Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Le tour de France... commence par le dopage !

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Flux RSS 348 messages · 22.229 lectures · Premier message par rcsmick · Dernier message par niko67

  • Les "propositions" concernent tous les sports mais visiblement pas les tests rétroactifs.
    Je trouve que c'est un peu salaud de la part des élus qui ont pondu ce rapport, un jour publiera-t-on la liste des députés et sénateurs qui ont un compte non déclaré en Suisse ? Rétroactivement :p
  • "Avec 413 watts de puissance moyenne, Froome fait mieux qu'Armstrong en 1999"

    Après les aveux de Lance Armstrong, le 100e Tour de France devait être celui d'une nouvelle ère, entendait-on avant son départ, comme celui de 1999 avait été annoncé comme le "Tour du renouveau", un an après l'affaire Festina. On sait ce qu'il en est advenu : il a amorcé le début du septennat de l'Américain. Chris Froome, qui vient de remporter son premier, a dit qu'il en gagnerait bien encore six.
    Quelle est la différence entre 1999 et 2013 ? Le FBI américain a été inférieur au Secret Intelligence Service britannique. Après le scandale Festina de 1998, Armstrong, pas hypocrite, avait géré sans opposition. Ullrich, Pantani, les mutants des années 1990, qui faisaient flasher nos radars avec des puissances supérieures à 450 watts si besoin, ne s'étaient pas déplacés. L'édition 1999 ne comptait que quatre cols radar : Sestrières, Alpe-d'Huez, Piau-Engaly et Soulor. Il suffisait pour Armstrong d'être plus performant que les autres. Gagner le Tour en se dopant, comme les autres l'avaient fait avant lui.

    Le "dottore" Ferrari lui avait donné le chiffre magique : 6,4 watts par kilo pour s'amuser avec les autres. Lance donne son premier coup d'assommoir à 420 watts suspects à Sestrières, en freinant dans certains virages. Suffisant avec des contre-la-montre comme à Metz, ensuite à plus de 50 km/h. Avec une moyenne sur les quatre radars de 406 watts, l'Américain a eu, pour son premier sacre, la délicatesse de finir dans la zone "humaine" à moins de 410 watts. Avec deux cols radar de plus dans l'édition 2013, on pensait donc que le vainqueur du 100e Tour terminerait aussi dans la zone verte. Las. Froome finit dans la zone suspecte à 413 watts de puissance moyenne, soit 7 watts de mieux qu'Armstrong lors dudit Tour du renouveau. La faute, sans doute, à l'opposition espagnole, qui l'a obligé à se découvrir.

    SON MORPHOTYPE FAIT PEUR

    Un "extraterrestre" : son staff l'admet. Il a dû s'employer à battre des records d'ex-mutants, comme celui du Ventoux, avec 416 watts, qui appartenait au duo Pantani-Armstrong. Pourtant, tout avait commencé comme en 1999. Dans le premier radar du col d'Ax 3 Domaines (446 watts miraculeux) et au premier contre-la-montre à presque 55 km/h, Froome atomise ses adversaires. En 1999, la salle de presse applaudit. En 2013, elle rit.

    Son équipe Sky s'est défendue, tant la comparaison des performances est frappante. Elle vante la qualité "révolutionnaire" de son suivi. Elle communique sur sa "tolérance-zéro-dopage" et le potentiel "extraordinaire" de son leader. On attend son génotype. Son morphotype fait peur.

    Dans l'équipe de son dauphin, le Colombien Nairo Quitana, on ne prône pas la tolérance zéro. Dans les rangs de l'espagnole Movistar, on n'est pas à la pointe de la "techno" comme chez Sky. On préfère les bonnes vieilles méthodes qui firent la gloire de son ancêtre Banesto et de son roi Miguel Indurain. Movistar a embauché Rui Costa juste après sa suspension pour dopage. En 6 heures 11 min 52' s d'efforts et quatre cols dont deux hors catégorie pour s'échauffer, sous la pluie, le Portugais a battu le record du 5e col radar, celui de la croix Fry, avec 429 watts. Il appartenait à un certain Floyd Landis, vainqueur déchu d'un autre Tour de "l'après-Armstrong", celui de 2006.

    Le petit Nairo Quintana dit, lui, s'inspirer d'un autre recordman, Mauricio Soler. Lors du funeste Tour 2007 qui vit la victoire de Contador après l'expulsion de Rasmussen, son compatriote gagna aussi le maillot de meilleur grimpeur. Dans le col de la Colombière, Soler était capable de pousser 450 watts ou encore d'enchaîner le Télégraphe et le Galibier en 1 heure 25 min 45 sec, soit une minute de mieux que Pantani lorsqu'il gagna le Tour en 1998.

    Quintana n'est pas en reste en 2013. Il établit le record de Semnoz, radar n° 6, avec 444 watts et 31 min 17 s pour grimper 11 km de Quintal (738 m) au crêt de Châtillon (1 655 m), avec une pente moyenne de 8,34 %. Nous avions pris les devants et avions, hélas, prédit son temps en nous trompant de 20 secondes sur les prévisions les plus "optimistes". C'est ce qui nous rend pessimiste.

    Des raisons d'être optimiste ? Les coureurs français d'Europcar, à 30 % de leur rendement habituel. Contador, à 399 watts moyen sur nos radars, loin de ses 423 de 2007, 439 de 2009 et 417 watts de 2010... Et ne parlons pas de Schleck, vainqueur en 2010 à la suite du déclassement de Contador, ou d'Evans, le lauréat 2011, trop attardés pour être pris à nos radars.

    Devant, Froome, grand seigneur, a géré ces valets de 2013 comme Lance le fit en 1999.

    Antoine Vayer pour Le Monde
  • mediasoc a écrit, le 2013-07-24 12:06:26 :
    kitl a écrit, le 2013-07-24 10:19:50 :


    Franchement qui ignorait que Pantani était dopé ? :o)

    Il vaut mieux des preuves scientifiques que des suspicions même généralisées.



    On est d'accord, mais en l'espèce son contrôle positif au Giro 1999 alors qu'il avait course gagnée, ainsi que les temps hallucinants qu'il a réalisés en montagne étaient déjà des preuves tangibles.

    Il en est même mort à 34 ans, le pauvre bougre...


    Pour revenir au rapport des sénateurs, j'ai pas trouvé l'annexe avec les "noms". :-/
  • Pantani est l'un des symboles des dangers du dopage...

    Je l'adorais, c'est le dernier vainqueur du Tour romantique, tout comme je n'ai jamais renié Virenque. :'>

    Ce qui est horrible, c'est de penser à ce que doit vivre Froome s'il est vraiment propre (ce que je ne crois pas une seule seconde je précise).
  • Pantani ça en est d'autant plus triste que c'est la version dégeulasse, crue et concrète du dopage.

    Le type a servi, a montré les sponsors, a fait s'intéresser encore plus de gens au cyclisme, a fait gagner beaucoup d'argent à d'autres et a fini tout seul dans une chambre d'hôtel d'une des façons les plus glauques.

    Il fait partie de ces gens, comme Amy Winehouse, qui ont servi les intérêts de beaucoup de gens, ont fait gagner beaucoup d'argent et ceux sont explosés la santé pour cela et sont mort trop tôt et lessivés.
  • La comparaison avec Amy Winehouse est mauvaise je pense. Amy Winehouse était alcoolique, elle en est morte. En plus elle a jamais gagné une étape de montagne.
  • De plus, elle roulait en chanteuse, pas en danseuse.

    (désolé :'> )
  • iuliu68 a écrit, le 2013-07-25 13:20:53 :
    La comparaison avec Amy Winehouse est mauvaise je pense. Amy Winehouse était alcoolique, elle en est morte. En plus elle a jamais gagné une étape de montagne.



    Mais tu crois pas que sa carrière a un lien avec ses problèmes de drogue/alcool...
  • Il a quand même quelques conséquences ce rapport du sénat :

    Olano remercié

    Après Jeroen Blijlevens, c'est au tour d'Abraham Olano d'être remercié. Le champion du monde 1995 et vainqueur de la Vuelta 1998 était directeur technique du Tour d'Espagne mais le contrat qui le liait à la société Unipublic a été résilié ce jeudi matin. Il faisait partie de la liste des coureurs dopés à l'EPO lors du Tour 1998 lors de la publication du rapport de la commission d'enquête sénatoriale sur la lutte antidopage.

    Source: l'équipe.fr

    En plus, ça lui avait même pas suffit pour gagner le tour.
  • morphail a écrit, le 2013-07-25 20:36:59 :

    Mais tu crois pas que sa carrière a un lien avec ses problèmes de drogue/alcool...


    Oui, mais la plupart des artistes commencent à se droguer quand ils sont en haut de l'échelle et non comme les sportifs pour y arriver.

    Même si certains, en panne d'inspiration après leurs premiers succès espèrent y trouver de nouvelles idées, mais cela ne date pas d'hier, Proust, Poe, Baudelaire, Van Gogh, ....
  • bofbof2004 a écrit, le 2013-07-25 21:07:39 :
    Il a quand même quelques conséquences ce rapport du sénat :

    Olano remercié

    Après Jeroen Blijlevens, c'est au tour d'Abraham Olano d'être remercié. Le champion du monde 1995 et vainqueur de la Vuelta 1998 était directeur technique du Tour d'Espagne mais le contrat qui le liait à la société Unipublic a été résilié ce jeudi matin. Il faisait partie de la liste des coureurs dopés à l'EPO lors du Tour 1998 lors de la publication du rapport de la commission d'enquête sénatoriale sur la lutte antidopage.

    Source: l'équipe.fr

    En plus, ça lui avait même pas suffit pour gagner le tour.


    Ben ça n'a pas suffi à beacoup de monde, hein. ;)
  • Après le déballage, les aveux et les sanctions

    Au lendemain de la publication du rapport du Sénat français sur la lutte contre le dopage, qui a identifié plusieurs cyclistes célèbres ayant pris de l'EPO, certaines langues se sont déliées.

    Quelques aveux, souvent implicites, et plusieurs sanctions ont suivi hier la publication du rapport d'enquête du Sénat français, dont des éléments ont permis d'identifier plusieurs coureurs dopés à l'EPO pendant le Tour 1998.
    À défaut de sanctions sportives impossibles à prononcer puisque ces analyses ne respectaient pas les fondamentaux du code mondial antidopage (protocole simplifié, absence d'échantillon B et de garantie sur l'intégrité des flacons), la punition est tombée sur plusieurs coureurs considérés comme ayant fauté à l'époque. Le Néerlandais Jeroen Blijlevens, qui avait pris la poudre d'escampette avec l'équipe TVM lors du passage du Tour en Suisse, a dû quitter son poste de directeur sportif de l'équipe Belkin, après avoir avoué à ses dirigeants hier qu'il avait pris de l'EPO, contrairement à ce qu'il affirmait encore récemment dans une déclaration sur l'honneur. « L'équipe Belkin Pro Cycling et le directeur d'équipe Jeroen Blijlevens prennent immédiatement des chemins séparés » , a déclaré la formation néerlandaise qui avait annoncé l'hiver dernier imposer une ligne dure sur le dopage, dans la foulée de l'affaire Rabobank.
    Abraham Olano, champion du monde 1995 et vainqueur de la Vuelta 1998, a lui aussi perdu son poste (directeur technique de la Vuelta). Le contrat liant l'ancien coureur espagnol à la société Unipublic a été résilié hier matin. « J'ai toujours été sous le contrôle du service médical de l'équipe », s'est défendu Olano. « Je n'ai jamais eu le sentiment de faire quelque chose d'illégal ». L'ancien champion français Laurent Jalabert, dont le nom était sorti fin juin avant le Tour de France, ce qui l'avait amené à renoncer à ses activités de consultant pour France télévisions et RTL, a avancé la même explication.

    « Un jeu de massacre »
    Le contexte de l'époque, un dopage quasi-généralisé avant le choc du scandale Festina pendant le Tour 1998 et la détection possible de l'EPO au début des années 2000, a été souligné par un autre coureur français Jacky Durand, confondu par les réanalyses des échantillons de l'époque : « À la fin des années 90, c'était un jeu de massacre, le peloton était engagé dans une fuite en avant permanente. On ne savait plus comment en sortir. »
    « Jacky a parfaitement résumé la situation qui existait en 1998 », a abondé le troisième coureur français épinglé, Laurent Desbiens, joint par La Voix du Nord. « J'assume mes actes, je pense de toute façon que personne n'est dupe », a ajouté Durand, reconnaissant de façon implicite une pratique interdite. Jalabert a fait de même dans un communiqué transmis par son avocat : « Bien qu'aucun élément de droit ne lui ait été officiellement notifié, Laurent Jalabert en assume aujourd'hui la responsabilité et en supporte les conséquences. »
    Durand a par ailleurs souligné que les coureurs avaient accepté que leurs analyses « soient conservées afin d'améliorer et d'accélérer la recherche » et ce, à titre anonyme. Quelques années plus tard, ils ont été rattrapés de façon aléatoire. Les sénateurs ont insisté en effet sur la prudence qui doit guider les interprétations des résultats des analyses.
    De l'autre côté de la planète, un autre coureur a avoué avant même la publication du rapport. L'Australien Stuart O'Grady, vainqueur d'étape et maillot jaune durant trois jours cette année-là, a reconnu avoir eu recours à ce produit interdit, seulement pour ce Tour de France. Il a été soutenu par son équipe (Orica) mais le comité olympique australien a demandé aussitôt sa démission de la commission des athlètes.

    L'Alsace
  • Va-t-on en reparler bientôt ? Cancellara était soupçonné, vite oublié, Froome accélère dans les montées, Contador change de vélo après l'annonce d'un contrôle des vélos à l'arrivée...



    Le dopage électrique : reportage au JT de France 2 en 2010.

    En même temps, c'est vieux :

    Une invention du vélo électrique de course en 1979

    Même Jacky Durand se posait des questions...
  • C'est pourtant toi qui disais récemment:

    mediasoc a écrit, le 2013-07-24 12:06:26 :

    Il vaut mieux des preuves scientifiques que des suspicions même généralisées.
  • J'avais envie de troller sur le sujet :)
  • C'est pas ici qu'il faut troller, c'est sur le topic à GG... :p
  • Quoi Gress était dopé ?

    Arf, l'idole tombe.

    Et en plus, il a même pas gagné le tour de France.
  • Dopage – Lance Armstrong balance (enfin) des noms

    Il aura mis le temps. Mais il l'aura fait. Lance Armstrong a « balancé ». Le monde entier avait retenu son souffle en janvier 2013, lors de l'interview du cycliste texan par Oprah Winfrey, alors persuadé qu'en plus de ses aveux de dopage sur le Tour de France, de 1999 à 2005, « Lance » révélerait l'identité des gens gravitant autour de sa prise de produits interdits. Mais Armstrong n'avait jamais donné de noms... jusqu'en novembre dernier et ce procès intenté contre lui par sa compagnie d'assurance, désireuse de récupérer les 3 millions de dollars de primes qu'elle lui avait versés sur le Tour de France entre 1999 et 2001. Alors Lance a « balancé ». Et ces propos, tenus sous serment et rendus publics ce mercredi par un tribunal fédéral, ont été révélés ce jeudi par le média américain USA Today.

    Lance Armstrong a dans un premier temps divulgué les identités des gens qui lui ont fourni des produits dopants. A savoir son entraîneur de l'époque chez US Postal, Pepi Marti, ainsi que les médecins Pedro Celaya, Luis Garcia del Moral et Michele Ferrari. Puis les noms de ceux qui étaient chargés de lui livrer lesdits produits : l'ancienne soigneuse de l'équipe Emma O'Reilly et les mécaniciens Julien De Vriese et Philippe Maire, le fameux « Motoman ».

    Weisel en prend aussi pour son grade

    Mais « Lance » ne s'est pas arrêté là. S'il a nié, à nouveau, avoir eu recours à des produits dopants lors de son comeback, entre 2009 et 2010 (chez Astana puis Radioshack), il a, en revanche, chargé Johan Bruyneel (l'ancien directeur sportif d'US Postal), l'homme qui l'aura accompagné durant toute sa carrière. « Il a participé ou assisté à l'utilisation par Armstrong de PED (abréviation de « produits dopants » en anglais) et était parfaitement au courant de ces pratiques par le biais de leurs conversations et de leurs actes » rapporte les propos publics révélés par USA Today.

    Le septuple vainqueur de la Grande Boucle a également cité l'ancien boss d'US Postal, Thomas Weisel, affirmant que ce dernier « était au courant du dopage » qui se déroulait dans sa propre équipe. Ce que l'intéressé s'est empressé de nier. En revanche, Lance Armstrong a affirmé avec instance ne jamais avoir payé ou soudoyé des gens pour conserver son dopage secret. S'il a bien versé des sommes à des personnes ou à des organismes, cela n'a jamais été non plus dans le but de leur faire garder le silence, a-t-il martelé. Si « Lance » a bien balancé, il n'a pas tout dit non plus. Il n'a pas, notamment, révélé les rouages de ce que beaucoup considèrent être comme le système de dopage le plus sophistiqué au monde. La suite au prochain épisode certainement.

    RMC Sports
  • Ce qui est " très grave " dans cette affaire de Dopage c'est que les dirigeants de la lutte " anti dopage "
    ont couvert Armstrong et son équipe ! Car il faut savoir que celui qui aurait pu faire tomber lance et son équipe était actionnaire dans l'équipe US Postal ! Faits révélés dans l'émission " complément d'enquête "
  • Johan Bruyneel suspendu 10 ans d'activités sportives

    Ancien directeur sportif de Lance Armstrong à l'US Postal, Discovery Channel, Astana et RadioShack, Johan Bruyneel a écopé d'une suspension de dix ans pour sa participation au dopage du coureur américain.

    L'ancien manager de Lance Armstrong, Johan Bruyneel, a annoncé qu'il était suspendu dix ans de toute activité liée au sport après un arbitrage rendu par l'American Arbitration Association (AAA) et décrit par l'USADA. Le Belge est mis en cause pour sa participation au système de dopage qui avait permis à Lance Armstrong de remporter sept fois le Tour de France entre 1999 et 2005. Il y a un peu moins de deux semaines, des extraits d'audition de Lance Armstrong étaient parus dans USA Today. L'Américain incriminait Bruyneel et aurait affirmé que son ancien directeur sportif était au courant et a participé aux opérations de dopage.

    «Je ne discute pas du fait que j'aurais souhaité que certains éléments de ma carrière soient différents. Je ne conteste pas non plus que le dopage a fait partie de la vie du peloton pendant un certain temps. Cependant, une toute petite partie d'entre nous sert de bouc émissaire pour tout le monde, explique-t-il sur son site. Est-ce que l'US Postal a, je cite, ''organisé le système de dopage le plus sophistiqué, professionnel et réussi de toute l'histoire du sport'' ? La réalité est vraiment différente. En temps voulu, je donnerai ma version.» De nationalité belge, Bruyneel conteste l'autorité judiciaire de l'AAA et de l'USADA sur sa personne. «Je suis Belge et je réside au Royaume-Uni. Je n'ai jamais été membre du cyclisme américain ni d'aucun autre organisme sportif national américain. Je n'ai jamais signé de documents autorisant l'AAA et l'USADA à avoir autorité sur ma personne.»

    Retiré des pelotons depuis son licenciement par RadioShack en 2012, Bruyneel n'exclut pas de «faire appel devant le TAS» de cette suspension, «même s'il devra encore se justifier» devant cette instance.

    lequipe.fr
  • L'ancien médecin de l'équipe Sky (2009-2015) et de l'équipe britannique (2009-2017), Richard Freeman, accusé d'avoir commandé de la testostérone à des fins de dopage en 2011, a écopé d'une suspension de quatre ans, a annoncé mardi l'agence antidopage britannique (UKAD).

    Source

    Durant cette période, Sky a gagné le Tour de France avec Bradley Wiggins (2012) et Christopher Froome (2013, 2015).
  • Un dénouement guère étonnant tant l'apparition d'une génération quasi-spontanée de cyclistes anglo-saxons extrêmement performants au détour de ces années-là me paraissait suspecte. On peut se demander si le fait que cette équipe ait été sponsorisée par Murdoch est étranger à cette dérive et de fait, si le médecin en question, bien que responsable, n'est pas moins le "lampiste" dans cette affaire.

    On peut regretter une certaine inertie des instances cyclistes, mais en même temps se féliciter de leur ténacité à dénoncer ces faits sinon à faire condamner tous les contrevenants à hauteur de leur responsabilité.
  • Le jour ou Wiggins, spécialiste de la poursuite et rouleur émérite a gagné le TdF, on pouvait deja se poser des questions.
    Le mec s'est littéralement transformé du jour au lendemain en grimpeur à sa signature chez Garmin puis la sky ensuite.
    Le gars qui finissait hors délais sur les grands tours ou au-delà de la 100 places pour ensuite exploser tout le monde. Probablement grâce à l'évolution technologique sur les pneus.
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