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- Après-match
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Dans un match où tous les ingrédients de la défaite étaient réunis, le Racing n'est finalement pas passé loin de la victoire. On se contente finalement d'un seul point dont personne ne se plaindra.
C'était possible
On a beau savoir que c'est impossible, il y a des scénarios qu'on aimerait voir se répéter chaque vendredi.
Et quand à quelques minutes de la fin, on s'aperçoit qu'un ballon traversant la surface de réparation va pouvoir être idéalement repris par un Strasbourgeois, c'est avec un peu d'avance que les enivrantes sensations libournaises refont leur apparition. Hélas, la réussite n'est pas du côté alsacien sur cette action, où Johansen puis Devaux manquent de peu le but de la victoire.
Trop peu d'actions
Difficile cependant de faire la fine bouche tant le Racing a paru emprunté et très peu inspiré face à une formation corse solide, expérimentée et privant parfaitement d'espaces les joueurs locaux. Car comme le dit Mouloungui après la rencontre, l'équipe - limitée par une fébrilité inquiétante - n'a pas agit, elle n'a fait que réagir.
Réagir suite à une heure de jeu insipide où les occasions les plus franches sont à mettre à l'actif des visiteurs. D'abord sur contre bien mené par Camadini et gâché par une frappe manquée de Ben Saada (22ème) puis sur un coup-franc puissant de Meniri peu avant la mi-temps que Cassard sauve d'une claquette. Côté Racing, il n'y aura eu que ce corner frappé par Abdessadki et repris de la tête par Mouloungui, de peu à côté.
Histoires de coaching
Et puis, dès la reprise, le tournant du match avec l'expulsion sévère de Bellaïd provoquant la rentrée de Devaux à la place de Tum. Mais c'est d'abord le coaching de Bernard Casoni qui fait la différence : tout juste entré en jeu, Mendy ouvre le score d'une belle reprise du gauche à la 55ème minute suite à un débordement sur le côté gauche de la défense strasbourgeoise où Yves Deroff avait pris place pour ce match.
Papin répond ensuite à son ancien coéquipier marseillais et fait rentrer Mathlouthi qui ne tarde pas à se mettre en évidence en provoquant un penalty transformé de justesse par Cohade (76ème minute).
Et, malgré l'infériorité numérique, le Racing n'est finalement pas passé loin d'un succès si cette frappe de Johansen n'avait donc pas été contrée par Florent Jarjat, rentré en jeu peu de temps auparavant. Tiens, encore une histoire de coaching...
Place au derby
Loin d'être rayonnants depuis plusieurs matchs, les ciels et blancs ont au moins le mérite de ne jamais baisser les bras et de faire preuve d'une solidarité permettant de sauver les meubles. Toujours invaincus à domicile et profitant de la défaite de Dijon, le Racing conforte ainsi sa troisième place au classement avant de se rendre à Metz, chez le voisin et néanmoins leader du championnat.
Et plus que jamais, il y sera question de coeur et de solidarité.
On a beau savoir que c'est impossible, il y a des scénarios qu'on aimerait voir se répéter chaque vendredi.
Et quand à quelques minutes de la fin, on s'aperçoit qu'un ballon traversant la surface de réparation va pouvoir être idéalement repris par un Strasbourgeois, c'est avec un peu d'avance que les enivrantes sensations libournaises refont leur apparition. Hélas, la réussite n'est pas du côté alsacien sur cette action, où Johansen puis Devaux manquent de peu le but de la victoire.
Trop peu d'actions
Difficile cependant de faire la fine bouche tant le Racing a paru emprunté et très peu inspiré face à une formation corse solide, expérimentée et privant parfaitement d'espaces les joueurs locaux. Car comme le dit Mouloungui après la rencontre, l'équipe - limitée par une fébrilité inquiétante - n'a pas agit, elle n'a fait que réagir.
Réagir suite à une heure de jeu insipide où les occasions les plus franches sont à mettre à l'actif des visiteurs. D'abord sur contre bien mené par Camadini et gâché par une frappe manquée de Ben Saada (22ème) puis sur un coup-franc puissant de Meniri peu avant la mi-temps que Cassard sauve d'une claquette. Côté Racing, il n'y aura eu que ce corner frappé par Abdessadki et repris de la tête par Mouloungui, de peu à côté.
Histoires de coaching
Et puis, dès la reprise, le tournant du match avec l'expulsion sévère de Bellaïd provoquant la rentrée de Devaux à la place de Tum. Mais c'est d'abord le coaching de Bernard Casoni qui fait la différence : tout juste entré en jeu, Mendy ouvre le score d'une belle reprise du gauche à la 55ème minute suite à un débordement sur le côté gauche de la défense strasbourgeoise où Yves Deroff avait pris place pour ce match.
Papin répond ensuite à son ancien coéquipier marseillais et fait rentrer Mathlouthi qui ne tarde pas à se mettre en évidence en provoquant un penalty transformé de justesse par Cohade (76ème minute).
Et, malgré l'infériorité numérique, le Racing n'est finalement pas passé loin d'un succès si cette frappe de Johansen n'avait donc pas été contrée par Florent Jarjat, rentré en jeu peu de temps auparavant. Tiens, encore une histoire de coaching...
Place au derby
Loin d'être rayonnants depuis plusieurs matchs, les ciels et blancs ont au moins le mérite de ne jamais baisser les bras et de faire preuve d'une solidarité permettant de sauver les meubles. Toujours invaincus à domicile et profitant de la défaite de Dijon, le Racing conforte ainsi sa troisième place au classement avant de se rendre à Metz, chez le voisin et néanmoins leader du championnat.
Et plus que jamais, il y sera question de coeur et de solidarité.
