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- Par athor
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Ce n'est pas encore la Ligue des Champions, mais le Racing a remporté le week-end dernier une compétition internationale. C'était la McDonald Cup, avec son équipe des U11.
On ne va pas se mentir, avant l'année dernière, et la victoire du RCS dans la catégorie U12, personne n'avait entendu parler de la McDonald Cup. Pourtant, cette compétition de futsal se tient à Weil-am-Rhein depuis 1971, et réunit quelques uns des meilleurs clubs européens, issus de 6 pays, qui envoient leurs équipes de juniors E (U10-11) et D (U12-13), pour deux tournois. Pour cette édition 2014, on retrouve donc des clients tels que Dortmund, le Bayern, Leverkusen, Lyon ou encore Manchester et la Juventus, qui font là leur première apparition. Le Racing, lui, a dû passer par les qualifications pour pouvoir se frotter à ce gratin européen. Si les U11 se sont facilement imposés face à Schiltigheim (4-0), les U13 n'ont pas obtenu la possibilité de défendre leur titre, battus par Saint-Avold.
C'est donc l'équipe menée par Nicolas Gross qui participe à ce samedi de compétition. 12 équipes participent au tournoi, avec deux groupes de 6. Le RCS est placé dans le second, avec Dortmund, Lyon, la Juventus, Bâle et le Red Bull Salzbourg, tenant du titre. Les matchs se jouent en une fois 11 minutes, à 6 contre 6 et sur un terrain de futsal (donc avec les murs).
Dans une Sporthalle bien garnie par 700 spectateurs, principalement les parents des participants, l'ambiance est plutôt bon enfant, et même parfois animée par des kops spontanés, à grand renfort de tambour (Dortmund), de mégaphone (Leverkusen), de cornes de brumes et de drapeaux.
Le Racing ouvre son parcours par un match face au Borussia Dortmund, et ouvre le score dès la première minute grâce à son attaquant, au physique plus imposant que ses camarades. Les actions s'enchainent, les Strasbourgeois semblent au-dessus de leur adversaire et l'emportent 3 buts à 1. Dans le temps, dans l'autre groupe, le Bayern et Manchester impressionnent, et offrent des matchs de très bonne facture. Un Bayern-Leverkusen sera notamment très tendu, sur le terrain comme en tribune.
La seconde rencontre face à Bâle est une formalité, avec un but au bout de 30 secondes, et le 2-0 à peine une minute plus tard. Plus fins techniquement, les blancs gèrent facilement et s'imposent 4-0. En début d'après-midi, place au derby français, contre l'OL. Rapidement devant à la marque, le Racing ne parvient toutefois pas à se détacher facilement. Fort heureusement, les Lyonnais font preuve d'un peu de suffisance, en tentant des gestes superflus, et s'inclinent 3-1, au terme d'une rencontre engagée.
Les choses sont bien plus faciles contre la Juventus, avec un 2-0 dès la première minute de jeu, et trois buts de plus 10 minutes plus tard. Les Italiens sauvent l'honneur, mais perdent 5-1. Les joueurs de Nicolas Gross s'assurent donc assez facilement la qualification pour les demis finales, avant le dernier match du groupe face à Salzbourg.
Contre les Autrichiens, les blancs mènent à nouveau très rapidement, mais font face à un adversaire très coriace. Les débats sont tendus et les Strasbourgeois écopent de deux expulsions temporaires de 2 minutes. Résultat, deux coup francs et un penalty portent la défaite à 3 buts à 1. Nicolas Gross est furieux contre l'arbitre, et ne manque pas de lui faire savoir.
Pour son entrée dans le dernier carré, Strasbourg retrouve Leverkusen, qualifié in extremis aux dépens du Bayern Munich, éliminé à la dernière minute de son match contre les Grasshoppers. Poussé par des parents très chauds en tribune, les joueurs du Bayer sont également victimes de l'entame de match alsacienne, en concédant rapidement un but. La suite est plus équilibré, avec assez peu d'occasions, mais le RCS fini par doubler la marque et décrocher sa place en finale. Juste avant, le Red Bull Salzbourg avait fait de même face à Manchester, au terme d'un match très serré (3-2).
La finale est donc une revanche du match de poule. Sauf que le Racing entre bien mieux et domine la rencontre du début à la fin. Plus mordants, ils passent 4 pions à leur adversaire, sans trembler, et remportent le tournoi.
C'est donc l'équipe menée par Nicolas Gross qui participe à ce samedi de compétition. 12 équipes participent au tournoi, avec deux groupes de 6. Le RCS est placé dans le second, avec Dortmund, Lyon, la Juventus, Bâle et le Red Bull Salzbourg, tenant du titre. Les matchs se jouent en une fois 11 minutes, à 6 contre 6 et sur un terrain de futsal (donc avec les murs).
Dans une Sporthalle bien garnie par 700 spectateurs, principalement les parents des participants, l'ambiance est plutôt bon enfant, et même parfois animée par des kops spontanés, à grand renfort de tambour (Dortmund), de mégaphone (Leverkusen), de cornes de brumes et de drapeaux.
Le Racing ouvre son parcours par un match face au Borussia Dortmund, et ouvre le score dès la première minute grâce à son attaquant, au physique plus imposant que ses camarades. Les actions s'enchainent, les Strasbourgeois semblent au-dessus de leur adversaire et l'emportent 3 buts à 1. Dans le temps, dans l'autre groupe, le Bayern et Manchester impressionnent, et offrent des matchs de très bonne facture. Un Bayern-Leverkusen sera notamment très tendu, sur le terrain comme en tribune.
La seconde rencontre face à Bâle est une formalité, avec un but au bout de 30 secondes, et le 2-0 à peine une minute plus tard. Plus fins techniquement, les blancs gèrent facilement et s'imposent 4-0. En début d'après-midi, place au derby français, contre l'OL. Rapidement devant à la marque, le Racing ne parvient toutefois pas à se détacher facilement. Fort heureusement, les Lyonnais font preuve d'un peu de suffisance, en tentant des gestes superflus, et s'inclinent 3-1, au terme d'une rencontre engagée.
Les choses sont bien plus faciles contre la Juventus, avec un 2-0 dès la première minute de jeu, et trois buts de plus 10 minutes plus tard. Les Italiens sauvent l'honneur, mais perdent 5-1. Les joueurs de Nicolas Gross s'assurent donc assez facilement la qualification pour les demis finales, avant le dernier match du groupe face à Salzbourg.
Contre les Autrichiens, les blancs mènent à nouveau très rapidement, mais font face à un adversaire très coriace. Les débats sont tendus et les Strasbourgeois écopent de deux expulsions temporaires de 2 minutes. Résultat, deux coup francs et un penalty portent la défaite à 3 buts à 1. Nicolas Gross est furieux contre l'arbitre, et ne manque pas de lui faire savoir.
Pour son entrée dans le dernier carré, Strasbourg retrouve Leverkusen, qualifié in extremis aux dépens du Bayern Munich, éliminé à la dernière minute de son match contre les Grasshoppers. Poussé par des parents très chauds en tribune, les joueurs du Bayer sont également victimes de l'entame de match alsacienne, en concédant rapidement un but. La suite est plus équilibré, avec assez peu d'occasions, mais le RCS fini par doubler la marque et décrocher sa place en finale. Juste avant, le Red Bull Salzbourg avait fait de même face à Manchester, au terme d'un match très serré (3-2).
La finale est donc une revanche du match de poule. Sauf que le Racing entre bien mieux et domine la rencontre du début à la fin. Plus mordants, ils passent 4 pions à leur adversaire, sans trembler, et remportent le tournoi.