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- Par superdou
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Habitué à la lutte contre la relégation, le club corse semble armé pour vivre une saison plus calme grâce notamment à un recrutement judicieux de joueurs expérimentés et revanchards.
Des infrastructures indignes de l'élite
Au coeur d'un imbroglio politique, Ajaccio est toujours dans l'impasse au niveau de son stade François Coty. Les infrastructures du club corses apparaissent aujourd'hui comme indignes d'un club de Ligue 1 et devrait pousser la Ligue a confirmé son amende de 25% des droits Télé infligée à l'ACA. Un temp menacé de relégation administrative, Ajaccio est bel et bien présent cette année encore dans l'élite française.
Et si déjà il se trouve là, autant ne pas faire de la figuration. Pour cela, et malgré les départs de ses deux meilleurs joueurs de la saison dernière, à savoir le néo-Lensois Demont et du néo-Messin Ouaddah, deux joueurs qui ont intéressé également le Racing durant le mercato, Ajaccio a passé la vitesse supérieure, grâce notamment au recrutement de joueurs revanchards comM. Bastien, Danjou, Kaba Diawara, Jabi, Rocchi, Saïfi ou Ziani ainsi que celui du jeune Kamel Chafni, révélation de ce début de saison.
Une équipe solide
L'AC Ajaccio version 05-06 paraît au final équilibée et même plutôt forte, surtout vu le budget du club corse, qui voit dans les buts l'impétueux Stéphane Porato, qui, s'il n'a pas progressé dans les sorties sur les centres, est toujours phénoménal sur sa ligne.
En défense, on retrouve l'ex Montpellierrain et international Serbo-Monténégrin Nenad Dzodic, un international espoir brésilien, Antonio Carlos, qui a agréablement surpris les observateurs jusque là, l'ancien Auxerrois Frédéric Danjou, qui reste sur un échec à Caen, l'ex-Lensois qui n'a jamais réussi à s'imposer dans le Nord, Daouda Jabi, et les inoxidables Xavier Collin, Martial Robin et Fabien Laurenti. Beaucoup d'expérience et de joueurs revanchards, additionnés à des habitués de l'état d'esprit du club corse.
Au milieu, on retrouve l'ex Parisien et Bastiais Romain Rocchi, qui n'a jamais réussi à s'imposer dans la capitale et le revanchard Stéphane Ziani qui restent tous les deux sur l'échec et la relégation avec l'autre club corse. A leurs côtés, on retrouve l'ex Marseillais et Parisien André Luiz qui n'a pas laissé de grands souvenirs dans ces deux clubs mais qui a séduit les Ajacciens, l'ancien abonné aux clubs lorrains Christophe Bastien, l'ancien Istréen et Troyen Rafik Saïfi, qui reste sur deux déconvenues, le Brésilien Rodrigo, titulaire indiscutable cette saison et enfin le jeune Kamel Chafni, un temps pisté par le Racing. L'ancien Castelroussin est présenté comme un futur très grand par Rolland Courbis.
Enfin, en attaque, on retrouve le globe trotter Kaba Diawara et les Brésiliens Lucas et Edson, qui ont marqué à de multiples reprises la saison passée et que l'ACA souhaitait à tout prix conserver. L'équipe ne présente pas d'énormes points forts, mais aucun point faible ne sembe véritablement marqué. Cette mayonnaise préparée par l'inévitable Rolland Courbis semble prendre et paraît plus que bien armée pour bien figurer en championnat. L'entraîneur marseillais, après un vrai-faux départ lors de l'intersaison, met sa roublardise et sa malice au profit de ce club dont l'image lui colle parfaitement à la peau. Et comme il reste un sacré technicien du football, Ajaccio est, fort peu étonnamment finalement, encore invaincu à domicile et figure dans la première moitié de classement (9ème) grâce à quelques bonnes performances à l'extérieur.
L'équipe type d'Ajaccio
Au coeur d'un imbroglio politique, Ajaccio est toujours dans l'impasse au niveau de son stade François Coty. Les infrastructures du club corses apparaissent aujourd'hui comme indignes d'un club de Ligue 1 et devrait pousser la Ligue a confirmé son amende de 25% des droits Télé infligée à l'ACA. Un temp menacé de relégation administrative, Ajaccio est bel et bien présent cette année encore dans l'élite française.
Et si déjà il se trouve là, autant ne pas faire de la figuration. Pour cela, et malgré les départs de ses deux meilleurs joueurs de la saison dernière, à savoir le néo-Lensois Demont et du néo-Messin Ouaddah, deux joueurs qui ont intéressé également le Racing durant le mercato, Ajaccio a passé la vitesse supérieure, grâce notamment au recrutement de joueurs revanchards comM. Bastien, Danjou, Kaba Diawara, Jabi, Rocchi, Saïfi ou Ziani ainsi que celui du jeune Kamel Chafni, révélation de ce début de saison.
Une équipe solide
L'AC Ajaccio version 05-06 paraît au final équilibée et même plutôt forte, surtout vu le budget du club corse, qui voit dans les buts l'impétueux Stéphane Porato, qui, s'il n'a pas progressé dans les sorties sur les centres, est toujours phénoménal sur sa ligne.
En défense, on retrouve l'ex Montpellierrain et international Serbo-Monténégrin Nenad Dzodic, un international espoir brésilien, Antonio Carlos, qui a agréablement surpris les observateurs jusque là, l'ancien Auxerrois Frédéric Danjou, qui reste sur un échec à Caen, l'ex-Lensois qui n'a jamais réussi à s'imposer dans le Nord, Daouda Jabi, et les inoxidables Xavier Collin, Martial Robin et Fabien Laurenti. Beaucoup d'expérience et de joueurs revanchards, additionnés à des habitués de l'état d'esprit du club corse.
Au milieu, on retrouve l'ex Parisien et Bastiais Romain Rocchi, qui n'a jamais réussi à s'imposer dans la capitale et le revanchard Stéphane Ziani qui restent tous les deux sur l'échec et la relégation avec l'autre club corse. A leurs côtés, on retrouve l'ex Marseillais et Parisien André Luiz qui n'a pas laissé de grands souvenirs dans ces deux clubs mais qui a séduit les Ajacciens, l'ancien abonné aux clubs lorrains Christophe Bastien, l'ancien Istréen et Troyen Rafik Saïfi, qui reste sur deux déconvenues, le Brésilien Rodrigo, titulaire indiscutable cette saison et enfin le jeune Kamel Chafni, un temps pisté par le Racing. L'ancien Castelroussin est présenté comme un futur très grand par Rolland Courbis.
Enfin, en attaque, on retrouve le globe trotter Kaba Diawara et les Brésiliens Lucas et Edson, qui ont marqué à de multiples reprises la saison passée et que l'ACA souhaitait à tout prix conserver. L'équipe ne présente pas d'énormes points forts, mais aucun point faible ne sembe véritablement marqué. Cette mayonnaise préparée par l'inévitable Rolland Courbis semble prendre et paraît plus que bien armée pour bien figurer en championnat. L'entraîneur marseillais, après un vrai-faux départ lors de l'intersaison, met sa roublardise et sa malice au profit de ce club dont l'image lui colle parfaitement à la peau. Et comme il reste un sacré technicien du football, Ajaccio est, fort peu étonnamment finalement, encore invaincu à domicile et figure dans la première moitié de classement (9ème) grâce à quelques bonnes performances à l'extérieur.
L'équipe type d'Ajaccio
