cannibaliser toutes les voix monégasques et l'absence de reproches à lui faire sur le plan comportemental.


    Damien Grégorini
    AS Nancy Lorraine
    2007 est une étape clé dans la carrière du grand Damien. Celle de la migration du Panda en Lorraine. Profitant de l'injuste concurrence de Lloris à Nice, de l'exil de Sorin à Auxerre, de la blessure de Bracigliano et de la conjonction favorable de Saturne et Andromède, le club de Pablo Correa jeta son dévolu sur le plus mythique que miteux Niçois. Héros du Ray qu'on aime railler, Grégorini est surnommé le Panda, comme Jalabert, mais plutôt pour son côté Fiat des années 80, toute en vibration et tenue de route hésitante. Au bout de ses bras fébriles, il tient la baraque de janvier à juin, permettant à Nancy de bien figurer dans le bas-ventre mou de la L1. Depuis le retour de Bracigliano, Nancy flirte avec la Ligue des champions. C'est ça, l'effet Gregorini. A l'honneur, en Coupe de la Ligue, en cette période électorale, Gregorini reste un casse-tête pour les ralentis de Fred Godard. Comment ralentir une image arrêtée ?
    Atout : ses dix matches joués avec l'OM entre 2000 et 2002 ont laissé des traces indélébiles parmi les nombreux supporters marseillais.
    Faiblesse : Correa a bien dû lui trouver une qualité pour le nommer capitaine de l'équipe B qui joue la Coupe de la Ligue.


    Mohamed Kallon
    AS Monaco et ANPE
    Il avait fait trois fois le tour de l'Italie avant de se poser à l'Inter de Milan où sa première saison fut la seule honorable. Il a ensuite traversé les Alpes avec une affaire de dopage qui lui collait au train pour rejoindre Monaco, où l'on attendait de lui qu'il remplaçât Morientes. Une fois de plus, ses premiers mois seront respectables, notamment grâce à une bonne entente avec Chevanton. Depuis, la chute rappelle la courbe de l'action de la Lazio de Rome. Parfois accusé d'avoir un caractère difficile à vivre, Kallon est prêté un an à Al Ittihad où il côtoie Joseph-Désiré Job. À son retour sur le Rocher, les dirigeants font comme s'ils n'avaient jamais entendu parler de lui. Il jouera une douzaine de matches lors de la saison 2006/07, marquant peu de buts et peu d'esprits. Ce qui justifie une nomination au Ballon de Plomb? Après Birmingham City, c'est Portsmouth qui vient de ne pas donner suite aux quelques jours d'essai qu'il y a passé...
    Atout : la Sierra Leone exporte déjà de l'or et des diamants. Le plomb est une suite logique.
    Faiblesse : on ne saura pas à quelle adresse lui envoyer sa récompense.


    Bonaventure Kalou
    Paris SG, Lens et Al Jazira Abu Dhabi
    Plus qu'un joueur, Kalou est un archétype. Plusieurs, même : il incarne à merveille l'« attaquant-doué-mais-indolent » dont le manque de hargne désespère les supporters venus voir leurs favoris « mouiller le maillot ». Kalou complète aussi avec panache l'interminable cohorte de bons joueurs venus crasher leur carrière au PSG. Ensuite, avec son transfert à Lens dans les bagages du père Roux, il illustre cette tendance qu'ont certains coachs à faire venir dans leurs nouveaux clubs leurs joueurs fétiches – tendance exaspérante pour bien des supporters : allez expliquer aux Auxerrois pourquoi Maoulida a mis Jelen sur le banc... Enfin, avec son départ en douce pour le Qatar quelques jours après le limogeage de son protecteur à bonnet, il personnifie, à vingt-neuf ans seulement, l'antique « retraite dorée » à la Leboeuf-Desailly dans un championnat mineur aux salaires mirifiques, alors qu'il aurait montré plus de panache en allant jouer à Metz pour un SMIC et demi. Quatre bonnes raisons de ballondeplombiser le joueur le plus technique et le plus enthousiasmant du lot, et qui aurait sans doute pu connaître une carrière lumineuse.
    Atout : les électeurs parisiens sont vindicatifs.
    Faiblesse : tel le chamallow, il peut encaisser les coups sans perdre sa forme.


    Johan Micoud
    Girondins de Bordeaux
    Michel Platini a toujours dit qu'un bon meneur de jeu n'avait pas besoin de courir s'il faisait courir le ballon. Johan Micoud semble avoir suivi les conseils du maître au pied de la lettre. Au point qu'il a autant de mobilité sur un terrain que le Platoche d'aujourd'hui (lequel se voit probablement servir plus de caviar à la cantine de l'UEFA que les attaquants girondins à Lescure). Sorte de caméléon footballistique, l'ex-Cannois se fond à une vitesse fulgurante au sein des effectifs qu'il incorpore, s'adaptant aussi bien à la section ultra-offensive du Werder qu'à la bande de neurasthéniques girondins – au sein desquels il est un peu le Bellion de Plomb.
    Atout : avec le départ de Dhorasoo à Livourne et le décès sportif de Meriem, il est le dernier héritier déshérité de Zinédine Zidane encore en activité en France.
    Faiblesse : en permanence à côté de Laurent Blanc sur le banc girondin, certains doivent être persuadés qu'il est l'efficace entraîneur adjoint d'une des bonnes équipes de L1.


    Daniel Moreira
    Stade rennais
    Ancien atout précieux d'un RC Lens en forme européenne, son élégance offensive, incarnée médiatiquement par des buts improbables contre le Deportivo ou le Milan, lui vaudra une poignée de sélections en équipe de France. Des choix de carrière illisibles (hormis le refus de signer a l'OM) lui vaudront ensuite de se lancer dans un tour de France des clubs moyens, dont les périodes fastes coïncident avec son absence (Toulouse accède a la Ligue des champions après son départ, Rennes réussit sa meilleure entame depuis des années), avec en point d'orgue une dernière saison a zéro but, qui en fit le seul international non encore trentenaire titulaire en CFA.
    Atout : une rumeur persistante l'envoie au mercato rejoindre le FC Metz, où son inefficacité devrait merveilleusement s'adapter a la culture locale.
    Faiblesse : difficile de le faire figurer au même palmarès Francis Llacer et un des mecs gentils du football français.


    Matt Moussilou
    OGC Nice, AS Saint-Étienne, OM et Al Arabi Doha
    Alors surnommé la Biquette (sic), Matt Moussilou se fait remarquer à Lille – un de ses nombreux points communs avec Dagui Bakari – sous Claude Puel lors de la saison 2002-2003. Il connaît même l'honneur de quatre sélections chez les Espoirs de Raymond Domenech. L'année 2005 est celle de tous ses exploits, notamment son quadruplé face à Istres – il inscrit à cette occasion le hat-trick le plus rapide de l'histoire de la Ligue 1. Déjà à l'apogée de sa jeune carrière, il perd sa place au profit de Peter Odemwingie et est transféré à Nice pour la modique somme de quatre millions d'euros. Il y inscrit le modique total de zéro but, avant d'être puni par un prêt dans le Forez. Cette saison, Matt Moussilou continue
    son tour des vieilles gloires du football français en étant prêté à l'Olympique de Marseille (comme témoin à charge dans le procès du recrutement phocéen).
    Atout : véritable porte-poisse, il est à Saint-Étienne quand Nice se sauve de la relégation et à Marseille quand les Aiglons gagnent au Vélodrome pour la première fois depuis trente et un ans.
    Faiblesse : il a un côté indubitablement sympathique et puis, qui voudrait faire du mal à une biquette ?


    Sammy Traoré
    Paris SG et AJ Auxerre
    Erreur de casting de l'année dans l'effectif du PSG 2006/2007 (c'est déjà une victoire, compte tenu de la concurrence), il enfonce un peu plus son nouveau club dans le burlesque et entraîne le pauvre Mario Yepes dans sa chute. Reconnaissons que Sammy Traoré est surtout victime de son transfert, car ce joueur symbole d'une équipe valeureuse s'est transmuté, dans la capitale, en parangon de maladresse défensive et d'impuissance technique. Sa bonne bouille n'a pas compensé, aux yeux des supporters, son physique de basketteur. Et son expérience de la lutte pour le maintien n'a pas été retenue à son crédit.
    Atout : il serait capable de se faire très mal en laissant chuter le trophée sur son pied.
    Faiblesse : il est buteur dans l'équipe B qui a réussi le seul exploit du PSG cette année, contre l'AEK à Athènes en Coupe de l'UEFA.


    Je promets d'avoir tout lu au moins 7 fois alors je peux voter seulement une fois
    Le bureau de vote
  • Matt Moussilou ballon de plomb

    Le Ballon de Plomb 2007, « trophée le moins prestigieux du football européen », décerné par Les Cahiers du football, a été attribué à Matt Moussilou. La bougeotte et les échecs récurrents de l'intéressé lui valent de devancer Bonaventure Kalou, Stéphane Dalmat et Fabien Barthez selon le vote des internautes et des lecteurs. Les « choix de carrière ridicules » sont un des trois critères-clef pour l'obtention de l'antithèse du Ballon d'Or France Football.

    Moussilou, en dix-huit mois, est passé de Lille à Nice, de Nice à Saint-Etienne, puis à Marseille et enfin au Qatar, à Al-Arabi. « (Après Bernard Mendy), c'est un autre footballeur maladroit mais plutôt sympathique qui l'emporte, la controverse sur l'esprit du Ballon de Plomb est provisoirement tranchée : à deux reprises, les talents burlesques ont primé sur les stars déchues» écrit le communiqué des Cahiers.

    Le Ballon de Plomb, créé en 2003, est revenu successivement à Francis Llacer, Fabrice Fiorèse, Benoît Pedretti et Bernard Mendy.

    Classement 2007 :
    1. Matt Moussilou
    2. Bonaventure Kalou
    3. Stéphane Dalmat
    4. Fabien Barthez
    5. Johan Micoud
    6. Eric Cubillier
    7. Mohamed Kallon
    8. Damien Grégorini
    9. Sammy Traoré
    10. Daniel Moreira
    11. Gerard

    Palmarès
    2007: Matt Moussilou
    2006: Bernard Mendy
    2004: Fabrice Fiorèse
    2005: Benoît Pedretti
    2003: Francis Llacer

    source : lequipe.fr
  • Barthez et Dalmat ont été volé [-(
  • A mon avis ce qui sauve Barthez c'est sa carrière pré-Nantaise. Parce que si ça aurait été un autre gardien, il l'aurait mérité 1000 fois pour l'ensemble de son oeuvre à Nantes !
  • samh a écrit :
    Matt Moussilou ballon de plomb

    Le Ballon de Plomb 2007, « trophée le moins prestigieux du football européen », décerné par Les Cahiers du football, a été attribué à Matt Moussilou. La bougeotte et les échecs récurrents de l'intéressé lui valent de devancer Bonaventure Kalou, Stéphane Dalmat et Fabien Barthez selon le vote des internautes et des lecteurs. Les « choix de carrière ridicules » sont un des trois critères-clef pour l'obtention de l'antithèse du Ballon d'Or France Football.

    Moussilou, en dix-huit mois, est passé de Lille à Nice, de Nice à Saint-Etienne, puis à Marseille et enfin au Qatar, à Al-Arabi. « (Après Bernard Mendy), c'est un autre footballeur maladroit mais plutôt sympathique qui l'emporte, la controverse sur l'esprit du Ballon de Plomb est provisoirement tranchée : à deux reprises, les talents burlesques ont primé sur les stars déchues» écrit le communiqué des Cahiers.

    Le Ballon de Plomb, créé en 2003, est revenu successivement à Francis Llacer, Fabrice Fiorèse, Benoît Pedretti et Bernard Mendy.

    Classement 2007 :
    1. Matt Moussilou
    2. Bonaventure Kalou
    3. Stéphane Dalmat
    4. Fabien Barthez
    5. Johan Micoud
    6. Eric Cubillier
    7. Mohamed Kallon
    8. Damien Grégorini
    9. Sammy Traoré
    10. Daniel Moreira
    11. Gerard

    Palmarès
    2007: Matt Moussilou
    2006: Bernard Mendy
    2004: Fabrice Fiorèse
    2005: Benoît Pedretti
    2003: Francis Llacer

    source : lequipe.fr


    Avec ses onze-là il y a moyen de monter une équipe... (meilleure que Metz!) :o)
  • :D/ :)- Vouaaiiiiiiiiiiiiiiiiisssssssssssss ! Gagnéééééééééééééé !!!!! :)- :D/


    :)) :)) :)) :)) :)) :)) :)) :)) :)) :)) :)) :)) :)) :)) :)) :)) :)) :)) :))

    Enfin un trophée pour Nissa !!! :D
  • avec Kalou au but et Barthez en attaque alors non ? :o)
  • C'est correct, même si pour moi Kalou le méritait plus encore, Barthez n'aurait même pas du être nominé, pas forcément lui qui a foutu la merde à Nantes, les dirigeants tels que Gripond (je sais pas si ça s'écrit comme ça) ont plus foutu la merde que le gardien venu aider le club à se sauver. Mais il fait un super bouc-émissaire au final. :)
  • Je suis donc finalement satisfait du résultat, mon favoris à remporter ce trophée je suis fier de lui :)) !
  • J'ai été étonné d'apprendre la nouvelle sur... Infosport :O Il prend de l'ampleur ce trophée :))

    Et dire que certains l'envoyaient chez les Bleus après son quadruplé face à Istres O:)
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