Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Olivier Echouafni

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Flux RSS 109 messages · 25.081 lectures · Premier message par superdou · Dernier message par chrisneudorf

  • Sur ses 9 buts en 00/01, il en avait marqué combien de la tête, je ne trouve plus la stat ?
    Travailleur de l'ombre qui a peut-être fait sa meilleure année au Racing, excellent !
  • echouafni a écrit, le 2010-05-03 23:46:18 :

    On comprends pourquoi je t'ai choisi comme pseudonyme.

    et ton avatar ?
  • En réponse à Hyrka, moi non plus je n'ai pas retrouvé les stat' du nombre de but de la tête marqué par Echoufni cette saison là (je les ai aussi cherché), si quelqu'un s'en souvient.

    J'espère qu'on verra Echouafni à la Meinau, au moins pour donner un coup d'envoi de mach en hommage à ses bons et loyaux services, voire pourquoi pas dans l'encadrement ; un club doit s'appuyer sur les joeurs qui ont marqué le club et y sont attachés

    En réponse à Oudin : mon avatar, c'est Sharapova (qui a gagné Wimbledon à l'âge de 17 ans, un match qui m'avait alors scotché alors que je ne suis pas à fond tennis d'habitude).
    Tout comme Echouafni, c'est une guerrière sur le terrain, et avec du talent et en plus elle est super super belle ! Sharapova va venir aux internatioanux de Strasbourg ! et je suis déjà au bord de l'évanouissement...
  • Dans mon souvenir, c'est 8 buts, le 9e l'a été du pied.
    Sinon c'est en 99-00, sa dernière année au club, pas en 00-01
  • Et oui, vu qu'en 2000-01 il y avait Doukantié, censé être "meilleur qu'Echouafni" dixit l'affreux.
  • A participé au match Nice - Bordeaux 1-1 (Ligue 1) le : titulaire remplacé à la 65' [C]
  • A participé au match Rennes - Nice 2-2 (Ligue 1) le : remplaçant entré en jeu à la 78'
  • A participé au match Nice - St-Etienne 1-1 (Ligue 1) le : titulaire remplacé à la 86' [C]
  • Echouafni: «Ma longévité vaut un titre»

    http://www.francefootball.fr/Xml/Football/Titres/Media/190510_ech...

    Pour Francefootball.fr, Olivier Echouafni dresse le bilan d'une carrière professionnelle entamée en 1994 et conclue le week-end dernier, sous le maillot de l'OGC Nice. Son avenir ? «Il est dans le foot», nous a confié le milieu de terrain de 37 ans. (Photo P-S)

    «Avec beaucoup d'émotion et de satisfaction», Olivier Echouafni a raccroché les crampons le week-end dernier. Pincement au coeur pour une «petite mort». A 37 ans, le milieu de terrain de l'OGC Nice quitte les pelouses professionnelles, qu'il fréquentait depuis 1994. Débuts à l'OM - «un club à part, qui m'a lancé au plus haut niveau» -, deux années à Strasbourg (1998 à 2000), trois à Rennes (2000 à 2003), «où il a fallu être costaud mentalement pour revenir après m'être pêté les croisés», et enfin, sept à Nice. En chiffres, cela donne 390 matches et 27 buts en Ligue 1, 31 matches et 4 buts en L2. «Hormis un titre de champion de D2 avec Marseille et une finale de Coupe de la Ligue en 2006 (perdue 2-1 face à Nancy), je n'ai jamais rien gagné, nous rappelle-t-il. Mais je n'ai pas de regrets. Ma longévité vaut tous les titres du monde.»

    Une dernière saison «pénible»
    Sa dernière saison sous le maillot des Aiglons, ponctuée par une 15e place en Ligue 1? «Elle fut très pénible à vivre», affirme Echouafni. «Mais je m'y étais très préparé, reprend-il. Quand on change de directeur sportif et de président en septembre, qu'on intronise un staff inexpérimenté au niveau de la L1, on ne peut pas avoir de résultats. Et puis le feuilleton Loïc Rémy nous a pas mal perturbés en début de saison.» «Frustré de ne pas jouer» sous les ordres de Didier Ollé-Nicolle, avec qui il entretenait des «rapports corrects», le natif de Menton note que l'intronisation d'Eric Roy sur le banc azuréen fin mars, alors que le Gym flirtait avec la zone rouge, a ramené «de l'enthousiasme, de la fraîcheur et de la discipline». «Lui, mais aussi René Marsiglia (l'entraîneur adjoint) et Frédéric Gioria (le préparateur physique), ont su dédramatiser la situation. Ça s'est vite senti dans les résultats: sur les onze derniers matches, on aurait terminé quatrièmes!»

    «Les dirigeants de Nice m'ont fait une promesse...»
    De son propre aveu, l'OGCN «manque de structures dignes de ce nom» pour «franchir un pallier» et «s'inscrire durablement dans la première moitié de tableau». «Le stade du Ray est vétuste. Et notre centre d'entraînement est indigne d'un club de Ligue 1, déplore-t-il. Nous attendons avec impatience que le nouveau stade (prévu en 2013) voit le jour.» Echouafni parle à la première personne du pluriel pour évoquer sa reconversion. Son avenir «est dans le foot». «Les dirigeants de l'OGC Nice m'ont fait la promesse d'intégrer l'organigramme du club. Ils la tiendront. On est actuellement en discussions pour déterminer à quel poste.» D'autres pistes ? «Je vais passer mes diplômes d'entraîneur. Et puis cet été, avec Lionel Létizi (son gardien et coéquipier au Gym), on lance cet été des stages de foot pour enfants*.» Pour «transmettre notre vécu et notre passion». - Gil BAUDU

    A lire dans France Football, daté du vendredi 14 mai, le portrait d'Olivier Echouafni : «Dernier tour de Chouf.»

    France Football
  • 1 nouvelle photo sur racingstub.com :

    https://racingstub.com/uploads/cache/small/uploads/media/53a93201d1953.jpeg
    (c) zitelli

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  • A noter qu'il va essayer d'obtenir son DEPF (Diplôme d'Entraîneur Professionnel de Football) :)
  • Il est en procès avec l'OGC Nice qui ne lui aurait pas offert la reconversion qu'il attendait. (dixit France Football).
  • Chouf', viens à Strasbourg. C'est ici qu'il faut venir faire ta reconversion. ;)
  • Il vient d'être nommé entraîneur d'Amiens en remplacement de De Taddeo :O

    (Source Foot National)
  • Ce message est une brève publiée par zero-zero.
    L'ancien joueur du Racing Olivier Echouafni a été nommé entraîneur d'Amiens (National).
    Source: Foot National
  • Cela va faire bizarre de le voir revenir à la Meinau, mais bon pas de surprise qu'il devienne entraineur : il a toujours été une tête ;)
  • Il commentait des matchs sur Bein de temps en temps. J'imagine qu'il va arrêter.
  • superdou a écrit, le 2010-09-23 22:39:56 :
    A noter qu'il va essayer d'obtenir son DEPF (Diplôme d'Entraîneur Professionnel de Football) :)


    Il doit l'avoir en poche, si Amiens le prend !

    Content pour lui, c'est sympa d'avoir un peu de sang neuf sur les bancs.
  • Vu mon avatar, vous imaginez bien que je lui souhaite de réussir !
    Sauf face à Strasbourg, il s'entend.
    Bonne chance Chouf' !
  • Si ton avatar était entraîneur de foot !... =P~
  • Tu as raison, mon pseudo, et non mon avatar (mais c'est quand elle veut ;-) en effet.

    Cela dit, à long terme cela ne m'étonnerait pas de voir Olivier Echouafni un jour sur le banc du Racing, car il a toujours témoigné de son attachement au club.
  • Le second souffle de « Chouf »

    http://www.lalsace.fr/fr/images/54E7E7FB-DF9D-4263-AE29-943908964...

    Après une longue carrière de joueur, l'ex-milieu de terrain du Racing Olivier Echouafni (1998-2000) a débuté dans le métier d'entraîneur fin septembre à Amiens en remplaçant Francis de Taddeo. À la tête d'un ASC 17e et relégable, il prépare sans angoisse la réception de Strasbourg demain (20 h) au stade de la Licorne.

    Il est des chiffres qui vous situent d'emblée un personnage. Pour Olivier Echouafni, amicalement surnommé « Chouf », le plus parlant est sans doute celui-là : 390, le nombre de ses matches en Ligue 1 (+ 31 en L2), dont 63 en deux saisons au Racing (1998-2000). Un peu plus de trois ans après la fin d'une carrière durant laquelle il n'a porté que quatre maillots (Marseille, Strasbourg, Rennes et Nice), le consultant de BeIN Sport, qui y a gardé ses activités, a succédé à Francis de Taddeo et revêtu le costume d'entraîneur à l'Amiens SC, relégué de L2 en 2012 et en perdition en National (1). Avant la visite des hommes de François Keller demain (20 h) à la Licorne, l'enfant de Menton ne se prend pas la tête. Car il a toujours su qu'il avait ça dans le sang. Ceux qui l'ont côtoyé aussi.

    Olivier, avez-vous la pression depuis le 25 septembre ?

    La pression ? Mais ça fait 30 ans que je vis avec. Ce n'est pas maintenant que je vais commencer à l'avoir (rires).

    J'ai beaucoup bossé en amont pour être prêt

    Formulons la chose autrement. Pour vos premiers pas de coach, vous auriez pu trouver un point de chute plus tranquille qu'un club comme Amiens qui perdra le statut pro en fin de saison s'il ne remonte pas en L2, mais qui songe surtout à sauver sa tête en National...

    Je suis conscient d'avoir choisi un challenge compliqué. Mais il faut bien débuter. Et comme Strasbourg ou Vannes, Amiens est un club qui a un passé au-dessus. Je le vois surtout comme un beau projet.

    Que répondez-vous à ceux que votre inexpérience laisse sceptiques ?

    Que j'ai fait l'inverse de la plupart des entraîneurs. Souvent, un technicien prend un club et passe ses diplômes ensuite. Moi, j'ai d'abord passé mes diplômes. Je suis titulaire du DEPF (2) depuis 2012. Je voulais m'appuyer sur des bases et une formation. J'ai beaucoup bossé en amont pour être prêt. À Nice, sans en avoir le titre, j'ai plus ou moins été adjoint en réserve durant un an et demi. Je me suis aussi occupé de recrutement. Sans compter mon vécu de joueur.
    En deux matches de National sous votre direction, Amiens n'a récolté qu'un point. Quelle analyse faites-vous de votre nouvel effectif ?

    À mon arrivée, l'équipe restait sur trois défaites. J'avais à peine eu le temps de prendre la température qu'elle a obtenu le nul à domicile contre Uzès (0-0). Nous avons stoppé la spirale de l'échec. Ensuite, nous perdons de justesse à Fréjus où ce n'est jamais facile (1-0). Enfin, samedi, nous sommes allés nous qualifier à Mers-les-Bains pour le 6e tour de la Coupe de France (6-0). Même avec six divisions d'écart, cette qualification a fait énormément de bien aux joueurs. Je suis arrivé seul à Amiens et j'ai la chance de pouvoir compter sur le staff en place. Je gagne ainsi du temps. J'avais besoin d'une vision globale du club et, surtout, du groupe que d'autres ont constitué. Mon premier sentiment, c'est qu'il va falloir un peu de temps pour reconstruire et redonner confiance à une équipe qui travaille bien et mérite mieux, mais manque de caractère. Mais avant de tirer des plans sur la comète et parler d'objectifs, il faut d'abord que nous trouvions une régularité dans les résultats et le contenu.

    Le Racing ne doit pas brûler les étapes

    Votre passé de leader sur le terrain a-t-il été déterminant dans votre nomination ?

    Je crois que mon discours, mon expérience et ma connaissance du foot ont plu. Joueur, j'ai toujours été un leader naturel. J'ai porté le brassard partout où je suis passé, excepté à Strasbourg, le club où je suis resté le moins longtemps.
    Treize ans après votre départ, que vous reste-t-il de ce passage en Alsace ?

    J'ai énormément d'affection pour le Racing. Quand on voit les affluences à la Meinau en National, c'est tout de même assez extraordinaire. Je suis ravi de l'implication de la famille Keller. Que Marc et ses actionnaires pilotent le projet est une bonne chose pour la sérénité du club. François a aussi accompli un travail formidable. Je suis content de revoir Strasbourg en National, même si ce ne doit être qu'une étape.

    Quel regard portez-vous sur ce Racing 2013-2014 ?

    Il a réussi un véritable exploit en montant deux fois de suite et possède une équipe de qualité avec de bons joueurs. Mais après ce qu'il a vécu, il ne doit pas brûler les étapes. Cette saison doit être celle de la stabilisation et la prochaine, sans doute celle de l'ambition.

    Demain, un relégable, Amiens, reçoit un rival susceptible de le devenir, Strasbourg. Vous avez beau dire ne pas avoir la pression, c'est quand même un match couperet, non ?

    Nous ne sommes pas encore au tiers du championnat et il faut relativiser. Ce match entre deux clubs bien structurés est plus excitant qu'il ne fait peur.

    Quels objectifs vos dirigeants vous ont-ils fixés ?

    Il est beaucoup trop tôt pour en parler. Mais ne vous inquiétez pas, je les connais (il rit) !

    (1) Une victoire et six défaites en neuf journées.
    (2) Diplôme d'entraîneur professionnel de football.

    le 17/10/2013 à 05:02 Recueilli par Stéphane Godin

    L'Alsace
  • Ce message est une brève publiée par katzo68.
    Olivier Echouafni sera l'invité de Planète Racing mardi 28 janvier (RBS 21h).
    Source: Planète Racing
  • Olivier Echouafni : « Je suis parti du Racing à cause de dirigeants incompétents ».

    Tout est dit, malheureusement, par "Chouf" sur le club à l'époque. J'ai pas encore eu le temps d'écouter l'émission de l'intéressé, mais je le fais dès que j'ai un moment. Ne pas le faire serait presque une faute professionnelle vu mon pseudo. Bonne continuation à Chouf.
  • C'est une pure spéculation de ma part mais à l'époque Rennes payait beaucoup mieux que le Racing.
  • A l'époque où Pinault claquait 140MF pour Severino Lucas, c'est même quasiment certain !
  • L'un n'empêche pas l'autre
  • Olivier Echouafni (entraîneur d'Amiens) : « (Dépité.) Ne me parlez pas du vilain tour que je viens de jouer au Racing. Je suis animé d'un double sentiment : bien sûr, la satisfaction de gagner et ramener les trois points à Amiens, mais aussi la déception de voir cette équipe de Strasbourg perdre. En tant qu'ancien joueur, c'est toujours un moment particulier, une forte charge émotionnelle, de revenir à la Meinau, parce que j'y ai passé deux ans extraordinaires (Ndlr : avant le match, il est allé déposer une gerbe de fleurs au pied de la plaque apposée dans le kop en mémoire de Jacqueline Schoener, emblématique supportrice du Racing décédée le 17 octobre 2003)."

    La grande classe de "Chouf" ! (+)
    A l'image de ses 2 très belles saisons au Racing (il finit même meilleur buteur du club lors de la saison 99/2000 !)
    Nos joueurs actuels devraient en prendre de la graine, 14 ans après, il a toujours le Racing dans le coeur ! =D
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