Les actionnaires du Racing
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superdoudeadwing a écrit, le 2009-08-02 15:00:44 : Et les OPA hostiles (ou quelque chose du genre), ce n'est pas faisable dans le cas d'un Racing, qui reste économiquement une entreprise comme les autres ?
Non, car une OPA n'est possible que si au moins 50% des parts de l'entreprise sont côtées en Bourse, ce qui n'est pas le cas du Racing
On est dans le même cas qu'une petite entreprise familiale. Tu ne peux l'enlever à son patron si lui-même n'est pas d'accord pour vendre. -
Oki, merci bien pour l'info.
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secteure a écrit, le 2009-08-02 14:42:48 : Apparemment, Philippe Ginestet aurait refusé de vendre ses parts au groupement d'actionnaires de Jacky Kientz.
A confirmer....
Source : les miennes
J'ai eu le même son de cloche, des tensions seraient apparues entre d'anciens "amis" ..... d'après mes sources (dans le club) Ginestet commencerait à semer la pagaille !!! -
wickse a écrit, le 2009-08-02 18:24:51 : secteure a écrit, le 2009-08-02 14:42:48 : Apparemment, Philippe Ginestet aurait refusé de vendre ses parts au groupement d'actionnaires de Jacky Kientz.
A confirmer....
Source : les miennes
J'ai eu le même son de cloche, des tensions seraient apparues entre d'anciens "amis" ..... d'après mes sources (dans le club) Ginestet commencerait à semer la pagaille !!!
la question est maintenant, ferra t'il pire que Proisy? -
Tu te pose de drôle de question comme si cela s'apparentait a un objectif...
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Pour éviter de pourrir les topics Gress et Ginestet...
Un peu de fiction : qu'est ce qu'il pourra bien nous pondre le CA de ce soir ?
- Pour essayer de sortir par le haut de cette crise j'imagine l'alternative suivante : Gress est mis à pied pour une dizaine de jours - ça évite la procédure de licenciement longue et coûteuse, et ça permet à la direction de montrer son mécontentement au coach. Janin assure l'intérim à laval. Ne pouvant accepter cette décision Gress démissionne. Un nouveau coach est intronisé.
- Dans tous les cas vu le début de saison catastrophique, et peu importe l'issue de tout ça, Specht devrait avoir le courage de rendre son tablier, en tout cas s'il veut encore sauver le peu de crédibilité qu'il pourrait lui rester. Specht parti, Gress partira de lui-même.
- Le CA accouche d'une souris.
Autre scénario possible ? -
Virer Gress pour faute grave
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Engager Papin en tant qu'entraîneur, faire de Gress son adjoint, jusqu'au clash entre les deux gars et une bagarre lors d'une séance d'entraînement permettant de se séparer de l'indérisable pour faute grave et acte d'insubordination.
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Qui a des info sur le Conseil d'administration extraordinaire, devant se tenir ce mercredi.
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Au passage merci aux gentils actionnaires qui ont dupés tout le monde en allant au Hilton dans le plus grand secret . C'est vrai que les supporters du Racing sont de grands sauvages...
J'en peux plus de supporter ce club il m'écoeure de plus en plus...
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Quand un pro-Gress s'en prends à Cassard parce qu'il est blessé (certes en faisant rire ceux qui étaient autour), il vaut mieux effectivement faire le CA loin de la "manifestation" qu'il y a eu en cette fin d'après midi. C'est triste d'en arriver là, m'enfin.
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sirius67 a écrit, le 2009-08-12 23:42:42 : Qui a des info sur le Conseil d'administration extraordinaire, devant se tenir ce mercredi.
Des images qui bougent ici -
Ce message est une brève publiée sur le portail.
Un conseil d'administration devrait avoir lieu dans une dizaine de jours, afin de désigner le successeur de Léonard Specht à la présidence du Racing.
Source: DNA -
Les choses vont a la vitesse 3G+ a Strasbourg :D ,je pense dans 4 mois on aura le successeur de Janin,et dans 5 mois notre première victoire..bref,on a sans aucun doute un des clubs de foot avec une des plus mauvaise gestion en France!
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C'est vrai ! tout "traine" au Racing, le recrutement, le futur entraineur, meme peut etre le futur investisseur car à mon avis, il doit quand meme en avoir des gens qui s'interressent au Racing, mais Ginestet est trop borné et trop fier ! moi je crois qu'il ne veut meme pas vendre alors qu'il a tout interet à le faire.
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Chauds les marrons !
L'assemblée générale de la Société Anonyme Sportive Professionnelle a été marquée hier par les virulentes attaques dont le président Philippe Ginestet a fait l'objet. En guise de réponse, ce dernier a répété sa détermination à vendre.
De mémoire de témoins ceux qui, en leur qualité d'actionnaires, y ont assisté hier matin -, rarement assemblée générale de la SASP Racing avait été aussi agitée. Jamais en tout cas depuis que Philippe Ginestet a accédé à la présidence en décembre 2005. La preuve : l'AG, d'ordinaire expédiée en deux temps trois mouvements, a duré deux heures (de 9 à 11). Surtout, le thème principal l'approbation des comptes 2008-2009 qui font apparaître un excédent de 533 000 euros est passé comme une lettre à la poste, à une unanimité jamais retrouvée lors des autres échanges parfois houleux.
Les détracteurs de la méthode Ginestet, qui, pour certains, s'étaient exprimés sur la place publique ces derniers mois, en ont profité pour en remettre une couche. D'autres se sont tus. D'aucuns sont sortis du bois.
Selon plusieurs participants neutres, Philippe Ginestet a répliqué au feu nourri des critiques en s'efforçant de « rester au-dessus de la mêlée. » Avec un certain stoïcisme, mais sans nier ses erreurs. Il a surtout réaffirmé son désir de passer la main dès qu'un repreneur sortira le carnet de chèques (voir encadré).
Peu désireux de s'exprimer sur les tractations en coulisses, le président du RCS a juste confirmé « avoir noué des contacts. Je ne peux rien dire de plus. Je souhaite que l'année de transition dans laquelle nous sommes engagés serve à l'évolution de l'actionnariat et qu'une nouvelle impulsion soit donnée. »
Même si, d'après une rumeur difficilement vérifiable, des émissaires anglais auraient récemment visité les installations de la Meinau, le Racing peine à trouver preneur. Ou plutôt des repreneurs. Hier, l'ex-président Jacky Kientz (1990-1992), porteur d'un dossier de reprise cet été, a reproché à l'investisseur immobilier sa volte face de dernière minute, alors que, dans son esprit, un accord semblait proche. L'actionnaire majoritaire a paré l'attaque : « Je t'avais demandé une garantie bancaire et le nom des investisseurs parties prenantes dans ton dossier. J'attends toujours. »
Membre du conseil d'administration, Nicolas Wiltberger s'est entouré de moins de précautions oratoires. « Tu as de la merde dans les lunettes », a-t-il apostrophé J. Kientz.
De son côté, René Maechler, dirigeant historique (déjà à l'époque du titre en 1979), a stigmatisé le recrutement déficient des quatre dernières années. Il a pointé du doigt les connivences et dénoncé un organigramme contrôlé par la famille (le frère Pierre) et les amis (Jean-Luc Herzog, Pascal Camadini, Jean-Claude Thiry, Jacky Canosi) de Philippe Ginestet. « J'ai honte d'être encore au Racing », a-t-il lâché, ulcéré.
Toujours actionnaire ultra minoritaire (0,31 %) d'EuroRacing, mais exclu du cercle décisionnel, Pierre Schmidt, le charcutier alsacien, a apporté un bémol au satisfecit sur la situation financière stable. Il a rappelé que si le club avait pu survivre jusque-là, il le devait essentiellement à la vente pour 26 millions en deux ans de joueurs recrutés par la précédente équipe dirigeante (à laquelle il appartenait, dirigée par le tandem Marc Keller Egon Gindorf).
À vrai dire, rien de très neuf sous le soleil. Sinon une levée de boucliers plus virulente que d'habitude. « Il y a eu des discussions ouvertes. Je trouve sain que tout le monde s'exprime », désamorce un Philippe Ginestet visiblement soucieux de ne pas ajouter d'huile sur le feu.
Cette vision très personnelle des débats ne change rien sur le fond : le patron du RCS, apparu aux témoins « usé et las, pris d'un vrai ras-le-bol », cherche toujours une porte de sortie. La plus honorable possible. C'est un défi au moins aussi ardu que d'extirper le Racing des bas-fonds de la Ligue 2.
(Source: L'Alsace) -
Les extraits ci-dessous en disent long sur la gestion de Ginestet:
Toujours actionnaire ultra minoritaire (0,31 %) d'EuroRacing, mais exclu du cercle décisionnel, Pierre Schmidt, le charcutier alsacien, a apporté un bémol au satisfecit sur la situation financière stable. Il a rappelé que si le club avait pu survivre jusque-là, il le devait essentiellement à la vente pour 26 millions en deux ans de joueurs recrutés par la précédente équipe dirigeante (à laquelle il appartenait, dirigée par le tandem Marc Keller Egon Gindorf).
De son côté, René Maechler, dirigeant historique (déjà à l'époque du titre en 1979), a stigmatisé le recrutement déficient des quatre dernières années. Il a pointé du doigt les connivences et dénoncé un organigramme contrôlé par la famille (le frère Pierre) et les amis (Jean-Luc Herzog, Pascal Camadini, Jean-Claude Thiry, Jacky Canosi) de Philippe Ginestet. « J'ai honte d'être encore au Racing », a-t-il lâché, ulcéré. -
Bravo ! Tu as compris comment éponger les déficits d'un club qui échoue sur le plan sportif et qui vit au dessus de ses moyens. :)
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C'est le lot de tous les clubs français "de seconde zone" de vendre des joueurs pour rentrer dans leurs frais.
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mediasoc a écrit, le 2009-10-14 09:54:17 : C'est le lot de tous les clubs français "de seconde zone" de vendre des joueurs pour rentrer dans leurs frais.
Ben oui
, mais Ginestet (LUI) bénéficie de circonstances atténuantes :)) !!!
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Il y a un truc que je ne comprends pas dans cet article. A ma connaissance, Kientz n'est ni actionnaire ni membre du conseil d'administration de la SASP, ou de la holding. D'où viennent dès lors les échanges rapportés par le sémillant quotidien de la Norinie, notamment la savoureuse apostrope de Wiltberger quant à la présence de matière fécale dans les prothèse oculaires dudit Kientz ?
Kientz a été invité au CA ? Il zonait du côté de la Meinau ? Il était à la boutique pour s'acheter un pack de bière ? -
J'avoue m'être aussi posé la question....
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J'ai comme l'impression que sa sent le putsch.
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Il ne s'agit pas d'un conseil d'administration, réservé aux administrateurs, mais d'une assemblée générale. Il suffit de posséder une action pour avoir accès à une AG.
De plus, peut-être est-il possible d'y avoir accès sans même être actionnaire. -
mediasoc a écrit, le 2009-10-14 09:54:17 : C'est le lot de tous les clubs français "de seconde zone" de vendre des joueurs pour rentrer dans leurs frais.
Vendre ok, mais céder gracieusement? (Ducrocq et Paisley jusqu'à preuve du contraire).
Surtout quand on voit que la masse salariale ne baisse que de 600K€ alors qu'on a rien recruté de significatif en terme de salaire visiblement, et que ces seuls joueurs ne peuvent justifier à eux deux cette baisse.
Si les chiffres étaient rendus publics, je crois qu'on titerait une sale tronche.
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