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- Par fremen-bleu
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Duel au sommet ce soir (20h30) à la Meinau où le Racing, leader de Ligue 2, reçoit la modeste équipe bretonne du Vannes Olympique Club. Modeste mais néanmoins accrocheuse et 3ème aux points ! Les Bleus seront-ils capables de renouer avec la victoire
Ciel bleu...
Il fait grand beau temps au-dessus du stade de la Meinau et, toujours invaincu après les six premières journées d'un championnat dont il est bon premier, le Racing navigue dans des eaux calmes sans qu'on puisse nourrir de véritable sujet d'inquiétude à son égard. Et si, grâce aux deux coups de boule de James Fanchone, néo serial-buteur, la mini-série en cours de deux matchs sans victoire ne suffit pas à mettre une ombre au tableau, il serait bon de la clore dès ce soir !
Outre les 3 points on aimerait voir la défense alsacienne, qui devrait enregistrer le retour de Grégory Paisley, retrouver sa solidité, elle qui a tout de même pris 4 buts sur les deux dernières rencontres. En attaque, c'est de Kandia Traoré qu'on souhaiterait qu'il se montre à la hauteur de sa réputation de terreur des gardiens de Ligue 2.
Après Renaud Cohade c'est au tour de Grégory Paisley, on l'a dit, de faire son retour dans l'équipe. Seul absence parmi les joueurs élus potentiels, Ali Mathlouthi et sa gastro-entérite. Jean-Marc Furlan se retrouve donc avec l'embarras du choix au moment de choisir le 11 qui débutera la rencontre ce soir. L'entraîneur du Racing a d'ailleurs fait confiance à un groupe nettement moins jeune que sur les premières sorties de la saison puisque ni le prometteur Loïc Damour, ni Quentin Othon pas plus que Weber ou Zenke n'y figurent.
Avec Paisley et Pelé, le Racing devrait tenir sa défense centrale type et permettre à Harlington Shereni de remonter d'un cran. Avec la disgrâce de Zoltan Szelesi et les performances de Pierre Ducrocq à ce poste, on peut s'attendre à voir Lacour glisser au poste d'arrière-droit, le pompier de service qui a déjà occupé ce poste par le passé. Au milieu, on peut s'attendre à une prometteuse association Shereni-Cohade, à moins que, après seulement 20 minutes en CFA puis contre Bastia et un match complet à Sedan, ce dernier ne débute sur le banc au profit de Bah. Belghazouani étincelant en ce mois de septembre, le très réaliste James Fanchone et le revenant bulgare, j'ai nommé Gargorov, devraient se charger de l'animation offensive tandis qu'en pointe, Traoré et Marcos devraient être en concurrence...
Avis de tempête ?
L'obscur adversaire du soir ferait figure de victime expiatoire idéale s'il n'avait pas déjà douché quelques illusions lensoises et troyennes dans son antre de la Rabine. Les Bretons ne sont certes pas irrésistibles et ne possèdent pas de potion magique, mais ils vendront chèrement leur peau, qu'on se le dise ! 4 victoires et 2 défaites, 6 buts inscrits pour autant d'encaissés. Solide sans être géniale : Stéphane le Mignan semble avoir trouvé pour le moment la recette capable de mener son équipe vers un maintien sur lequel beaucoup n'auraient pas misé une piécette il y a quelques semaines ! Comme le dit Nicolas Cloarec, ancien du Racing et actuel directeur général du VOC : « avoir battu Clermont, Lens et Troyes ne peut pas être le fruit du hasard. ».
Si écueil il y a, il n'est en tous cas pas infranchissable, loin de leurs bases les frères de la côte, « les revanchards » (Steven Pelé), ont déjà sombré corps et bien, c'était à Ajaccio. Ce jour-là, Costil, Delhommeau et leurs compères - complètement à l'Ouest - se sont inclinés par 4 buts à 0.
(le groupe vannetais n'est pas encore connu)
Il fait grand beau temps au-dessus du stade de la Meinau et, toujours invaincu après les six premières journées d'un championnat dont il est bon premier, le Racing navigue dans des eaux calmes sans qu'on puisse nourrir de véritable sujet d'inquiétude à son égard. Et si, grâce aux deux coups de boule de James Fanchone, néo serial-buteur, la mini-série en cours de deux matchs sans victoire ne suffit pas à mettre une ombre au tableau, il serait bon de la clore dès ce soir !
Outre les 3 points on aimerait voir la défense alsacienne, qui devrait enregistrer le retour de Grégory Paisley, retrouver sa solidité, elle qui a tout de même pris 4 buts sur les deux dernières rencontres. En attaque, c'est de Kandia Traoré qu'on souhaiterait qu'il se montre à la hauteur de sa réputation de terreur des gardiens de Ligue 2.
Après Renaud Cohade c'est au tour de Grégory Paisley, on l'a dit, de faire son retour dans l'équipe. Seul absence parmi les joueurs élus potentiels, Ali Mathlouthi et sa gastro-entérite. Jean-Marc Furlan se retrouve donc avec l'embarras du choix au moment de choisir le 11 qui débutera la rencontre ce soir. L'entraîneur du Racing a d'ailleurs fait confiance à un groupe nettement moins jeune que sur les premières sorties de la saison puisque ni le prometteur Loïc Damour, ni Quentin Othon pas plus que Weber ou Zenke n'y figurent.
Avec Paisley et Pelé, le Racing devrait tenir sa défense centrale type et permettre à Harlington Shereni de remonter d'un cran. Avec la disgrâce de Zoltan Szelesi et les performances de Pierre Ducrocq à ce poste, on peut s'attendre à voir Lacour glisser au poste d'arrière-droit, le pompier de service qui a déjà occupé ce poste par le passé. Au milieu, on peut s'attendre à une prometteuse association Shereni-Cohade, à moins que, après seulement 20 minutes en CFA puis contre Bastia et un match complet à Sedan, ce dernier ne débute sur le banc au profit de Bah. Belghazouani étincelant en ce mois de septembre, le très réaliste James Fanchone et le revenant bulgare, j'ai nommé Gargorov, devraient se charger de l'animation offensive tandis qu'en pointe, Traoré et Marcos devraient être en concurrence...
Avis de tempête ?
L'obscur adversaire du soir ferait figure de victime expiatoire idéale s'il n'avait pas déjà douché quelques illusions lensoises et troyennes dans son antre de la Rabine. Les Bretons ne sont certes pas irrésistibles et ne possèdent pas de potion magique, mais ils vendront chèrement leur peau, qu'on se le dise ! 4 victoires et 2 défaites, 6 buts inscrits pour autant d'encaissés. Solide sans être géniale : Stéphane le Mignan semble avoir trouvé pour le moment la recette capable de mener son équipe vers un maintien sur lequel beaucoup n'auraient pas misé une piécette il y a quelques semaines ! Comme le dit Nicolas Cloarec, ancien du Racing et actuel directeur général du VOC : « avoir battu Clermont, Lens et Troyes ne peut pas être le fruit du hasard. ».
Si écueil il y a, il n'est en tous cas pas infranchissable, loin de leurs bases les frères de la côte, « les revanchards » (Steven Pelé), ont déjà sombré corps et bien, c'était à Ajaccio. Ce jour-là, Costil, Delhommeau et leurs compères - complètement à l'Ouest - se sont inclinés par 4 buts à 0.
(le groupe vannetais n'est pas encore connu)
