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- Après-match
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- Auteur(s)
- Par tibo
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Il pleut, l'air est humide. Nous sommes bien arrivés à Vannes !
L'Avant match
19h30, nous entrons dans le stade de la Rabine. Un stade sympathique offrant trois tribunes couvertes et une tribune visiteur à... découvert.
Le temps pour certains de faire un tour de stade repérer les stands de spécialités locales. Point de crêpes mais des « merguez-frites » à 2€50. L'offre est alléchante mais personne n'y verra la mauvaise vanne (*).
La pelouse a l'air en bon état mais pour autant, les joueurs s'échauffent sur un terrain annexe. A ce moment là, nous pouvons découvrir la composition offensive que nous réserve François Keller et on se dit même qu'on peut le gagner, ce match !
Il est temps pour la vingtaine de Strasbourgeois de rejoindre la tribune dédiée pour ce qui devait être la première victoire de la saison à l'extérieur.
Coup d'envoi
Les tribunes sont globalement clairsemées, le speaker tente de faire monter l'ambiance avec leur célèbre « allez le... » bah rien, nada, personne ne lui répond, pas même les quelques VOC POPULI présents dans la tribune nous faisant face. Les hermines du VOC ont quant à eux prêté leurs tambours et drapeaux à quelques jeunes supporters.
Le parcage alsacien fait remarquer sa présence et donne de la voix dès l'entrée des joueurs sur la pelouse, et ce pendant les 45 premières minutes.
La mi-temps arrive, le Racing est mené 1 à 0 sur un probable « coup de main » du sort par A. Thomasson. L'occasion de discuter avec un membre de la sécurité du VOC, un messin, qui nous explique que même si l'affluence est en baisse ils ne sont pas à plaindre à côté d'autres clubs de National. Il nous fait également part de son désarroi concernant les points de retrait infligés au club vannetais alors que les sponsors ont remis la main à la poche.
La deuxième mi-temps arrive, le parcage semble confiant car les joueurs se sont montrés actifs devant le but de PETIT auteur d'un grand match.
La pluie refait son apparition en même temps que les joueurs et le vent nous glace quelque peu la voix. Le Racing égalise sur un joli mouvement Ribas-Liénard à la conclusion. Les joueurs exultent avec les supporters. On y croit de plus en plus, même si on sent que les équipes ont tendance à se désorganiser et à laisser des espaces. A ce jeu là c'est Vannes, par l'intermédiaire de l'omniprésent A.Thomasson qui reprend la tête. Nous avons du mal à y croire, mais les joueurs ne se démoralisent pas et continuent de pousser. L'entrée des nouveaux entrants s'avère payante, à la 89ème minute, Belhameur trouve dans la profondeur Binder qui d'un centre en retrait sert Ribas pour le but de l'égalisation. Le parcage exulte à nouveau, les joueurs fêtent le but avec nous.
On croit alors au 3ème but. Il arrivera, mais encore une fois pour Vannes. Les spectateurs présents savourent ce joli but qui donne une victoire quasi inespérée à leur équipe. De notre côté nous sommes douchés par le scénario... et la météo.
Quelques joueurs viennent nous saluer et même s'excuser sous l'impulsion de Ribas, Mendy et Liénard. Malgré le résultat, ce sont des applaudissements et des encouragements qui sont descendus de la tribune.
Le Racing à l'extérieur, c'est la lose ou une vanne, au choix.
(*) Lors de la commande du sandwich, penser à dire Merguez-frites sans oublier de mentionner le pain.
19h30, nous entrons dans le stade de la Rabine. Un stade sympathique offrant trois tribunes couvertes et une tribune visiteur à... découvert.
Le temps pour certains de faire un tour de stade repérer les stands de spécialités locales. Point de crêpes mais des « merguez-frites » à 2€50. L'offre est alléchante mais personne n'y verra la mauvaise vanne (*).
La pelouse a l'air en bon état mais pour autant, les joueurs s'échauffent sur un terrain annexe. A ce moment là, nous pouvons découvrir la composition offensive que nous réserve François Keller et on se dit même qu'on peut le gagner, ce match !
Il est temps pour la vingtaine de Strasbourgeois de rejoindre la tribune dédiée pour ce qui devait être la première victoire de la saison à l'extérieur.
Coup d'envoi
Les tribunes sont globalement clairsemées, le speaker tente de faire monter l'ambiance avec leur célèbre « allez le... » bah rien, nada, personne ne lui répond, pas même les quelques VOC POPULI présents dans la tribune nous faisant face. Les hermines du VOC ont quant à eux prêté leurs tambours et drapeaux à quelques jeunes supporters.
Le parcage alsacien fait remarquer sa présence et donne de la voix dès l'entrée des joueurs sur la pelouse, et ce pendant les 45 premières minutes.
La mi-temps arrive, le Racing est mené 1 à 0 sur un probable « coup de main » du sort par A. Thomasson. L'occasion de discuter avec un membre de la sécurité du VOC, un messin, qui nous explique que même si l'affluence est en baisse ils ne sont pas à plaindre à côté d'autres clubs de National. Il nous fait également part de son désarroi concernant les points de retrait infligés au club vannetais alors que les sponsors ont remis la main à la poche.
La deuxième mi-temps arrive, le parcage semble confiant car les joueurs se sont montrés actifs devant le but de PETIT auteur d'un grand match.
La pluie refait son apparition en même temps que les joueurs et le vent nous glace quelque peu la voix. Le Racing égalise sur un joli mouvement Ribas-Liénard à la conclusion. Les joueurs exultent avec les supporters. On y croit de plus en plus, même si on sent que les équipes ont tendance à se désorganiser et à laisser des espaces. A ce jeu là c'est Vannes, par l'intermédiaire de l'omniprésent A.Thomasson qui reprend la tête. Nous avons du mal à y croire, mais les joueurs ne se démoralisent pas et continuent de pousser. L'entrée des nouveaux entrants s'avère payante, à la 89ème minute, Belhameur trouve dans la profondeur Binder qui d'un centre en retrait sert Ribas pour le but de l'égalisation. Le parcage exulte à nouveau, les joueurs fêtent le but avec nous.
On croit alors au 3ème but. Il arrivera, mais encore une fois pour Vannes. Les spectateurs présents savourent ce joli but qui donne une victoire quasi inespérée à leur équipe. De notre côté nous sommes douchés par le scénario... et la météo.
Quelques joueurs viennent nous saluer et même s'excuser sous l'impulsion de Ribas, Mendy et Liénard. Malgré le résultat, ce sont des applaudissements et des encouragements qui sont descendus de la tribune.
Le Racing à l'extérieur, c'est la lose ou une vanne, au choix.
(*) Lors de la commande du sandwich, penser à dire Merguez-frites sans oublier de mentionner le pain.
