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- Par jo
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Nous nous intéressons aujourd'hui à Corentin Martins et Mamadou Niang.
Corentin Martins
(14 matchs, 14 titularisations, 1034 minutes de jeu, 2 buts dont 1 sur penalty, 0 carton jaune, 0 carton rouge en championnat - voir ses statistiques complètes)
Le capitaine du Racing, la trentaine bien passée maintenant, a fait une première moitié de championnat plus que correcte. Placé en soutien axial de Danijel Ljuboja lors des absences de Niang, il a au fur et à mesure glissé sur le flanc droit, avec néanmoins une farouche tendance à rechercher dans l'axe son poste de prédilection, celui de n°10 à l'ancienne. Sa vision du jeu et son expérience sont des atouts considérables dans la jeune équipe du Racing. Car Martins semble bel et bien revenu à son meilleur niveau, lui qui depuis son arrivée en Alsace n'avait jamais connu un Racing si conquérant et plaisant. Sa science du jeu et son art de la passe font toujours merveille, malgré le poids des années qui a souvent poussé Kombouaré à le remplacer à l'heure du jeu. Son absence depuis un mois pour cause de blessure s'est bien évidemment ressentie, son retour fera beaucoup de bien à l'entrejeu strasbourgeois.
Mamadou Niang
(16 matchs, 16 titularisations, 1344 minutes de jeu, 8 buts, 2 cartons jaune, 0 carton rouge en championnat - 1 match, 1 titularisation, 90 minutes de jeu en Coupe de la Ligue - voir ses statistiques complètes)
Brillant lors des traditionnels matchs de préparation, l'attaquant sénégalais a réalisé un bon début de saison. Sa complémentarité avec Ljuboja s'est révélée très efficace. Par sa vitesse, ses appels de balles incessants, sa combativité (quelle débauche d'énergie pour presser et même tacler les défenseurs adverses !) et son sens du but, ce joueur a toute les qualités pour devenir un des chouchous du public alsacien qu'il craignait pourtant en début de saison. En droite lignée de sa fin de saison tonitruante avec Metz, Niang a connu un été doré, se retrouvant seul meilleur buteur de Ligue 1 après la match face à Ajaccio. Depuis, beaucoup plus surveillé par les défenseurs, il a pâtit de la longue absence de Ljuboja et a retrouvé le chemin des fillets face à Bastia après une période de disette. Le meilleur buteur du Racing (8 buts) s'en ira courant janvier défendre les couleurs sénégalaises à la CAN, nul doute qu'il manquera beaucoup.
Demain, ce sera au tour de Salim Arrache et d'Ulrich Le Pen de se plier à notre série.
(14 matchs, 14 titularisations, 1034 minutes de jeu, 2 buts dont 1 sur penalty, 0 carton jaune, 0 carton rouge en championnat - voir ses statistiques complètes)
Le capitaine du Racing, la trentaine bien passée maintenant, a fait une première moitié de championnat plus que correcte. Placé en soutien axial de Danijel Ljuboja lors des absences de Niang, il a au fur et à mesure glissé sur le flanc droit, avec néanmoins une farouche tendance à rechercher dans l'axe son poste de prédilection, celui de n°10 à l'ancienne. Sa vision du jeu et son expérience sont des atouts considérables dans la jeune équipe du Racing. Car Martins semble bel et bien revenu à son meilleur niveau, lui qui depuis son arrivée en Alsace n'avait jamais connu un Racing si conquérant et plaisant. Sa science du jeu et son art de la passe font toujours merveille, malgré le poids des années qui a souvent poussé Kombouaré à le remplacer à l'heure du jeu. Son absence depuis un mois pour cause de blessure s'est bien évidemment ressentie, son retour fera beaucoup de bien à l'entrejeu strasbourgeois.
Mamadou Niang
(16 matchs, 16 titularisations, 1344 minutes de jeu, 8 buts, 2 cartons jaune, 0 carton rouge en championnat - 1 match, 1 titularisation, 90 minutes de jeu en Coupe de la Ligue - voir ses statistiques complètes)
Brillant lors des traditionnels matchs de préparation, l'attaquant sénégalais a réalisé un bon début de saison. Sa complémentarité avec Ljuboja s'est révélée très efficace. Par sa vitesse, ses appels de balles incessants, sa combativité (quelle débauche d'énergie pour presser et même tacler les défenseurs adverses !) et son sens du but, ce joueur a toute les qualités pour devenir un des chouchous du public alsacien qu'il craignait pourtant en début de saison. En droite lignée de sa fin de saison tonitruante avec Metz, Niang a connu un été doré, se retrouvant seul meilleur buteur de Ligue 1 après la match face à Ajaccio. Depuis, beaucoup plus surveillé par les défenseurs, il a pâtit de la longue absence de Ljuboja et a retrouvé le chemin des fillets face à Bastia après une période de disette. Le meilleur buteur du Racing (8 buts) s'en ira courant janvier défendre les couleurs sénégalaises à la CAN, nul doute qu'il manquera beaucoup.
Demain, ce sera au tour de Salim Arrache et d'Ulrich Le Pen de se plier à notre série.
