Que j'ai aimé Egon Gindorf. Pendant deux ans, deux ans seulement mais peu importe, je prends, j'avoue que j'y ai cru. Avec le souvenir certes magnifié par le temps, j'ai vécu avec le président Egon von Steinbach et ses tailleurs de pierre, ses maîtres vitrailliers, ses hommes forts, ses géomètres, ses vendeurs de soupe et le soutien de la population strasbourgeoise. J'ai cru à l'émergence d'une sorte de communauté de l'Anneau version Racing. Il m'en reste un très beau souvenir et cela vaut tout l'or du monde. Merci Egon.

J'imagine que les mamans de joueurs vont être mises à contribution pour les machines de survêtements et de maillots.

Tout bien pesé, quand je vois les derniers développements de la réalité, j'ai le sentiment de faire dans le réalisme le plus intransigeant...

La prose c'est comme la pâtisserie, c'est au gramme près. Et comme l'objectif avoué était d'aller au bout d'idées absurdes qui me venaient à l'esprit sans la moindre prétention littéraire, évidemment tout n'est pas toujours très fin... En plus je me suis à peine relu, par pure paresse. On fera mieux la prochaine fois. Ou pas, d'ailleurs...

Je n'ai pas adhéré à la métaphore météo, mal utilisée à mes yeux car souvent facile, et "plaquée" par endroits sans valeur ajoutée, de fond comme de forme. C'est non pour moi.

Je ne connaissais pas Giora Spiegel, et cet article précis, documenté et bien écrit m'a permis de réparer cette lacune. Merci!

Un article sinusoïdal (de l'anachorète hypochondriaque?) avec des mots d'esprit fraîchés du matin pêchés et d'autres déjà vus et qui peuvent lasser. C'est bien que Jean-Pierre soit dans la place.

Quelle bonne idée de nous faire ainsi voyager en ce dernier jour d'annus horribilis. Le Racing mérite-t-il ses supporters?

J'ai aimé la recherche, souvent fructueuse, de bonnes formules, en sus d'un style agréable. L'article est au final très vivant.

Cela fait certes mal aux yeux mais l'idée est intéressante. Le rendu en format "brèves" montre bien comment les événements se sont précipités, sur des laps de temps vraiment réduits.

On a beau dire, on a beau faire, j'adore cette revue de presse sélective...

J'ai bien noté que le Subbuteo ne figurait pas dans la liste. Il est vrai que le Racing ce n'est pas du football, rien à voir.

Je sais ce que c'est de remballer les gaules au stade, de pondre le papier et de balancer la sauce dans l'instant. Tout y est, contrat rempli.

Avis mitigé. Portrait trop long dans la partie "joueur" et -lien de cause à effet?- une fin un peu courte voire expédiée, d'où le ressenti d'un article déséquilibré. Rien de dramatique mais, puisqu'il faut choisir, ce sera moyen moins.

Description impeccable du montage financier, des circuits, du contexte. Le schéma est très réussi.

Christian Estrosi a reçu ce jour "le mur du çon" du Canard Enchaîné pour cette reductio ad Hitlerum d'école...

Paisley aussi. Cet apôtre du beau jeu, cette incarnation du fair-play et de l'amour du maillot doit être récompensé, que dis-je, statufié, coulé dans le ciment...

De toute évidence. Les gilets jaunes n'existaient pas à l'époque.

vanitas vanitatem et omnia vanitas. Mickaël Vendetta est battu...

Je n'ai pas encore lu l'article précédent. Je te poserai tout de même une question, liée à la problématique du périmètre du groupe: quel est le groupe pertinent? Et comment se forge le sentiment d'appartenance à ce groupe déterminé, au-delà du besoin atavique de vivre en groupe que tu décris? Par ailleurs, ne peut-on pas appartenir à plusieurs groupes simultanément, dont certains seraient antagonistes?
Et l'on réintroduit alors l'individu pour répondre à ces questions? Le holisme a ses limites...

Message anonyme d'un personnage en quête de hauteur. Quelle tristesse.

1. L'état d'esprit de Mickael Vendetta sauf que lui n'est pas qu'un buzz, il dure dans le temps. Etat d'esprit, niveau de jeu, une harmonie parfaite: Pascal Johansen, vainqueur incontesté
2. Charismatique comme les personnages de Zinedine Soualem dans les films de Klapisch, attachant comme Samy Nacéri aux entrées de boîte, krummschuss d'argent bien mérité pour Abdessadki, notre star en carton.
3. Sans les mains, sans les pieds non plus, les déambulateurs étant interdits sur les pelouses, mais c'est comme ça qu'on l'aime et qu'il mérite qu'on lui coule un krummschuss de bronze: Alvaro Santos.

Bah, pour la moumoute, j'ai ma casquette à carreaux vissée dessus, et, quand il pleut, je glisse un papier journal en plus.

Anastasie est venue, le titre initial s'en est allé. L'ordre moral serait-il passé par ce blog, ou le changement de titre, vers plus de premier degré, a-t-il vocation à rendre plus accessible un poème à des lecteurs de la génération "agad a télévision et pi dors"?

Tain, faut que j'arrête de te lire, ça me rappelle trop de bons souvenirs d'ancien combattant, du temps où la plus grande décision de la journée était "la bière, brune ou ambrée?". C'est horrible, je suis un vieux, je vais crever. Je sors, sinon je vais radoter en plus, et mon arthrite me fait mal aux articulations des doigts, et mon dentier, et mes escarres, et mon odeur de vieux, et mon pacemaker, et mes cachets.

Un pluriel papal: un sacré, des Pie
Un pluriel toulousain d'hier soir: une cruelle, des illusions
"des colles" est le pluriel de "un avion"
Un pluriel très répandu: un alcoolo, des gueules
etc...

Avec un tag "mort aux k'soss" dessus, il serait mieux.

Je suis aussi communiste que le général Pinochet, c'est grave docteur?

Pas encore de commentaire sur le stublog? (Pas?) surprenant pour un stubiste intègre, aux interventions pertinentes. Merci!

C'est le Glaude qui va finir alcoolique... Dans son cas, je préconise une injection en intraveineuse...

Jusqu'à présent, je ne connaissais que des communistes morts...

"je suis communiste parce que cela m'évite de réfléchir" (Frédéric Joliot-Curie). A méditer...

heureux papa et heureux marié aussi, qui, au moment où il écrit ces lignes, a sa petite de 5 semaines sur les genoux... :-*

Donnez-nous du pire / passez notre envie de réflechir / à coups de concepts débilissimes... (Tryo, groupe de philosophes du XXIe siècle à côté desquels Marcel Gauchet peut aller se rhabiller)

Mais qu'est-ce que vous êtes allés vous paumer dans des villages que même moi, originaire d'un patelin pas loin, je n'ai jamais trouvé (ni surtout cherché) la route avec mon vélo? Grindorff et Boucheporn? Et Klang, et Bibiche, et Beuvange (mondialement connue pour son élection de miss Gromperpaamgesch), et Puttelange les Thionville? Heureusement qu'il faisait jour, sinon...

RIP RIP RIP hourra!

tiens, une image d'archives...

Le professeur: "Tout est de votre faute, Laura"
Laura: "Mais, professeur... Oh Dan, dites quelque chose!"
Dan: "Buvez ceci Laura" "Qui êtes-vous?"
Le Chat: "Excusez-moi, j'ai dû me tromper de bande"

Merci, merci, merci, enfin un stubiste qui sait qui est Marcel Gauchet!!!

Je suis pour ma part lecteur assidu de Marcel Gauchet, dont j'apprécie la pertinence de l'analyse. Pour ne prendre que deux idées-force:
1. les droits de l'Homme ne font pas une politiuqe
2. la gauche n'ayant plus rien à dire sur le social, elle fait du sociétal.

Les municpales n'y changeront rien: soit la gauche fait son Bad-Godesberg, soit elle reprendra le pouvoir national en 2030, car les gens, même s'ils pratiquent le vote sanction au national, veulent savoir où ils vont. Et je n'ai rien d'un sarko-boy.

A condition d'analyser...

Bof, ces gens que je cite ne souffriront pas que tu ne les remettes pas, ils sont morts

Oui, probablement, pourvu que l'on rende cela plus fashion. Comment appelez-vous ça: Alabama Lemon? Double Fresh Soya?

Je suis bien d'accord, mais en toute simplicité, avec appels au roi pour varier les partenaires, du bon pinard, des conversations sur tous les sujets, et, surtout, pas de considérations sur l'histoire des grands maîtres du tarot depuis les temps mythologiques...

Par précaution, je suis resté en terrain connu, c'est-à-dire à la Leffe...

C'est d'ailleurs ce qui me rassure: tout cela n'est qu'une mode de plus. Incontournable aujourd'hui, rien demain. Sic transit gloria mundi.

On se moque ouvertement mais en attendant on fait pareil. Comme, à l'époque, le Loft: on regardait pour critiquer, mais, du coup, on regardait quand même!

oui, et crucifions-le la tête en bas, la souffrance n'en sera que plus atroce

Ce fut un plaisir, malgré les frites trop grasses pour mon palais délicat et le caractère pénitentiaire du parc visiteurs. A bientôt!

Nicolas Baverez prenant déjà anormalement beaucoup de place, il n'est nul besoin d'un second déclinologue. Change de métier!