Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Pascal Janin

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Flux RSS 1808 messages · 119.031 lectures · Premier message par samh · Dernier message par superdou

  • Mouais, l'erreur a surtout été de le maintenir à mis-saison quand il devenait évident qu'à par balancer loin devant sur Fauvergue ou s'en remettre à un raid de Gueye, y'avait pas de fond de jeu. A sa décharge, il a repris un groupe traumatisé par une non-montée et une avant saison avec Magic Papy Gress qui a achevé de réduire à néant le peu de cohésion qui restait à cette équipe. On a voulu le garder pour économiser son renvoi, on paye désormais son renvoi + une relégation. Y'a pas, la vision à court terme, ça eut payé.
    Après il réclame ce qu'on lui doit, comme tout salarié licencié.
  • Quel fond de jeu y-a-t-il de puis le début de saison et jusqu'à ce jour. De longues balles balancées depuis l'arrière et des raids, souvent dans le vide, de Mathlouthi et Ledy. En somme du copier-coller. Papy Gress n'a rien pu démolir puisque d'une part la coquille était vide et que d'autre part il n'aurait même pas eu le temps.
  • pur-et-dur68|2011-03-03 . Papy Gress n'a rien pu démolir puisque d'une part la coquille était vide et que d'autre part il n'aurait même pas eu le temps.[/citation a écrit :





    Effectivement il n'y avait plus rien a déduire car il n'y avait déjà que des branleurs ( fainéant )
  • takl a écrit, le 2011-03-03 09:37:38 :
    Mouais, l'erreur a surtout été de le maintenir à mis-saison


    C'est aussi vrai mais le problème c'est que l'avant saison a longtemps pu lui servir d'excuse mais que lorsqu'on regarde le parcours du Racing dans son ensemble on constate qu'il a eu besoin de 10 journées pour remporter sa première victoire,qu'on ne s'est jamais imposé à l'extérieur durant tout le championnat,ect....
    Au final et même si durant certaines périodes ça allait un peu mieux à la Meinau l'équipe n'a jamais pu véritablement et durablement se relever,donc on peut penser que même si Janin n'est pas l'unique fautif de ce naufrage,pour autant il n'a jamais été l'homme de la situation mais plus un mauvais calcul qui avait pour but de faire des économies en effet.
  • Je pense également que le maintien de Janin était du à des raisons financières i faudrait demander à celui qui l'a maintenu à son poste et qui a complètement disparu de la circulation. Mais à présent que Janin n'est plus là le fond de jeu est tout aussi minable.
  • Janin, chasseur de fantôme

    http://www.lalsace.fr/fr/images/178EF47C-09E1-46B5-87A8-C76C67587...

    Pascal Janin estime justifié son refus de se plier aux recommandations d'un Courbis à qui seul le port d'un bracelet électronique avait permis de sortir de prison. Archives V.V.

    Il y a un an, la direction du RCS niait farouchement que Rolland Courbis ait voulu composer l'équipe avant le match couperet du 14 mai à Châteauroux. Aujourd'hui, elle reproche à l'entraîneur d'alors, Pascal Janin, d'avoir refusé de se plier aux recommandations de son conseiller occulte...

    Dans son édition du 17 mai 2010, trois jours après la relégation en National, « L'Alsace » dévoile que sur instructions de la direction londonienne, l'ex-coach de Bordeaux, l'OM et Montpellier, Rolland Courbis, a soumis à l'entraîneur Pascal Janin une composition d'équipe pour le dernier match capital du 14 à Châteauroux. Dans la semaine précédant la rencontre, les joueurs ont tous, sous couvert d'anonymat, confirmé l'information. Le capitaine Guillaume Lacour a même confié avoir été appelé par Courbis le mercredi 12.

    A l'époque, les révélations de « L'Alsace » provoquent un tollé général chez les dirigeants. Le président Jean-Claude Plessis et Courbis lui-même démentent catégoriquement de concert dans « L'Equipe » du 18 mai (voir ci-contre).

    Un an plus tard, la direction londonienne du club reproche pourtant noir sur blanc (cf le texte « Contentieux ») à Pascal Janin d'avoir refusé de se conformer aux conseils d'un Courbis qu'elle jurait n'avoir pas sollicité. Elle s'appuie sur cette « désobéissance » pour justifier le licenciement de l'ancien coach, viré en juin 2010 à un an de la fin de son bail. Une petite « entorse à la vérité » dont les conseillers de P. Janin se délecteront lors des prochaines audiences - dès demain - et que la juridiction prud'homale appréciera sans doute à sa juste valeur. Comment faire grief à un technicien de faits supposés n'avoir jamais existé ? Voilà le difficile exercice d'équilibriste auquel devront se livrer Hilali et les autres devant les Prud'hommes.

    « Ces interférences ont nui à l'équipe »

    Comme Valérie Bonjour, l'entraîneur évincé a bien l'intention d'appuyer là où ça fait mal. « J'avais un poste à responsabilités et j'ai assumé ces responsabilités. Je n'ai jamais vu un entraîneur chapeauté par quelqu'un qui n'a aucun contrat, ni lien officiel avec le club, qui plus est affublé à l'époque d'un bracelet électronique sans lequel il aurait été en prison. Il faut être sérieux. Je considère que ces interférences ont nui au rendement de l'équipe et que sans elles, nous aurions peut-être pris les deux points qui nous ont manqué. Rolland Courbis a appelé certains joueurs. Vous (Ndlr : « L'Alsace ») l'aviez su. Je ne suis pas entraîneur pour me faire conseiller par quelqu'un d'extérieur au club. Si les dirigeants n'étaient plus contents de moi, ils n'avaient qu'à me remplacer. C'est la règle du jeu dans ce métier et je l'aurais accepté. Aujourd'hui, après avoir tout démenti, ils confirment que ça s'est bien passé comme vous l'aviez écrit. »

    Dans le code judiciaire américain, ce revirement serait assimilé à un parjure, un délit passible de prison. La justice française n'est pas aussi sévère. Mais il lui suffira de se pencher sur les pièces du dossier d'accusation pour en relever les incohérences.

    L'Alsace
  • Je l'ai aperçu sur plusieurs photos, du match de hier, vous avez une idée de ce qu'il fesait la-bas ?
  • il veut revenir #-o #-o #-o
  • Pascal Janin, l'ancien entraîneur du Racing, a choisi de rebondir au Mali

    http://www.lalsace.fr/fr/images/AE2F804B-2581-4E9F-9426-86611F1CA...

    Après deux ans et demi sans club et de nombreux contacts sans lendemain, Pascal Janin a accepté début novembre la première proposition concrète qui se présentait à lui. Le voilà entraîneur du Stade malien pour 2012-2013. Photo Jean-Marc Loos

    Sans club depuis son licenciement du Racing Strasbourg en juin 2010, l'ex-gardien professionnel vient de s'engager une saison comme coach du Stade malien de Bamako. A 56 ans, il vit sa première expérience à l'étranger.

    Dans l'histoire mouvementée du Racing, il restera de façon plutôt injuste l'entraîneur de la descente en National. C'était en 2010. Au terme d'une saison de Ligue 2 bien plus rocambolesque en coulisses que sur le terrain, le club bas-rhinois disparaissait des deux premières divisions pour la première fois depuis son entrée dans le monde professionnel en 1933. Pascal Janin a surtout eu la malchance de se trouver au mauvais endroit au mauvais moment et d'être, comme ses joueurs, aspiré vers le fond par le tourbillon de conneries qui allait conduire le RCS à la liquidation judiciaire un an plus tard.

    Deux années et demie après son éviction d'un club où il aura passé une décennie en trois périodes, l'ex-gardien pro vient de rebondir. Il a signé début novembre pour une saison avec le Stade malien de Bamako, club phare de Division 1 (1). A 56 ans, après 28 mois de chômage, il s'offre ainsi une aventure en terre inconnue.

    Pascal, par quelles connexions êtes-vous devenu coach du Stade malien ?

    Le président Boukary Sidibé cherchait un entraîneur français. Il gardait un bon souvenir de Kamel Djabour qui avait officié ici il y a deux ans (2). L'UNECATEF (3) m'a mis sur le coup. Le président m'a invité à passer deux ou trois jours sur place fin octobre. Il s'est montré convaincant.

    La situation géopolitique délicate au Mali ne vous a-t-elle pas fait douter ?

    Si, bien sûr. Je me suis posé des questions. J'ai évidemment entendu parler des événements, mais ils ont lieu pour l'essentiel au Nord du pays, très loin de Bamako. Ici, on ne se rend compte de rien. Mais c'est vrai que le récent enlèvement d'un Français à l'ouest se situe beaucoup plus près. J'ai pour consigne de ne pas me promener seul dans la campagne. Cette aventure n'est pas sans risque, mais pas excessivement dangereuse non plus. La plupart des clubs de D1 sont basés dans la capitale. Ça a pesé dans ma décision. Il n'y a guère que deux ou trois déplacements lointains et aucun dans le Nord. S'il y en avait eu, j'aurais sans doute décliné l'offre.

    « En France, je n'entrevoyais pas d'issue »
    L'inactivité vous pesait-elle ?

    Le rôle de spectateur me pesait, oui. Aucune perspective ne s'ouvrait pour moi en France. Dès qu'un poste se libérait, la liste des prétendants regorgeait d'entraîneurs à la carrière plus prestigieuse. Peut-être aurait-il fallu que je redescende en CFA ou CFA 2, sans garantie de travailler dans de bonnes conditions. Je ne me voyais pas le faire. En France, je n'entrevoyais pas d'issue. Là, je suis tout de même au haut niveau malien. Je n'avais encore jamais connu d'expérience à l'étranger. Ça me permettra peut-être d'ouvrir d'autres portes.

    Vous parlez de haut niveau malien. En Europe, on ne se rend pas bien compte de ce que ça signifie...

    Le Stade malien termine tous les ans 1 er ou 2 e. Il dispose de jeunes joueurs prometteurs et de qualité qui rêvent d'évoluer en Europe. J'ai récemment visionné des DVD de la Ligue des Champions africaine que le club joue régulièrement. Ils ont lieu devant 50 000 spectateurs (4), avec une très forte pression. Je me sais plus près de la fin que du début de ma carrière et ce n'est pas tous les jours qu'on peut entraîner un club de haut de tableau.

    « Je suis parti seul, c'est le plus pénible »
    Dans quelles conditions travaillez-vous ?

    Ici, il faut oublier le confort des clubs français. Depuis que je suis là, c'est l'hiver, mais il n'a jamais fait moins de 30°. Les vestiaires tels qu'on les connaît chez nous n'existent pas, le matériel des pros non plus. Mais ce n'est pas le foot des rues. Il y a le minimum pour bien travailler. Les joueurs sont tous pros. Nous avons trois terrains d'entraînement en herbe. Je suis épaulé par un adjoint qui a été gardien de l'équipe nationale et connaît bien l'effectif. Je m'adapte.

    L'éloignement n'est-il pas difficile à vivre ?

    Je suis parti seul. C'est l'aspect le plus pénible. Il ne m'était jamais arrivé d'être aussi loin de mon épouse qui est restée à Ostwald. Aussi longtemps surtout. Mais bon, je devrais rentrer 8 à 10 jours en France à Noël et le président devrait m'accorder une pause tous les deux mois et demi. En plus, avec mon épouse, on s'appelle tous les jours en vidéo par Skype. Récemment, alors qu'elle était en visite chez mon fils à Paris, elle a posé l'ordinateur sur la table et nous avons mangé tous ensemble, à des milliers de kilomètres de distance.

    Après un mois, estimez-vous vous être adapté ?

    Au départ, le président voulait que je m'engage deux ans. Mais je lui ai répondu que je devais d'abord voir si j'étais capable de m'adapter au pays, au club et au football d'ici. Je dois avouer que la première semaine, le choc culturel a été violent. Ici, tout le business se fait dans la rue. A un moment, je me suis dit : « Vais-je tenir ? » Mais j'ai franchi le cap. En fait, mon corps était à Bamako, mais ma tête, encore à Strasbourg. Maintenant que mon esprit est ici aussi, je ne vais pas vous dire que je me sens chez moi, mais je vis sans trouble.

    (1) 17 titres, 17 Coupes nationales, une Coupe de la confédération africaine.

    (2) Le technicien franco-algérien, un temps adjoint de Jean-Guy Wallemme à l'AJ Auxerre, vient de succéder à ce dernier à la tête de la sélection du Congo.

    (3) Union Nationale des Entraîneurs et Cadres Techniques professionnels du Football.

    (4) Le stade du 26 mars, où évoluent le Stade malien et l'équipe nationale, peut contenir 55 000 spectateurs.

    DNA
  • Il aura été le bouc émissaire d'une saison de merde car n'oublions pas qu'il était venu pour être adjoint et pas entraineur a la base...
    Je n'arrive pas a lui en vouloir.
  • Il a beau être sympathique, il n'en reste pas moins qu'il aura eu largement le temps de redresser la barre avec un effectif qui valait bien le ventre mou de L2 et qu'il aura échoué.
    "Bouc émissaire" est exagéré, il a également sa part de responsabilité.
    DNA a écrit, le 2012-11-28 05:12:20 :
    Dans l'histoire mouvementée du Racing, il restera de façon plutôt injuste l'entraîneur de la descente en National.

    Pourquoi "de façon injuste" ? C'est un fait avéré.
  • Un mec certainement bien qui faisait le boulot en tant qu'entraineur-adjoint. Au poste d'entraineur, c'est une catastrophe.
  • Effectivement, surtout que le costume était trop grand pour lui et dans un premier temps, n'était pas demandeur de ce poste.
    Il devait assurer un interméde au départ et sa plus grosse erreur aura été d'accepter de finir la saison a ce poste.
  • J'ai du mal à en vouloir plus à celui qui n'a pas quitté le navire qu'à tous les autres dans ce naufrage collectif, même si il était un capitaine médiocre.
  • Le probléme c'est que cette saison la, tout était médiocre, en passant de l'entraineur, aux joueurs et au président...
  • Ce message est une brève publiée par katzo68.
    L'ancien entraîneur du Racing, Pascal Janin s'est engagé avec le Stade Malien de Bamako (Mali).
    Source: L'Alsace
  • Il n'était pas fait pour ce poste, on l'a bien vu. Si personne (Specht?) n'avait eu l'idée saugrenue de faire revenir GG on n'aurait pas eu Janin juste derrière et on aurait peut-être pu se maintenir. Tous coupables.
  • Et bien moi, Janin, je l'apprécie. Je reste persuadé que s'il n'avait pas eu à faire à une absence totale de direction puis à une direction qui l'a véritablement torpillé, il aurait pu maintenir le vaisseau à flot.
    Après un départ cataclysmique dans les conditions que l'on connait et dont il n'était pas responsable, il avait redressé la barre au début du printemps dans l'indifférence glacée de sa direction. Puis les blessures, celle de Fauvergue en particulier et le manque de solutions de remplacement cumulé à une hostilité dédaigneuse de ses présidents successifs auront été à mes yeux les principales raisons de son échec.
    Je l'apprécie aussi pour ce qu'il avait pu donner au club avant cela, joueur puis à la tête de la réserve et enfin entraineur de gardiens.
    Mais tout cela, je l'ai déjà dit.
    je lui souhaite donc de réussir au Mali, même si la destination me semble un peu exotique et surtout peu sûre en ce moment.
  • Le probléme de sa destination, si j'ai bien compris, c'est qu'il n'avait pas vraiment le choix ni surtout d'autres offres...
  • Je crois que P.J avec Rudy Garcia et Fufu fait parti du TOP3 des entraineurs que je déteste le +!

    J'espère qu'un jour FK ne viendra pas chambouler cette hiérarchie... B-)
  • Il a eu du mérite d'être resté pendant cette période pour le moins trouble, et j'ai du respect pour lui. Mais ça reste quand même un entraîneur qui a basé son jeu pendant des mois sur un kick'n'rsuh bancal alors qu'on disposait à l'époque de bons joueurs (Fauvergue, Gurtner pour ne citer qu'eux). Alors un bon mec, respectable et tout, oui, mais un entraîneur, non.
    Après, sans cette relégation, on ne sait pas si on serait mieux lotis.
  • Janin a tenu la barque dans la tempête, il a sacrément redressé l'équipe alors que son contrat n'était prolongé que de rencontre en rencontre. Il a entamé une remontée au classement et puis tout s'est effondré. Peut-être que sans lui, l'espoir n'aurait pas duré jusqu'à Chateauroux.

    Ah, je trouve la critique de slade envers le kick and rush savoureuse.
    Citation:
    on disposait à l'époque de bons joueurs (Fauvergue, Gurtner pour ne citer qu'eux


    Et nul autre joueur évoqué entre le gardien et l'avant-centre. Mais on blâme le kick & rush.
  • C'est un bon gars, c'est pas le pire, oui. Maintenant il a une part de responsabilité, mais qui reste minime par rapport à d'autres.
  • tonywollek a écrit, le 2012-11-28 19:44:44 :
    Je crois que P.J avec Rudy Garcia et Fufu fait parti du TOP3 des entraineurs que je déteste le +!



    Claude Le Roy, non?

    Il était sympa Janin. Après, il était nul, tout simplement, aucun leadership sur son groupe, aucune tactique. On avait pas une équipe géniale, mais largement de quoi se maintenir cette saison là.

    Mais il est sympa.
  • François Keller devrait se laisser pousser la moustache.
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