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- Après-match
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Au terme d'un match disputé, le Racing arrache sa qualification pour les 16èmes de finale de la coupe de France en s'imposant 2-1 à Poissy.
Après ses aventures champêtres en Alsace du nord et en Lorraine, jalonnées de larges victoires, le Racing avait cette fois-ci rendez-vous dans la riante banlieue parisienne, à Poissy. Poissy, terminus du RER A, son usine Peugeot-Citroën, ses stations services introuvables, ses supporters accueillants, sa police montée et donc son stade Léo-Lagrange, comble, qui avait tout du piège typique de la coupe de France.
Actuel 9ème de son groupe de CFA, et portée par son public et par la grosse voix de Dominique Gomis, sorte de croisement entre Mister T et Hulk, l'AS Poissy pouvait légitimement croire en ses chances.
En face, pour le premier match de l'année 2011, Laurent Fournier a pu lancer dans le grand bain ses deux nouvelles recrues offensives Stéphane Noro, en meneur de jeu, et Yannick Yenga, sur le côté gauche. Au rayon des retours, Billy Ketkeophomphone retrouve le flanc droit de l'attaque. Au coup d'envoi, le 11 strasbourgeois s'organise en 4-2-3-1:
Le match part sur un petit rythme, même si les locaux font preuve d'une grosse volonté. Le match s'annonce d'emblée physique, et il faudra aller au charbon pour se sortir du piège tendu. Après quelques minutes, Noro, d'une frappe puissante, puis Mathlouthi, reprenant un centre de Yenga, tentent d'inquiéter le gardien pisciacais. Mais la domination strasbourgeoise est vite éteinte par Poissy et les débats s'équilibrent au milieu de terrain, sans réelles occasions à signaler. A la 40ème minute, au terme d'une jolie action collective, Francisco Donzelot est lancé sur son côté droit, puis centre instantanément en retrait pour Billy Ketkéophomphone, complétement seul dans la surface. Le jeune attaquant ne manque pas l'occasion d'ouvrir le score d'une frappe croisée parfaite. Un but pas tout à fait au goût des supporters locaux qui tenteront de provoquer leurs homologues strasbourgeois. Mais moins d'une minute plus tard, les joueurs de Poissy obtiennent un penalty à cause d'une faute de main de Donzelot, transformé par Oumarou Diaby, alors que Vauvenargues Kéhi était parti du bon côté. La mi-temps s'achève sur le score de un but partout, qui vient ponctuer des débats relativement équilibrés.
Le match reprend sur le même schéma, les Yvelinois n'ayant toujours pas abdiqué et continuant d'imposer un gros défi physique. Les occasions font toujours défaut à la partie, jusqu'à l'heure de jeu, où Ali Mathlouthi parvient à remettre un long ballon de la tête jusqu'à Billy Ketkeophomphone, encore une fois étrangement seul dans la surface, qui place une imparable volée du pied gauche. Le Racing tient son rang et mène 2-1. A partir de ce moment, les locaux lâchent les chevaux et se montrent de plus en plus pressant sur les buts de Kéhi. Celui-ci est d'ailleurs tout heureux quand la lourde frappe de Diaby est repoussée par le poteau. Une poignée de minutes plus tard, le latéral droit accélère et passe en revue tous ses adversaires, mais son centre est mal exploité par son coéquipier. A quelques minutes du terme, Jean Traoré tente sa chance des 16 mètres, mais Tchato sauve son équipe d'une prolongation piégeuse. Effacé offensivement depuis le deuxième but, le Racing se créera une ultime occasion par David Ledy, dont le tir est repoussé par le gardien.
Après un match accroché, le Racing est parvenu à se sortir du guet-apens tendu par une solide équipe de Poissy. Au delà de la qualification, le fait d'avoir su tenir le résultat jusqu'au bout, sans céder aux coups de boutoir d'un adversaire coriace, est une belle satisfaction. Sur le plan individuel, les recrues ont montré de belles qualités, et pourraient bien jouer un rôle important dans la seconde partie de saison.
Actuel 9ème de son groupe de CFA, et portée par son public et par la grosse voix de Dominique Gomis, sorte de croisement entre Mister T et Hulk, l'AS Poissy pouvait légitimement croire en ses chances.
En face, pour le premier match de l'année 2011, Laurent Fournier a pu lancer dans le grand bain ses deux nouvelles recrues offensives Stéphane Noro, en meneur de jeu, et Yannick Yenga, sur le côté gauche. Au rayon des retours, Billy Ketkeophomphone retrouve le flanc droit de l'attaque. Au coup d'envoi, le 11 strasbourgeois s'organise en 4-2-3-1:
Le match part sur un petit rythme, même si les locaux font preuve d'une grosse volonté. Le match s'annonce d'emblée physique, et il faudra aller au charbon pour se sortir du piège tendu. Après quelques minutes, Noro, d'une frappe puissante, puis Mathlouthi, reprenant un centre de Yenga, tentent d'inquiéter le gardien pisciacais. Mais la domination strasbourgeoise est vite éteinte par Poissy et les débats s'équilibrent au milieu de terrain, sans réelles occasions à signaler. A la 40ème minute, au terme d'une jolie action collective, Francisco Donzelot est lancé sur son côté droit, puis centre instantanément en retrait pour Billy Ketkéophomphone, complétement seul dans la surface. Le jeune attaquant ne manque pas l'occasion d'ouvrir le score d'une frappe croisée parfaite. Un but pas tout à fait au goût des supporters locaux qui tenteront de provoquer leurs homologues strasbourgeois. Mais moins d'une minute plus tard, les joueurs de Poissy obtiennent un penalty à cause d'une faute de main de Donzelot, transformé par Oumarou Diaby, alors que Vauvenargues Kéhi était parti du bon côté. La mi-temps s'achève sur le score de un but partout, qui vient ponctuer des débats relativement équilibrés.
Le match reprend sur le même schéma, les Yvelinois n'ayant toujours pas abdiqué et continuant d'imposer un gros défi physique. Les occasions font toujours défaut à la partie, jusqu'à l'heure de jeu, où Ali Mathlouthi parvient à remettre un long ballon de la tête jusqu'à Billy Ketkeophomphone, encore une fois étrangement seul dans la surface, qui place une imparable volée du pied gauche. Le Racing tient son rang et mène 2-1. A partir de ce moment, les locaux lâchent les chevaux et se montrent de plus en plus pressant sur les buts de Kéhi. Celui-ci est d'ailleurs tout heureux quand la lourde frappe de Diaby est repoussée par le poteau. Une poignée de minutes plus tard, le latéral droit accélère et passe en revue tous ses adversaires, mais son centre est mal exploité par son coéquipier. A quelques minutes du terme, Jean Traoré tente sa chance des 16 mètres, mais Tchato sauve son équipe d'une prolongation piégeuse. Effacé offensivement depuis le deuxième but, le Racing se créera une ultime occasion par David Ledy, dont le tir est repoussé par le gardien.
Après un match accroché, le Racing est parvenu à se sortir du guet-apens tendu par une solide équipe de Poissy. Au delà de la qualification, le fait d'avoir su tenir le résultat jusqu'au bout, sans céder aux coups de boutoir d'un adversaire coriace, est une belle satisfaction. Sur le plan individuel, les recrues ont montré de belles qualités, et pourraient bien jouer un rôle important dans la seconde partie de saison.
